À l’instant, une folie meurtrière s’est emparée des policiers commis dans la cité de Kimpese qui s’en sont pris aux membres de Bundu dia Kongo, Bdk, (une secte mystico-politico-réligieuse du chef spirituel Ne Mwanda Nsemi) qui voulaient juste aller récupérer les leurs, tombés sous les balles, la semaine dernière. De sources sûres, indique le député Pwela dans un message sur son compte facebook, l’on parle déjà de plus de 10 corps sans vie, sans compter les blessés et les interpelés.



«Jusques à quand, le sang innocent de mes compatriotes, mes frères continuera à couler au Kongo Central ? », s’interroge-t-il.



Et de poursuivre, au nom de quoi, de qui, sous l’impulsion de qui devrait-on ouvrir le feu sur ces compatriotes? Notre police manque-t-elle de professionnalisme à ce point? À quoi Servent les boucliers, grénades lacrymogènes et assourdissantes, matraques et autres armes non léthales?
Où est passée l’autorité provinciale dans tout ça? «J’en suis très révolté. Trop c’est trop. Les autorités à tous les niveaux doivent en répondre. Mono thele bo», a-t-il ajouté.



Parmi les défis les plus urgents du ministre de l’intérieur Ramazany Shadari, figure en bonne place les crises sécuritaires au Kongo Central et dans l’espace Kasaïen avec la milice de Kamwina Nsapu.
Bien entendu, le gouvernement Badibanga ne devra pas perdre de vue , l’interminable crise de l’Est.



La crise actuelle au Kongo Central est le fait d’une crise de leadership née au sein de BDM entre l’actuel vice-ministre des infrastructures Papy Mantezolo et l’initiateur de ce mouvement politico-mystico-independantiste Ne Mwanda Nsemi.
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top