Nord-Kivu : le M-23 « juge irresponsable » l’appel à prendre les armes fait par le commissaire provincial de la PNC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXKEtf9Mb261n8w_FavFpSoAiO5L-kpOH1BJwfxDLdo1QjO8nO9bs_fzuOJc2_2k9LQ7wr0OVJhRPFh70DdFe4UJk8y5Xvw4Zz5tmGcP0j8f-FdXXUJoBKPwQbcpSAYACkfo_1KWpHeG3fpx9OYenKQ_Gj25jpmqd6dFDCZjXZBv4TmD9EwXj0qAmiWQ/s1075/Snapshot_606.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="530" data-original-width="1075" height="138" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXKEtf9Mb261n8w_FavFpSoAiO5L-kpOH1BJwfxDLdo1QjO8nO9bs_fzuOJc2_2k9LQ7wr0OVJhRPFh70DdFe4UJk8y5Xvw4Zz5tmGcP0j8f-FdXXUJoBKPwQbcpSAYACkfo_1KWpHeG3fpx9OYenKQ_Gj25jpmqd6dFDCZjXZBv4TmD9EwXj0qAmiWQ/s280/Snapshot_606.jpg" width="280" /></a></div> Le Mouvement Politico-militaire du 23 Mars (M-23) vient de réagir aux propos du commissaire provincial de la Police Nationale Congolaise (PNC) au Nord-Kivu appelant les civils à s’armer des machettes pour défendre le pays.<br /><br />Dans un communiqué rendu public ce jeudi 26 mai 2022, ce mouvement rebelle se dit « préoccupé par les discours d’appel à la violence lancé par les autorités provinciales du Nord-Kivu à la population de Goma ».<br /><br />« (…) Nous savons tous comment ces genres d’appel à la violence finissent, surtout dans un environnement où les discours de haine ethnique et de xénophobie ont une histoire triste dont les plaies béantes peinent à se cicatriser des décennies plus tard.<br /><br />Il est totalement irresponsable qu'(…) une autorité provinciale demande à la population de recourir à la machette pour soutenir les forces armées qui sont des professionnels de la guerre (…) », écrit un certain Major Willy Ngoma, porte-parole du M-23 dans ce document dont une copie est parvenue à ACTU7.CD. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /> À lui d’ajouter : « l’on sait tous comment ce genre des discours a transformé chez nos voisins une partie de leurs paisibles populations en des redoutables sanguinaires dont le nom Interahamwe est resté tristement gravé dans la mémoire du Génocide.<br /><br />Pourtant, il existe plusieurs manières de soutenir l’armée par la population sans faire usage ni des armes blanches moins encore des armes à feu ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Au cours d’une parade organisée mercredi 25 mai 2022, le commissaire provincial de la Police Nationale Congolaise (PNC) dans la province du Nord-Kivu a appelé les populations à « se doter des machettes ou de toute autre arme blanche » pour faire face à la progression des rebelles du M-23. Ces propos ont été désapprouvés par le porte-parole du gouvernement congolais.<br /><br />Actu 7<p></p>

Insécurité Province Nord-Kivu : le M-23 « juge irresponsable » l’appel à prendre les armes fait par le commissaire provincial de la PNC

Le Mouvement Politico-militaire du 23 Mars (M-23) vient de réagir aux propos du commissaire provincial de la Police Nationale Congolaise (P...

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RDC: le M23 démént avoir attaqué la MONUSCO et les FARDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_LNofpEgxTq9aS2xojsI3tkO-FNnIrpUQ4k-T0qAwCxsW-wH7gdXEvDhLS1SXCwaZxVo6dUzqHytS0cO9DOKnBaMECTTep1pmHEAZbizyGZCw9BuYV8bX4YXsOWAjoiQtb7YV7ilWPgxa-p__TldPTrD09PgDaThIupJWexDRAz_vzJwo-AMc0jw6hA/s1074/Snapshot_604.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="765" data-original-width="1074" height="199" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_LNofpEgxTq9aS2xojsI3tkO-FNnIrpUQ4k-T0qAwCxsW-wH7gdXEvDhLS1SXCwaZxVo6dUzqHytS0cO9DOKnBaMECTTep1pmHEAZbizyGZCw9BuYV8bX4YXsOWAjoiQtb7YV7ilWPgxa-p__TldPTrD09PgDaThIupJWexDRAz_vzJwo-AMc0jw6hA/s280/Snapshot_604.jpg" width="280" /></a></div>Dans un message parvenu à 24h.cd ce mardi 24 mai, le Mouvement du 23 mars (M23) nie formellement qu’il a attaqué les positions des Forces armées de la RDC (FARDC) et celles de la Mission onusienne à Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu. Ce groupe rebelle se dit par contre être « victime » de plusieurs attaques de Kinshasa et de la MONUSCO.<br /><br />« Lee M23 n’a jamais attaqué ni planifié d’attaquer la MONUSCO, mais subit actuellement une vaste offensive de la MONUSCO. Le M23 n’a jamais attaqué les FARDC, mais subit les attaques de celles-ci depuis janvier 2017 lors de son retour », a clamé son innocence le M23.<br /><br />Dans un communiqué publié le dimanche dernier, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en RDC, madame Bintou Keita, avait accusé le M23 d’avoir attaqué les FARDC ainsi que les casques bleus de la MONUSCO le même jour dans la province du Nord-Kivu.<br /><br />Selon certaines sources, il y aurait eu encore d’intenses affrontements entre les Forces loyalistes et le Mouvement du 23 mars le lundi passé.<br /><b><br /> </b><div><span style="background-color: white; font-family: Merriweather; font-size: 18px;"><b>Par Fabrice Lukamba</b></span></div>

Insécurité Province RDC: le M23 démént avoir attaqué la MONUSCO et les FARDC

Dans un message parvenu à 24h.cd ce mardi 24 mai, le Mouvement du 23 mars (M23) nie formellement qu’il a attaqué les positions des Forces ar...

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L’insécurité ralentit les travaux routiers Ouganda-RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpyqm67i10faLJ6VSmvO6zPQbPysX7YHUIAwNJne_vEvl5dSLnJ6Ak4O7TXEMHsTITq9o6QrL6eE7XF3piwZJ8b717wVrqjohDy4Y4-Z_426kGLQ8Kh5S1LOkMwKNTmkj3APeLB3x_gwRzToIvWmHEc8hO1A1dhmszTutB9SoWXbGhkKYKHsrcQx5t-w/s989/Snapshot_600.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="989" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpyqm67i10faLJ6VSmvO6zPQbPysX7YHUIAwNJne_vEvl5dSLnJ6Ak4O7TXEMHsTITq9o6QrL6eE7XF3piwZJ8b717wVrqjohDy4Y4-Z_426kGLQ8Kh5S1LOkMwKNTmkj3APeLB3x_gwRzToIvWmHEc8hO1A1dhmszTutB9SoWXbGhkKYKHsrcQx5t-w/s280/Snapshot_600.jpg" width="280" /></a></div> La construction de la route Kasindi-Beni en République démocratique du Congo (RDC) est entravée par la sécurité limitée dans la région, selon l’entrepreneur du projet.<br /><br />Le projet conjoint de construction de route entre l’Ouganda et la RDC dans l’est du Congo consiste en 80 kilomètres dans la section de Kasindi à la frontière avec Beni. Il couvre également l’intégration de 54 kilomètres du tronçon Beni-Butembo et la route Bunagana à Rutsuru-Goma qui mesure 89 kilomètres.<br /><br />Eng Ananthula Nagendra, le coordinateur du projet de Dott Services Limited dit qu’ils travaillent en phases courtes car ils ont été guidés pour limiter leurs opérations à un réseau de seulement 20 km car c’est ce que l’UPDF et les forces congolaises peuvent sécuriser à la fois.<br /><br />Il dit qu’ils travaillent d’abord sur le tronçon de 20 km de Kasindi à Uulu et de Beni à Paidha. Nagendra demande le déploiement de plus de troupes pour sécuriser l’ensemble du réseau routier afin qu’ils puissent travailler efficacement selon leur cartographie technique.<br /><br />« C’est le seul défi que nous ayons jusqu’à présent. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> L’UPDF nous a limités à travailler sur seulement 20 km de Kasindi à Ululu en raison du manque de main-d’œuvre en matière de sécurité et cela pourrait ralentir notre travail », explique Nagendra.<br /><br />L’ingénieur du projet dit qu’il prévoit d’achever les travaux en 15 mois, mais cela pourrait également dépendre de la situation sécuritaire dans la région. Il ajoute qu’ils ont jusqu’à présent mis en place des sites de camping, dégagé les buissons et fait du nivellement et du remplissage sur un tronçon de 20 km de Kasindi à Ululu et Beni à Paidha. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Nous avons créé trois sites de camp ici à Kabirizi et un autre à Lubiriha et Beni pour travailler comme sites de fabrication, de production de ponceaux et de décharge », a-t-il ajouté.<br /><br />Bob Mukembo, le responsable du département de l’immigration de Mpondwe demande également plus de troupes sur Il soutient que le nombre de commerçants entrant en Ouganda par Mpondwe a légèrement diminué en raison de la recrudescence des attaques rebelles le long de la route.<br /><br />« Les gens ne sont toujours pas libres de se déplacer, le trafic reprend mais pas au niveau attendu », a noté Mukembo.<p></p>

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La construction de la route Kasindi-Beni en République démocratique du Congo (RDC) est entravée par la sécurité limitée dans la région, sel...

