Le secteur agricole fait la convoitise de bon nombre d’investisseurs et des organisations non gouvernementales (Ong) tant nationales qu’internationales. Hier mardi 11 février, une ong de droit congolais opérant au Katanga, une Ong italienne et congolaise ainsi que la Banque africaine de développement (BAD) ont franchi le portillon du ministère de l’Agriculture et du développement rural. Toutes ces rencontres visent à contribuer, donner un plus à l’agriculture congolaise.
Selon la délégation de la Banque africaine de développement, la rencontre avec le ministre consistait à analyser comment améliorer la durabilité des projets et même imaginer d’autres en milieu rural en vue d’augmenter le niveau de la population. A ce titre, la BAD s’est réjouie de constater que le gouvernement demeure sur la bonne voie en matière de l’amélioration du niveau de vies de la population et en particulier en investissant dans le secteur agricole.
De son côté, le représentant d’une ong de droit congolais opérant au Nord-Katanga a présenté au ministre son projet dénommé " Mazau ". Lequel transforme et commercialise les vivres de familles paysannes du Nord- Katanga. Cette ONG soutient les revenus du projet et investit dans les communautés intégrales du projet, fait-elle savoir.
S’agissant de la production, elle a souligné que la première année, elle a acheminé 180 tonnes de Padi à Kalemie décortiqué qu’elle a versé sur le marché local. Le Nord-Katanga, affirme-t-elle, produit au moins 1000 tonnes de Padi et elle voudrait se lancer dans la production afin que la province du Katanga puisse produire plus et gagner le marché qui, pour le moment, est totalement asiatique, zambien ou encore tanzanien. Cette ong a fait part au ministre que chaque année la ville de Kalemie importe plus de 2400 tonnes de riz blanc provenant de la Tanzanie.
Outre les deux délégations, la dernière à avoir rencontré le ministre Jean-Chrysostome Vahamwiti est celle des ongs italiennes et congolaises. Il s’agit de Centre d’Orientation éducative (COE), Amici Dei Bambini (Amis des enfants) (ABIBI), Forum coopérative technologie (FCT), CongoSkill (Asbl) (Formation et encadrement des enfants de la rue et des filles mères). Leur but est d’aider non seulement les filles mères, les enfants de la rue mais aussi les mamans maraîchères qui font l’agriculture aux environs de la ville de Kinshasa.
Les représentants de ces Ong ont indiqué que leur problème est d’aider à améliorer la manière de travailler en important la technologie, la méthodologie de travail et aussi les instruments pouvant les aider à évoluer. La plupart de ces mamans maraîchères se trouvent sont au niveau de N’Djili -Brasserie. C’est pourquoi, l’apport du Gouvernement pour réhabiliter la route qui va de N’Djili -Brasserie vers CECOMAF est très nécessaire. Car, ces mamans qui produisent dans cette partie éprouvent beaucoup de difficultés pour évacuer leurs marchandises suite à la détérioration de cette route. Pour ces ONG, le Gouvernement se préoccupe plus des maraichères des communes de la N’Sele et de Maluku, mais oublie celles de CECOMAF.
Suite à ces préoccupations des Ong du secteur, le ministre a souligné que la réhabilitation de la route CECOMAF est prévue dans le budget 2014. " Dans les jours qui viennent ce tronçons sera une priorité ", a-t-il conclu. Alfred LUKAMBIL
De son côté, le représentant d’une ong de droit congolais opérant au Nord-Katanga a présenté au ministre son projet dénommé " Mazau ". Lequel transforme et commercialise les vivres de familles paysannes du Nord- Katanga. Cette ONG soutient les revenus du projet et investit dans les communautés intégrales du projet, fait-elle savoir.
S’agissant de la production, elle a souligné que la première année, elle a acheminé 180 tonnes de Padi à Kalemie décortiqué qu’elle a versé sur le marché local. Le Nord-Katanga, affirme-t-elle, produit au moins 1000 tonnes de Padi et elle voudrait se lancer dans la production afin que la province du Katanga puisse produire plus et gagner le marché qui, pour le moment, est totalement asiatique, zambien ou encore tanzanien. Cette ong a fait part au ministre que chaque année la ville de Kalemie importe plus de 2400 tonnes de riz blanc provenant de la Tanzanie.
Outre les deux délégations, la dernière à avoir rencontré le ministre Jean-Chrysostome Vahamwiti est celle des ongs italiennes et congolaises. Il s’agit de Centre d’Orientation éducative (COE), Amici Dei Bambini (Amis des enfants) (ABIBI), Forum coopérative technologie (FCT), CongoSkill (Asbl) (Formation et encadrement des enfants de la rue et des filles mères). Leur but est d’aider non seulement les filles mères, les enfants de la rue mais aussi les mamans maraîchères qui font l’agriculture aux environs de la ville de Kinshasa.
Les représentants de ces Ong ont indiqué que leur problème est d’aider à améliorer la manière de travailler en important la technologie, la méthodologie de travail et aussi les instruments pouvant les aider à évoluer. La plupart de ces mamans maraîchères se trouvent sont au niveau de N’Djili -Brasserie. C’est pourquoi, l’apport du Gouvernement pour réhabiliter la route qui va de N’Djili -Brasserie vers CECOMAF est très nécessaire. Car, ces mamans qui produisent dans cette partie éprouvent beaucoup de difficultés pour évacuer leurs marchandises suite à la détérioration de cette route. Pour ces ONG, le Gouvernement se préoccupe plus des maraichères des communes de la N’Sele et de Maluku, mais oublie celles de CECOMAF.
Suite à ces préoccupations des Ong du secteur, le ministre a souligné que la réhabilitation de la route CECOMAF est prévue dans le budget 2014. " Dans les jours qui viennent ce tronçons sera une priorité ", a-t-il conclu. Alfred LUKAMBIL
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