Félix Tshisekedi à Davos : La RDC au cœur des discussions mondiales sur l'IA et le climat

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKFkaEqpi5Hg841KAsZokSXWk83qslmZprM-Zuk-KCGRmQRo9lbxzHSwuLBoC5nyj-7UsZC3MC21g4exKqTemY87ufkqrFqRAFQ_H1VSIXrTa890c9Rvzaybnuz9-lrkSgtA7Yc7B2290hOMse3h_pTztvfaCkHHZBbnkt0hpISj4mp7CedMh5fCJs8ULy/s711/tshisekedi_a_suisse_forum_economique_mondial_55eme_edition_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKFkaEqpi5Hg841KAsZokSXWk83qslmZprM-Zuk-KCGRmQRo9lbxzHSwuLBoC5nyj-7UsZC3MC21g4exKqTemY87ufkqrFqRAFQ_H1VSIXrTa890c9Rvzaybnuz9-lrkSgtA7Yc7B2290hOMse3h_pTztvfaCkHHZBbnkt0hpISj4mp7CedMh5fCJs8ULy/s280/tshisekedi_a_suisse_forum_economique_mondial_55eme_edition_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le président de la République démocratique du Congo (RDC), <strong>Félix Tshisekedi</strong>, participe à la <strong>55ᵉ édition du Forum économique mondial</strong> (WEF) qui se déroule du <strong>20 au 24 janvier 2025</strong> à Davos, en Suisse. Cette édition met l'accent sur un thème central : <strong>"Collaborer à l'ère de l'Intelligence artificielle"</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Objectifs principaux de la rencontre</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Forum économique mondial réunit chaque année des figures influentes : dirigeants politiques, chefs d’entreprises, chercheurs et ONG, pour discuter des défis mondiaux pressants. Les priorités cette année incluent :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Répondre aux chocs géopolitiques</strong>, notamment dans un monde en constante reconfiguration.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Stimuler la croissance économique</strong> pour améliorer les conditions de vie des populations.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Garantir une transition énergétique équitable et inclusive</strong>, essentielle face à l’urgence climatique.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">La RDC au premier plan</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La participation de Félix Tshisekedi est stratégique pour placer la RDC au cœur des débats mondiaux. Selon la presse présidentielle, le chef de l'État compte présenter un <strong>vaste projet structurant</strong> axé sur :</span></p><ul><li><strong><span style="font-family: arial;">La lutte contre le changement climatique.</span></strong></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>La préservation de la biodiversité</strong>, en s'appuyant sur les vastes ressources naturelles de la RDC.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une ère technologique en pleine transformation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le thème de cette année reflète l’importance croissante de la <strong>coopération mondiale face aux innovations technologiques</strong>, notamment :</span></p><ul><li><strong><span style="font-family: arial;">L’intelligence artificielle (IA).</span></strong></li><li><strong><span style="font-family: arial;">L’informatique quantique.</span></strong></li><li><strong><span style="font-family: arial;">La biotechnologie.</span></strong></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Ces technologies transforment les sociétés à grande vitesse, et leur gestion équitable est un défi global. La RDC, riche en ressources critiques pour ces avancées (comme le cobalt), a un rôle clé à jouer dans la transition numérique et énergétique mondiale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une délégation de haut niveau</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Félix Tshisekedi est accompagné d'une délégation comprenant :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le ministre des <strong>Mines</strong>, pour promouvoir les ressources minières stratégiques.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Le ministre des <strong>Affaires étrangères</strong>, pour renforcer les partenariats internationaux.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Le ministre de l’<strong>Environnement</strong>, pour positionner la RDC comme un leader dans la lutte contre le changement climatique.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un moment crucial pour la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La participation de Félix Tshisekedi à Davos est une occasion unique de promouvoir les potentialités économiques et écologiques de la RDC tout en renforçant son rôle sur la scène internationale. Le forum pourrait marquer un tournant dans les collaborations entre la RDC et les partenaires mondiaux, particulièrement dans les domaines de l’IA, de la transition énergétique et de la préservation de l'environnement.</span></p>

Economie Félix Tshisekedi à Davos : La RDC au cœur des discussions mondiales sur l'IA et le climat

Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi , participe à la 55ᵉ édition du Forum économique mondial (WEF) ...

