*C’est par voie de pétition, 5ème du genre, que Lushima Djunga, un Directeur retraité et maltraité de la SNEL, saisit le Premier Ministre Matata Ponyo pour faire la démonstration de l’incapacité de l’actuel Directeur général de la SNEL, l’Ingénieur civil Eric Mbala Musanda, et des Experts de MANITOBA HI, recrutés par COPIREP, à redresser la gestion défaillante des Consommateurs Domestiques de l’énergie électrique.

Lushima Djunga ne se limite pas à écrire au Premier Ministre. Il exige, comme il le dit lui-même, l’organisation par Télé 50 d’un débat télévisé sur l’interprétation des bilans énergétiques de la SNEL, en présence des spécialistes en gestion des sociétés d’électricité, pour ‘‘fouetter et crucifier’’ scientifiquement l’Ingénieur civil Eric Mbala et les Experts de MANITOBA HI.

Sûr de lui et audacieux, Lushima Djunga a mis dans la balance une cagnotte de 50.000 dollars réservée à l’iconoclaste qui démontrera l’exactitude ou la véracité de faux chiffres de 2.049 GWH et 2.121 GWH devant les spécialistes en gestion des sociétés de l’électricité sur un plateau de télévision. Un défi qu’il lance à tous les cadres de la SNEL, anciens et en activité. «A celui qui démontrera l’exactitude ou la véracité de toutes les 21 erreurs identifiées par Lushima Djunga dans les bilans énergétiques de la SNEL en 2014 et 2015, je lui donnerai en plus de la cagnotte de 50.000 Usd, ma parcelle située sur l’Avenue du Ring à Macampagne ayant une superficie de 1.800 m ². Cette cagnotte est valable pendant 72 heures à dater de la publication de ce défi par la presse. Si le contradicteur provient de l’extérieur du Club de mes anciens et nouveaux détracteurs au sein de la SNEL, je lui céderai en plus de la cagnotte de 50.000 Usd, ma villa située à deux encablures de l’Eglise Saint Luc de Macampagne, dans la Commune de Ngaliema. Cet iconoclaste n’est pas encore né. Il faut respecter Lushima Djunga, Concepteur du ‘‘Projet CVS et ASIC’’ qui a sauvé la Société de l’hécatombe». Cela dit, Lushima Djunga sollicite la bienveillante intervention du Premier Ministre en faveur de la signature de son Brevet d’invention N°2004/3722 du 9 mars 2004, par le Ministre de l’Industrie. Brevet traité et non signé jusqu’ici. Retrouvez, ici, sous la signature de Florent-Délice Lushima Djunga, l’intégralité de sa 5ème pétition constitutionnelle sans suite, à laquelle il a pris soins de joindre une feuille de garde qui offre, à son avis, une vue synoptique de la situation désastreuse de la SNEL qu’il décrie, à haute voix.

La Pros.



LUSHIMA DJUNGA Kinshasa, le 07 Novembre 2016.

Rue LUSUASUA N° 13

Macampagne Saint Luc

Kinshasa/Ngaliema



5ème Pétition Constitutionnelle sans suite

A Son Excellence Monsieur le Premier Ministre et Chef du Gouvernement

de la République Démocratique du Congo

à KINSHASA



Concerne : Extraordinaire incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA

et des Experts de MANITOBA HI à redresser la gestion défaillante des Consommateurs Domestiques de la SNEL, SA.



1. Ma profonde déception face à votre indifférence à mes pétitions



J’ai l’honneur d’user encore pour la énième fois du pouvoir que me confère l’article 27 de la Constitution de la République Démocratique du Congo pour vous transmettre ma présente pétition, la cinquième sans suite, à travers laquelle je démontre scientifiquement non seulement, ma nouvelle politique tarifaire de la SNEL, SA, que je propose depuis le 16 Février 1999, dénommée « Africanisation des Tarifs de l’Electricité sur les Consommateurs Domestiques » dans les pays pauvres où le pouvoir d’achat dérisoire de ces derniers ne leur permet pas de payer le prix réel de l’électricité qu’ils consomment, mais aussi l’extraordinaire incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA, Directeur Général de la SNEL, SA, et des Experts de MANITOBA HI, recrutés par COPIREP, à redresser la gestion défaillante des Consommateurs Domestiques de la Société.