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Le Rwanda demande une enquête sur les bombardements sur son territoire en provenance de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWhxNDMEY1RKUEXxLbhJqZOPhhOxsnCuupKJuzBe_enuz8MlYuxJjx6P0HFUUeOb_n1hFg5i1SbYwykuFfbynl0Ytwtwy_TDqmTM4DACUX887FFYrBt1FMZp2T0YngRlaFzOiq5pSJB69Jy0hHJwf6SYHWHUwkv4ouAIt8IJyQIXxK-LxvllLK-gp8Xw/s989/Snapshot_588.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="989" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWhxNDMEY1RKUEXxLbhJqZOPhhOxsnCuupKJuzBe_enuz8MlYuxJjx6P0HFUUeOb_n1hFg5i1SbYwykuFfbynl0Ytwtwy_TDqmTM4DACUX887FFYrBt1FMZp2T0YngRlaFzOiq5pSJB69Jy0hHJwf6SYHWHUwkv4ouAIt8IJyQIXxK-LxvllLK-gp8Xw/s280/Snapshot_588.jpg" width="280" /></a></div>Les Forces rwandaises de défense (RDF) ont demandé au Mécanisme conjoint de vérification élargi (EJVM) d’enquêter sur le bombardement transfrontalier du territoire rwandais par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).<br /><br />Un communiqué de presse reçu par les rédacteurs de L’INTERVIEW.CD indique en outre qu’entre 9h59 et 10h20 lundi, les FARDC ont bombardé les districts de Kinigi et Nyange dans le district de Musanze, qui est également lié aux frontières du district Gahunga. Plusieurs civils ont été blessés et plusieurs propriétés ont été endommagées dans le quartier de Burera au Rwanda.<br /><br />« La situation dans la zone est normale et la sécurité assurée. Les blessés reçoivent des soins et les autorités évaluent l’étendue des dégâts. Les RDF ont demandé une enquête urgente de la part de l’EJVM régional et les autorités rwandaises sont également en train d’engager leurs homologues de la RDC au sujet de l’incident », a déclaré le colonel Rwandais Ronald Rwivanga, porte-parole militaire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <div><br /><div><br />Rappelons que les rebelles du M23 ont tenté une offensive dans les villages de Kinihira et Rubona le dimanche 22 mai vers 5 heures du matin. Les soldats des FARDC ont rapidement riposté et plusieurs positions du M23 sont actuellement encerclées par les FARDC. Un officier et cadre supérieur du M23 sera blessé.<br /><br />Rédaction/L’INTERVIEW.CD<p> </p></div></div>

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Les Forces rwandaises de défense (RDF) ont demandé au Mécanisme conjoint de vérification élargi (EJVM) d’enquêter sur le bombardement transf...

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Affrontements FARDC – M23 : L’armée rwandaise accuse celle de la RDC d’avoir fait des bombardements sur le territoire rwandais

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjpLGBkVLS3c9u02xviKm9baD72VAN0np4K8xvgkqm8Ohw9a03C9vLjv7p55UFFDRaOjEp6VbPZ5XftBfIFJ0M7XCUlIm3Xx2iLa9BEtzULf74Tvg_DUt4ML3hqBcSUAiaSRG1P7nz-L3V/s1265/Snapshot_587.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="642" data-original-width="1265" height="141" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjpLGBkVLS3c9u02xviKm9baD72VAN0np4K8xvgkqm8Ohw9a03C9vLjv7p55UFFDRaOjEp6VbPZ5XftBfIFJ0M7XCUlIm3Xx2iLa9BEtzULf74Tvg_DUt4ML3hqBcSUAiaSRG1P7nz-L3V/s280/Snapshot_587.jpg" width="280" /></a></div>La Force de Défense Rwandaise (RDF) a, dans un communiqué publié sur Twitter ce lundi 23 mai 2022, accusé les FARDC d’avoir effectué des bombardements sur le territoire Rwandais dans l’avant-midi de ce lundi. Des bombardements qui auraient causé des blessés côté civils. Chose qui pousse le Rwanda à exiger des enquêtes régionales pour éclairer la situation.<br /><br />« Les Forces rwandaises de défense ont demandé le mécanisme conjoint de vérification élargi pour enquêter sur les bombardements transfrontaliers sur le territoire rwandais par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Le lundi 23 mai 2022, entre 09h59 et 10h20, un tir de roquette des FARDC a touché Kinigi et les secteurs de Nyange dans le district de Musanze qui borde également le secteur de Gahunga dans le district de Burera blessant plusieurs civils et endommageant des biens », lit-on dans ce communiqué. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Et d’ajouter : « Les blessés reçoivent des soins et les autorités évaluent l’étendue de les dégâts. (…) Les autorités rwandaises interpellent également leurs homologues de la RDC sur l’incident ».<br /><br />Il sied de noter que le dimanche dernier, les M23 ont attaqué une base de la MONUSCO sur une des collines à Rutshuru, ce qui a poussé la force onusienne à se joindre aux FARDC pour les ultimes offensives contre cette rébellion, dans le but de reconquérir les collines de Chanzu et Runyonyi notamment.<br /><br />Les combats se poursuivent sur plusieurs collines du territoire de Rutshuru au Nord-Kivu entre les Forces Armées de la République démocratique du Congo et les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Ces dernières heures, les affrontements se sont intensifiés jusqu’à atteindre la zone frontalière entre la RDC et le Rwanda et l’on peut déjà déplorer plusieurs dégâts sur le territoire rwandais, à en croire l’armée rwandaise.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p> </p>

Insécurité Province Société Affrontements FARDC – M23 : L’armée rwandaise accuse celle de la RDC d’avoir fait des bombardements sur le territoire rwandais

La Force de Défense Rwandaise (RDF) a, dans un communiqué publié sur Twitter ce lundi 23 mai 2022, accusé les FARDC d’avoir effectué des bom...

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Ituri : 350 ménages regagnent volontairement leurs villages avec l’appui logistique des FARDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2j-qLh197Kn_wHXiuR9yGCwnZU0j-qJHqL3YBslo8uiXPGjYSIPmIOBmEaFd5MsAQl2HVyOqmF-8p-0lr32tivY-hQS3eG_wLvMkdrVR3LkUmgIpwAsBQ10v85E-HEbQXv_0G6yTrEDmXNXVEEx0XJ_RlHmhdX7E1bY---Jp_U1bREXIyTvshkZMe5g/s869/Snapshot_555.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="466" data-original-width="869" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2j-qLh197Kn_wHXiuR9yGCwnZU0j-qJHqL3YBslo8uiXPGjYSIPmIOBmEaFd5MsAQl2HVyOqmF-8p-0lr32tivY-hQS3eG_wLvMkdrVR3LkUmgIpwAsBQ10v85E-HEbQXv_0G6yTrEDmXNXVEEx0XJ_RlHmhdX7E1bY---Jp_U1bREXIyTvshkZMe5g/s280/Snapshot_555.jpg" width="280" /></a></div>350 ménages, déplacés internes ayant fui les massacres perpétrés par les ADF vers l’axe Lolwa, Tolitoli, Bahaha en territoire de Mambasa, ont regagné volontairement leurs villages respectifs notamment Bamande, Bandiboli, Sokotano, Loya et Ofaye, a appris POLITICO.CD mercredi 4 mai 2022 des sources militaires. Ce retour de la population s’est déroulé sous la supervision de l’administrateur militaire du territoire d’Irumu, colonel Jean Siro Nsimba, et cela, grâce à l’appui logistique des FARDC.<br /><br />« Ce retour volontaire de ces compatriotes facilité par les camions de l’armée est un signe patent de l’amélioration de la situation sécuritaire, fruit des efforts déployés par les vaillants éléments de forces loyalistes qui ont réussi à mettre en déroute ces hors-la-loi dans cette zone », a dit le colonel Jean Siro Nsimba. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il a rassuré ses administrés des dispositifs sécuritaires mis en place afin de parer à toute éventualité.<br /><br />Par ailleurs, il a salué la promptitude avec laquelle le chef de l’exécutif provincial, actuellement en mission d’itinérance, a répondu à la demande de son administration, et ce, selon lui, de manière favorable, en mobilisant les moyens nécessaires pour permettre le transport de déplacés qui ont traversé de l’autre.<br /><br />« Très émus », apprend-on, ces déplacés ont remercié « vivement » le gouvernement provincial, conduit par le gouverneur militaire le Lt général Johnny Luboya N’kashama, pour ce geste de « générosité ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Les Forces armées de la République démocratique du Congo de leur côté, sous le commandement du général Mugisa Muleke, poursuivent les opérations militaires contre ces ADF et leurs supplétifs dans le Sud du territoire d’Irumu, apprend-on.<br /><br /><br />Christian Malele<p> </p>

Province sécurité Ituri : 350 ménages regagnent volontairement leurs villages avec l’appui logistique des FARDC

350 ménages, déplacés internes ayant fui les massacres perpétrés par les ADF vers l’axe Lolwa, Tolitoli, Bahaha en territoire de Mambasa, on...

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Nord Kivu : Le phénomène “40 voleurs” sème l’insécurité dans la ville de Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn99r5aXPYkWS3bat_1ADtweALnJ1qIu-H9tIXrkaQHCduWDIR_EoBW41gro4DUMr7tooDA1MvS4M6M1pOpnE24VyfBydmx46wgHfhwYSoUfUFwrttC3dFQi3UJ5RJf9j3Esu-1xPPm6n0I3FLD--BQA0q-44NuJOAXuCfj7M7JNbqLbh4bE0EsmL9dg/s823/Snapshot_554.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="617" data-original-width="823" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgn99r5aXPYkWS3bat_1ADtweALnJ1qIu-H9tIXrkaQHCduWDIR_EoBW41gro4DUMr7tooDA1MvS4M6M1pOpnE24VyfBydmx46wgHfhwYSoUfUFwrttC3dFQi3UJ5RJf9j3Esu-1xPPm6n0I3FLD--BQA0q-44NuJOAXuCfj7M7JNbqLbh4bE0EsmL9dg/s280/Snapshot_554.jpg" width="280" /></a></div>La capitale du Nord-Kivu semble devenir le lieu de convergence où affluent groupes armés, rebelles et autres bandits à main armée.<br /><br />En effet, dans la nuit du 02 au 03 avril 2022, un groupe dit ”de 40 voleurs” a opéré paisiblement dans sur l’avenue Kasindi, située non loin du bureau communale de Karisimbi, à quelques mètres de la résidence du Ministre honoraire Rubens (le nom??) . Ces voleurs ont emporté des biens de valeur, téléphones et d’importantes sommes d’argent, etc., dans une propriété où logent sept locataires.<br />En tout cas, le deux hommes qui ont tenté de résister à cette extorsion ont été grièvement blessés.<br />Et ce qui étonne l’opinion, c’est le fait, disent les témoins, que ces 40 voleurs soient bien escortés par 5 hommes en tenue non autrement identifié.<div><br />Ainsi, après avoir procédé paisiblement à leur rapine, les ”40 voleurs” rejoignent à pas comptés une 4×4 qui les attendent au niveau de Kasoko Afia Bora, sans être inquiétés le moins du monde.</div><div><br />Où sont donc passés les services de sécurise la ville Goma? Pourquoi ces 40 voleurs circulent pénardement à pied au-delà des heures du couvre-feu, sans croiser les patrouilles, en plein Etat de siège? Par qui sont-ils couverts, ces ”40 voleurs” ?<br /><br />Catherine Batende/ Goma<p> </p></div>

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La capitale du Nord-Kivu semble devenir le lieu de convergence où affluent groupes armés, rebelles et autres bandits à main armée. En effet,...

