BA SANGO YA CONGO KINSHASA: culture

Mignon Abraham attendu pour une production le 01 avril à Matadi

April 01, 2018

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- L’artiste musicien, Mavinga Ngoma, dit Mignon Abraham, a annoncé samedi au cours d’un entretien avec l’ACP, qu’il se produira dimanche dans la ville de Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central. 
 
 
 
 
Cet ancien chanteur de Wenge BCBG, a promis au public un répertoire riche comprenant non seulement ses compositions personnelles mais aussi des chansons de l’orchestre cher à JB Mpiana. 
 
 
 
 
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L’auteur compositeur et interprète, Mignon Abraham, a lancé sur le marché du disque son tout premier album intitulé « Passe en Or », contenant onze titres parmi lesquels « Lituka », « Combattant », « Papa » « Avenir » « Merci » et « Fleur ».

culture Musique Mignon Abraham attendu pour une production le 01 avril à Matadi

- L’artiste musicien, Mavinga Ngoma, dit Mignon Abraham, a annoncé samedi au cours d’un entretien avec l’ACP, qu’il se produira dimanche d...

JT TELE 50 : André Alain Atundu insiste sur la nationalité Italienne de Katumbi et l ' UDPS promet de battre Kabila aux élections (vidéo)

March 25, 2018

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JT TELE 50 : André Alain Atundu insiste sur la nationalité Italienne de Katumbi et l ' UDPS promet de battre Kabila aux élections (vid...

L’artiste musicien Lutumba Simaro remet sa guitare d’or au Président Joseph Kabila

March 24, 2018

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc_-bHFEMVze3pD0WEGP54NYI680JY9bNixELsEA2XdJolWwhIhFLKYttgAemn_X2WJ_2D_jScVIr8FY55qMP-HfMHzuy-kWd5h_sldSCiVXG_JDLYg8cVftH6zhRuhe6L80nfCBEP8vTo/s1600/Snapshot_4028.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="472" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc_-bHFEMVze3pD0WEGP54NYI680JY9bNixELsEA2XdJolWwhIhFLKYttgAemn_X2WJ_2D_jScVIr8FY55qMP-HfMHzuy-kWd5h_sldSCiVXG_JDLYg8cVftH6zhRuhe6L80nfCBEP8vTo/s280/Snapshot_4028.jpg" width="280" /></a></div>
 L’artiste musicien Lutumba Ndomanueno, alias Simaro Masiya, leader de l’orchestre Bana OK, a remis vendredi à Kinshasa, sa guitare d’or au Président de la République, Joseph Kabila Kabange, par l’entremise de son Directeur de cabinet-adjoint en charge des question Politique, administrative et juridique, Jean-Pierre Kambila. Cette remise a été faite à l’occasion de la célébration de 80 ans d’âge (jubilée d’or) et de 60 ans de carrière musicale de cet artiste, marquant ainsi sa retraite de la carrière musicale active. Le représentant du Chef de l’Etat à cette cérémonie, a , à cette occasion, fait savoir que la RDC, dans tous ses « compartiments« , remercie et félicite le poète Lutumba pour avoir amené la guitare congolaise à un niveau très élevé à travers un chapelet de musique aux thèmes riches et variés, après Boane, Wendo et Brazos , ajoutant que cette guitare sera placée soigneusement au musée national. Il a rappelé, par ailleurs, que le Directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Pr. Néhémie Mwilanya Wilondja, a rendu visite à Lutumba en son domicile, sur demande du Chef de l’Etat, le samedi 17 mars dernier, en guise de reconnaissance de toute la Nation congolaise pour ses œuvres musicales de haute facture. Au cours de cette cérémonie, l’orchestre de chambre de l’Institut national des arts (INA), conduit par son Directeur général, le Pr. Yoka Lie Mundaba, a, en guise de cadeau offert à l’artiste à la retraite, interprété uniquement en instrumental les chansons Mabele et Nalembi, deux des œuvres à succès de Lutumba Simaro. « Si ces deux chansons sont interprétées rien qu’en instrumental, c’est parce que la musique est faite d’abord pour être écoutée« , a dit le Pr. Yoka. A 23heures 03 minutes, Lutumba Simaro est monté sur la scène pour la toute dernière fois. À la tête de l’orchestre Bana OK au grand complet, associant pour la circonstance, Verckys Kiamwangana Mateta au saxophone, le groupe a interprété des dizaines d’œuvres à succès de Lutumba notamment Maya, Muzi, Finfi nazali innocent…etc. Plusieurs personnalités du monde politique, des affaires, sportif et culturel ont pris part à cette cérémonie. Parmi les artistes musiciens présents à cette cérémonie, on a noté notamment Koffi Olomidé, Félix Wazekwa et Jean Goubal.

culture la Nation Musique L’artiste musicien Lutumba Simaro remet sa guitare d’or au Président Joseph Kabila

L’artiste musicien Lutumba Ndomanueno, alias Simaro Masiya, leader de l’orchestre Bana OK, a remis vendredi à Kinshasa, sa guitare d’or a...

L’AVENUE MUSHIE À LINGWALA PORTE DÉSORMAIS LE NOM DE LUTUMBA SIMARO

March 20, 2018

* L’artiste annonce une production de trois concerts pour ses 80 ans d’âge.

L’avenue Mushie dans la commune de Lingwala, à Kinshasa, ne s’appellera plus comme telle. Cette célèbre artère porte désormais le nom du poète Lutumba Simaro. Ainsi en a décidé l’Hôtel de ville de Kinshasa. La débaptisation de cette avenue coïncide avec le 80ème anniversaire de cet artiste, célébré hier lundi 19 mars.