Etant l’un des vos meilleurs admirateurs pour les performances que vous avez réalisées en qualité de Premier Ministre sous l’impulsion du Chef de l’Etat réélu, permettez-moi de vous exprimer ma très profonde déception face à votre indifférence à toutes mes Pétitions vous adressées au sujet de l’Africanisation des Tarifs de l’Electricité parce qu’elles sont demeurées sans suite jusqu’à ce jour pour des raisons connues par tous les travailleurs de la SNEL, œuvre de mes nombreux détracteurs constitués essentiellement d’anciens et nouveaux Ingénieurs Civils de la SNEL, SA, disséminés dans tous les Cabinets politiques du pays d’où ils regardent LUSHIMA DJUNGA avec dédain et mépris en le vilipendant et persécutant.



Monsieur Eric MBALA MUSANDA, Ingénieur Civil, Directeur Général, l’un de mes détracteurs les plus redoutables, dont la liste se trouve en annexe, est à la fois d’une part, co-organisateur de deux débats organisés les 04 et 18 Août 2003 dans la salle des conférences située dans le sous-sol de l’immeuble abritant la Direction Générale de la SNEL, SA, sur les pertes techniques et pertes non techniques de la société et d’autre part, co-auteur du fameux communiqué de presse qui a été largement diffusé par douze journaux de la place dans lequel le nom de LUSHIMA DJUNGA a été cité 21 fois comme dans une chanson folklorique de mon cri réservée exclusivement à Patrice Emery LUMUMBA, produit fini de Stanleyville et Héros National.



2. Augmentations excessives des tarifs domestiques et baisse des recettes



De 2013 à 2015, la SNEL, SA, a effectué des augmentations excessives et sans précédent dans l’histoire de la Société, des tarifs sur les consommateurs domestiques en raison de : Clientèle sociale : 213 %, Clientèle résidentielle 1 : 414 % et Clientèle Résidentielle 2 : 677 %. Face à ces augmentations des tarifs, les Experts de MANITOBA HI ont été très désagréablement surpris et désillusionnés par la baisse vertigineuse des recettes de 67,38 millions USD en 2013 à 63,43 millions USD en 2015. Ils ont constaté à la SNEL, SA, que lorsque la production de l’énergie électrique et les tarifs augmentent, la Société réalise des pertes, et quand, au contraire, la production de l’énergie électrique et les tarifs diminuent, elle réalise d’importants bénéfices artificiels qui poussent ses gestionnaires à jubiler en exhibant quelques pas de Ndombolo lors du partage des dividendes aussi artificiels. Incroyable mai vrai.

Pour une société d’électricité caractérisée par une gestion orthodoxe, saine et rationnelle, ses états financiers doivent impérativement refléter l’image de ses bilans énergétiques où l’on enregistre tous les flux énergétiques de la production à la consommation finale. Aucune société d’électricité au monde ne peut réaliser des bénéfices en vendant son énergie électrique à 314,40 millions USD, et les produits divers, c’est-à-dire les mitrailles ou bilokos, à 1,217 milliard USD, soit 3,88 fois les ventes de l’électricité alors que ses comptes « Dotations aux provisions et aux Amortissements sur immobilisations » affichent le solde total de 1,725 milliard USD, soit 5,50 fois les ventes de l’électricité. Ces chiffres, œuvre de l’Ingénieur Civil Eric MBALA, l’un de meilleurs gestionnaires Congolais selon la presse, dévoilent son incapacité à établir et à interpréter les bilans énergétiques d’une société d’électricité et à doter la SNEL d’une nouvelle politique tarifaire efficace capable de lui procurer le chiffre d’affaires supérieur à 1 milliard USD.



En gestion financière, on distingue trois niveaux des finances, à savoir : la Haute Finance (HF), la Moyenne Finance (MF) et la Basse Finance (BF), à ne pas confondre avec la Haute Tension (HT), la Moyenne Tension (MT) et la Basse Tension (BT) dans le domaine de l’électricité. Si le trésorier s’occupe des opérations de caisse et banque liées à la gestion de la Basse Finance, le financier est, au contraire, celui qui s’occupe de toute la gestion financière de l’Entreprise et a une vision panoramique sur l’ensemble des activités qui ont un impact sur la trésorerie. Tous les Bailleurs de fonds reconnaissent que la survie de l’Entreprise se définit dès l’instant où l’on désigne le responsable financier. Le caissier n’est pas financier.