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Le FMI approuve un décaissement immédiat de plus de 240 millions USD pour la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtQrjW1tEVzBZSfZRXp-owimraQUs7rFLsDtATX_VJyffyqRe7W64kXY84ytHa_hVbc-P1b8kcC1i9xgRTAyv-1VAR2IAx8Q_BnmCPqj3rwuiV2vroMzZxsGMxFtFAzUaOCeSZeohZ876vDNhFJYdG_KohujCsC8rcdH2RzCxXf8VpXAHjSkKPtJ9jRiJy/s711/doudou_fwamba_min_des_finances_16_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtQrjW1tEVzBZSfZRXp-owimraQUs7rFLsDtATX_VJyffyqRe7W64kXY84ytHa_hVbc-P1b8kcC1i9xgRTAyv-1VAR2IAx8Q_BnmCPqj3rwuiV2vroMzZxsGMxFtFAzUaOCeSZeohZ876vDNhFJYdG_KohujCsC8rcdH2RzCxXf8VpXAHjSkKPtJ9jRiJy/s280/doudou_fwamba_min_des_finances_16_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le mercredi <strong>15 janvier 2025</strong>, le Fonds monétaire international (<strong>FMI</strong>) a donné son aval pour soutenir le programme économique et financier du Gouvernement de la <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong>. Cet appui se concrétise à travers deux mécanismes principaux :</span><p></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>La Facilité élargie de crédit (FEC)</strong> pour un montant de <strong>1,8 milliard USD</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le Fonds pour la résilience et la durabilité (FRD)</strong> à hauteur de <strong>1,1 milliard USD</strong>.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Au total, ces deux programmes représentent un montant global de <strong>3 milliards USD</strong> répartis sur une période de <strong>38 mois</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un premier décaissement de 240 millions USD</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans le cadre de cet accord, le FMI a approuvé un <strong>premier décaissement immédiat</strong> de <strong>240 millions USD</strong>, destiné principalement à appuyer la balance des paiements de la RDC. Les ressources ultérieures issues de la FEC et du FRD seront utilisées pour des projets prioritaires, notamment dans le domaine des <strong>infrastructures</strong> et du développement durable.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Objectifs des programmes approuvés</span></strong></h3><h4><strong><span style="font-family: arial;">1. Programme FEC (Facilité élargie de crédit)</span></strong></h4><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Stabilisation macroéconomique</strong> : Maintenir une croissance économique robuste et contrôler l'inflation.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Amélioration du climat des affaires</strong> : Encourager les investissements étrangers et locaux.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcement de la gouvernance et de la transparence</strong> : Lutter contre la corruption et optimiser la gestion des ressources publiques.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mobilisation des recettes fiscales</strong> : Augmenter les revenus budgétaires pour financer les priorités nationales.</span></li></ul><h4><strong><span style="font-family: arial;">2. Programme FRD (Fonds pour la résilience et la durabilité)</span></strong></h4><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Adaptation au changement climatique</strong> : Mettre en œuvre des initiatives visant à atténuer les impacts climatiques tout en consolidant le rôle de la RDC comme acteur clé dans la transition mondiale vers une économie à faible émission de carbone.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Progrès et défis soulignés par le FMI</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Directeur général adjoint du FMI, <strong>Kenji Okamura</strong>, a salué les efforts du gouvernement congolais, notant que :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>La croissance économique de la RDC reste solide</strong>, soutenue par des politiques macroéconomiques prudentes.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>L'inflation a diminué</strong> et les réserves de change ont augmenté de manière significative.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cependant, il a également souligné les <strong>défis persistants</strong>, notamment :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Les <strong>conflits armés</strong> dans l'est du pays, qui pèsent lourdement sur l'économie et les populations.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les <strong>défis structurels et climatiques</strong>, nécessitant un approfondissement des réformes pour assurer une croissance inclusive et durable.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Reconnaissance et engagement du gouvernement</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre des Finances, <strong>Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi</strong>, a exprimé sa gratitude envers la Première ministre <strong>Judith Suminwa</strong> pour sa coordination efficace des négociations avec le FMI. Il a également salué les efforts des experts de la <strong>Banque Centrale du Congo</strong> et des ministères des Finances et du Budget.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement a réitéré son engagement à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Maintenir une gestion rigoureuse et transparente des finances publiques.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Poursuivre une coordination efficace entre les politiques budgétaires et monétaires.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une étape cruciale pour le développement de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ce nouvel accord marque une étape importante dans la consolidation des acquis économiques de la RDC et offre une base solide pour relever les défis structurels et climatiques. Les fonds débloqués permettront de soutenir des projets stratégiques tout en renforçant les capacités du pays à répondre aux besoins de sa population et à attirer davantage d’investissements.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Perspectives d’avenir</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Avec une stabilité économique retrouvée et un soutien international accru, la RDC pourrait se positionner comme un acteur majeur sur le plan régional et mondial, notamment dans la transition énergétique et la lutte contre le changement climatique.</span></p>

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Kasaï-Oriental : Une vive polémique autour de 3 millions de dollars de fonds d’investissement

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjupqjSsQ0d6DyopJuuAypY-_TxQFn6VvYJgCFeuD6GcK4FWwg6KYlxfT2xQMvkWW_tMHi1J2jvje4uClga8qmQZ7MemAGxLUhnIzaHodrbviYxrxaujEYCuwPw9Z5NDUvnntG-dS2swJChzyUsLSkYHyiuVgciRdeiXpREb11hkwh80VROSiRdPQi4Mjqu/s800/dollar%20liasse_0.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjupqjSsQ0d6DyopJuuAypY-_TxQFn6VvYJgCFeuD6GcK4FWwg6KYlxfT2xQMvkWW_tMHi1J2jvje4uClga8qmQZ7MemAGxLUhnIzaHodrbviYxrxaujEYCuwPw9Z5NDUvnntG-dS2swJChzyUsLSkYHyiuVgciRdeiXpREb11hkwh80VROSiRdPQi4Mjqu/s280/dollar%20liasse_0.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La province du <strong>Kasaï-Oriental</strong> est secouée par une controverse impliquant une prétendue dotation de <strong>3 millions de dollars</strong> du gouvernement central. L’affaire a éclaté après une déclaration publique du sénateur <strong>Alphonse Ngoyi Kasanji</strong> le 2 janvier 2025, dénonçant une gestion opaque de ces fonds par le gouverneur <strong>Jean Paul Mbwebwa Kapo</strong>.</span><h3><strong><span style="font-family: arial;">Origine de la polémique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon le sénateur Ngoyi Kasanji, cette somme aurait été allouée sur ordre du président de la République, marquant une dotation sans précédent dans l’histoire de la province. Cependant, il a exprimé ses inquiétudes quant à l'utilisation de ces fonds, appelant à une répartition équitable entre toutes les entités de la province et non uniquement à la ville de <strong>Mbuji-Mayi</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Points de tension</span></strong></h3><ol><li><p><strong><span style="font-family: arial;">Critiques sur l’utilisation des fonds</span></strong></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Ngoyi Kasanji déplore que les fonds soient concentrés sur des projets similaires à ceux déjà engagés par le gouvernement central.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Il pointe des priorités négligées, telles que les routes de desserte agricole et la lutte contre la flambée des prix des denrées alimentaires.</span></li></ul></li><li><p><strong><span style="font-family: arial;">Appels à la transparence</span></strong></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le sénateur insiste sur la nécessité d’un <strong>contrôle public rigoureux</strong> pour garantir une gestion transparente des fonds publics.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Il questionne le silence du gouverneur face à cette affaire.</span></li></ul></li><li><p><strong><span style="font-family: arial;">Enquête en cours</span></strong></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le président de la commission économique et financière de l’Assemblée provinciale, <strong>Franck Kazadi</strong>, a révélé que les fonds avaient été placés à la <strong>TMB (Trust Merchant Bank)</strong> sous forme de <strong>Dépôt à Terme Fixe (DAT)</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Un crédit de 2,5 millions de dollars aurait été contracté avec le DAT en garantie, permettant un remboursement progressif.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Franck Kazadi exige des clarifications sur l’état du solde du compte et la nature des projets prévus.</span></li></ul></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions et attentes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouverneur <strong>Jean Paul Mbwebwa Kapo</strong> n’a pas encore réagi officiellement, ce qui alimente les spéculations et l’indignation. La population et les observateurs demandent des explications précises et des garanties sur l’utilisation de cette dotation.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette affaire met en lumière des défis de gouvernance et de gestion des ressources publiques dans une province confrontée à de nombreux problèmes structurels. Les résultats de l’enquête en cours seront décisifs pour dissiper les doutes et restaurer la confiance.</span></p><p></p>