Trois concerts marqueront les festivités de 80 ans d’âge de Lutumba Simaro Masiya. L’artiste-musicien s’est d’abord produit hier lundi 19 mars au Dancing bar 1, 2, 3 chez Mama Kulutu, où lui et Luambo Makiadi ont fait la pluie et le beau temps.
Ensuite le président de Bana Ok donnera un concert le jeudi 22 mars sur rue Kamina numéro 24 au quartier Yolo-Nord. Et le vendredi 23 mars ce sera le tour la salle ShowBuzz, sur l’avenue Colonel Mondjiba, à Ngaliema, qui aura le privilège de recevoir l’artiste, dont les années ont été marquées par plus de 60 ans de carrière artistique de manière ininterrompue.
Mais en attendant ces productions scéniques, le bien heureux est comblé de cadeaux. Le chef de l’Etat a été le premier à ouvrir le bal en envoyant à l’artiste un message, par l’entremise de son directeur de cabinet. Il s’en est suivi les présents de plusieurs cadres, mandataires publics, fanatiques et autres admirateurs qui ne cessent de défiler à Lingwala, en son domicile, en vue d’honorer l’artiste. 
Ce qui flatte non seulement son épouse Kelani, mais également ses voisins du quartier qui voient, à travers ces nombreux gestes, une marque de reconnaissance de tout un pays, à l’égard de celui qui a honoré la culture congolaise pendant 60 ans.
"J’ai accompli ma mission. Que les autres suivent mes pas et qu’ils n’empruntent pas des voies immorales. Je me considère comme un professeur de musique. Ce que je demande aux jeunes, c’est de bannir des insanités dans les chansons et dans la danse". "Nous ne devons pas imiter aveuglement les cultures des autres. On doit être capable d’enseigner à travers la musique", a prôné le sage Simaro Lutumba, hier à un groupe de jeunes, venu féliciter ce baobab de la musique congolaise.

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* L’artiste annonce une production de trois concerts pour ses 80 ans d’âge. L’avenue Mushie dans la commune de Lingwala, à Kinshasa, ne s...

Ursule Peshanga brise le silence pour parler de son nouveau Film " la fille de son père " (vidéo)

February 15, 2018

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Ursule Peshanga brise le silence pour parler de son nouveau Film " la fille de son père " (vidéo)

Micro baladeur Kinshasa : le Coltan eza nini ? chapitre nini eza na kati kati ya Bible ? (vidéo)

January 30, 2018

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Marc House explique : Ferre Gola ba salaka Wenge MM avec Werrason , Masela et Adolphe.(CAREFOUR AVEC FIFI SIWA ET PATIENCE IBENGO)

January 30, 2018

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Le dossier du soir avec Jean Kambayi : ÉCRIVAIN CONGOLAIS NI LU, NI ACHÈTE (vidéo)

November 07, 2017

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" AVOCAT GENERAL " DES AGRICULTEURS DE KINSHASA FAIKIN 2017 : A. KIMBUTA ENCOURAGE DES MARAÎCHÈRES ET DES CHERCHEURS DE L’ISTA AVEC 20. 000 USD

August 28, 2017

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La Foire agricole internationale de Kinshasa (Faikin) 2017 a vécu. Le Forum « Entreprendre, innover et investir », sa colonne vertébrale, également. Les agriculteurs de Kinshasa peuvent ainsi se frotter les mains. Leur participation n’aura pas été vaine. 
 
Le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, a promis de débloquer 10 .000 USD pour les maraîchères de la capitale le vendredi 25 août dernier à la clôture du Forum « Entreprendre, innover et investir » de la Faikin 2017. 
Il a assuré également à ces " mamans maraîchères " sa protection. André Kimbuta a rassuré à ce propos : " Je suis votre avocat général. Ne craignez rien. Nous avons été à l’école grâce à votre travail. Et, aujourd’hui, nous nous sommes-là pour vous. Nous vous octroyons 10.000 USD pour vous encourager dans votre travail. " 
Et d’ajouter : " Bakobotola bino bisika soki nga nakufi. Entendez : on ne pourra spolier vos terrains que si je meurs. De mon vivant, cela ne se fera jamais ! " 
Le Gouverneur de Kinshasa ajoute, séances tenantes, une nouvelle attribution au ministre provincial de l’Agriculture et Développement, Kabemba Okanja Magloire. Il s’occupera désormais des Affaires foncières de la ville. 
Toujours dans le cadre de ce Forum, André Kimbuta a accordé une prime de 10.000 USD à un groupe d’étudiants de l’Ista dans le cadre des efforts en matière de recherche liée au développement de l’agriculture… 
 
LE FORUM DE LA 2EME FAIKIN, UNE REUSSITE 
Le n° 1 de la ville s’est dit impressionné par la qualité et la profondeur des débats du Forum de la 2ème Faikin. Tout en en reconnaissant l’intérêt. Il n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à l’égard de tous les participants à ces travaux, qui ont duré trois jours. 
« Cette assiduité, a dit le gouverneur Kimbuta, a consacré le succès des assises. Grâce à l’apport d’un chacun, il convient de dire que les objectifs ont été atteints ". 
Ce Forum a encouragé entre autres la promotion des petites et moyennes entreprises agricoles, la structuration des productions en groupement, la sécurisation des sites agricoles, les innovations, la protection des créations intellectuelles, la promotion du développement des assurances agricoles, la vulgarisation des innovations ; la protection des créations intellectuelles… 
L’accent portait sur le développement de l’agriculture et de la relance agricole. Car, le secteur agricole est aujourd’hui appelé à jouer son rôle de moteur de développement. 
 