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Sud-Kivu/Uvira : Message de félicitation et encouragement aux FARDC suite à la délocalisation du groupe armé Kijangala

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZsx_LAMpRGdvmFEfF5De7-ufBH_PLol1R8ecDX3cHqwQukPgrcs2TsKhIUD-BW3soEC63gYJIrfNH-8BU1QVlvxh9IATSZWJ4qMUy5gJqXy-mWJjnQ3vTQcLec-dV-rcnfBk7sgtlM0FN7T2XXO-_uLUjBpS-ckg57kcjdOaGK2gzv9E5zIGqdIFXtw/s985/Snapshot_483.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="546" data-original-width="985" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZsx_LAMpRGdvmFEfF5De7-ufBH_PLol1R8ecDX3cHqwQukPgrcs2TsKhIUD-BW3soEC63gYJIrfNH-8BU1QVlvxh9IATSZWJ4qMUy5gJqXy-mWJjnQ3vTQcLec-dV-rcnfBk7sgtlM0FN7T2XXO-_uLUjBpS-ckg57kcjdOaGK2gzv9E5zIGqdIFXtw/s280/Snapshot_483.jpg" width="280" /></a></div> La Coordination provinciale de la nouvelle société civile congolaise sud sud-kivu (NSCC/SSK) a présenté mardi à Uvira, ses sincères félicitations et encouragements, au commandant du secteur opérationnel sukola2 sud Sud-Kivu, le général de brigade Ramazani Fundi pour avoir traqué et délocalisé les groupe armé Mai-Mai Kijangala dans les moyens plateaux d’Uvira, a appris l’ACP du coordonnateur provincial de cette structure citoyenne, André Byadunia mashaka.<br /><br />Selon lui, ce groupe armé semait la désolation dans les groupements de kigoma et lemera en chefferie des Bafuliiru et dans la chefferie plaine de la ruzizi aux groupements de kabunambo et luberizi et par moment dans la cité de sange depuis plusieurs années.<br /><br />Les opérations menées du 1er au 2 mai, a-t-il poursuivi, sous le commandement du général de brigade Ramazani Fundi sur terrain, ont permis aux forces loyalistes de déloger ces forces de mal dans les villages de kanga, rugeje, kabere, mubere et kihinga où la population était obligée de se soumettre aux caprices de ces hors la loi malgré la volonté de collaborer avec les forces de sécurité pour la paix de leurs entités. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Et d’ajouter que c’est la raison que cette structure exhorte au commandement du secteur opérationnel de positionner les militaires loyalistes dans ce secteur pour faciliter les mouvements de la population et de leurs biens dans cette partie du territoire d’uvira et ainsi empêcher le retour de ces groupes armés rebelles dans leurs anciens bastions où d’après lui, ne pratiquent que les enlèvements, le vol à mains armées, le viol et la facilitation de traversée des autres rebelles vers les moyens et hauts plateaux d’uvira. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« La NSCC/SSK, réitère toute sa confiance aux forces de sécurité et les encouragent à poursuivre avec le même élan et surtout par la présence du commandant secteur, pour le suivi des opérations sur terrain. Nous demandons en outre à la population de continuer à collaborer avec les forces de sécurité car notre sécurité en dépend » a-t-il conclu. ACP<p></p>

Insécurité Province Sud-Kivu/Uvira : Message de félicitation et encouragement aux FARDC suite à la délocalisation du groupe armé Kijangala

La Coordination provinciale de la nouvelle société civile congolaise sud sud-kivu (NSCC/SSK) a présenté mardi à Uvira, ses sincères félicit...

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la population de Goma dans la rue pour contester la proposition de loi sur la « congolité »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmxhQLBiKi7ey-3p6UjMY6HMDnqvhIstmqpsNyHtiq4n2UFZnOaKJF4ecGDgiJW52RjaR7i3Naune0ELGNKQNyXwLUdnMEU5uKv9NhDiUmCzVQm9FsmurD3YH079bUr_H111gGbPJo5Q06T-EPxw8P1d_gFuhjthm9zZB5XcUb7Nn1gKJXz95lJvXwJg/s766/Snapshot_551.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="430" data-original-width="766" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmxhQLBiKi7ey-3p6UjMY6HMDnqvhIstmqpsNyHtiq4n2UFZnOaKJF4ecGDgiJW52RjaR7i3Naune0ELGNKQNyXwLUdnMEU5uKv9NhDiUmCzVQm9FsmurD3YH079bUr_H111gGbPJo5Q06T-EPxw8P1d_gFuhjthm9zZB5XcUb7Nn1gKJXz95lJvXwJg/s280/Snapshot_551.jpg" width="280" /></a></div> Des centaines des congolais de la ville de Goma au Nord-Kivu sont descendus dans la rue ce mercredi 04 mai 2022 pour s’opposer contre la proposition de loi excluant la candidature à la prochaine présidentielle tout individu qui n’étant né de deux parents congolais.<br /><br />Ces femmes et hommes en colère qui ont marché disent qu’ils sont contre cette proposition de loi sur la congolité qui vise la balkanisation de la République Démocratique du Congo.<br /><br />Ils interpellent les députés nationaux qui, depuis plusieurs semaines soutiennent la loi Tshiani, discriminatoire et qui tient à exclure certains congolais aux élections présidentielles de 2023.<br /><br />« Nous sommes ici pour l’intérêt de notre République Démocratique du Congo. C’est par l’amour de notre nation que nous sommes là. Nous venons pour exprimer notre ralbol vis-à-vis de tout ce qui est entrain de se passer dans notre pays. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Nous voulons ici alerter toutes les autorités et institutions de la RDC par rapport à loi discriminatoire , la loi sur la congolité. Nous sommes entrain de nous opposer farouchement à cette proposition. Notre constitution a prévue tout congolais d’origine doit participer aux élections. Alors nous demandons à nos parlementaires tout celui qui va voter la loi sur la congolité , nous connaissons leurs maisons , leurs adresses , nous allons nous prendre charge. Nous sommes capable de tout. S’ils sont entrain de préparer la balkanisation à partir de cette loi, ils seront conséquents« , a lâché sous anonymat l’un des manifestants. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La population de Goma a, une nouvelle fois, exprimé sa voix pour interpréter les parlementaires pour n’est pas voté cette loi qui fait polémique dans tous les coins du pays.<br /><br />Entre temps l’ancien candidat malheureux à la présidentielle de 2018 Noël Tshiani et initiateur de cette loi avait saisi, en mars dernier, le président de l’Assemblée nationale Mboso N’kodia Pwanga pour la cause.<br /><br />Tshiani suppose qu’il y a urgence d’adopter ce texte endossé par le député Nsingi Pululu pour éviter le risque d’infiltration au sommet de l’Etat qui pourrait même compromettre l’intégrité territoriale de la République Démocratique du Congo. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />A l’exception du sénateur Matata Ponyo qui s’est déjà prononcé comme candidat à la prochaine présidentielle, d’autres noms sont cités dans l’opinion publique à l’instar de Martin Fayulu leader de Lamuka, Moïse Katumbi coordonnateur du parti politique Ensemble pour le Changement et le président Félix Tshisekedi.<br /><br />Jules Ninda<p></p>

Province Société la population de Goma dans la rue pour contester la proposition de loi sur la « congolité »

Des centaines des congolais de la ville de Goma au Nord-Kivu sont descendus dans la rue ce mercredi 04 mai 2022 pour s’opposer contre la pr...

