Le Président de la CENI, M. l’Abbé Malumalu est loin de finir avec ses sondages. Il a été hier, jeudi 13 mars 2014, face aux membres du barreau et de la magistrature. C’était en marge d’une matinée électorale organisée à l’endroit de ces hommes de droit qui, outre le fait d’être citoyen, interviennent dans les contentieux électoraux. 




Aussi, avec cette catégorie de la société, l’Abbé Malumalu a-t-il articulé son propos sur les activités postélectorales, le cadre juridique et la planification électorale. Pour lui, le droit électoral est une composante essentielle de l’intégrité électorale, étant donné les différents niveaux d’arbitrage qu’implique une compétition électorale. ‘‘De ce fait, il n’y a pas plus important que l’arbitrage dont vous êtes les acteurs clés, à savoir : la justice électorale’’, a fait savoir le numéro Un de la CENI aux avocats et magistrats présents à cette matinée électorale qui s’est tenue à la maison des élections, ex Kin Mazière.

Tous ou presque ont été ou sont en passe d’être consultés par la CENI, particulièrement au sujet de la feuille de route électorale 2013-2016, ou encore 2014-2016. Partis politiques, société civile dans toutes ses facettes et institutions politiques ont eu la possibilité de s’imprégner de la fameuse feuille de route qui fait débat dans la société.

Conscient, le Président de la CENI est plus que déterminé à impliquer toutes les parties prenantes : décideurs, acteurs, arbitres voire représentants de toutes les couches sociopolitiques de la République.

‘‘Tous les débats de société que nous pouvons faire contribuent au caractère démocratique des élections. Vous savez, on a l’habitude de dire élections libres, démocratiques et transparentes, mais pourvu que ce ne soit pas des slogans. Qu’on y trouve un contenu clair’’, a indiqué hier, Apollinaire Malumalu.

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