FAIKIN, UN HAPPY END 
La clôture de la 2ème Faikin a eu lieu hier. Un happy end, dirait-on. Car, la Foire a drainé du monde. La curiosité pour beacoup de Kinois reste l’espace agropastoral. Les animaux des fermes : le gros porc de la ferme présidentielle de Kingakati (450 kg), les chevaux, les buffles, les taureaux… 
Dans le village des pêcheurs, les gens se sont s’amusés à monter dans une pirogue qui voguait dans un petit lac artificiel. 
Pour le petit Jacques Mena, 8 ans, venu avec ses parents à la Foire agricole,c’était du jamais vu, embarquer à bord d’une pirogue. Il est très joyeux de prendre une pirogue. « J’avais peur au début, mais après, j’ai fini par m’habituer ». 
Madame Cécile Zanzu, elle, se dit impressionnée par l’espace de la Ferme de l’espoir, notamment par le gros porc dont on dit que la femelle met bas une vingtaine de petits par portée. 
Agriculteur, Samuel Kenda connait l’importance de cette rencontre foraine. " Je pensais que j’étais arrivé au bout de la connaissance en agropastorale. Ici, j’ai compris que je peux aller au-delà. Il y a des races porcines que je viens de découvrir à la Faikin : le porc large white qui pèse 450 kg. De même, le porc piétrain bon pour la viande, selon les amis de la ferme de l’Espoir… " J’ai aussi découvert qu’à partir de l’agriculture, je peux passer à l’agro-alimentaire ". C’est merveilleux que je sois venu ici. Je ne le regrette pas… 
Les jeux, ont aussi occupé les enfants. La boisson a coulé à flots. la nourriture aussi a été consommée à satiété. L’ambiance foraine n’a ainsi pas quitté le site de l’Académie des beaux arts… Zéphy VULA

" AVOCAT GENERAL " DES AGRICULTEURS DE KINSHASA FAIKIN 2017 : A. KIMBUTA ENCOURAGE DES MARAÎCHÈRES ET DES CHERCHEURS DE L’ISTA AVEC 20. 000 USD

Au tour de Kinshasa culture " AVOCAT GENERAL " DES AGRICULTEURS DE KINSHASA FAIKIN 2017 : A. KIMBUTA ENCOURAGE DES MARAÎCHÈRES ET DES CHERCHEURS DE L’ISTA AVEC 20. 000 USD

La Foire agricole internationale de Kinshasa (Faikin) 2017 a vécu. Le Forum « Entreprendre, innover et investir », sa colonne vertébrale,...

COLONIE DE VACANCES 2017 : LE GROUPE KA DU CLAN SAINT FRANÇOIS DE SALES A ÉRIGÉ DOMICILE À MATETE

August 16, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJGVUat2r7-YyJ8Un8GdX2OqwOX_IEHwUVHh20h5D5WCZux_Gowdo17OdstOls3nVHsYBwzV7GORw_p6bWbnb8sTIZVWPHE2KWbSRCGPIn9LNPKR26lchnNka2hSvxsguAUKtRlNLLxH-6/s1600/Snapshot_493.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" height="367" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJGVUat2r7-YyJ8Un8GdX2OqwOX_IEHwUVHh20h5D5WCZux_Gowdo17OdstOls3nVHsYBwzV7GORw_p6bWbnb8sTIZVWPHE2KWbSRCGPIn9LNPKR26lchnNka2hSvxsguAUKtRlNLLxH-6/s280/Snapshot_493.jpeg" width="280" /></a> 
Une délégation du groupe Kizito Anuarite (KA) de la Paroisse Saint François de Sales de Kintambo est en colonie de vacances. Pour cette année, l’Abbé Vicaire Hora Mambu, aumônier des KA de cette paroisse a jeté son dévolu sur la paroisse Saint Alphonse de Matete. La délégation a prévu un séjour de 5 jours (du lundi 14 août au samedi 19 août). 
 
Fort de 140 personnes, le clan Saint François de Sales a posé ses valises dans l’enceinte de la paroisse Saint Alphonse, pour finir en beauté son année initiatique 2016-2017, qui a débuté au mois d’octobre et prendra fin le 03 septembre prochain. 
Le thème général retenu pour cette année est :"Celui qui est en Christ est une nouvelle créature" (2 Corinthiens 5, 17). 
C’est pendant les vacances scolaires que sont organisées les colonies de vacances, selon les directives des coordinations diocésaines des KA, aux niveaux paroissial, décanal voire diocésain. 
 
DES ACTIVITES LUDIQUES 
Ce moment est très capital pour les enfants, après neuf mois d’intenses activités, en passant par les cabanes initiatiques (tests), condition sine qua non pour se hisser à l’étape suivante au cas où l’enfant réaliserait un résultat escompté. 
C’est un haut lieu des divertissements, des jeux, d’approfondissements des enseignements doctrinaux, intellectuel, moral, civique religieux, spirituel, pratique...D’où l’obligation d’apporter un cahier de formation, un stylo, une bible et un chapelet. 
 