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Répression des militants de Lamuka: 20 blessés dont 3 par balles réelles (VSV)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj54_3ppvtMkeNThWhflFpaOH0fl4rQQsIs_n9algpZCACfG7gEzO2HKrVtZaVqmXECJQeC7McQ0QCjaDWToOb0iDaWkagjcspT7m3jp7YoV_TGt7kXpuxBpxDFg4oIdkcBKWmNEeq0OICGYN6jNNNzY-RnsoDxVChgnnJP8GDxjdI7lNwimq8WcAUaqg/s988/Snapshot_519.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="535" data-original-width="988" height="151" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj54_3ppvtMkeNThWhflFpaOH0fl4rQQsIs_n9algpZCACfG7gEzO2HKrVtZaVqmXECJQeC7McQ0QCjaDWToOb0iDaWkagjcspT7m3jp7YoV_TGt7kXpuxBpxDFg4oIdkcBKWmNEeq0OICGYN6jNNNzY-RnsoDxVChgnnJP8GDxjdI7lNwimq8WcAUaqg/s280/Snapshot_519.jpg" width="280" /></a></div>La voix des sans voix (VSV) a dénombré plus de vingt blessés dont trois grièvement touchés par balles réelles tirées à bout portant par les policiers lors de la répression des militants de Lamuka.<br /><br />Le bilan a été présenté par cette organisation de défense des droits de l’homme vendredi 29 avril, au cours d’un point de presse tenu à Kinshasa. Elle a fermement condamné la répression brutale et sanglante des militants de la plateforme de l’opposition politique Lamuka en général et ceux du parti politique de l’opposition Engagement pour la citoyenneté et le développement (ECIDé) en particulier, par certains éléments de la Police nationale congolaise (PNC) alors qu’ils se dirigeaient à l’Assemblée nationale pour y organiser un sit-in.<br /><br />Cette répression a été suivie des actes de saccage, de vandalisme, de destruction méchante, pillage des biens… perpétrés au siège de l’ECIDé, a-t-elle ajouté.<br /><br />Pour cette organisation citoyenne, la répression de la manifestation du 22 avril 2022 a violé le droit à la liberté de manifester garanti par la Constitution et les instruments juridiques régionaux et internationaux des droits de l’homme auxquels la RDC a librement souscrit. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Par ailleurs, elle dénonce la violation du droit à la sécurité et au respect de l’intégrité physique garanti à toute personne humaine ainsi que les traitements cruels, inhumains ou dégradants infligés à certains manifestants par des policiers. Elle rappelle aux autorités congolaises et aux responsables des services de sécurité que le respect de la liberté de manifester fait partie des socles d’une démocratie qui fonctionne normalement et aucun prétexte ne peut justifier une répression brutale, sanglante et disproportionnée.<br /><br />Toutefois, elle sollicite l’intervention personnelle du président de la République pour mettre fin aux répressions brutales des manifestants à Kinshasa et en provinces. Les responsables des services de sécurité ainsi que les gouverneurs des provinces devraient, en principe, travailler dans le strict respect des droits humains en vue de donner une autre image, celle positive du pays en matière de respect des droits humains après l’alternance politique que d’aucuns avaient salué après les élections de 2018. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Cependant, cette organisation de défense de droits de l’homme appelle les autorités congolaises à diligenter une enquête impartiale et indépendante en vue d’identifier les auteurs et les commanditaires de cette répression policière afin qu’ils répondent de leurs actes conformément à la loi; de prendre en charge les soins médicaux de toutes les victimes particulièrement les blessés par balles réelles; d’indemniser toutes les victimes et le parti politique de l’opposition ECIDé pour tous les préjudices subis ; de respecter et faire respecter le droit de manifester garanti par la Constitution de la RDC et les instruments nationaux, régionaux et internationaux des droits humains.<br /><br />Roger AMANI<p> </p>

Province Société Répression des militants de Lamuka: 20 blessés dont 3 par balles réelles (VSV)

La voix des sans voix (VSV) a dénombré plus de vingt blessés dont trois grièvement touchés par balles réelles tirées à bout portant par les ...

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TP Mazembe : « Ceux qui jettent les projectiles sont des infiltrés… On n’a pas besoin des infiltrés dans notre stade. » Moïse Katumbi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzzOJonOLj-4ggM7KyXgVPwWlvqdaSsshYJPB0WhWDIdcI1Y7ajZgdNAZXsGjVaiX4TMKL4WCH4Oqbbq1BZ23WUe0QaplDrW-jgbM6Hb8erYZzI94h-lIp64LGh0wt0NwODXDxlQ9csrshz6AAnmQyzJc8JPwotjPujHQUWHRWTezNlftNJBdD2XUe0A/s1239/Snapshot_518.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="769" data-original-width="1239" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhzzOJonOLj-4ggM7KyXgVPwWlvqdaSsshYJPB0WhWDIdcI1Y7ajZgdNAZXsGjVaiX4TMKL4WCH4Oqbbq1BZ23WUe0QaplDrW-jgbM6Hb8erYZzI94h-lIp64LGh0wt0NwODXDxlQ9csrshz6AAnmQyzJc8JPwotjPujHQUWHRWTezNlftNJBdD2XUe0A/s280/Snapshot_518.jpg" width="280" /></a></div>Dans une vidéo diffusé en boucle sur Nyota TV, le président du tout puissant Mazembe, Moïse Katumbi, s’est adressé aux supporters du TP Mazembe en déplorant les incidents survenus au stade TP Mazembe, à l’issue du match de quarts de finale retour de la coupe de la confédération entre les Corbeaux et les Héritiers des Pharaons (2-0). Avant de leurs demander devenir massivement soutenir le TP Mazembe pour la réception de RS Berkane<br /><br />Voici quelques extraits du message de Moïse Katumbi aux supporters<br /><br /><br />Les remerciements<br /><br />« Bonjour chers supporters du TP Mazembe. Je vous remercie du fait que vous avez soutenu votre équipe, on a gagné le match et la victoire vous appartient. » <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le chairman déplore les incidents<br /><br />« Ce que je déplore c’est le jet des projectiles dans le stade. Ceux qui jettent les projectiles sont des infiltrés, il faut commencer à les surveiller. On n’a pas besoin des infiltrés dans notre stade. Si tu viens au stade, c’est pour regarder le match. Notre stade est respectueux, il y a des mamans et des enfants qui viennent au stade et on ne doit pas les apprendre les mauvaises manières. »<br /><br />Mazembe aura besoin de ses supporters face à RS Berkane<br /><br />« La demi-finale c’est pour bientôt. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> On a besoin de vous parce que c’est grâce à vous que nous gagnons nos matchs mais nous refusons les infiltrés et le désordre dans notre stade. Nous voulons que notre équipe aille de l’avant »,a déclaré le président Moïse Katumbi.<br /><br />Les Corbeaux ont repris les entraînements le mercredi 27 avril, au Golf Club. les staff et les joueurs préparent dans les bonnes conditions la réception de RS Berkane, le 08 mai prochain.<br /><br />Roger AMANI<p> </p>

Province Sport TP Mazembe : « Ceux qui jettent les projectiles sont des infiltrés… On n’a pas besoin des infiltrés dans notre stade. » Moïse Katumbi

Dans une vidéo diffusé en boucle sur Nyota TV, le président du tout puissant Mazembe, Moïse Katumbi, s’est adressé aux supporters du TP Maze...

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Industrialisation de la filière du manioc : Julien Paluku satisfait de premiers résultats

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy8rvr15geSoCyKGc-auqb5iMkYixtK_dZdiNizPqm2r-EBlqsyTjpZ2rF98BtV96LL_eqWANWXpSZy2bs9WhMZyfFJkTFQvbSm8bR5A4fK4ufN4oLgdGVavCL1s_z-5vJDAE02FlgzFHUD1HwcQ5XE1p5eL5BrPBQ9HIgwDGMm1f2uLkvgoRyiHsPsA/s1070/Snapshot_496.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="642" data-original-width="1070" height="168" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhy8rvr15geSoCyKGc-auqb5iMkYixtK_dZdiNizPqm2r-EBlqsyTjpZ2rF98BtV96LL_eqWANWXpSZy2bs9WhMZyfFJkTFQvbSm8bR5A4fK4ufN4oLgdGVavCL1s_z-5vJDAE02FlgzFHUD1HwcQ5XE1p5eL5BrPBQ9HIgwDGMm1f2uLkvgoRyiHsPsA/s280/Snapshot_496.jpg" width="280" /></a></div>Le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya, était ce lundi 25 avril à Nsele, dans la partie Est de la ville province de Kinshasa, où il a visité une boulangerie montée dans le cadre de la stratégie du gouvernement congolais visant à fabriquer le pain et d’autres produits de boulangerie à base de farine du manioc, en vue de réduire des importations du blé qui coûtent chères à la RDC.<br /><br />Sur place, ce membre du gouvernement a exprimé sa satisfaction après avoir apprécié les premiers résultats du projet.<br /><br />« Tout est possible quand l’intelligence est au service du développement. La farine du manioc dans les produits de boulangerie et de pâtisserie est désormais une réalité en RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Spaghetti congolais fait avec 100% de farine panifiable du manioc (…). Nous avons goûté et rien de comparable avec celui fait avec la farine du blé », s’est réjoui le ministre de l’Industrie.<br /><br />Il a, à cet effet, rendu un vibrant hommage à madame la professeure Marie-Claire Yandu, spécialiste en Biologie moléculaire/biotechnologie avec une thèse sur le manioc, qui pilote cette boulangerie. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Honneur à Madame la professeure, Marie-Claire Yandu, Docteure en Biologie moléculaire, qui nous a aidé à élaborer la norme sur la farine panifiable », lui a-t-il adressé ses félicitations.<br /><br />Au cours d’un Conseil des ministres tenu il y a quelques jours, le gouvernement congolais avait adopté la norme sur l’introduction du manioc dans la fabrication du pain.<p> <span style="background-color: white; font-family: Merriweather; font-size: 18px; font-weight: 700;">Par Fabrice Lukamba</span></p>

Province Société Industrialisation de la filière du manioc : Julien Paluku satisfait de premiers résultats

Le ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya, était ce lundi 25 avril à Nsele, dans la partie Est de la ville province de Kinshasa, où...

