*La RDC n’est pas la Lybie, ni le Soudan du Sud. C’est l’essentiel de ce qu’on peut retenir, entre guillemets, du message contenu dans un communiqué signé Lambert Mende Omalanga, Ministre de la Communication et Médias et Porte-parole du Gouvernement de la RD. Congo. Aujourd’hui, plusieurs années après l’interventionnisme étranger, ces deux pays-là, du reste, menacés de disparition, sombrent dans le chaos. Le Gouvernement congolais, agissant à la défensive, invite le peuple congolais à se souder, au-delà de divergences partisanes, pour plus de réflexion et de prospective afin de comprendre où se situent réellement ses intérêts nationaux. Ici, l’initiative du dialogue dont les travaux sont en cours, à la fois, pour dégager un consensus au sujet de voies susceptibles de relancer, de façon raisonnable, le processus électoral et de poser des balises pour la consolidation de la paix et stabilité, apparaît comme l’unique issue salutaire aux effets néfastes de la crise protéiforme qui se profile à l’horizon. Et, dans ce contexte, ces sanctions, peu importe les épaules des officiers visés, sont, globalement, de nature à troubler les esprits, selon ce même communiqué du Gouvernement congolais repris, ci-dessous, en fac-similé.
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