ORGANISATION DE LA COLONIE DE VACANCES 
La structure d’encadrement des KA pendant cette période riche en couleur est inspirée de l’image d’une maison abritant une famille. Une maison avec une pierre de fondation ou « Libanga », un pilier ou « Likonzi » et des murs ou « Efelo » en lingala. Ces trois structures dirigent la colonie de vacances. 
Le "Likonzi" est l’ensemble de prêtres, religieux et parents, dont les Assistants Spirituels s’occupent de l’encadrement général, de l’instruction voire de la coordination des activités. 
Le "Libanga" regroupe les encadreurs choisis d’avance et préparés pour la direction exécutive de la colonie. L’"Efelo" est l’ensemble d’encadreurs qui accompagnent les KA. 
L’année dernière, les Kizito et Anuarite de la Paroisse Saint François de Sales étaient en colonie de vacances dans la Paroisse Saint Tharcisse, au quartier Kimbuala dans la commune de Ngaliema. Gloire

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Une délégation du groupe Kizito Anuarite (KA) de la Paroisse Saint François de Sales de Kintambo est en colonie de vacances. Pour cette ...

Tobongisa : Me Liyolo alakisi famille na ye abota na mundele et ba oeuvre asala déjà na carrière na ye (vidéo)

July 18, 2017

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Tobongisa : Me Liyolo alakisi famille na ye abota na mundele et ba oeuvre asala déjà na carrière na ye (vidéo)

6ème volume des Classiques de la Rumba : la chanteuse Fass Tess frappe encore !

July 15, 2017

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*Au talent innombrable, Thérèse NGOYI, mieux connue sous le nom de Faya Tess, Sirène d’eau douce, n’est pas une chanteuse à présenter dans l’arène musicale congolaise. Cette héritière légendaire de la rumba a fait la pluie et le beau temps aux côtés du Seigneur TABU LEY. Dotée d’une voix limpide hors pair, elle figure parmi les rares femmes qui défendent et valorisent avec ferveur la rumba originelle jusqu’à nos jours. 
 
Voilà qui justifie l’importance que Faya Tess accorde à son projet en cours intitulé «Au Temps des Classiques» dont le but consiste à rendre hommage aux pères géniteurs et vétérans de la Rumba congolaise. 
 
Basée à Paris, la chanteuse poursuit avec détermination ce projet grâce au soutien moral et à l’encadrement de la maison «Air Monde Culture» de M. André TETU. 
 
Pour cette série, la Sirène d’eau douce vient de lancer le 6ème volume de «Temps des Classiques», sur le marché international de disques. Une compilation de haute facture dans laquelle elle exhume les meilleures compositions musicales signées par les grands esprits de la rumba. A travers sa sublime voix, la cantatrice vénère et consacre une part belle aux groupes légendaires tels que Maquisards, OK Jazz, Afrisa et Bantou de la Capitale. 
 
Très enchanteresse, l’œuvre est composée de 16 titres percutants repartis en double CD audio, coffret. Par exemple, au niveau du CD 1, on peut retrouver des tubes comme «Boma ngai to bomona » de Madilu System, «Kinshasa» de Tabu Ley, «Monzo » de Josky Kiambukuta, « Zando ya tipo tipo » de Michel Boyibanda et tant d’autres. Tandis que le CD 2 est nourri des chansons anthologiques telles que « Mbawu na ko récupérer yo » et « Inoussa » du poète Lutumba Simaro, «Zadio» de l’immortel guitariste Dr. Nico Kassanda, «Marceline» du Grand maître Franco, «Ibrahim» de Dino Vangu, etc. 
 
Bravo l’artiste ! 
 
Artistiquement, cette série est l’expression d’un travail rocambolesque qui a été réalisé avec le concours des géants artistes congolais. La chanteuse a repris de manière spécifique, avec une touche féminine séduisante qui mérite une particulière attention de mélomanes, des tubes à succès. 
 
A l’instar de la voix douce de Faya Tess, l’œuvre a connu l’intervention musclée de l’ancêtre Nyboma Kanta ainsi que Wuta Mayi, deux icônes de la rumba dont les puissances vocales ont illuminé le travail. 
 
Par ailleurs, on a noté la technicité irréfutable de l’infatigable Caen Madoka qui a apporté du tonus au niveau rythmique grâce à sa touche magique à la guitare solo, bass et accompagnement. Tous ont œuvré sans repli à la réalisation de ce projet multidimensionnel. 
 
Toutefois, l’ancienne diva de l’Afrisa a exprimé sa gratitude aux deux grands mécènes de la culture africaine. Il s’agit particulièrement du Maître Alexis Vincent Gomez et Monsieur le Maire Hugues Ngouélondelé, pour leur soutien à ce projet, visant à perpétuer la rumba qui est devenue un patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. 
 
Dans l’ensemble, les 6 volumes constituent une sélection des chansons inouïes qui, parfois, caractérisent la pertinence d’une génération de musique « Fiesta & Odemba», deux grandes écoles de la rumba congolaise. Des tubes références qui rappellent les merveilles du passé. En ce qui concerne la distribution, le coffret de CD est déjà en vente au 101, chez M. Henri, Rue Faubourg, St Denis Paris 75010 et aussi à Kinshasa. Pour tout contact : +243 89 50 93 507.

culture Musique 6ème volume des Classiques de la Rumba : la chanteuse Fass Tess frappe encore !

*Au talent innombrable, Thérèse NGOYI, mieux connue sous le nom de Faya Tess, Sirène d’eau douce, n’est pas une chanteuse à présenter da...