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Voici une synthèse des 10 faits marquants de l’économie en RDC en 2024 :

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOWQ-pgZGh8HCMfEHXT9mjcO05PBFXkbqP04qfZcH_32cyG7dyzv1qN0ZHU8HPoBNNLaIDRz_Wma74jh-yjF0xN-6gk7zOK1WB106ZfKqemhekRkkHp05nAmA110LauvuB1or5XfZXU3hKbo_IwBnkE9CT9Qan2-KqYDW2p-eDHd7UtDX8nV8NOk5cI2Mw/s1200/bitmap_1200_nocrop_1_1_20241031165601704577_a9154bc5-9ef7-4a20-a175-99d40b49e5ba%20(1).jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="799" data-original-width="1200" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOWQ-pgZGh8HCMfEHXT9mjcO05PBFXkbqP04qfZcH_32cyG7dyzv1qN0ZHU8HPoBNNLaIDRz_Wma74jh-yjF0xN-6gk7zOK1WB106ZfKqemhekRkkHp05nAmA110LauvuB1or5XfZXU3hKbo_IwBnkE9CT9Qan2-KqYDW2p-eDHd7UtDX8nV8NOk5cI2Mw/w372-h247/bitmap_1200_nocrop_1_1_20241031165601704577_a9154bc5-9ef7-4a20-a175-99d40b49e5ba%20(1).jpg" width="280" /></a></div><br /> <p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">1. Échec de l'appel d'offres pétrolier</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement n’a pas attiré d’investisseurs pour 27 blocs pétroliers, révélant un besoin urgent de réformer le cadre juridique des hydrocarbures.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">2. Tensions dans les zones minières</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le groupe armé M23 a pris le contrôle de Rubaya, une zone clé pour le coltan, générant d’importants revenus via des taxes illégales.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">3. Relance des permis de conduire sécurisés</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Après l'annulation du contrat avec Afritech et Idemia, le processus de délivrance des permis de conduire sécurisés avec puces électroniques a repris, une première depuis 2017.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">4. Renégociation du contrat sino-congolais</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Un nouvel accord porte les investissements en infrastructures à 7 milliards USD, avec la construction de 3 000 km de routes sur 5 ans.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">5. Transformation de Primera Gold en DRC Gold Trading SA</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’État congolais détient désormais 55 % de cette société, qui a exporté plus de 300 kg d’or artisanal en 2024.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">6. Lancement d’Air Congo</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC a inauguré une nouvelle compagnie aérienne nationale, avec Ethiopian Airlines comme partenaire stratégique, et prévoit une flotte de 10 avions.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">7. Désengagement de Dan Gertler et sanctions contre Glencore</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dan Gertler s’est retiré de ses actifs en RDC, tandis que Glencore a été condamnée à payer 152 millions USD pour des irrégularités en RDC entre 2007 et 2017.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">8. Enquête belge sur Déogratias Mutombo</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’ex-gouverneur de la Banque centrale du Congo fait face à des accusations de blanchiment d'argent dans le cadre de l'enquête « Congo Hold-up ».</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">9. Plainte contre Apple pour les « minerais de sang »</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La RDC a intenté une action en justice contre Apple pour utilisation de minerais extraits illégalement dans des zones de conflit.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">10. Nouvel accord avec le FMI</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le FMI a signé un nouvel arrangement de 2,87 milliards USD, incluant un programme climatique (RSF), pour soutenir la croissance durable et renforcer la résilience climatique de la RDC.</span></p>

Economie Voici une synthèse des 10 faits marquants de l’économie en RDC en 2024 :

  1. Échec de l'appel d'offres pétrolier Le gouvernement n’a pas attiré d’investisseurs pour 27 blocs pétroliers, révélant un besoin...

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RDC : Le Trésor public dépasse ses objectifs en levant 50 millions de dollars lors de l’adjudication des bons du Trésor

