Pourquoi un regain de l’activisme des mouvements rebelles juste après la demande du Président KABILA d’un retrait successif des effectifs de la Monusco à l’ONU ? Cette lancinante préoccupation a hanté bien d’esprits et alimenté bien de débats tant dans les rédactions, les rues que les QG des formations politiques, Opposition et Majorité comprises. Au cours de son point de presse d’hier, mercredi 11 octobre 2017, la Mission des Nations Unies au Congo-Kinshasa a, en réponse à une interrogation d’un journaliste, tenu à ôter l’étiquette de ‘’sapeur-pompier pyromane ‘’ lui collée par certains esprits qui, frappée par la synchronicité de la recrudescence des activités des miliciens après la demande de retrait de la force onusienne, n’ont de cesse de l’accuser de tireuse de ficelle. Elle, mais aussi les Organisations Internationales satellites des Nations Unies. «La Monusco ne soutient pas les rebelles pour se maintenir en RDC», a tranché Florence Marshall, porte-parole ad intérim de la Monusco. Elle a clairement signifié que le mandat de la Monusco est fixé actuellement par la Résolution 2348 en termes d’attributions et de durée. Quoique les autorités congolaises soient en discussion avec le Conseil de Sécurité pour voir comment les effectifs et le budget de la Monusco peuvent être réduit, elle, entre temps, continue à chercher le rétablissement de la paix là où elle est menacée. D’où, reste-t-elle au front aux côtés et des autorités du pays et de la population.
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