Les Artistes de Goma dénoncent la Guerre d ' agression en RDC (vidéo)

July 14, 2017

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Les Artistes de Goma dénoncent la Guerre d ' agression en RDC (vidéo)

A LA PRIMATURE, LE FRANÇAIS SEULE LANGUE DE TRAVAIL

June 20, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfojAs6C07hjixCUGbeRTEbLFsdN8GPKNZ-lICKxzQverxwrCFZZMz9dtiUrV7kaSsI1SNJolBz2Pl79uiBAndutMTk9xP8MIm6wxhw5aUx7FYgG7JbbTWL0srLtibZvbq7h0dLKxFqWTw/s1600/Snapshot_92.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfojAs6C07hjixCUGbeRTEbLFsdN8GPKNZ-lICKxzQverxwrCFZZMz9dtiUrV7kaSsI1SNJolBz2Pl79uiBAndutMTk9xP8MIm6wxhw5aUx7FYgG7JbbTWL0srLtibZvbq7h0dLKxFqWTw/s280/Snapshot_92.jpeg" width="280" /></a></div>
 
Le directeur de cabinet du Premier ministre Bruno Tshibala a, dans une note d’instruction rendue publique hier lundi 19 juin, rappelé que le français est la langue officielle de travail sur le site de la Primature. Dans ce document daté du 17 juin, Michel Nsomue Nsomue précise que la directive concerne les membres du cabinet, le personnel entrant et sortant. 
 
On espère voir d’autres ministères emboîter le pas à la Primature. Car dans nombre de cabinets ministériels, l’usage du français est facultatif. Au point que lorsque le ministre est originaire d’un coin donné du pays, le visiteur a l’impression d’avoir à faire à un bout du village de son Excellence… Bon vent à cette mesure.

culture Société A LA PRIMATURE, LE FRANÇAIS SEULE LANGUE DE TRAVAIL

Le directeur de cabinet du Premier ministre Bruno Tshibala a, dans une note d’instruction rendue publique hier lundi 19 juin, rappelé que...

LA 7ÈME ÉDITION DU FESTIVAL « ÇA SE PASSE À KIN » VALORISE LE THÉÂTRE CONGOLAIS

June 05, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Kka20gMJemkaBAVNFQ54yQw4aC78wb3KE9bG1cxcp4ebF9lCXniCYVMjzYOonj8WdrkWF5uOpSjhURDdOKykF9FQJt8ZzzjMPCyxCrDriexiTG245gq6M8h2-cmFPUk3iyxpLUrKP6gZ/s1600/Snapshot_228.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="485" data-original-width="645" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Kka20gMJemkaBAVNFQ54yQw4aC78wb3KE9bG1cxcp4ebF9lCXniCYVMjzYOonj8WdrkWF5uOpSjhURDdOKykF9FQJt8ZzzjMPCyxCrDriexiTG245gq6M8h2-cmFPUk3iyxpLUrKP6gZ/s280/Snapshot_228.jpeg" width="280" /></a></div>
 
La 7ème édition du Festival internationale du théâtre, « Ça se passe à Kin », a été lancée depuis le vendredi 2 juin, place « Tarmac des auteurs » à Kintambo, par le ministre provincial de la culture, Ruphin Bayambudila. Plusieurs pièces de théâtre, des séquences de musique, de percussion, ainsi que des ateliers de formation avec les jeunes artistes congolais sont prévus jusqu’au jeudi 8 juin. Objectif, raviver le théâtre congolais. 
 
Le théâtre congolais, au sens strict du terme, n’existe pas. Mieux, on dirait qu’il est encore à sa phase embryonnaire, au regard du nombre croissant d’étudiants en art dramatique que déverse actuellement sur la scène l’Institut National des Arts (INA). Cette assertion, quoique sujet à controverse dans le milieu des artistes comédiens dans la mégapole kinoise a quelque chose de vrai. 
Ce constat n’a pas échappé à Israel Tshipamba, initiateur et directeur du Festival « Ça se passe à Kin ». C’est ce qui, explique-t-il, l’a poussé à initier ces rencontres théâtrales à fréquence régulière, avec pour objectif de faire naitre, sinon de raviver le théâtre congolais. « Le théâtre, c’est d’abord le texte écrit selon un style narratif techniquement valable. Mais aussi la capacité à pouvoir le rendre dans une salle », a-t-il martelé. 
 
PROMOUVOIR LES ACTEURS CONGOLAIS 
Plusieurs sites sont retenus pour cette 7ème édition du festival « Ça se passe à Kin ». A savoir, l’espace Bilembo, le Centre Wallonie Bruxelles, l’Institut français et le Tarmac des auteurs. La particularité de cette édition, rapportent les organisateurs, est la présentation des pièces de théâtre écrites par des jeunes artistes congolais, en l’occurrence le texte « Histoire générale des murs ». 
Écrit par l’un des jeunes auteurs formés au sein de « Tarmac des auteurs », ce texte à la fois allégorique et concret raconte l’histoire de la confrontation entre deux femmes voisines séparées, non seulement par un mur mitoyen, mais aussi par l’appartenance à des classes sociales distinctes. 
« Le plus grand objectif de ce festival est de rendre la parole aux artistes congolais, que le théâtre soit authentiquement pensé par les Congolais. A travers le travail que nous faisons, nous avons actuellement des artistes au pays qui écrivent leur théâtre, qui racontent leur monde, leur cité, leur vision du monde par des textes bien élaborés et sont capables de les rendre avec efficacité. », a indiqué Israel Tshipamba. 
Pour la journée de vendredi 2 juin, au Tarmac des auteurs, le public a assisté au conte du texte « 4 heures du matin » d’Ernest Gaines, mis en scène par Hassane Kassi Kouyayé. Cet acteur conteur, pétri de qualités à la fois artistiques et oratoires, d’origine brazzavilloise, avait une heure durant, suspendu l’attention des amoureux du théâtre. 
« 4 heures du matin », c’est l’histoire de Procter Lewis, un jeune noir de 19 ans, incarcéré pour avoir tué son adversaire pour une histoire de femme. Il a été incarcéré à la prison de Comté où tous les policiers sont blancs à tendance raciste. Il rencontra dans sa cellule Hattie, un transsexuel et manipulateur, ainsi que Mumford. Face à un système d’aliénation trouvé dans cette prison, ce personnage avait le choix entre se laisser prendre ou lutter pour sa dignité. 
 
