Le droit d’accéder à toutes sources d’informations reconnues aux journalistes par les lois du pays a été complètement bafoué tout au long du déroulement des travaux des concertations nationales.


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Un flou artistique a été entretenu sur le débat général dans les Etats généraux mise en place par l’ordonnance de convocation en fonction des thématiques au point d’obliger chaque journaliste à recourir à ses relations pour connaitre l’évolution des travaux des concertations nationales.

La cellule de communication mis en place au sein du secrétariat technique n’a pas facilité aux chevaliers de la plume la tache d’informer la population sur les résolutions pertinentes pris en sa faveur dans les différents Etas généraux.

A quelques jours de clôture Cette presse tournée en bourrique ne sait à quel saint se vouer pour connaitre la date de la plénière des concertations qui devait prendre acte des recommandations des Etats généraux des concertations nationales.

La dite plénière prévue pour ce lundi a été reportée sans que les chevaliers de la plume ne sachent les raisons qui ont milité à son décalage.

Le présidium a préféré adopter la langue du bois sur la prolongation des concertations qui soulèvent des interrogations dans l’opinion coupée de cette messe politique réservée à quelques initiés.

Face à ce vide, certains concertateurs se sont donné la peine de faire l’évaluation des travaux des concertations nationales à leur manière avec la presse.

Tout au long des concertations nationales, les chasseurs de l’information ont été victimes de plusieurs tracasseries des agents de l’ordre et militaire commis pour sécuriser les différents sites des concertations nationales.

Un vieux de la presse des chaines nationales a, sous le sceau de l’anonymat, témoigné que jamais les journalistes n’ont connu un tel calvaire dans les assises du genre qui se sont tenus dans le pays (de la conférence nationale au dialogue entre Congolais à Sun City).

Les journalistes qui ne sont pas au bout de leurs peines sont contrains de tenir le coup pour rendre service à l’opinion en dépit des circonstances difficiles depuis l’ouverture des concertations nationales au nom de leur devoir d’informer la population sur les enjeux qui influent sur sa destinée.

ERIC WEMBA
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