Les combattants « sont des gens qui pensent que leur échec est lié aux autorités qui sont au Congo. Ils imputent leur échec au gouvernement », estime le ministre délégué des congolais de l'étranger.

Emmanuel Ilunga (photo), d’un ton ferme, prévient qu’il les « poursuivra jusque dans leurs propres maisons pour qu'ils soient traduits en justice ».







Au moment où une note des combattants circule où ils promettent la foudre aux pasteurs et autres célébrités qui n'ont pas pris position après la dispersion de la marche du 31 décembre, Emmanuel Ilunga rappelle qu'il est « issu de la diaspora. Ça fait plus de 30 ans que je suis en Europe ».










Et les avertit qu’il les connaît pour la plupart et qu’ils seront poursuivis par la justice.

« Je ne laisserai plus aucun ministre, aucun journaliste... être agressés sous prétexte qu'il est au Congo et dès qu'ils arrivent en Europe, on l’agresse ».










Officiellement, le ministre indique que « dans le cadre diplomatique, on en parle, nous avons des échanges mutuels ».

Ces combattants ont déjà agressé notamment le président du Sénat Léon Kengo et le ministre Leonard She Okitundu.





Les combattants disent, à l’instar de ceux de la deuxième guerre mondiale (1939-1945) disent lutter contre une occupation de la RDC.

Vivant principalement en Europe, ils s'en prennent à toutes les personnes, officiels ou célèbres, de passage en occident, parfois par la violence, qui à leurs yeux, soutiennent le régime du président Kabila
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