LA RUMBA AU RENDEZ-VOUS 
La soirée n’a pas eu que du théâtre. Elle a été davantage agrémentée par un concert de musique donné par le groupe Petit Wendo. Le public constitué à moitié d’expétriés européens s’était vite invité à la piste pour exécuter quelques pas de danse, à travers de vieux titres de la rumba congolaise. 
Le samedi 3 juin, les amoureux de l’art dramatique s’étaient réunis à 19 heures, à l’espace Bilembo, dans l’enceinte du complexe Utexafrica, à Gombe. Ils ont assisté au conte du texte « Alenda », avec Laetitia Ajanohun, avant de rejoindre le « Tarmac des auteurs » un peu plus tard pour écouter le texte « Levier » de Vanessa Montfort, mis en scène par Israel Tshipamba. 
Le programme d’hier dimanche 4 juin a commencé à l’espace Bilembo, avec le conte du texte « La dernière nuit » de Yasmina Khadran, adapté et mis en scène par Roland Mahauden et Israel Tshipamba. Il s’est clôturé au « Tarmac des auteurs », sur le texte « Délestage » de David Minor Ilunga, mis en scène par Roland Mahauden. 
La journée d’aujourd’hui sera riche en spectacle avec des artistes congolais formés par le Tarmac des auteurs. La première partie sera consacrée à la présentation du texte « Cyrano à Kinshasa ». Elle sera suivie de la présentation du texte tant attendu « Histoire générale des murs » de Sinzo Aanza, mis en scène par Philip Boulay. 
Plusieurs autres spectacles et ateliers de formation sont annoncés. Un spectacle de percussion est prévu pour ce mercredi 7 juin au Tarmac des auteurs, suivi d’une lecture spectacle sur le texte « Tram83 » à l’Institut français. La fin de ce festival sera sanctionnée par un spectacle de théâtre intitulé « Le cercle de craie ».

culture LA 7ÈME ÉDITION DU FESTIVAL « ÇA SE PASSE À KIN » VALORISE LE THÉÂTRE CONGOLAIS

La 7ème édition du Festival internationale du théâtre, « Ça se passe à Kin », a été lancée depuis le vendredi 2 juin, place « Tarmac des ...

“La 4ème Semaine française a été une manifestation tout à fait réussie” (Samuel Pasquier, Institut Français)

May 29, 2017

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 Samuel Pasquier, directeur de l’Institut Français de Kinshasa, s’est dit satisfait de l’affluence du public à la 4ème semaine française de Kinshasa qui a fermé ses portes le 27 mai dernier. Dans une interview accordée à ACTUALITE.CD, le directeur de l’institut français a invité le public à venir découvrir les différentes activités que cette structure offre au public congolais. Qu’est ce qu’on retient de cette 4ème Semaine française de Kinshasa? On retient une forte affluence, une manifestation tout à fait réussie. Pour moi il est encore trop tôt pour avoir du retour de la part des exposants. Mais du côté public, j’ai le sentiment qu’il est satisfait car il a pu rencontrer des nombreuses entreprises. Je crois qu’il y a aussi toute une satisfaction par rapport à ceux qui ont pu déposer leurs CV pour rencontrer des nouveaux employeurs. C’était une belle manifestation. On a eu du beau temps. Pour vous quelles étaient les opportunités pendant cette semaine ? Je crois que c’était de faire du réseautage. C’est d’une certaine manière de permettre aux entreprises congolaises ou françaises de se rencontrer, de présenter son produit à vendre et évidemment de pouvoir rencontrer des clients potentiels. Qu’est-ce que l’Institut français a comme profit en retour ? L’Institut français dans ses dispositifs, c’est principalement la mise à disposition du lieu. La semaine française est organisée par la chambre de commerce franco congolaise en partenariat avec l’institut français. Nous n’attendons rien en retour si ce n’est de faire connaître le lieu, pouvoir faire profiter les Kinois. Pareillement nous profitions des l’affluence du public pour communiquer sur nos activités, que ce soient les cours de langues ou évidemment les activités culturelles qui sont bien connues ici. Quelles sont les perspectives d’avenir ? C’est la chambre de commerce et d’industrie franco-congolaise qui déterminera les perspectives. C’était la quatrième année, l’année de la maturité et du bilan. Pour la prochaine édition il faudra tirer les enseignements de quatre dernières années écoulées et voire s’il est nécessaire de faire évoluer les choses. A partir de la 5ème année on commence à réfléchir sérieusement. Mais là pour moi il est trop pour tirer des enseignements parce que personnellement c’est ma première édition en tant que directeur. Un mot au public ? Un grand merci à ACTUALITE.CD parce que vous faites un travail remarquable et je vous encourage à continuer. L’institut français est trop sensible à toutes ces dynamiques numériques qui y a à Kinshasa. Tout le monde est bienvenu. Venez découvrir nos activités, venez prendre des cours des langues chez nous et venez au spectacle.