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2FWRyOPgggoD3-zvu94KR2lzxefDq56xZh3tOailto7eeYvqfyVaoPm38IW6ETWoM10Yq4deP-6FqEC6n6J53-zOUjd9uGU_wW8WjBnUGeINf8SZ0eHN6Bjih3GiEmiOAGqcNCQ4UVgIClgt6ZxCB9KuDq0gI58UEQo1b6KYEAZIgwuMTorCQpjQA_i6x/s800/Billets%20de%20francs%20congolais.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2FWRyOPgggoD3-zvu94KR2lzxefDq56xZh3tOailto7eeYvqfyVaoPm38IW6ETWoM10Yq4deP-6FqEC6n6J53-zOUjd9uGU_wW8WjBnUGeINf8SZ0eHN6Bjih3GiEmiOAGqcNCQ4UVgIClgt6ZxCB9KuDq0gI58UEQo1b6KYEAZIgwuMTorCQpjQA_i6x/s280/Billets%20de%20francs%20congolais.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le Trésor public congolais a réalisé une performance remarquable lors de l’adjudication des bons du Trésor organisée le 17 décembre 2024. Avec 50 millions de dollars levés, soit 5 millions de dollars de plus que l’objectif initial de 45 millions, cet exercice témoigne de l’attrait des investisseurs pour les titres publics congolais. Les soumissions ont totalisé 94,05 millions USD, soulignant une forte demande pour ces instruments financiers.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les bons du Trésor : un outil de financement sécurisé</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les bons du Trésor sont des titres émis par l’État pour répondre à des besoins financiers immédiats. Dans ce cas précis, ces bons ont une maturité de 6 mois, offrant ainsi aux investisseurs une opportunité d’investissement à faible risque avec un retour rapide sur leur placement.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce dépassement des objectifs témoigne d’une certaine confiance des investisseurs dans les capacités de remboursement de l’État congolais et dans la stabilité économique relative du pays à court terme.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Remboursements et encours des titres publics</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En 2024, au 18 décembre, l’État congolais avait remboursé 1 433,5 milliards de francs congolais (CDF) correspondant aux bons et obligations du Trésor arrivés à échéance. Ces remboursements démontrent l’engagement du gouvernement à honorer ses dettes, ce qui renforce sa crédibilité sur le marché financier.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’encours global des titres publics s’élève à 3 342,5 milliards de CDF, incluant 1 028,7 millions de dollars américains pour les titres libellés en devises étrangères. Cet encours représente l’ensemble des emprunts en cours que le gouvernement devra rembourser dans les délais convenus avec les investisseurs.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Différence entre bons et obligations du Trésor</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les bons et les obligations du Trésor sont tous deux des instruments de dette, mais ils se distinguent par leur durée :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Les bons du Trésor</strong> : à court terme, avec des maturités généralement de quelques mois.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Les obligations du Trésor</strong> : à moyen ou long terme, avec des durées pouvant aller jusqu’à plusieurs années.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Perspectives pour le financement public en RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le succès de cette adjudication illustre la capacité du Trésor public à mobiliser des fonds sur les marchés financiers, aussi bien nationaux qu’internationaux. Ces fonds permettent au gouvernement de financer des besoins urgents, tout en diversifiant les sources de financement.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Toutefois, l’État devra veiller à maintenir un équilibre entre l’émission de nouveaux titres et le remboursement des dettes existantes afin de préserver la confiance des investisseurs et d’assurer la soutenabilité de sa dette publique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec des bases solides posées en 2024, le Trésor public semble bien positionné pour poursuivre son rôle de financement tout en consolidant la crédibilité financière de la République démocratique du Congo.</span></p>

Economie RDC : Le Trésor public dépasse ses objectifs en levant 50 millions de dollars lors de l’adjudication des bons du Trésor

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RDC : Légère dépréciation du franc congolais et renforcement des réserves internationales

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgpsLC8ujpNqwoey4MaT5Lf3B_h5vzw_NDUZ2NhRiImpQS4_j2ufhmhz5u56tz1newsHk5dBrQOG3jakKlAu8o5qT_VEQuf2Y-YpWW14H2AgXMoqwkxxsWPS2Qc-C1oLK8an8CNgKCGCKZyj6eK97eOiNMyjklRxQ8iXCkCUPfQPjv3mrwybRoE_6UBTmyF/s1024/1024x538_336079.webp" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="538" data-original-width="1024" height="146" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgpsLC8ujpNqwoey4MaT5Lf3B_h5vzw_NDUZ2NhRiImpQS4_j2ufhmhz5u56tz1newsHk5dBrQOG3jakKlAu8o5qT_VEQuf2Y-YpWW14H2AgXMoqwkxxsWPS2Qc-C1oLK8an8CNgKCGCKZyj6eK97eOiNMyjklRxQ8iXCkCUPfQPjv3mrwybRoE_6UBTmyF/w385-h202/1024x538_336079.webp" width="280" /></a></div><br /><p></p><p><span style="font-family: arial;">Au 20 décembre 2024, les indicateurs du secteur extérieur révèlent des dynamiques contrastées : une légère dépréciation de la monnaie nationale sur le marché officiel, une appréciation sur le marché parallèle et une consolidation notable des réserves internationales, selon des données officielles.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Évolution du taux de change</span></strong></h3><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Marché officiel (interbancaire)</strong> : Le taux de change indicatif, fixé sous la supervision de la Banque centrale du Congo (BCC), s'est établi à <strong>2 821,66 CDF pour un dollar américain</strong>, traduisant une dépréciation hebdomadaire de <strong>0,52 %</strong>. Ce marché régulé reflète les transactions formelles en devises et demeure un baromètre clé de la stabilité monétaire.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Marché parallèle</strong> : À l’inverse, sur le marché informel, le franc congolais a enregistré une <strong>appréciation de 0,73 %</strong>, atteignant <strong>2 858,44 CDF pour un dollar américain</strong>. Ce marché, plus réactif aux variations locales de l’offre et de la demande de devises, reste une alternative prisée en l’absence de liquidités suffisantes sur le marché officiel.</span></p></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Sur l’ensemble de 2024, la monnaie nationale a subi une dépréciation cumulée de <strong>5,41 %</strong> sur le marché officiel et de <strong>6,01 %</strong> sur le marché parallèle, témoignant de pressions monétaires persistantes, malgré les efforts de stabilisation entrepris par les autorités.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Renforcement des réserves internationales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les réserves internationales de la RDC ont atteint <strong>6 148,78 millions USD</strong> au 19 décembre 2024, permettant de couvrir <strong>14 semaines d'importations</strong> de biens et services. Ce niveau de couverture dépasse largement le seuil minimum recommandé de 3 mois, traduisant une gestion prudente des avoirs extérieurs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces réserves, composées de devises étrangères et d'autres actifs liquides, jouent un rôle crucial dans :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Soutenir la monnaie nationale</strong> face aux pressions de dépréciation,</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Assurer les paiements extérieurs</strong> (notamment pour les importations et le service de la dette),</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer la résilience économique</strong> face aux chocs externes.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Perspectives et enjeux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La consolidation des réserves internationales est une avancée significative pour l’économie congolaise, offrant une marge de manœuvre pour la stabilisation du franc congolais et la gestion des besoins extérieurs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cependant, la dépréciation annuelle du franc congolais, bien que modérée, reflète des défis structurels tels que :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La dépendance aux exportations de matières premières,</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les pressions inflationnistes internes,</span></li><li><span style="font-family: arial;">La vulnérabilité aux chocs externes.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Pour garantir une stabilité monétaire durable, il est essentiel de poursuivre les réformes économiques, de diversifier les sources de revenus extérieurs et de renforcer les capacités productives locales. La gestion proactive de la politique monétaire par la BCC et le maintien d’une réserve confortable demeurent des priorités pour l’année 2025.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, la légère dépréciation du franc congolais contraste avec le renforcement des réserves internationales, traduisant des progrès en matière de gestion macroéconomique malgré des défis persistants. </span></p>