3. Activité fondamentale de l’entreprise ou de l’Etat



Une lecture attentive et sereine de la parabole des talents tirée des Saintes Ecritures, permettrait au lecteur de comprendre qu’aux yeux du Créateur Dieu, la création sans cesse des richesses nouvelles, additionnelles ou supplémentaires, demeure et demeurera jusqu’à à la fin du monde l’activité fondamentale, la mission numéro Un, la vocation première et la raison d’être de l’Etat ou de l’entreprise quels que soient sa nature, sa taille, sa nationalité, son statut et sa localisation géographique. L’argent, c’est le crédit. Sans le crédit aucun Etat, aucune entreprise ne peut ni voir le jour, ni fonctionner, ni se développer. Une entreprise performante qui crée sans cesse des richesses nouvelles est capable d’atteindre tous ses objectifs. Elle peut même recruter les meilleurs ingénieurs civils du monde en leur offrant les meilleures conditions de travail.



Si Dieu règne au ciel, déclarent les bailleurs de fonds, le crédit règne sur la terre, gouverne le monde, règle et dérègle les relations entre les Etats, les entreprises et les individus. La pire erreur de gestion que tout gestionnaire doit éviter de commettre est celle qui entraine la diminution du capital, du chiffre d’affaires et des recettes de l’entreprise. La peur de cette erreur est un facteur puissant qui stimule le gestionnaire à maintenir son imagination en éveil afin d’éviter la baisse des recettes et l’effondrement de l’Entreprise. Pour n’avoir pas compris cette réalité, l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et les Experts de MANITOBA HI qui jouissent de salaires mensuels variant selon Le Journal Grognon de 35.000 à 50.000 Euros, ont placé volontairement la Société dans l’état d’euthanasie. Mon acompte sur salaire était de 1.303,47 USD par mois.



Les magnifiques lamentations et aveux d’incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et des Experts de MANITOBA HI sont exprimés en ces termes : « Si cette tendance se poursuit, le niveau des recettes de 2016 sera en deçà de celui de 2013. Cette situation motive d’avantage la campagne de recouvrement forcé et intensif lancée depuis le 10 Juin 2016 et qui tarde à produire des effets positifs sur la trésorerie de l’Entreprise ». Lamentations et aveux d’incapacité tirés de la lettre n° DG/2016/5763 du 24 Août 2016 du Directeur Général. La question que tous les financiers peuvent se poser est celle de savoir où sont passés les effets positifs de toutes les augmentations excessives des tarifs effectuées par SNEL, SA. au cours de la période de 2013 à 2015. Il utilise abusivement les recettes de la Société pour payer les honoraires onéreux des Avocats pour des causes perdues d’avance.



4. Institution du Prix Mata Ponyo pour la bonne gouvernance



J’ai suivi avec beaucoup d’intérêt, la récente manifestation organisée par les journalistes de notre pays à l’occasion de lancement du diplôme d’excellence dénommé « Prix Matata Ponyo pour la bonne gouvernance » qui sera attribué chaque année aux meilleurs gestionnaires qui se seraient distingués par la réalisation des performances dans les entreprises dont ils ont la responsabilité de gestion. Je salue l’initiative si et seulement si les organisateurs visent la création sans cesse par les gestionnaires des entreprises du pays des richesses nouvelles sans lesquelles aucun développement n’est possible. Parmi toutes les tâches de l’Entreprise, la création sans cesse des richesses nouvelles est à la fois la tâche la plus difficile et la plus exaltante. Elle est plus difficile que la construction d’un barrage hydroélectrique, des lignes à très haute tension, la réparation d’un transformateur, d’un disjoncteur, d’un TGBT. Quand la trésorerie d’une entreprise est obérée, elle dérègle la personnalité de son gestionnaire.





L’évaluation d’une entreprise est une matière hautement, hautement, hautement technique qui ne doit pas être confiée à des mains inexpertes des personnes qui réduisent la gestion financière aux seules opérations quotidiennes de caisse et banque. Elle ne peut se faire qu’à travers les états financiers de l’Etat ou de l’entreprise par des personnes compétentes et expérimentées qui ont choisi la gestion financière comme leur métier. S’il est vrai que notre pays regorge de meilleurs journalistes talentueux dont la nation doit être fière comme Monsieur DIANA, Editeur du Journal La Colombe dont je suis un grand admirateur de l’étendue de ses connaissances et de sa vive intelligence, il est aussi vrai que tous les journalistes ne sont pas capables d’interpréter les états financiers ou les bilans énergétiques d’une entreprise en vue d’évaluer les performances d’un gestionnaire. Les états financiers constituent le meilleur cadre pour évaluer le gestionnaire.