culture “La 4ème Semaine française a été une manifestation tout à fait réussie” (Samuel Pasquier, Institut Français)

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Semaine française : Robinio Mundibu et Slimane au rendez-vous pour la 2ème soirée FEST’ KIN

May 26, 2017

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 Pour la deuxième soirée du Festival international de musique de Kinshasa (FEST’KIN), deux artistes vont se produire sur scène ce vendredi 26 mai 2017 devant le public congolais. D’un côté il y aura le chanteur congolais Robinio Mundibu. Celui-ci est, ce dernier temps, au sommet de la sphère musicale congolaise grâce notamment à son tube « Tsha Nanu Boye », rendu particulièrement notoire à travers sa danse « Mapeka Epaulette ». Et de l’autre côté, il y aura le chanteur français Slimane. Ce dernier est connu avant tout pour avoir remporté, l’année dernière, la cinquième saison de The Voice, une compétition de musique basée essentiellement sur l’élection de la meilleure voix de l’Europe. « La soirée va commencer à 19 heures 30. Les places de concert sont bien sûr payantes. Le prix du billet est à 25 dollars, le prix de la tribune est à 50 dollars et le VIP est à 200 dollars. On invite le public à venir très nombreux ce soir. C’est avec plaisir qu’on va vous accueillir », a dit Hèlène Duffar Champredon, directrice générale de la Chambre de Commerce de l’Industrie franco-congolaise. La première soirée de FEST’KIN s’est déroulée le jeudi 25 mai 2017 avec l’artiste Jossart Nioka Longo et son groupe Zaïko Langalanga. Ce soir, Robinio Mundibu et Slimane vont donc clôturer cette série de concerts qui se livrent dans le cadre de la 4ème édition de la Semaine française à Kinshasa.

culture Semaine française : Robinio Mundibu et Slimane au rendez-vous pour la 2ème soirée FEST’ KIN

Pour la deuxième soirée du Festival international de musique de Kinshasa (FEST’KIN), deux artistes vont se produire sur scène ce vendredi ...

Papa Ngalufar akanisi Lokuli mingi apesi ba raisons aboya kozua photocopie naye na groupe(vidéo)

May 26, 2017

culture Papa Ngalufar akanisi Lokuli mingi apesi ba raisons aboya kozua photocopie naye na groupe(vidéo)

Papa Ngalufar akanisi Lokuli mingi apesi ba raisons aboya kozua photocopie naye na groupe(vidéo)

SEMAINE FRANÇAISE DE KINSHASA ALAIN RÉMY RASSURE LA RDC DE L’ENGAGEMENT DE LA FRANCE

May 25, 2017

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Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères a lancé hier mercredi 24 mai dans la soirée à la halle de la Gombe, la 4ème édition de la Semaine française. Cette activité économique et culturelle, qui va se clôturer le samedi 27 mai, est organisée par la Chambre de commerce et d’industrie franco-congolaise (CCIFC) et l’ambassade de France en RDC. Le thème retenu est : "RDC, terre du numérique et de l’agri- business". 
 
« La Semaine française de Kinshasa a pour objectif principal de créer des synergies entre l’offre française et celle de la communauté congolaise des affaires », a déclaré l’ambassadeur Alain Rémy. À cette occasion, a-t-il poursuivi, il y aura des forums et tables rondes qui seront axés sur le Numérique et l’Agr-business. Aussi, ajoute le diplomate français, un atelier sur l’Emploi-Formation est prévu, suivi de l’organisation du Job-dating (la rencontre des employeurs et des demandeurs d’emploi) le samedi 27 mai. 
"Nous sommes engagés pour travailler ensemble afin de participer à l’essor économique de la RDC", a souligné diplomate français. 
Pour cette édition, il y a deux nouveautés à savoir : la participation de CIO MAG dans le cadre de Digital African Tour et la tenue du premier festival international de musique de Kinshasa Fest’ KIN autour des artistes nationaux et internationaux, a annoncé le premier citoyen français en RDC. Outre l’exposition des sociétés par le biais de stands, des rencontres B to B sont prévues pour faciliter les contacts interentreprises. 
Les trois dernières éditions de la Semaine française, ont rencontré un vif succès à la fois par la fréquentation importante de visiteurs, mais aussi grâce à une couverture médiatique nationale et internationale. 
Pour le président de la CCIFC, le thème retenu pour la 4ème édition est prometteur. Ambroise Tshiyoyo a fait savoir que seule l’agriculture avec sa chaîne de valeur constitue un levier fiable pour une croissance maîtrisée, pour la création d’une classe moyenne en RDC à travers des emplois durables. La diversification de l’économie congolaise voulue par tous passe par l’exploitation rationnelle de la filière agricole. 
D’après lui, le numérique est un véritable vecteur de croissance et de développement dans différents secteurs de la vie. "Je pense à la formation, à la santé, aux télécommunications, aux finances et bien d’autres. Je pense également que ce secteur est en devenir, même si tout est encore à faire, et est propice au développement de courants d’affaires entre nos deux pays", a-t-il mentionné. 
Par ailleurs, Ambroise Tshiyoyo a affirmé que la semaine française à Kinshasa est une consécration des activités de promotion dans le monde des affaires entre la France et la RDC. Un instrument efficace de la coopération franco-congolaise, aidée en cela par l’usage commun de la langue française, a renchéri le président de la CCIFC. 
Au moins une quarantaine d’entreprises vont présenter leurs produits pendant les trois jours d’exposition.

culture Société SEMAINE FRANÇAISE DE KINSHASA ALAIN RÉMY RASSURE LA RDC DE L’ENGAGEMENT DE LA FRANCE

Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères a lancé hier mercredi 24 mai dans la soirée à la halle de la Gombe, la 4ème éd...