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RDC: l’armée reprend la formation des commandos congolais à Kindu

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3TN1KOOIUupP82MU4M3ziU2Elpn_apK6j0oO_D5NW3bIBU7kq_5QtbmGLvyt2T3XhXhyRU2LM8biB8pEq25VJv19aOA2xnHDmDzruRBVlowctkhzPXiB-li3vzhJb9D6phkYS2MzBN2cSwy4Ew-hojrvp4om07ErTFu3GFdOEQ6RaCKJixdyTkwWohQ/s991/Snapshot_494.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="991" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3TN1KOOIUupP82MU4M3ziU2Elpn_apK6j0oO_D5NW3bIBU7kq_5QtbmGLvyt2T3XhXhyRU2LM8biB8pEq25VJv19aOA2xnHDmDzruRBVlowctkhzPXiB-li3vzhJb9D6phkYS2MzBN2cSwy4Ew-hojrvp4om07ErTFu3GFdOEQ6RaCKJixdyTkwWohQ/s280/Snapshot_494.jpg" width="280" /></a></div>L’armée belge a déployé dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) une trentaine de militaires pour assurer durant quatre mois le recyclage d’instructeurs d’une brigade d’élite formée par la Belgique entre 2008 et 2017, a-t-on appris lundi de source militaire. Ces militaires, provenant principalement du 3e bataillon parachutistes de Tielen (province d’Anvers), sont arrivés à Kindu, le chef-lieu de la province du Maniema, en deux groupes, l’un le 19 avril et le second ce lundi, a précisé un porte-parole militaire à l’agence Belga.<br /><br />Ils ont comme tâche de donner des formations de recyclage à des instructeurs de la 31e Brigade des Unités de réaction rapide (URR). Cette unité d’élite des Forces armées de la RDC (FARDC) – composée de trois bataillons de commandos, de deux compagnies ainsi que d’un état-major – a été formée au fil des ans, entre 2008 et 2017, par des instructeurs belges à Kindu et dans les environs, dans le cadre d’un Programme de Partenariat militaire (PPM) avec la RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Selon la Défense, cette mission se déroule en plusieurs phases, la première étant baptisée « Train The Trainer », d’avril à août prochain. Les domaines de formation sont divers: tactique, orientation/SERE (survie, évacuation/évasion, résistance et extraction), premiers soins, combat rapproché, course d’obstacles, maintien d’une arme et tir, a expliqué l’armée.<br /><br />Les parachutistes seront relevés en août par un détachement du 2e bataillon de commandos de Flawinne (Namur). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Ils seront chargés de superviser les cours données par des instructeurs congolais à leurs collègues des bataillons de combat.<p> <b style="font-size: large;">Belga</b></p>

Province sécurité Société RDC: l’armée reprend la formation des commandos congolais à Kindu

L’armée belge a déployé dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) une trentaine de militaires pour assurer durant quatre mois ...

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RDC : le M23 exclu des négociations de Nairobi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgk-2rQLR5eSAKkYRZ0Y6tDO3Mk0APciOO-e_meAnhr5jrbqjVsvUhcOP3OQi0RXzqyl_CF1yM4JQfHO0gerZ4pgzsK0Iv93W-azMwqkN5dKe-CRmigH9TRoTXjWWScwMC2Cr_C5ozLHnBgSg4Pg2wWj81XZ4GTi4mkfwRaD7Zi1PtLQgTvallwlUApQ/s991/Snapshot_484.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="991" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgk-2rQLR5eSAKkYRZ0Y6tDO3Mk0APciOO-e_meAnhr5jrbqjVsvUhcOP3OQi0RXzqyl_CF1yM4JQfHO0gerZ4pgzsK0Iv93W-azMwqkN5dKe-CRmigH9TRoTXjWWScwMC2Cr_C5ozLHnBgSg4Pg2wWj81XZ4GTi4mkfwRaD7Zi1PtLQgTvallwlUApQ/s280/Snapshot_484.jpg" width="280" /></a></div>Un grain de sable dans la machine des négociations entamées samedi à Nairobi, au Kenya entre le gouvernement congolais et les groupes rebelles : l’exclusion dimanche du M23.<br /><br />Une décision intervenue après la reprise des combats entre ce groupe rebelle et les forces loyalistes à l’Est de la RDC, quelques heures seulement après le début de ces pourparlers.<br /><br />Kinshasa a donc exigé et obtenu l’expulsion des représentants du Mouvement du 23 mars. Alors que les rebelles disent avoir déterré la hache de guerre après avoir été attaqués par les FARDC, les forces armées de la République démocratique du Congo. Le M23 accuse l'armée congolaise d'avoir "l'intention manifeste de compromettre le processus de paix issu du récent conclave" des quatre chefs d’État à Nairobi. Version balayée par les autorités congolaises. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La rencontre de Nairobi se propose de trouver une issue diplomatique à la violence endémique dans l’Est de la RDC.<br /><br />Le gouvernement congolais a prévenu, l’option militaire sera maintenue contre ceux qui iront à l’encontre de la carte du dialogue. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />le secrétaire général des Nations unies "exhorte tous les groupes armés locaux en République démocratique du Congo à participer sans condition au processus politique, et tous les groupes armés étrangers à désarmer et à retourner sans condition et immédiatement dans leurs pays d'origine respectifs, a déclaré son porte-parole Eri Kaneko .<div><br /></div><div><div class="item author" style="align-self: center;"><div class="article__author"><span style="font-size: medium;"><b>Africanews</b></span></div><div style="font-family: "Open Sans", Arial, sans-serif; font-size: 10px; font-weight: 700;"><br /></div></div><p> </p></div>

Province sécurité RDC : le M23 exclu des négociations de Nairobi

Un grain de sable dans la machine des négociations entamées samedi à Nairobi, au Kenya entre le gouvernement congolais et les groupes rebell...