5. Evaluation des gestionnaires selon Dieu



Le monde évolue vers la spécialisation des personnes dans tous les divers domaines de la vie. L’ère des personnes encyclopédiques est révolue, le développement de l’humanité exige que chaque être humain joue sa partition dans le domaine dans lequel il a acquis la formation requise. Le médecin doit se limiter à soigner les malades, le journaliste à donner la vraie information au public, le musicien à égayer les hommes, les pasteurs à sauver les âmes, les ingénieurs à construire les immeubles et les routes, les professeurs à dispenser le savoir, les cuisiniers à préparer le repas et les financiers à évaluer les entreprises, etc… Si chaque spécialiste jouait son rôle, on éviterait à semer la confusion dans les esprits des Citoyens.



Pour évaluer ses gestionnaires, Dieu Créateur du ciel et de la terre ne demande pas l’opinion des journalistes, ni celle des partenaires des entreprises qu’ils gèrent. Il analyse comme l’indique sa parabole des talents les états financiers des entreprises confiées à ses gestionnaires et évalue ces derniers en fonction de leur très forte capacité à créer sans cesse les richesses nouvelles, additionnelles ou supplémentaires. Cette parabole dévoile la colère de Dieu contre les gestionnaires dormeurs, défaillants, fainéants, paresseux et mangeurs du capital, du chiffre d’affaires et des recettes de l’Entreprise comme l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA. Aux yeux de l’Eternel, ils sont plus dangereux et plus nuisibles que toutes les forces négatives qui détruisent les nations.



6. Bilan énergétique ou tableau de bord d’une Société d’électricité



Chaque entreprise a ses règles spécifiques de gestion pour évaluer ses résultats en termes des performances ou des contre-performances. On gère une société de transport aérien à travers le nombre de voyageurs et les heures de vol, une société brassicole à travers le nombre d’hectolitres produits et vendus, une société de distribution d’eau à travers le nombre de m3 produits et vendus, une société des pompes funèbres à travers le nombre de cercueils fabriqués et vendus, etc… Mais s’agissant d’une société d’électricité, sa gestion s’effectue à travers les niveaux des pertes techniques et pertes non techniques, car les pertes représentent de l’argent qui échappe à la trésorerie de la société d’électricité. En effet, toute modification des pertes techniques et pertes non techniques agit directement sur la trésorerie et les résultats de l’entreprise.

Le bilan énergétique est donc le meilleur tableau de bord qui permet au gestionnaire d’une société d’électricité de connaître avec exactitude les niveaux atteints par les pertes techniques et pertes non techniques de sa société et lui détermine le chemin à suivre pour maintenir les pertes à des niveaux normatifs généralement acceptés et de réaliser un gain réel d’énergie susceptible d’être transformée en recettes. Pour être exploitable et utile à la gestion, le bilan énergétique doit être capable d’éclairer périodiquement le gestionnaire d’une société d’électricité sur tous les flux énergétiques de ses différentes composantes de la production à la consommation finale afin de lui permettre de prendre des décisions efficaces et judicieuses.



7. Nombreuses erreurs commises par les Experts de MANITOBA HI et Eric MBALA



Le bilan énergétique de la SNEL en 2002 était présenté par l’ingénieur Eric Mbala Musanda au cours de deux débats organisés les 04 et 18 Août 2003. Ce bilan était truffé de nombreuses lacunes dénoncées courageusement à l’époque par Lushima Djunga, cadre à écrire ave un géant «C» en faveur duquel la SNEL a investi beaucoup d’argent dans sa formation au pays et à l’étranger depuis COMETRICK en 1975. En établissant leurs bilans énergétiques de la SNEL en 2014 et 2015, les Experts de MANITOBA HI ont copié aveuglement pour des raisons faciles à deviner, le bilan énergétique de la SNEL en 2002 en reconduisant les erreurs commises par le même Ingénieur Civil. En voici les 21 erreurs identifiées par Lushima Djunga dans le tableau ci-après :



Année

Nombre

21 erreurs commises dans les deux bilans énergétiques établis par MANITOBA HI en GWH