TEMPÉRATURE 40 : LE NOUVEAU POINT CHAUD DE LEMBA TERMINUS

May 23, 2017

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(Par Yasmine Yabili & Jemima Kabanzi, sous la coordination de Yves KALIKAT) 
 
 
Réputée commune des intellectuels, Lemba a perdu sa quiétude et toute sa superbe d’antan. Dans plusieurs quartiers, les terrasses et les boîtes de nuit rivalisent d’ardeur avec des églises de réveil en prolifération constante. Si, à Lemba Super, l’affluence des visiteurs est plus dense au niveau de ‘‘Tshé-Tshé’’ (la terrasse la plus en vogue de la place), à Lemba Terminus, le point le plus chaud à ce jour a un nom ‘‘Température 40’’. 
 
Situé le long de la principale artère bitumée entre l’avenue By Pass et le rond-point Terminus, cet espace de détente est animé dès le coucher du soleil.‘‘Température 40’’a la particularité d’avoir souvent, si pas toujours l’électricité au moment où plusieurs recoins de la commune sont plongés dans le noir. Ses gérants ont pris la précaution de se doter de groupes électrogènes pour faire face aux coupures intempestives du courant électrique. 
Ce site de divertissement offre à ses clients l’occasion de se rafraichir en plein air dans une ville aussi chaude que Kinshasa. Ici en effet, la boisson se négocie au rabais. La boisson sucrée y est vendue à 700 Fc, et la bière à partir de 1.000 Fc. 
Pas étonnant qu’avec de tels tarifs préférentiels que les disciples de Bacchus y trouvent leurs comptes et y viennent le plus régulièrement. A vrai dire, les sociétés brassicoles de la ville, attirées par la soudaine affluence de la clientèle dans cet espace, y organisent des ‘‘actions’’ promotionnelles, où leurs boissons alcoolisées sont vendues à vil prix. 
 
DES PRIX AU RABAIS 
L’autre particularité de ‘‘Température 40’’, ce sont les mets qu’on vend sur le lieu pour permettre aux visiteurs de grignoter, en sirotant une bière toute fraiche ou une boisson non alcoolisée, pendant qu’ils taillent bavette. Des grillades sont proposées aux consommateurs à un prix jugé très abordable. On y trouve notamment du poulet entier, vendu à 5.000 Fc, des brochettes de ‘‘bœuf’’, du poisson chinchard grillé, de la chikwange, des bananes plantains… 
Bien souvent, ceux qui fréquentent ‘‘Température 40’’ viennent en groupe, en couple ou en famille. La tranche d’âge de la clientèle varie généralement de 17 à 40 ans. Les occupants des chaises et tables sont pour la plupart chics, mais pas luxueux. Ils sont aussi enclins aux tapages, commandant des tas de bouteilles de boissons qu’ils exigent aux serveurs de laisser choir sur la table, même quand elles sont vidées… pour démontrer qu’ils n’ont pas les poches vides. 
 
CARREFOUR DES FANS DU FOOT 
La plus grande attraction de ‘‘Température 40’’ demeure le petit écran. Les fans du foot y viennent quasiment tous les jours, par dizaines, pour suivre en groupe les matches des leagues européennes, et parfois du championnat congolais, retransmis par des chaines câblées. 
Suspendus en hauteur sur les murs, les écrans en couleur fascinent. L’ambiance est souvent animée quand une centaine de téléspectateurs prennent d’assaut la vaste terrasse. On s’y croit dans un terrain de football, tant les émotions sont partagées. 
Quand un joueur manque un but, on lit aussi bien la frayeur qu’une satisfaction malicieuse sur les visages des fanatiques de différents clubs adverses. Et quand un but est marqué, c’est l’explosion de joie qui s’empare des supporters de l’équipe auteur du goal. Le ‘‘woooh’’ retentit si fort que la vibrationde ‘‘Température 40’’ atteint les maisons environnantes. 
 
EXPOSES AUX BAGARRES 
Dans la liesse, certains téléspectateurs sautent sans contrôle au point de renverser des bouteilles qui se cassent et blessent des imprudents. De temps en temps, une bagarre éclate dans ce contexte, surtout quand certains consommateurs sont ivres. En cas de dérapage, l’alerte est vite lancée et la police, dont le poste se situe à une vingtaine de mètres de là, arrive et met la main sur les fauteurs de troubles. 
Quand il n’y a pas de rencontres sportives, le public de ‘‘Température 40’’ se contente des musiques des artistes congolais, africains, européens ou américains en vogue. Les sons vibrent à haute voix des baffles disposées tout autour de la terrasse. Dans cette ambiance qui démarre à partir de 16 heures, les noctambules ne trouvent aucun inconvénient à fêter jusque tard la nuit. Pas étonnant d’y trouver des consommateurs accrochés aux tables ou en train de danser à 3h00, voire à 4h00 du matin... en attendant le lever du soleil.

Au tour de Kinshasa culture TEMPÉRATURE 40 : LE NOUVEAU POINT CHAUD DE LEMBA TERMINUS

(Par Yasmine Yabili & Jemima Kabanzi, sous la coordination de Yves KALIKAT) Réputée commune des intellectuels, Lemba a perdu sa qu...