L’accord de la Saint-Sylvestre souffre d’application. Certains considèrent même qu’il a d’ores et déjà succombé au principe d’obsolescence programmée, avant même sa date programmée le 31 décembre 2017. Ce n’est pas pourtant l’avis du premier ministre, Bruno Tshibala.
Cet accord est en plein application selon lui, à commencer par sa nomination, qu’accepteraient désormais les évêques de la CENCO.
« Aujourd’hui posez la question aux évêques de la CENCO, ils vous diront que c’était une erreur de penser ainsi (que sa nomination était est une entorse à l’accord), » a-t-il déclaré au micro de Christophe Boisbouvier.
Cette application a-t-il rassuré, va se poursuivre avec le traitement des cas emblématiques, notamment ceux du président de la Démocratie Chrétienne, Eugène Diomi Ndongala, un proche d’Etienne Tshisekedi, et de l’autorité morale du G7, Moïse Katumbi.
« Nous sommes en train de travailler là dessus pour que ces cas emblématiques (Eugène Diomi Ndonga et Moïse Katumbi) soient réglés et je pense qu’avec les évêques, avec le ministre de la justice on arrivera à trouver un compromis, » a-t-il promis.
C’est un autre discours qui est pourtant tenu à la Majorité présidentielle. Seule la justice congolaise peut trouver d’issue à ces dossiers répètent les ténors de la famille présidentielle.

Aimé Zonveni












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