2014

12

1.834, - 35, 5.006, 2.049, 7.493, 0, 10.116, 2.966, 1.089, 0, 2.082 et 10.073

2015

9

4.327, 2.193, -72, 9.643, 0, 37, 2.121, 0 et 2.193



Note : Une cagnotte de 50.000 USD est réservée à l’iconoclaste qui démontrera l’exactitude ou la véracité de faux chiffres de 2.049 GWH et 2.121 GWH devant les spécialistes en gestion des sociétés de l’électricité sur un plateau de télévision. Ce défi est lancé à tous les cadres de la SNEL, anciens et en activité. A celui qui démontrera l’exactitude ou la véracité de toutes les 21 erreurs identifiées par Lushima Djunga, je donnerai en plus de la cagnotte de 50.000 USD, ma parcelle située sur l’Avenue du Ring à Macampagne ayant une superficie de 1.800 m². Cette cagnotte est valable pendant 72 heures à dater de la publication de ce défi par la Presse. Si le contradicteur provient de l’extérieur du Club de mes anciens et nouveaux détracteurs au sein de la SNEL, je lui céderai en plus de la cagnotte de 50.000 $US, ma Villa située à deux encablures de l’Eglise Saint Luc de Macampagne dans la Commune de Ngaliema. Cet iconoclaste n’est pas encore né. Il faut respecter LUSHIMA DJUNGA, Concepteur du « Projet CVS et ASIC » qui a sauvé la Société de l’hécatombe.

















Après avoir été incapable de redresser la SNEL, SA, Monsieur l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA déraisonne et décide de traduire en justice d’une part, Monsieur Alexis THAMBWE MWAMBA, Ministre de la Justice, Garde des Sceaux et Droits Humains, Grand Homme d’Etat à écrire avec deux géants GM et d’autre part, Messieurs LUBANGI MWANA KAHENGA et LUSHIMA DJUNGA. L’Excellent Ministre est accusé auprès de la Cour Constitutionnelle et les deux autres auprès du Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe à cause du Décret N° 12/031 du 02 Octobre 2012 dont les Avocats de la SNEL, SA, ne maitrisent ni les tenants, ni les aboutissants. J’exige pour fouetter et crucifier scientifiquement l’Ingénieur Civil Eric MBALA et les Experts de MANITOBA HI, l’organisation par Télé 50 d’un débat télévisé sur l’interprétation des bilans énergétiques de la SNEL, SA, en présence des spécialistes en gestion des sociétés d’électricité et du Décret susvisé.



Les magnifiques lamentations et aveux d’incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et des Experts de MANITOBA HI sur la présence permanente de l’énergie non facturée dans les états financiers de la SNEL, SA, atteste que la théorie de LUSHIMA DJUNGA n’est ni erronée, ni irréaliste, elle est au contraire, une théorie savante qui honore son auteur et crée de nouvelles richesses et de nouveaux emplois. C’est pourquoi, je sollicite votre bienveillante intervention en faveur de la signature de mon Brevet d’Invention N° 2004/3722 du 09 Mars 2004 par Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Industrie, Brevet traité et non signé par 10 Ministres depuis 2004. Vous trouverez en annexe le tableau dévoilant l’incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et ma 14ème Pétition sans suite adressée au Ministre de l’Industrie.





Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Premier Ministre et Chef du Gouvernement, l’expression de ma très haute considération.





LUSHIMA DJUNGA

Directeur retraité et maltraité

Concepteur du Projet CVS et ASIC

Analyste Financier de l’ESSEC de Paris

Le Congolais le plus persécuté sur la terre

Annexes : 1. Tableau

2. 14ème Pétition adressée au Ministre

de l’Industrie











5ème Pétition Constitutionnelle sans suite

A Son Excellence Monsieur le Premier Ministre et Chef du Gouvernement

de la République Démocratique du Congo

à KINSHASA



Concerne : Extraordinaire incapacité de l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et des Experts de MANITOBA HI à redresser la gestion défaillante des consommateurs domestiques de la SNEL, SA.