Economie RDC : Légère dépréciation du franc congolais et renforcement des réserves internationales

Au 20 décembre 2024, les indicateurs du secteur extérieur révèlent des dynamiques contrastées : une légère dépréciation de la monnaie nation...

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Centrale de Katende : 60 MW, 400 millions USD et 1,2 milliard USD de PIB en jeu, selon le ministre Teddy Lwamba

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhv37by5S4A7LMN6_2m2DLjLXxCCuih46-jJ-1zDhcr9Bw_ukHtg_rHiMzkramMBhIaxlc5_QqvTmzM0zC-ctMyp3LI1G539csel6G9HRL4TCfaAN8VJtqnONi5dmYvFJI0h9jP3LB6YFfaqX5dzcS5PkYRbqundUb6XF9yqmTYqELI4ObBf-iHxTtnvVYs/s800/ED5FC071-5F8A-433E-9162-2F31828CCC01.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhv37by5S4A7LMN6_2m2DLjLXxCCuih46-jJ-1zDhcr9Bw_ukHtg_rHiMzkramMBhIaxlc5_QqvTmzM0zC-ctMyp3LI1G539csel6G9HRL4TCfaAN8VJtqnONi5dmYvFJI0h9jP3LB6YFfaqX5dzcS5PkYRbqundUb6XF9yqmTYqELI4ObBf-iHxTtnvVYs/s280/ED5FC071-5F8A-433E-9162-2F31828CCC01.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité</strong>, <strong>Teddy Lwamba</strong>, a abordé la question cruciale de l'<strong>électrification</strong> dans la province du <strong>Kasaï-Central</strong> et l'option de relance du projet de la <strong>centrale hydroélectrique de Katende</strong>. Ce projet, qui s'inscrit dans la volonté du gouvernement de répondre aux besoins en énergie électrique de la région, a traversé plusieurs phases de financement, notamment la tentative de financement par <strong>Exim Bank Inde</strong> et l'option récente de recourir à des fonds <strong>propres</strong>.</span><p></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Coût et choix stratégique pour le Kasaï</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Lwamba a expliqué que, bien qu'il soit possible de soutirer de l'électricité de la ligne <strong>Inga-Shaba</strong> pour alimenter la région du <strong>Grand Kasaï</strong>, cela imposerait un investissement de <strong>400 millions USD</strong> pour construire un poste de soutirage à <strong>Tshimbulu</strong>, à 117 km de <strong>Kananga</strong>. La nécessité de convertir le courant continu en courant alternatif pour alimenter la région entraînerait des coûts élevés. Selon lui, il est plus <strong>économique et logique</strong> de construire une <strong>centrale hydroélectrique</strong> à <strong>Katende</strong>, qui permettrait de répondre directement aux besoins en électricité tout en créant une <strong>richesse supplémentaire</strong> pour la République Démocratique du Congo.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Création de richesse et impact macroéconomique</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Le ministre a également souligné les <strong>bénéfices économiques</strong> d’un tel projet. En ajoutant <strong>60 MW</strong> à la production d’électricité, <strong>Katende</strong> pourrait générer environ <strong>1,2 milliard USD</strong> supplémentaires dans le <strong>Produit Intérieur Brut (PIB)</strong> du pays. Lwamba a rappelé qu’en RDC, chaque <strong>300 MW</strong> ajoutés à la production d’électricité génèrent <strong>8 milliards USD</strong> en richesse, ce qui justifie pleinement la construction d’une nouvelle centrale.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Sécurisation de l'approvisionnement énergétique du Grand Kasaï</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">L'un des principaux avantages de la <strong>centrale de Katende</strong> est la <strong>sécurisation de l'approvisionnement énergétique</strong> dans la région. Lwamba a expliqué qu'une telle infrastructure permettrait de réduire la dépendance à une source unique d'électricité comme <strong>Inga</strong>, et d'assurer une <strong>interconnexion sécurisée</strong> entre les provinces du <strong>Kasaï</strong> et du <strong>Grand Katanga</strong>. En cas de panne sur la ligne principale, la centrale de Katende servirait de <strong>système de secours</strong> et garantirait une <strong>sécurité N-1</strong>.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">La vision à long terme du projet</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais prévoit également l'extension du réseau électrique, notamment avec un projet de <strong>ligne Mbuji-Mayi - Mwene Ditu - Kolwezi</strong>, qui pourrait permettre de vendre le <strong>surplus d'électricité</strong> généré par la centrale une fois qu'elle atteindra sa capacité de <strong>60 MW</strong>. Ce projet est vu comme un moteur de développement, non seulement pour le secteur énergétique, mais aussi pour <strong>l’industrie locale</strong> et <strong>l’économie régionale</strong>.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Appel à la mobilisation de la population</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Enfin, Teddy Lwamba a lancé un appel à la population du <strong>Kasaï</strong> pour soutenir cette initiative, soulignant que l'option choisie de financer la centrale sur fonds propres est une solution <strong>pragmatique</strong> et <strong>responsable</strong> pour garantir l'indépendance énergétique de la région. Il a rassuré les Congolais que ce projet permettra de <strong>sécuriser l’approvisionnement</strong> en électricité et de <strong>stimuler l’économie</strong> de la province, tout en répondant aux attentes de la population.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La <strong>centrale hydroélectrique de Katende</strong> représente donc un <strong>enjeu stratégique</strong> pour le développement du <strong>Grand Kasaï</strong>, la <strong>sécurisation de l'approvisionnement en énergie</strong>, et la <strong>création de richesse</strong> pour la RDC.</span></p>

Economie Centrale de Katende : 60 MW, 400 millions USD et 1,2 milliard USD de PIB en jeu, selon le ministre Teddy Lwamba

Le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité , Teddy Lwamba , a abordé la question cruciale de l' électrification dans la pro...