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Katangais et Kasaïens : gare aux démons du passé !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2vbFTwNKv2BxaIaKxx_cQNJsnn_X2nzwMw0CGyjdiBuP3VMwZZ6soIJIlaauhe1AZqgiHX8PCR_6YDlsx42YwbU5xJ0UyJjW-BHDFySQWP9yrQ7sL7dH2nE8NUCHEw8vwKVVMMHNNoI1AuPcRkyz7l-7I0mBIG-2PjFb9_gkNmGMTfMYrqBWqRI5IsQ/s991/Snapshot_440.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="537" data-original-width="991" height="151" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2vbFTwNKv2BxaIaKxx_cQNJsnn_X2nzwMw0CGyjdiBuP3VMwZZ6soIJIlaauhe1AZqgiHX8PCR_6YDlsx42YwbU5xJ0UyJjW-BHDFySQWP9yrQ7sL7dH2nE8NUCHEw8vwKVVMMHNNoI1AuPcRkyz7l-7I0mBIG-2PjFb9_gkNmGMTfMYrqBWqRI5IsQ/s280/Snapshot_440.jpg" width="280" /></a></div>La députée nationale Dominique Munongo, princesse des « Bayeke », a lancé, il y a une dizaine de jour, à partir d’un plateau de télévision, un pavé dans la mare déjà fort troublée de l’espace politique et social congolais. L’idée de stigmatiser la ruée des Kasaïens vers le Katanga aurait pu ne pas trop choquer n’eut été l’existence d’un lourd contentieux entre ces deux entités ethniques de la République Démocratique du Congo.<br /><br />S’agissant plus précisément de l’histoire immédiate entre Katangais et Kasaïens, les stigmates de l’épuration ethnique qui furent victimes les seconds sous le gouvernorat de feu Kyungu wa Kumwanza entre 1992 et 1993 sont loin de quitter la mémoire collective kasaïenne.<br /><br />En martelant que les Kasaïens devraient apprendre à rester chez eux, au motif que les terres katangaises étouffaient à la suite leur invasion, l’honorable Munongo a donné la nette mais triste impression de remuer le couteau dans de nombreuses plaies, en relayant un discours teinté de haine tribalo-ethnique, déjà entendu sous le « règne » de deux défunts leaders séparatistes Katangais, à savoir Jean Nguz-a-Karl-I-Bond, dans son étoffe de Premier ministre, et Gabriel Kyungu wa Kumwanza, dans celle de gouverneur de l’ex-province du Shaba. C’est, d’un certain point de vue, un appel implicite à une nouvelle vague d’expulsion des populations kasaïennes du Grand Katanga, avec son corollaire de dérapages de triste mémoire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ce qui dérange le plus dans l’affaire est que des acteurs politiques, du Katanga comme d’ailleurs, sont en train de lui apporter une caution morale qui trouble les esprits. C’est à se demander si Dominique Munongo ne serait pas la locomotive qui tracte le vieux rêve des Katangais de couper le cordon ombilical qui les lies au Congo démocratique. D’aucuns s’inquiètent, dans le microcosme politique congolais comme au sein de l’actuelle équipe gouvernementale, de la propagation d’un discours de nature à hypothéquer la cohésion nationale et embraser le pays. Car chaque Congolais a un « chez soi » et si personne ne veut voir un « étranger » sur ses terres, c’en est fini du vivre-ensemble, de l’unité nationale dans la diversité politique et culturelle, de l’unité géographique, de l’autorité de l’Etat, de la coexistence pacifique entre tribus et ethnies de la République, des chances de reconstruction d’une Nation forte et prospère au cœur de l’Afrique. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Les démons du passé sont-ils de retour ? La question est posée à tous et à personne. Hormis le passif entre Katangais et Kasaïens lié à ce que ces derniers continuent de considérer comme un génocide perpétré par les premiers contre leurs pères, mères, frères et sœurs il y a une trentaine d’années, l’histoire du pays est riche d’épisodes ayant fait couler le sang entre ses filles et fils, provoqué des divisions entre tribus et ethnies, cassé des unions matrimoniales, détruit des clans et des familles, etc.<br /><br />La géopolitique et sa territoriale des originaires<br /><br /> <br /><br />Selon une analyse des politiciens des années ’90 baignant dans la mare du « mobutisme », la gestion des provinces, districts, territoires et autres secteurs par des fonctionnaires non originaires auraient montré ses limites. A leur avis, chaque entité territoriale devrait être gérée par ses originaires. Ceux-ci, laissait-on entendre, étaient psychologiquement et moralement mieux disposés à promouvoir le développement de leur terroir. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Largement approuvée au sein d’une classe politique dominée par des thuriféraires du Mouvement Populaire de la Révolution – Parti-Etat, l’option était traduite dans les faits par le rapatriement massif, dans leurs provinces d’origine, des gouverneurs et vice-gouverneurs, commissaires urbains, commissaires de districts, administrateurs de territoires et chefs de secteurs prestant à « l’étranger ».<br /><br />Ainsi donc, il y a une trentaine d’années, d’innocents hauts comme petits commis de l’Etat, pères et mères de famille, s’étaient retrouvés, du jour au lendemain, sommés de quitter leurs postes dans les provinces, districts, territoires et secteurs dont ils n’étaient pas originaires, pour des coins du pays dont ils étaient censés être originaires. Les mutations de postes étaient intervenues si brutalement que beaucoup avaient préféré venir squatter à Kinshasa, dans l’attente d’une hypothétique affectation dans l’administration centrale ou urbaine. Des actes de violences étaient commis sur ceux et celles qui avaient tenté de faire de la résistance, parfois au péril de leur vie. La société zaïroise venait, par là, de créer des îlots de haine entre tribus et ethnies, car beaucoup de fonctionnaire avaient perçu la territoriale des originaires comme leur exclusion de la communauté nationale.<br /><br />Le phénomène Bundu dia Kongo<br /><br /><img src="https://p5.storage.canalblog.com/52/57/402294/125353179_o.jpg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Entre 2003 et 2017, même après sa radiation comme mouvement politique et religieux depuis 2008, la secte « Bundu dia Kongo », rebaptisée plus tard « Bundi dia Mayala » a repris, à son compte, un discours autonomiste qui s’est révélé, à la longue, comme l’expression de la chasse aux non originaires dans les rouages de l’administration publique, des activités commerciales, de la propriété foncière, des cultes dans la province du Kongo Central. Sans crier gare, des miliciens du gourou Ne Muanda Nsemi, les fameux « Makesa », traquaient fonctionnaires, commerçants, propriétaires des fermes ou des terrains, pasteurs et missionnaires ayant le malheur de ne pas être originaires de la province précitée. Déniant à Kinshasa la moindre autorité à Kasangulu, Mbanza-Ngungu, Kimpese, Songololo, Luozi, Matadi, Boma, Muanda, Tshela, Lukula…, les « Makesa » se permettaient des voies de fait sur des « étrangers » qui n’avaient pas eu le temps de « dégager » ou qui estimaient ne pas se plier à leur diktat.<br /><br />L’intolérance était telle que les adeptes de Bundi dia Kongo n’hésitaient pas de s’attaquer aux forces de l’ordre et de sécurité, provoquant des morts et de blessés dans les rangs de l’armée et de la police, et subissant, au passage, des réprésailles qui se soldaient aussi par des morts et des blessés dans leurs rangs, sans compter des arrestations et condamnations judiciaires à répétition. Au plus fort de la chasse aux non originaires, le Kongo Central était devenu invivable pour ceux qui avaient du mal à voiler leurs origines « étrangères ». Naturellement, les condamnations étaient unanimes contre le discours divisionniste et tribaliste de Ne Muanda Nsemi, qui semble aujourd’hui assagi après son séjour au Centre Neuro-Psycho-Pathologique de Kinshasa, au Mont-Amba.<br /><br />« Lititi mboka »<br /><br /><img src="https://www.cinergie.be/images/film/_c/campus-kassapa/image1.jpg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> C’est sous ce nom de code que des étudiants originaires de l’Equateur, soutenus par un commando de la DSP (Division Spéciale Présidentielle) venu de Kinshasa, avait fait coulé le sang, en mai 1990, sur le campus de l’Université de Lubumbashi, sous prétexte qu’un étudiant originaire de ladite province avait été molesté et jeté dans une fosse, par ses camarades d’autres provinces pour y subir le supplice du collier mais sauvé de justesse. La principale charge retenue contre ledit étudiant était sa casquette cachée de « mouchard », entendez informateur des services de sécurité à la solde du dictateur Mobutu, qui redoutait les mouvements de révolte dans les sites universitaires du pays.<br /><br />Des bilans controversés avaient circulé à l’époque, lesquels faisaient état de plus d’une centaine d’étudiants exécutés par les éléments de la DSP, qui avaient fait le tour des homes et chambres en une nuit. « Lititi mboka » était le code secret communiqué aux étudiants originaires de l’Equateur pour leur permettre d’être épargnés par le commando. Face à la réprobation nationale et internationale de ce qui avait été qualifiés de « massacre des étudiants de l’Université de Lubumbashi », Mobutu avait dû organiser une parodie de procès, qui avait abouti à la condamnation, à cinq ans de prison, de Louis Koyagialo Ngbase te Gerengbo, alors gouverneur de la province du Shaba, ainsi que des responsables locaux de l’armée et de la sécurité, tous originaires de l’Equateur, accusés d’avoir planifiés l’opération « Lititi mboka ». Mais, tout le monde avait compris qu’il s’agissait des boucs émissaires pour sauver un pouvoir décadent, vomi à l’intérieur comme à l’extérieur du pays.<br /><br /><br />Le système de « quota » dans l’enseignement supérieur et universitaire<br /><br /><img src="https://i1.wp.com/congopresse.net/wp-content/uploads/2020/08/12E44EB3-302F-4617-BE8B-10EE5C55AE4C.jpeg?resize=780%2C470&ssl=1" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Sous prétexte que les étudiants des deux Kasaï étaient en surnombre dans les universités et instituts supérieurs du pays et que l’ex-Zaïre courait le risque d’être régenté par une élite provenant d’une seule éthnie, Mobutu avait décidé, au début des années ’70, d’instaurer le systéme des quotas dans le recrutement des diplômés du cycle secondaire. Concrètement, un nombre prédéfini de places était réservé d’office aux originaire de chacune des huit régions (provinces) du pays, Kinshasa exclue, à l’entrée non seulement dans chaque université et institut supérieur du pays mais aussi par faculté.<br /><br />Pour prendre un cas précis, à la création de l’ISTI (Institut des Sciences et Techniques de l’Information), en 1973, un quota de 4 places était attribué à chacune de 8 « régions » de la République. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> En principe, après le concours d’entrée, auquel avaient participé plus de 900 candidats, la première année de graduat devait accueillir 32 étudiants. Mais la région du Shaba n’ayant présenté aucun candidat au concours d’entrée, son quota était tombé en annulation, ce qui avait finalement plafonné la première promotion à 28 étudiants.<br /><br /><br />C’est dire que nombre de diplômés du secondaire de Kinshasa, qui avaient jusque-là une notion superflue de la « tribu », étaient choqués de constater, au moment d’entamer leurs études supérieures et universitaires, qu’il y avait une barrière tribale face à leur futur cursus académique. De brillants finalistes du secondaire, lauréats avec des cotes supérieures à 70 % ou 80 % avaient vu leur « carrière » académique brisée par le système des quotas. Beaucoup maudissaient leur appartenance à une tribu et ou à une ethnie toujours en surnombre dans les « classes » de recrutement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Les affaires des « enveloppes » dans l’armée<br /><br /><img src="https://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2021_actu/07-novembre/15-21/mobutu_faz_21_02145.jpg" /><br /><br />Après les procès des coups d’Etat montés et manqués contre Mobutu en 1975 et 1978, mais aussi suite à la « Guerre du Shaba » en 1978, Mobutu avait finalement décidé d’opérer dans l’armée une épuration, laquelle était dirigée contre des officiers et soldats majoritairement originaires des deux Kasaï, auxquels étaient associés des « traitres » minoritaires du Kongo Central et du Bandundu. Des « enveloppes » leur étaient remises à la ronde, dans leurs unités, pour signifier leur renvoi de l’armée, sans autre forme de procès. Les FAZ (Forces Armées Zaïroises) étaient ainsi débarrassés d’officiers et soldats jugés, sur la base de leurs origines ethniques et tribales comme hostiles au pouvoir en place.<br /><br />Mobutu chantre de l’unité nationale ?<br /><br /><img src="https://www.mediacongo.net/cache/mobutu_pres_zaire_17_002_jpg_640_350_1.jpeg" /><br /><br /> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Nous dirions oui, au plan du discours. Mais, dans les actes, c’est lui qui a réveillé, chez beaucoup de compatriotes, le démon du tribalisme et de l’éthnicisme. Que pouvait-on attendre d’un diplômé du secondaire exclu du cycle supérieur et universitaire du pays non pas à cause de sa médiocrité intellectuelle mais plutôt à cause de son appartenance à une tribu ou une ethnie en surnombre dans les classes de recrutement?<br /><br />Quel comportement peut-on exiger aux concitoyens victimes directes ou collatérales de l’épuration kasaïenne au Katanga, de l’opération « lititi mboka », des « enveloppes » dans l’armée, de « Bundi dia Kongo » dans le Congo d’aujourd’hui et de demain ? Comment vont-ils panser les plaies du passé si les discours de haine tribale et ethnique reviennent en force ? Si les Ne Kongo interdisent aux « « étrangers » de ne plus fréquenter « Lufu »… si les originaires font la même pour les « étrangers » qui vont chercher leur « fufu »… si ceux de l’Equateur et la Province Orientale ferment la porte aux bateaux et baleinières en provenance de Kinshasa à la recherche du poisson frais et fumé… Si le Maniema, le Grand Kasäi se proclament « indépendants » et déclarent leurs frontières inaccessibles aux autres, quel sort pour le Grand Congo ?<br /><br />Le Phare<p> </p>

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La députée nationale Dominique Munongo, princesse des « Bayeke », a lancé, il y a une dizaine de jour, à partir d’un plateau de télévision, ...

