Le Comité Laïc de Coordination (CLC), organisateur des trois dernières marches des catholiques contre le président Joseph Kabila, a soutenu mercredi soir l’appel des mouvements citoyens à observer une journée ville-morte ce vendredi 9 mars en République démocratique du Congo (RDC).
Le CLC « apporte son soutien total à l’initiative de la journée ville morte de ce vendredi (…) en mémoire des Martyrs de l’Accord de la Saint-Sylvestre, particulièrement ceux tombés sur le champ de bataille de la marche du 25 février 2018 », écrit dans un communiqué ce collectif catholique demandant à la population « d’observer cette consigne patriotique ».
Les mouvements citoyens avaient appelé à cette journée pour dénoncer directement la mort de l’activiste Rossy Mukendi et Eric Bokolokolo tués par balle dimanche 25 févier lors de la marche des fidèles catholiques à Kinshasa et à Mbandaka.
Au moins 18 personnes ont déjà été tuées lors des marches des catholiques, selon l’ONU, qui a condamné mercredi l’usage disproportionnée de la force par les services de sécurité congolais.
RDC : Le CLC soutient l’appel à une journée « ville morte » vendredi
Le Comité Laïc de Coordination (CLC), organisateur des trois dernières marches des catholiques contre le président Joseph Kabila, a soutenu mercredi soir l’appel des mouvements citoyens à observer une journée ville-morte ce vendredi 9 mars en République démocratique du Congo (RDC).
Le CLC « apporte son soutien total à l’initiative de la journée ville morte de ce vendredi (…) en mémoire des Martyrs de l’Accord de la Saint-Sylvestre, particulièrement ceux tombés sur le champ de bataille de la marche du 25 février 2018 », écrit dans un communiqué ce collectif catholique demandant à la population « d’observer cette consigne patriotique ».
Les mouvements citoyens avaient appelé à cette journée pour dénoncer directement la mort de l’activiste Rossy Mukendi et Eric Bokolokolo tués par balle dimanche 25 févier lors de la marche des fidèles catholiques à Kinshasa et à Mbandaka.
Au moins 18 personnes ont déjà été tuées lors des marches des catholiques, selon l’ONU, qui a condamné mercredi l’usage disproportionnée de la force par les services de sécurité congolais.