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Congo Challenge réclame près de 2 millions USD à l’État congolais

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigICsfSUmIV5vcz4W9yWn3EqpJNkrsYR-726rzlUOVRL_FF5R4dWYEnaAu-kWLt2b7gOO4mNC2oT9jLQZhxsIdBWhkAGKEXLccMPTIuZ5h277CTd-Nl7yLZ9gZRB0Pzrs0uIMmHVj8fqwnjiEzBz0VeidSNAr5Ct5QTD0GzM5P3XpDwhxbQJaNoR12DxlR/s708/matata-ponyo-1.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="531" data-original-width="708" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigICsfSUmIV5vcz4W9yWn3EqpJNkrsYR-726rzlUOVRL_FF5R4dWYEnaAu-kWLt2b7gOO4mNC2oT9jLQZhxsIdBWhkAGKEXLccMPTIuZ5h277CTd-Nl7yLZ9gZRB0Pzrs0uIMmHVj8fqwnjiEzBz0VeidSNAr5Ct5QTD0GzM5P3XpDwhxbQJaNoR12DxlR/s280/matata-ponyo-1.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La société <strong>Congo Challenge SC</strong>, fondée par l'ancien Premier Ministre <strong>Matata Ponyo</strong>, a officiellement sommé l'État congolais de régler une dette de <strong>1,974 million USD</strong>. Cette démarche a été réalisée par <strong>Maître Ngando Yepeke</strong>, huissier de justice près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe.</span><p></p><article class="w-full scroll-mb-[var(--thread-trailing-height,150px)] text-token-text-primary focus-visible:outline-2 focus-visible:outline-offset-[-4px]" data-scroll-anchor="false" data-testid="conversation-turn-149" dir="auto"><div class="m-auto text-base py-[18px] px-3 md:px-4 w-full md:px-5 lg:px-4 xl:px-5"><div class="mx-auto flex flex-1 gap-4 text-base md:gap-5 lg:gap-6 md:max-w-3xl lg:max-w-[40rem] xl:max-w-[48rem]"><div class="group/conversation-turn relative flex w-full min-w-0 flex-col agent-turn"><div class="flex-col gap-1 md:gap-3"><div class="flex max-w-full flex-col flex-grow"><div class="min-h-8 text-message flex w-full flex-col items-end gap-2 whitespace-normal break-words text-start [.text-message+&]:mt-5" data-message-author-role="assistant" data-message-id="0d3852a1-6a69-47f5-a639-e3fcee7ac932" data-message-model-slug="gpt-4o" dir="auto"><div class="flex w-full flex-col gap-1 empty:hidden first:pt-[3px]"><div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte des contrats</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En octobre 2020, Congo Challenge a signé <strong>quatre contrats</strong> avec le gouvernement congolais, représenté par le Vice-Premier ministre en charge du Plan. Ces contrats concernaient des prestations intellectuelles, parmi lesquelles :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;">Une <strong>étude d'impact</strong> de la pandémie de COVID-19 sur le secteur minier.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La mise en place d'une <strong>stratégie nationale de diversification économique</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">L'élaboration d'un <strong>plan quinquennal</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Un <strong>appui stratégique</strong> à la collecte des recettes publiques.</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Les travaux auraient été <strong>réalisés et validés</strong> lors d'un procès-verbal signé le <strong>5 février 2021</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Blocage des paiements</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;">En mars 2022, une demande de <strong>liquidation des paiements</strong> a été introduite par le ministre du Plan auprès du ministre du Budget.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Cependant, Congo Challenge accuse le ministre des Finances de bloquer les paiements pour des raisons qualifiées de <strong>"politiciennes"</strong> et <strong>"dénuées de fondement"</strong>, empêchant ainsi le règlement des factures.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conséquences pour Congo Challenge</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;">La société affirme que ce blocage a entraîné des conséquences financières graves, évaluant son <strong>préjudice total à environ 10 millions USD</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Selon Congo Challenge, ce non-paiement affecte directement son fonctionnement et sa viabilité.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Exigences et menaces</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Congo Challenge exige désormais :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le règlement de la dette dans un délai de <strong>30 jours</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;">En cas de non-paiement, la société menace de recourir à la justice pour réclamer :</span><ul><li><span style="font-family: arial;">La somme principale de <strong>1,974 million USD</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>10 millions USD</strong> supplémentaires en <strong>dommages et intérêts</strong> pour les pertes subies.</span></li></ul></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une affaire aux enjeux politiques et financiers</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette sommation intervient dans un contexte de tensions politiques entourant Matata Ponyo, déjà impliqué dans d'autres affaires judiciaires. Le dénouement de cette affaire pourrait avoir des implications importantes pour les relations entre Congo Challenge et le gouvernement, ainsi que pour la perception des engagements contractuels de l'État congolais.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement n’a pas encore réagi officiellement à cette sommation, mais la suite de cette affaire sera observée de près.