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M23: Le président Félix Tshisekedi ne parvient pas à assurer la stabilité à l'Est

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKoR6sbpUkpbdc9afHu80A2oyhNos1Kg1CnRwiwXS4mLPOP1BcKzxKsuNEw-W7F8VNWAB5ZRL5jB1wIL6x9bViej4FLNYjov-l28Fh8VNbVm27cz4BemeQ8PVc3w36KAuCluvytSr-VdJpiw3A-AjmipHFB8089wVqJ1EynoqQ-RziCfJPNX-nwUK2kw/s990/Snapshot_398.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="539" data-original-width="990" height="152" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKoR6sbpUkpbdc9afHu80A2oyhNos1Kg1CnRwiwXS4mLPOP1BcKzxKsuNEw-W7F8VNWAB5ZRL5jB1wIL6x9bViej4FLNYjov-l28Fh8VNbVm27cz4BemeQ8PVc3w36KAuCluvytSr-VdJpiw3A-AjmipHFB8089wVqJ1EynoqQ-RziCfJPNX-nwUK2kw/s280/Snapshot_398.jpg" width="280" /></a></div>La violence reste une réalité quotidienne au Kivu. Le président de la République, Félix Tshisekedi, ne parvient pas à en assurer la stabilité. Kris Berwouts, journaliste chez MO, voit comment la faiblesse de l’Etat conduit à l’éternel résurgence des groupes rebelles, comme le M23.<br /><br />Dans l’est du Congo, la violence reste une réalité quotidienne. Le président Tshisekedi ne parvient pas à en assurer la stabilité. Pour Kris Berwouts, journaliste chez MO, la faiblesse de l’Etat conduit à l’éternel résurgence des groupes rebelles, comme le M23. Le président Félix Tshisekedi a affirmé à plusieurs reprises vouloir être réélu, mais son bilan et ses promesses non-tenues devront se confronter aux regards des citoyens congolais.<br /><br />Depuis fin mars, le M23 est de nouveau actif au Nord-Kivu. Officiellement défait fin 2013, le groupe rebelle a repris les armes ces dernières semaines et capturé une douzaine de villages et de hameaux dans l’Est de la RDC. En mars, un hélicoptère des Nations unies a été abattu dans les combats, entraînant la mort de huit casques bleus. L’armée congolaise et le M23 s’accusent mutuellement. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le retour de cette milice met cruellement en lumière l’incapacité de l’Etat congolais à garantir la stabilité de la région, 10 ans après la chute de la ville de Goma. Avec le soutien du Rwanda, le groupe, dirigé par des Tutsis congolais, avait ainsi pris le contrôle du chef-lieu du Nord-Kivu fin 2012 et brièvement ébranlé le régime de l’ex président Joseph Kabila.<br /><br /><br />Sous pression de l’Union Africaine, une brigade d’intervention, la FIB, avait été créée au sein de la force de maintien de la paix des Nations unies pour appuyer les forces armées congolaises et neutraliser le M23. Dès sa mise en action, la FIB a obtenu des victoires rapides sur les rebelles… et fin novembre 2013, les casques bleus et les FARDC proclament officiellement leur victoire militaire sur le M23…<br /><br />A nouveau en position de force, le gouvernement congolais négocie et conclut un accord avec le leadership du M23 sur les conditions d’un possible retour en RDC. Les rebelles défaits disparaissent des radars. Certains pansent leurs plaies au Rwanda ou en Ouganda voisins.<br /><br />Discrètes cette dernière décennie, des unités du M23 sont régulièrement repérées au Congo… et des combats sporadiques sont signalés avec les militaires des FARDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Le groupe armé refait véritablement surface fin octobre 2021, avec l’attaque de plusieurs positions de l’armée.<br /><br />Officiellement, le M23 reproche aux autorités de Kinshasa de ne jamais avoir garanti leur retour pacifique en RDC. Fin mars, les rebelles intensifient leurs attaques et capturent plusieurs sites notamment dans le territoire de Rutshuru, au Nord de Goma et le long de la frontière ougandaise. Les combats ont provoqué le déplacement de milliers d’habitants.<br /><br />Militarisations<br /><br /><img src="https://afrique.lalibre.be/app/uploads/2022/03/rebelle-M23-rdc-nord-kivu.jpg" /><br /><br />Ce retour du M23 s’inscrit dans un contexte de pourrissement de la situation sécuritaire dans l’est du Congo. Lors de son accession au pouvoir en 2019, l’actuel président congolais Félix Tshisekedi a cherché le soutien populaire en faisant un certain nombre de promesses. Lutte contre la corruption, amélioration des conditions de vie, et, surtout, retour de la paix dans l’est. Pour l’instant Félix Tshisekedi n’y est pas parvenu. Dans les provinces d’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, la violence reste une réalité quotidienne.<br /><br />L’année 2021 marque un nouveau tournant. Le président Félix Tshisekedi impose un état de siège dans les provinces les plus touchées, l’Ituri et le Nord Kivu, qui contribue à militariser davantage la situation. Sur place, l’armée prend les rênes de l’administration et de la justice.<br /><br /><br />Initialement prévu pour durer 30 jours, l’état de siège est depuis systématiquement prolongé. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il est toujours en vigueur, sans grand résultat jusqu’à présent. Au lieu de réduire l’insécurité, les attaques rebelles et le nombre de victimes civiles sont restées au même niveau.<br /><br />Autre décision majeure : Fin novembre 2021, le président Tshisekedi autorise l’intervention de l’armée ougandaise sur le sol congolais. Cette décision intervient après l’échec de la mise en place de brigades mixtes composées de soldats des pays voisins. Une tentative remise en cause par l’opinion publique congolaise, qui a questionné publiquement l’intervention de soi-disant “alliés” censés ramener la paix… et ce alors que les tensions dans la région des Grands Lacs sont vives, particulièrement entre le Rwanda et l’Ouganda.<br /><br />Les deux pays se sont affrontés à plusieurs reprises sur le sol congolais. S’il s’agit d’une maigre consolation pour Kinshasa dans sa quête de soutiens extérieurs face aux rebelles, l’arrivée de troupes ougandaises signifie aussi en creux le manque de résultats de l’état de siège.<br /><br />Cette double militarisation a en outre entravé des initiatives de paix plus durables, telles que le dialogue entre les communautés, le renforcement de l’Etat et des services publics, le désarmement et la démobilisation des groupes rebelles, ou encore la médiation et la réconciliation. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Quel rôle pour le Rwanda ?<br /><br /><img src="https://static.euronews.com/articles/stories/06/61/37/94/560x315_cmsv2_59676bef-fc85-5b7a-9078-fb778ed33c1f-6613794.jpg" /><br /><br />Les autorités congolaises ont par ailleurs accusé leurs homologues rwandaises d’être dans l’ombre du M23. Les FARDC ont assuré avoir capturé des soldats rwandais pour appuyer ce message (il s’avère que ces prisonniers sont détenus depuis plusieurs mois déjà). De son côté, Kigali réfute les allégations de Kinshasa.<br /><br />Dix ans après la prise de Goma, la question congolaise est un sujet de discorde évidente au sein de l’élite politique et militaire rwandaise. Au sommet des forces armées rwandaises, le bureau du Congo est devenu un Etat dans l’Etat (sous les directions de Patrick Karegeya et Kayumba Nyamwasa, avant leur passage dans l’opposition à Paul Kagame). Être soutenu à partir du Rwanda ne signifie pas un appui du régime rwandais. Mais cette zone grise aboutit à la déstabilisation de l’est de la RDC.<br /><br />Promesses non tenues<br /><br />S’il est peu probable que les combats entre le M23 et les FARDC constituent une menace nationale, ils mettent cependant en lumière plusieurs problèmes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />D’abord l’incapacité des autorités congolaises à maîtriser la dynamique de la violence à l’est de la RDC. A moins de deux ans de la date théorique des prochaines élections, il sera difficile de tenir la promesse de la paix pour le président sortant Félix Tshisekedi.<br /><br /><br />Ensuite, les sensibilités régionales sont intactes 20 ans après la “deuxième guerre civile congolaise”. La RDC reste avant tout un territoire-poudrière où les conflits locaux interagissent avec les intérêts politiques aux niveaux provincial et national… avec des dynamiques transfrontalières potentiellement destructrices.<br /><br />Reste que les institutions multilatérales se sont aussi renforcées depuis. La RDC vient de rejoindre la communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) qui comprend en son sein le Rwanda et l’Ouganda. De quoi peut-être fournir un cadre pour une sortie de crise. Je l’espère.<br /><br />MO<p> </p>

Insécurité Province M23: Le président Félix Tshisekedi ne parvient pas à assurer la stabilité à l'Est

La violence reste une réalité quotidienne au Kivu. Le président de la République, Félix Tshisekedi, ne parvient pas à en assurer la stabilit...

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Nord-Kivu : plus de 70 patrouilles des combats menées par la Force de la MONUSCO pour assurer la protection des civils

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilokow1x9bduBamfbbpl_C-D0neTR_xHn_gvAQ9NgwSVyMhE5NpPk2B9w-YAaDB204RPPDgnJpF5dVb6wWaRDy7gK59gjRcVL_JDdnV0GAXfaVl7UzBxp-ItJPGK3uNHSDLTvM41xgJGke-roHmi_4EG-bDKpM971GwQYa5GF1Qo7VCpXVo7_YiQmEtg/s1036/Snapshot_396.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="775" data-original-width="1036" height="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilokow1x9bduBamfbbpl_C-D0neTR_xHn_gvAQ9NgwSVyMhE5NpPk2B9w-YAaDB204RPPDgnJpF5dVb6wWaRDy7gK59gjRcVL_JDdnV0GAXfaVl7UzBxp-ItJPGK3uNHSDLTvM41xgJGke-roHmi_4EG-bDKpM971GwQYa5GF1Qo7VCpXVo7_YiQmEtg/s280/Snapshot_396.jpg" width="280" /></a></div>Le secteur central de la Force de la MONUSCO a mené 77 opérations entre le 6 et le 9 avril dernier, entre autres dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu). <br /><br /> L’objectif, selon le porte-parole du secteur, le major Sachin Khokhar est d’assurer la protection des civils dans les lieux touchés par l’activisme et attaques les groupes armés. Les opérations qui comprennent notamment, les patrouilles des combats et rencontres avec les populations, visent aussi à se rendre compte de la situation des personnes déplacées dans ces zones, afin de bien assurer leur protection. <br /><br /> Ce bilan a été présenté au cours d’un point de presse, le mardi 12 avril à Goma par le porte-parole du secteur : <br /><br /> « Le secteur centre a effectué les missions de déploiement de combat statique, les patrouilles de longue portée, les réunions sécuritaires et celles d’engagements clés avec les leaders locaux, les patrouilles conjointes et missions héliportées depuis le 6 avril jusqu’à ce jour. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Toutes ces missions-là visaient à anticiper les préoccupations de protection des civils, surveiller et évaluer la situation sécuritaire dans la région, ainsi que renforcer la confiance des populations locales aux casques bleues, là où le secteur vue la présence des rebelles du M23, le secteur a mené les patrouilles de domination de terrain, blindées et motorisées. Parce que les civils ne doivent pas être victimes des bavures commises par les deux parties qui s’affrontent, des forces gouvernementales ou les éléments de rebelles », a indiqué le major Sachin Khokhar. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /> Il a ajouté : <br /><br />« Nous sommes les partenaires avec nos amis de FARDC, de la PNC et ceux de l’ANR et d’autres structures sécuritaires. Souvent pendant la semaine, il y a des réunions organisées pour au moins parler de la sécurité, mais aussi établir le système de partage des informations et les alertes précoces sur des situations qui menacent les civils. Renforcer la confiance de la population aux casques bleus de la MONUSCO », a-t-il précisé. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /> Parallèlement à ces opérations militaires, plusieurs autres activités ont été réalisées, en faveur des populations civiles dans ces zones instables, pendant cette période, par différentes sections substantives de la MONUSCO. Notamment, les Affaires civiles, les Affaires politiques, la Police des Nations Unies (UNPOL) ainsi que et la section de Protection de l’enfant… <div><b><br />radiookapi.net</b><p> </p></div>

