Treize personnes interpellés par la Police nationale Congolaise (PNC) mercredi 15 novembre 2017 à Idjwi Sud (Sud-Kivu) au cours des manifestations contre le calendrier électoral ont été libérées tard dans la soirée. Ces manifestants ont été arrêtés en marge de la journée ville morte décrétée par les mouvements citoyens et l’opposition politique pour réclamer le départ du président Joseph Kabila. “Ils ont été arrêtés alors qu’ils lisaient le mémorandum au bureau de chefferie pour dénoncer le calendrier électoral de la Ceni”, indique la Lucha. D’après l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), l’arrestation de ces militants était “arbitraire”. “Nous avons appelé le chef de la police de Bukavu pour protester contre ces arrestations. Nous lui avons fait savoir que la police n’avait aucune raison de procéder à l’arrestation des gens qui se rassemblent dans un lieu pour manifester pacifiquement à l’appel de la Lucha. Cela ne constituait pas un danger pour troubler l’ordre public”, a déclaré ce mercredi 15 novembre Georges Kapiamba à ACTUALITE.CD.
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