En RDC, un rapport du Réseau pour la Réforme du Secteur de Sécurité et de Justice (RRSSJ) rendu public ce mercredi 7 février 2018 demande au président Joseph Kabila de s’engager « personnellement » pour une alternance démocratique au pays avant la fin de l’année 2018.
Ce rapport produit en partenariat avec les associations, Action Contre l’Impunité pour les Droits Humains(ACIDH), Centre de Recherches et d’Études sur l’État de Droit en Afrique (CREEDA), Centre pour la Gouvernance (CEGO) et Institut Alternatives et Initiatives Citoyennes pour la Gouvernance Démocratique (I-AICGD) plaide pour des décisions politiques « concrètes » de la part du chef de l’État.
«La mise en œuvre rigoureuse et correcte de l’Accord du 31 décembre 2016 notamment le non recours à un troisième mandat ou référendum; l’activation des mesures de décrispation politique et du respect des libertés individuelles et de manifestations publiques ; la priorisation de la mobilisation locale, comme en 2011, de l’appui financier nécessaire pour les élections ; la redynamisation effective, conséquente et urgente de la CENI ».
En marge d’une conférence de presse le 26 janvier dernier, à la question d’une journaliste sur l’éventualité de se présenter à la prochaine présidentielle, Kabila avait demandé qu’on remette à l’auteur de la question une copie de la constitution. Cependant, le président avait oublié les slogans de son parti politique (PPRD): « Kabila, candidat élu et éligible !» A propos d’une probabilité d’organiser un référendum, il avait également demandé qu’on remette au journaliste une copie du calendrier électoral.
Le rapport, rendu public ce jour, est le septième de la série des rapports que publie le Groupe de travail sur le processus de paix en RDC. Intitulé « L’Accord Politique de la Saint-Sylvestre un an après: Chronique d’une vraie-fausse application », le document évalue l’application de l’accord une année après sa signature au Centre Interdiocésain et propose des recommandations aux parties prenantes.
Des ONG congolaises demandent l’engagement «personnel» de Joseph Kabila pour l’alternance en 2018
En RDC, un rapport du Réseau pour la Réforme du Secteur de Sécurité et de Justice (RRSSJ) rendu public ce mercredi 7 février 2018 demande au président Joseph Kabila de s’engager « personnellement » pour une alternance démocratique au pays avant la fin de l’année 2018.
Ce rapport produit en partenariat avec les associations, Action Contre l’Impunité pour les Droits Humains(ACIDH), Centre de Recherches et d’Études sur l’État de Droit en Afrique (CREEDA), Centre pour la Gouvernance (CEGO) et Institut Alternatives et Initiatives Citoyennes pour la Gouvernance Démocratique (I-AICGD) plaide pour des décisions politiques « concrètes » de la part du chef de l’État.
«La mise en œuvre rigoureuse et correcte de l’Accord du 31 décembre 2016 notamment le non recours à un troisième mandat ou référendum; l’activation des mesures de décrispation politique et du respect des libertés individuelles et de manifestations publiques ; la priorisation de la mobilisation locale, comme en 2011, de l’appui financier nécessaire pour les élections ; la redynamisation effective, conséquente et urgente de la CENI ».
En marge d’une conférence de presse le 26 janvier dernier, à la question d’une journaliste sur l’éventualité de se présenter à la prochaine présidentielle, Kabila avait demandé qu’on remette à l’auteur de la question une copie de la constitution. Cependant, le président avait oublié les slogans de son parti politique (PPRD): « Kabila, candidat élu et éligible !» A propos d’une probabilité d’organiser un référendum, il avait également demandé qu’on remette au journaliste une copie du calendrier électoral.
Le rapport, rendu public ce jour, est le septième de la série des rapports que publie le Groupe de travail sur le processus de paix en RDC. Intitulé « L’Accord Politique de la Saint-Sylvestre un an après: Chronique d’une vraie-fausse application », le document évalue l’application de l’accord une année après sa signature au Centre Interdiocésain et propose des recommandations aux parties prenantes.