Province sécurité Nord-Kivu : plus de 70 patrouilles des combats menées par la Force de la MONUSCO pour assurer la protection des civils

Le secteur central de la Force de la MONUSCO a mené 77 opérations entre le 6 et le 9 avril dernier, entre autres dans le territoire de Rutsh...

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Maniema : Ensemble pour la République appelle à l’unité pour développer la province

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwiJ1Vcq5ZAeLB0jy-Lsds1cclVzv5MgCIw_OXx-vc6cccRKRDEldXiazxYO9-NvyWFOVicvcOxNWlMEyFibEhXMJECWpkKUxcNdAWNfzXGUzTwcRN_WZctGafdM8D9alQafLBs-O9a4Msbd22seA0Mzen7QHdYRvN4iHt4m2GqDPeev1ojhcU0qRrDA/s983/Snapshot_393.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="983" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgwiJ1Vcq5ZAeLB0jy-Lsds1cclVzv5MgCIw_OXx-vc6cccRKRDEldXiazxYO9-NvyWFOVicvcOxNWlMEyFibEhXMJECWpkKUxcNdAWNfzXGUzTwcRN_WZctGafdM8D9alQafLBs-O9a4Msbd22seA0Mzen7QHdYRvN4iHt4m2GqDPeev1ojhcU0qRrDA/s280/Snapshot_393.jpg" width="280" /></a></div> «Nous avons besoin de l'unité dans la province du Maniema, l'unité dans la diversité », a déclaré mardi 12 avril, Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial en charge des questions politiques de Moïse Katumbi, président du parti politique Ensemble pour la République. Lors d’un rassemblement à Kindu, il a fait remarquer que des guéguerres des politiciens freinent le développement de la province. <br /><br />« Regarder les turbulences politiques que nous avons connues dans la province ça nous diminue et ça a même retardé le développement. Chaque fois qu'il y a des guéguerres politiques la population en pâtit et donc le développement ne peut pas se faire quand les politiques ne s'entendent pas », a estimé Salomon Idi Kalonda. <br /><br />Il a invité les députés provinciaux à faire « le choix de la raison » lors de l’élection du gouverneur pour donner à la province, « quelqu'un qui va amener au développement et non quelqu’un qui va nous tirer vers le bas. » <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Salomon Idi Kalonda va séjourner dans la province du Maniema pendant quatre jours. Il dit être venu pour se rendre compte des réalités de cette province et palper du doigts les problèmes auxquels font face la population de la province. <br /><br />Il a invité la population à adhérer massivement au parti Ensemble pour la République pour développer Maniema. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Seul Moïse Katumbi ne peut rien. Avec eux on peut beaucoup. Donc j'ai amené le parti Ensemble pour la République, j'ai demandé à cette population de l'accompagner. Moise Katumbi a besoin de la population du Maniema en général pour développer effectivement le Maniema », a-t-il indiqué.<br /><br />Radio Okapi<p></p>

Politique Province Maniema : Ensemble pour la République appelle à l’unité pour développer la province

«Nous avons besoin de l'unité dans la province du Maniema, l'unité dans la diversité », a déclaré mardi 12 avril, Salomon Idi Kalon...

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Sama Lukonde attendu ce lundi à Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTCems7gQzhvEirDgarpCB9d8bySLVIXcKDvOkxkmnHXVEMBgW5yGUE47u0WPerKhkRmoxz0pBy0tep-u6T3uGiM-slCKC7icgmZ3-KyDeEiS5EbWOb5jO0_LjDgEkojyiQBJh_TFSru7Ae2F8Gmy5ZTfDZ7lW879XiRxo9l228GAIQl3ZbEJxrD_fqg/s991/Snapshot_358.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="991" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTCems7gQzhvEirDgarpCB9d8bySLVIXcKDvOkxkmnHXVEMBgW5yGUE47u0WPerKhkRmoxz0pBy0tep-u6T3uGiM-slCKC7icgmZ3-KyDeEiS5EbWOb5jO0_LjDgEkojyiQBJh_TFSru7Ae2F8Gmy5ZTfDZ7lW879XiRxo9l228GAIQl3ZbEJxrD_fqg/s280/Snapshot_358.jpg" width="280" /></a></div>Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, est attendu à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, ce lundi 11 avril 2022. L’information est confirmée par la cellule de communication de la Primature.<br /><br /><br />A en croire la primature, Sama Lukonde accompagné de quelques ministres notamment celui de l’Intérieur, fait le déplacement de cette partie de la République démocratique du Congo pour évaluer l’état de siège mais aussi effectuer un état des lieux de la situation sécuritaire générale.<br /><br />Entre-temps, à l’aéroport international de Goma, les militants des partis politiques membres de l’Union sacrée de la Nation se sont mobilisés pour accueillir le premier ministre, Sama Lukonde.<br /><br />Ce déplacement intervient quelques jours après l’explosion d’un engin dans le chef-lieu du Nord-Kivu faisant 6 morts et 15 blessés. Et ce, malgré que cette province est sous l’état de siège, avec un gouvernement provincial militaire, depuis mai 2021. Après le Nord-Kivu, le premier ministre se rendra en Ituri pour le même motif.<br /><br />Acturdc.com<p> </p>

Politique Province Sama Lukonde attendu ce lundi à Goma

Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, est attendu à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, ce lundi 11 avril 2022. L’informat...

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RDC : Un appareil de la compagnie Mwant Jet a raté son atterrissage ce mercredi 06 avril à Kolwezi. Aucune perte en vie humaine !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirTBGh48bmApzcuGItNO1r1XgMTEuKJZO-9SWhszmav-T0_4d6imWysVz5-OSACm-L0bQ29ozbAvyiW1jVyaHUSxvaiJg_NCzW5_ZXkX1_GqmtkXg59KL5ud3lCIS3jonXO3uuw5k2W1w7S9GZBT3DwGCVyO2DPUbjfrJa-RP8ip-Fj9ueoZZf5Wd2MQ/s1106/Snapshot_329.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="655" data-original-width="1106" height="166" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirTBGh48bmApzcuGItNO1r1XgMTEuKJZO-9SWhszmav-T0_4d6imWysVz5-OSACm-L0bQ29ozbAvyiW1jVyaHUSxvaiJg_NCzW5_ZXkX1_GqmtkXg59KL5ud3lCIS3jonXO3uuw5k2W1w7S9GZBT3DwGCVyO2DPUbjfrJa-RP8ip-Fj9ueoZZf5Wd2MQ/s280/Snapshot_329.jpg" width="280" /></a></div>Après un atterrissage difficile, un appareil de la Mwant Jet a fini sa course dans la brousse à Kolwezi chef lieu de la province de Lualaba. Cet accident serait dû à des conditions météorologiques défavorables. Tous les passagers et membres de l’équipage sont sortis indemnes. Il avait à son bord 24 passagers et 5 membres de l’équipage, » le commandant, le copilote, deux hôtesses et un mécanicien de bord ».<br /><br /><br />Cet accident survient à Kolwezi au moment où les deux associés de cette compagnie d’aviation s’entre-déchirent à Kinshasa devant les cours et tribunaux. Le 28 mars dernier la cour d’appel Kinshasa/ Matete siégeant en matières civile et commerciale a parlé et confirmé la sentence du premier juge, évoquant les signes «précurseurs d’anéantissement de la Société», jugeant que c’est à bon droit qu’un administrateur provisoire a été désigné.<br /><br />En effet, Michael Yav, actionnaire minoritaire et Directeur financier de la compagnie aérienne privée Mwant Jet avait accusé Gueda yav, actionnaire majoritaire de mettre la société en péril de par sa mauvaise gestion et le refus de convoquer l’Assemblée générale statutaire.<br /><br />C’est ainsi que, le 21 février 2022, à la suite du jugement rendu du Tribunal de Commerce de Kinshasa/Matete rendu sous RC 1947, avait confirmé les risques d’anéantissement de la société et désigné un administrateur provisoire pour une période de six mois.<br /><br />Roger AMANI<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"><span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, "Helvetica Neue", Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; padding: 10px; width: 100%;"></span><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px;"></span></div><p> </p>

Province Société RDC : Un appareil de la compagnie Mwant Jet a raté son atterrissage ce mercredi 06 avril à Kolwezi. Aucune perte en vie humaine !

Après un atterrissage difficile, un appareil de la Mwant Jet a fini sa course dans la brousse à Kolwezi chef lieu de la province de Lualaba....

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