En effet, c’est la dernière position du MLC, établissant l’ensemble du processus électoral dans 200 jours, qui a délié les langues de nos sources. Selon ces dernières, la position exprimée par le secrétaire général adjoint du MLC, Fidèle Babala cache une vérité. Au fait, c’est une passe en or faite à la majorité présidentielle, à travers elle, la CENI. 

Pour le MLC, au lieu de 504, il y a moyen d’organiser les élections, -tout processus compris en 200 jours. Même avec cette option, nous irons au-delà du 31 décembre. Cette sortie médiatique de Babala appelle en réalité, à un nouveau dialogue avec le régime, on ne sait qu’elle forme, celui-ci prendra. Au terme de ce dialogue, que Kalev, le patron de l’ANR, apprête déjà en entendant les différents paiements de dernier trimestre 2017 des miniers, pour entamer avec cet argent l’opération des débauchages et d’achats des consciences d’opposants ; il y aura partage des postes. 




C’est dans ses enfaites, semble-t-il, que Fidèle Babala se serait mis d’accord avec le régime avec l’idée de ses 200 jours, pour qu’au finish, le régime de Kabila l’accompagne à l’Hôtel de ville de Kinshasa, pour y remplacer André Kimbuta Yango, qui doit bientôt quitter ces fonctions soit en prenant fuite pour avoir pillé les caisses de Kinshasa, soit en prétextant une maladie, avant de se faire exiler quelque part. Kimbuta veut quitter les choses avant que les choses ne le quittent. 



Non seulement que le MLC récupéra le gouvernorat de Kinshasa, mais aussi la présidence et peut-être l’ensemble du bureau de l’Assemblée provinciale. Certains au MLC jubilent déjà comme vous n’avez pas l’idée. «Si jamais ça pouvait marcher ce deal», a imploré un cadre du part bembiste.
 C-NEWS
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