Il n’a pas été repris dans le gouvernement Samy Badibanga, contrairement aux autres cadres de proue de la majorité présidentielle. Kin Kiey Mulumba (KKM) prof d’université de son état et député élu de son Masimanimba natal, a cédé le portefeuille des Relations avec le Parlement à Justin Bitakwira, l’élu d’Uvira qui ne jure que par les problèmes d’une aïeule vénérée.


Sans langue de bois, l’autorité morale des deux partis politiques, le PA, Parti de l’Action, et KD, Kabila Désir, a fait part de sa désapprobation, au terme de deux journées de réflexions politiques consacrées à la lecture de la situation sociopolitique de la RDC. Entendez : lecture de sa propre situation politique à l’aune de changements intervenus ou à intervenir. Pour KKM donc, le gouvernement Samy Badibanga n’a pas pris en compte des réalités sociologiques et sociopolitiques du pays. Pis, les forces kabilistes d’avant-garde et combattantes ont été laissées de côté. Autant que le Bandundu démembré, un Swing State, le Kwango a été laissé pour compte dans le cabinet Badibanga. Qu’on ne se trompe pas, il n’existe pas un parti national en RDC, soutient Kin Kiey pour la circonstance. Prenant ainsi à contre-pied un sondage récent dont les résultats ont fait état de quatre partis politiques bien implantés sur 75% du territoire national, dont l’UDPS et le PPRD. Même en Occident, il y a des partis du Nord, du Sud… chaque parti a un fief territorial, sociologique, note néanmoins l’ancien prof du journalisme à l’ISTI, que l’on dit rompu en matière de relations internationales.





 Qui lance la réflexion selon laquelle Samy Badibanga, dont le poste autant que l’avenir politique est en jeu au centre interdiocésain, devrait capitaliser : la politique est une forêt noire, dès que vous y mettez le pied…
POLD L. KM
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top