« La paix est une question de responsabilité, car elle n’est pas une évidence intangible, mais elle requiert des efforts et une vigilance particulière de la part de tous les députés, pour qu’elle se consolide davantage ». C’est par ces mots que le président de l’Assemblée nationale a ouvert la session extraordinaire du Parlement le samedi 17 décembre.

A cette occasion, Aubin Minaku a martelé : "quiconque voudra remettre la paix en question ou voudra œuvrer, au nom de ses intérêts égoïstes, pour embraser le pays, y faire verser le sang innocent de nos compatriotes qui n’aspirent à rien d’autre qu’à la paix et au bien-être social ; quiconque voudra déstabiliser l’ordre constitutionnel et démocratique établi dans notre pays afin d’y installer l’anarchie et le chaos trouvera indubitablement le peuple sur son chemin ".
Au cours de cette plénière, le speaker de la Chambre a émis le vœu de voir chaque député s’impliquer dans la dynamique de la conscientisation et de la mobilisation de la population en vue de protéger la paix et l’unité nationale en RDC.
Par aileurs, il a expliqué que cette session qui intervient à un moment particulier de l’histoire de la RD Congo, permettra à cette chambre du Parlement d’examiner et d’adopter le programme d’action du Gouvernement avant d’investir ce dernier conformément aux prescrits de l’article 90 de la Constitution en vigueur.
D’autres points seront aussi abordés au cours de cette session extraordinaire de décembre. Il s’agit notamment de l’examen et de l’adoption du projet de loi de finances de l’exercice 2017, du projet de loi portant ouverture des crédits provisoires ; de la proposition de loi portant activités de la sous-traitance en RDC ainsi que du projet de loi déterminant les principes fondamentaux relatifs à la mutualité. Les travaux ouverts le samedi 17 décembre, vont se clôturer le 15 janvier 2017.

Mathy MUSAU
« La paix est une question de responsabilité, car elle n’est pas une évidence intangible, mais elle requiert des efforts et une vigilance particulière de la part de tous les députés, pour qu’elle se consolide davantage ». C’est par ces mots que le président de l’Assemblée nationale a ouvert la session extraordinaire du Parlement le samedi 17 décembre.

A cette occasion, Aubin Minaku a martelé : "quiconque voudra remettre la paix en question ou voudra œuvrer, au nom de ses intérêts égoïstes, pour embraser le pays, y faire verser le sang innocent de nos compatriotes qui n’aspirent à rien d’autre qu’à la paix et au bien-être social ; quiconque voudra déstabiliser l’ordre constitutionnel et démocratique établi dans notre pays afin d’y installer l’anarchie et le chaos trouvera indubitablement le peuple sur son chemin ".
Au cours de cette plénière, le speaker de la Chambre a émis le vœu de voir chaque député s’impliquer dans la dynamique de la conscientisation et de la mobilisation de la population en vue de protéger la paix et l’unité nationale en RDC.
Par aileurs, il a expliqué que cette session qui intervient à un moment particulier de l’histoire de la RD Congo, permettra à cette chambre du Parlement d’examiner et d’adopter le programme d’action du Gouvernement avant d’investir ce dernier conformément aux prescrits de l’article 90 de la Constitution en vigueur.
D’autres points seront aussi abordés au cours de cette session extraordinaire de décembre. Il s’agit notamment de l’examen et de l’adoption du projet de loi de finances de l’exercice 2017, du projet de loi portant ouverture des crédits provisoires ; de la proposition de loi portant activités de la sous-traitance en RDC ainsi que du projet de loi déterminant les principes fondamentaux relatifs à la mutualité. Les travaux ouverts le samedi 17 décembre, vont se clôturer le 15 janvier 2017.

Mathy MUSAU

Les Nations Unies appellent tous les Congolais au calme et à la retenue
Kinshasa, 18 décembre 2016 - A la veille de la date du 19 décembre, le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RDC et Chef de la MONUSCO, Maman SamboSidikou, lance un appel au calme et à la retenue.
" Les acteurs politiques congolais ont la responsabilité historique de parvenir à un consensus négocié sur la tenue des élections et sur la période transitoire devant y mener, dans le respect de la Constitution congolaise ", a déclaré Maman S. Sidikou.
Le Représentant spécial des Nations Unies en RDC, souligne la nécessité du respect par tous, des lois de la République, la promotion et la protection des droits de l’Homme et des droits individuels et collectifs, y compris les dispositions constitutionnelles garantissant les libertés de manifestation, de réunions pacifiques et d’expression, dans un espace politique ouvert, conformément à la constitution de la RDC.
La MONUSCO encourage et soutient la poursuite de la médiation menée par la CENCO, afin de parvenir à un consensus pour la tenue d’élections crédibles et apaisées.
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