</span></p><p><span style="font-family: arial;">RDC : élevé au grade de lieutenant-général, Jules Banza Mwilambwe prend le commandement des FARDC en remplacement de Christian Tshiwewe Jules Banza Mwilambwe, désormais lieutenant général, vient d'être élevé au grade de chef d'État major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). L'annonce a été faite ce jeudi 19 décembre à l'issue d'une série d'ordonnances lues sur la télévision nationale (RTNC). Bien avant son élévation, celui qui était jusqu'à sa nomination général major au sein des FARDC occupait la fonction de chef de la maison militaire adjoint du président Félix Tshisekedi en charge des opérations et renseignements. Sa nomination intervient au moment où les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda poursuivent leurs offensives dans la province du Nord-Kivu.</span></p></div></div></div></div></div></div></div></div></article><article class="w-full scroll-mb-[var(--thread-trailing-height,150px)] text-token-text-primary focus-visible:outline-2 focus-visible:outline-offset-[-4px]" data-scroll-anchor="false" data-testid="conversation-turn-151" dir="auto"><div class="m-auto text-base py-[18px] px-3 md:px-4 w-full md:px-5 lg:px-4 xl:px-5"><div class="mx-auto flex flex-1 gap-4 text-base md:gap-5 lg:gap-6 md:max-w-3xl lg:max-w-[40rem] xl:max-w-[48rem]"><div class="flex-shrink-0 flex flex-col relative items-end"><div class="pt-0"><div class="gizmo-bot-avatar flex h-8 w-8 items-center justify-center overflow-hidden rounded-full"><div class="relative p-1 rounded-sm flex items-center justify-center bg-token-main-surface-primary text-token-text-primary h-8 w-8"><svg class="icon-md" fill="none" height="41" role="img" viewbox="0 0 41 41" width="41" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg"><text x="-9999" y="-9999"></text></svg><span style="font-family: arial;">ChatGPTLe président Félix Tshisekedi a nommé <strong>Jules Banza Mwilambwe</strong> comme <strong>Chef d’État-Major Général</strong> des <strong>Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC)</strong>. Cette nomination, annoncée ce jeudi <strong>19 décembre 2024</strong>, s’accompagne de son élévation au grade de <strong>lieutenant-général</strong>, succédant ainsi au général<strong></strong></span></div></div></div></div><div class="group/conversation-turn relative flex w-full min-w-0 flex-col agent-turn"><div class="flex-col gap-1 md:gap-3"><div class="flex max-w-full flex-col flex-grow"><div class="min-h-8 text-message flex w-full flex-col items-end gap-2 whitespace-normal break-words text-start [.text-message+&]:mt-5" data-message-author-role="assistant" data-message-id="75ca375c-1266-4ffb-9892-839ad66b172c" data-message-model-slug="gpt-4o" dir="auto"><div class="flex w-full flex-col gap-1 empty:hidden first:pt-[3px]"><div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"><p><span style="font-family: arial;">Avant cette promotion, Jules Banza Mwilambwe était <strong>général major</strong> et occupait le poste de <strong>chef adjoint de la maison militaire du président de la République</strong>, avec des responsabilités axées sur les <strong>opérations</strong> et les <strong>renseignements</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Son expérience dans ces domaines critiques le positionne comme un acteur clé pour renforcer les capacités opérationnelles des FARDC face aux défis sécuritaires actuels.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte sécuritaire tendu</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette nomination intervient dans un contexte particulièrement difficile :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Les offensives des <strong>rebelles du M23</strong>, soutenus par le <strong>Rwanda</strong>, continuent de déstabiliser la province du <strong>Nord-Kivu</strong>, dans l’est de la RDC.</span></li><li><span style="font-family: arial;">La montée des tensions nécessite une stratégie militaire renforcée et une gestion proactive des opérations sur le terrain.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Défis à relever pour Jules Banza Mwilambwe</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En tant que Chef d’État-Major Général, Jules Banza Mwilambwe devra :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcer la lutte contre les groupes armés</strong>, notamment le M23 et d'autres milices dans les provinces de l'Est.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Optimiser les <strong>renseignements militaires</strong> pour anticiper les mouvements ennemis et contrer les incursions.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Restaurer la <strong>confiance des populations locales</strong> dans les FARDC, en améliorant la discipline et l’efficacité des troupes.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Assurer la coopération militaire régionale et internationale pour résoudre les conflits transfrontaliers.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Espoir pour une nouvelle dynamique militaire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La nomination de Jules Banza Mwilambwe est perçue comme une opportunité de <strong>réorganiser la stratégie militaire</strong> en RDC, en misant sur son expertise en opérations et renseignements.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer l’impact de cette transition à la tête des FARDC, alors que les yeux restent rivés sur les avancées dans la sécurisation des zones sous menace rebelle.</span></p></div></div></div></div></div></div></div></div></article>