C.I. : - Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat réélu

- Son Excellence Monsieur le Président du Conseil Economique et Social

- Son Excellence Monsieur le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux et Droits Humains

- Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Industrie

- Son Excellence Monsieur le Ministre de l’Energie

Son Excellence Madame la Ministre du Portefeuille
Monsieur le Président du Conseil Supérieur du Portefeuille
COPIREP
SNEL, SA.
à KINSHASA






























GESTION CALAMITEUSE DE L’INGENIEUR CIVIL Eric MBALA MUSANDA, DG et des Experts de MANITOBA HI

Bilans énergétiques de la SNEL en 2002, 2014 et 2015 en GWH







Rubriques

2002

2014

2015

MBALA

BERGAMIN

CORBIN

BERGAMIN

CORBIN


Production nationale

0

0

0

0

0


Importation

0

1.089

0

1.058

0


Exportation

1.350

43

68

37

58


Pertes techniques et auxi.

0

0

0

0

0


Consommation finale

5.176

10.073

0

9.648

0


Energie livrée

4.101

10.116

8.984

9.680

8.658


Energie facturée

0

8.067

7.035

7.559

6.567


Energie non facturée

0

2.049

1.948

2.121

2.148


Energie surfacturée

0

0

0

0

0


Chiffre de contrôle

0

0

0

0

0





Energie non facturée de 2013 à 2015 en GWH selon DFI







Année

SNEL

DCK-KINSHASA

HT Locale

TOTAL

1

2013

770

622

73

1.465

2

2014

1.961

973

792

3.726

3

2015

2.148

1.257

791

4.196



TOTAL

4.879

2.852

1.656

9.387



Le bilan énergétique est le meilleur tableau de bord qui permet au gestionnaire d’une société d’électricité de connaitre avec exactitude les niveaux atteints par les pertes techniques et pertes non techniques de la société et lui détermine le chemin à suivre en vue de maintenir les pertes à des niveaux normatifs et de réaliser un gain réel d’énergie susceptible d’être transformée en recettes. Les 9.387 GWH d’énergie non facturée représentent quasiment le double de toute la consommation de la Côte d’Ivoire qui s’élève à + 4.348 GWH en 2015 et quasiment dix fois celle de tout le Congo Brazzaville qui s’élève à + 954 GWH en 2015. Energie livrée en 2015 : 9.680 GWH, énergie non facturée de 2013 à 2015 : 9.387 GWH. A Kinshasa, l’énergie facturée s’élève à 1.064 GWH et l’énergie non facturée s’élève à 1.257 GWH en 2015 sur la BT. Grâce à son énergie livrée qui a atteint 9.680 GWH en 2015, le chiffre d’affaires de la SNEL, SA, devrait être supérieur à 1 milliard USD. L’Etat peut accorder mille ans à l’Ingénieur Civil Eric MBALA MUSANDA et à Messieurs BERGAMIN et CORBIN, Experts Canadiens de MANITOBA HI pour atteindre cet objectif, ils n’y parviendront jamais. Les hommes et les femmes créateurs des richesses nouvelles sont plus agréables devant Dieu, ils valent plus que les gisements d’or, de diamant, de cuivre, d’uranium, de cobalt, de pétrole, etc… Un Congolais moyen est incapable de payer une facture d’électricité de 20 USD par mois. Une charge, lourde soit-elle, transportée par un individu, devient légère dès qu’elle est transportée par 5, 10, 15, 20 et 25 individus. Pour établir et interpréter les bilans énergétiques, les rapports commerciaux et les états financiers de la SNEL, SA, LUSHIMA DJUNGA n’a pas besoin d’assistant ni de collaborateur. Je laisse à chacun le soin d’admirer mon esprit de synthèse.











Je connais la SNEL, et la SNEL me connait. Je suis le produit fini de la SNEL Cometrick









J’exige l’organisation par Télé 50 d’un grand débat télévisé qui sera placé sous une très haute

tension sur les bilans énergétiques et les pertes techniques et non techniques de la SNEL, SA, en présence des Experts en gestion des sociétés d’électricité. Ce débat sera interdit aux cardiaques et

aux personnes ultra-sensibles. Le redressement de la SNEL ne viendra jamais ni de Paris ni Bruxelles







LUSHIMA DJUNGA

Directeur retraité et maltraité

Concepteur du Projet CVS et ASIC

Analyste Financier de l’ESSEC de Paris

Le Congolais le plus persécuté et le plus détesté



J’exige l’organisation par Télé 50 d’un grand débat télévisé qui sera placé sous une très haute

tension sur les bilans énergétiques de la SNEL, SA, en présence des Experts en gestion des

sociétés d’électricité. Ce débat sera interdit aux cardiaques et aux personnes ultra-sensibles.



= Kinshasa, Novembre 2016 =
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