D'après l'honorable Fabrice Pwela, 6 personnes seront à la base de la non signature du dialogue inclusif chapoté par la CENCO.

Il s'agit de:
1. Joseph Kabila, Chef de l'Etat et chef d'orchestre : Il fait semblant de faire le roi du silence, or c'est lui qui organise tout avec ses faucons.
2. Alexis Thambwe Mwamba, ministre de la Justice : il traite les dossiers de 7 cas énigmatiques avec beaucoup de haine et rancune. Il se comporte en juge et partie. L'opinion se souviendra qu'il a eu à déclarer à plusieurs reprises que tant qu'il sera ministre de la Justice, il y'a des individus qui ne seront pas en liberté et que d'autres ne rentreront pas au pays.
3. André Kimbuta Yango, gouverneur de la ville de Kinshasa : Il joue aux sales besognes pendant ces négociations en voulant débaucher quelques membres du Rassemblement avec de l'argent.
4. Néhémie Mwilanya Wilonja, Directeur de cabinet et la bouche de Kabila : Un confident de Marini Bodo qui souhaite ardemment que les évêques échouent à leur mission pour qu'enfin de compte il propose à ce dernier d'organiser lui aussi un dialogue sous les auspices de l'église protestante.
5. Kalev Mutondo, Directeur de l'ANR : le cerveau et stratège du régime pour réprimer les opposants et les leaders d'opinions. C'est l'homme qui est contre le dialogue de la CENCO.
6. Vital Kamerhe : depuis qu'il est au courant de sa désignation officieusement comme dauphin de Joseph Kabila, il veut que ce dialogue n'aboutisse à rien et il s'acharne pour que Moïse Katumbi ne rentre pas au pays.

Pour l'honorable Pwela, si la CENCO échoue à leur mission de bons offices, les 6 individus cités ci-haut en porteront la responsabilité. Quant au Rassemblement, si les 7 cas énigmatiques ne sont pas libérés, l'accord ne sera pas signé et Joseph Kabila risquera d'être chassé par la rue.
c-news
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top