Le plus grand flou continue de régner autour de la date de la prochaine présidentielle congolaise.
Début juillet, Corneille Nangaa, le président de la Ceni, avait reconnu que le scrutin n’aurait « probablement pas » lieu en 2017, sans toutefois fixer une nouvelle échéance. Afin de souligner « l’urgence » de la publication d’un nouveau calendrier, l’OIF a dépêché à Kinshasa, du 6 au 10 août, son directeur des affaires politiques, le Canado-Camerounais Georges Nakseu Nguefang.
Il a rencontré Bruno Tshibala, le Premier ministre, et, en l’absence de Nangaa, en déplacement à l’intérieur du pays, Norbert Basengezi, le numéro deux de la Ceni, qui lui a promis une publication « rapide ».