Economie Congo Challenge réclame près de 2 millions USD à l’État congolais

La société Congo Challenge SC , fondée par l'ancien Premier Ministre Matata Ponyo , a officiellement sommé l'État congolais de régle...

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RDC : Le gouvernement vise 1.476,4 milliards CDF de recettes fiscales en décembre 2024

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaxNuG0AkkyLDLBk0IjDE39BcefqMyHGl-9XjXJM4NxLIj96Px77G1bIqTcKJxR_ZiLwFbfzGm0sh9CFQy59fDcSN3ulW1hAMTdY3Q8Lu16vBrQ1yd_38MxCKdLvpZG1sS9FVr3SzQm-Wu3p8T-DPFRfd2yGCz6MgEBpk4Pz1L4AHtYwpRRD67sLx5WANh/s737/0AE5118E-E403-4537-A1AC-B97BF42B99F2.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="416" data-original-width="737" height="158" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiaxNuG0AkkyLDLBk0IjDE39BcefqMyHGl-9XjXJM4NxLIj96Px77G1bIqTcKJxR_ZiLwFbfzGm0sh9CFQy59fDcSN3ulW1hAMTdY3Q8Lu16vBrQ1yd_38MxCKdLvpZG1sS9FVr3SzQm-Wu3p8T-DPFRfd2yGCz6MgEBpk4Pz1L4AHtYwpRRD67sLx5WANh/w401-h227/0AE5118E-E403-4537-A1AC-B97BF42B99F2.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais prévoit de mobiliser <strong>1.476,4 milliards de CDF</strong> en recettes fiscales pour le mois de décembre 2024, selon le <strong>plan de trésorerie prévisionnel</strong> consulté par l'Agence Congolaise de Presse (ACP).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte budgétaire</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La note de conjoncture économique publiée par la <strong>Banque Centrale du Congo (BCC)</strong> révèle que, malgré ces prévisions de recettes, les dépenses projetées pour la même période s’élèvent à <strong>2.239,7 milliards de CDF</strong>, ce qui laisse entrevoir un <strong>déficit budgétaire significatif</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En novembre 2024, le Plan de trésorerie de l’État s’est également soldé par un déficit de <strong>651,6 milliards de CDF</strong>, bien supérieur au montant initialement programmé de <strong>305,1 milliards de CDF</strong>. Ce déficit a été comblé grâce à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>457,2 milliards de CDF</strong> provenant des titres publics ;</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>194,4 milliards de CDF</strong> issus d’une marge de trésorerie constituée auparavant.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Performance des régies financières</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré quelques contre-performances, notamment à la <strong>Direction Générale des Impôts (DGI)</strong>, d’autres régies ont surpassé leurs objectifs :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA)</strong> : réalisation de <strong>534,4 milliards CDF</strong>, soit une plus-value de <strong>7,7 %</strong> par rapport à la prévision de 496,4 milliards.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Direction Générale des Recettes Administratives, Domaniales, Judiciaires et de Participation (DGRAD)</strong> : collecte de <strong>402,9 milliards CDF</strong>, dépassant la projection de 359,6 milliards, avec une plus-value de <strong>12,1 %</strong>.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">En revanche, la <strong>DGI</strong> a enregistré une collecte de <strong>1.539,2 milliards CDF</strong>, en dessous du montant prévisionnel de <strong>1.652,9 milliards CDF</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Taux de réalisation global en novembre</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En novembre 2024, les recettes publiques ont atteint <strong>2.476,6 milliards CDF</strong>, soit un taux de réalisation de <strong>98,1 %</strong> par rapport à une prévision de 2.525,7 milliards.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Défis et perspectives</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais devra non seulement combler les déficits budgétaires persistants, mais aussi renforcer la mobilisation des recettes fiscales pour répondre aux exigences des dépenses publiques. Le recours à des <strong>titres publics</strong> et une gestion plus efficace des ressources parafiscales pourraient continuer à jouer un rôle clé dans la stabilisation financière du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L’efficacité des trois principales régies financières (DGI, DGDA, et DGRAD) sera déterminante pour atteindre les objectifs budgétaires fixés pour la fin d’année 2024.</span></p>

Economie RDC : Le gouvernement vise 1.476,4 milliards CDF de recettes fiscales en décembre 2024

Le gouvernement congolais prévoit de mobiliser 1.476,4 milliards de CDF en recettes fiscales pour le mois de décembre 2024, selon le plan d...

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Le shilling ougandais gagne du terrain dans l'est de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFOHMnshv6-Cc0a3kTNW20l2_mVwoGImYmOF7C0iCB99mQIwbR-7tVAcTpZiyjM66wfsEJB68trhvLqfwqhlxdaZMo2DnaTfU7qHUEBMTAJVLOsLKNow8tuNe3_ijDqc0YZ81VMGxflFz8nzx1XywBtqbJh97f7sg3W3vaFQ8QQMmUKZ-5E0JQlmhb-rCQ/s725/SHILLINGS-S.webp" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="418" data-original-width="725" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFOHMnshv6-Cc0a3kTNW20l2_mVwoGImYmOF7C0iCB99mQIwbR-7tVAcTpZiyjM66wfsEJB68trhvLqfwqhlxdaZMo2DnaTfU7qHUEBMTAJVLOsLKNow8tuNe3_ijDqc0YZ81VMGxflFz8nzx1XywBtqbJh97f7sg3W3vaFQ8QQMmUKZ-5E0JQlmhb-rCQ/s280/SHILLINGS-S.webp" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>shilling ougandais</strong> s'impose de plus en plus dans les territoires frontaliers entre la <strong>République démocratique du Congo (RDC)</strong> et l'<strong>Ouganda</strong>, devenant une monnaie largement utilisée après le <strong>franc congolais</strong> dans les transactions locales.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un phénomène favorisé par la proximité géographique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La région de <strong>Beni</strong>, située dans l'est de la RDC, illustre bien cette réalité. La proximité géographique entre les deux pays facilite les échanges commerciaux transfrontaliers, ce qui entraîne une forte circulation du shilling ougandais.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Facteurs de popularité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Plusieurs raisons expliquent la popularité croissante de cette monnaie étrangère dans la région :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Stabilité du shilling ougandais</strong> : Comparé au franc congolais, souvent sujet à une forte volatilité, le shilling apparaît plus fiable.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Praticité</strong> : Les marchés locaux préfèrent souvent une monnaie plus stable pour les transactions, notamment dans les échanges transfrontaliers.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des enjeux économiques et légaux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’usage du shilling ougandais dans les transactions, bien qu’interdit par la loi en RDC, reste largement non réglementé. Cette situation soulève plusieurs préoccupations :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Impact économique local</strong> : L’utilisation croissante d’une monnaie étrangère pourrait fragiliser la valeur du franc congolais, en particulier si les transactions échappent au contrôle du système financier officiel.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Perte de souveraineté monétaire</strong> : La dépendance à une monnaie étrangère pourrait limiter la capacité des autorités locales à réguler l’économie régionale.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les autorités tentent de réagir</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Face à ce phénomène, les autorités locales cherchent à freiner l’usage du shilling ougandais dans les échanges. Cependant, la tâche s’avère complexe, compte tenu de l’ampleur des échanges informels et de la méfiance vis-à-vis de la volatilité du franc congolais.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un défi pour la stabilité économique régionale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La montée en puissance du shilling ougandais dans l'est de la RDC met en lumière la nécessité pour les autorités congolaises de renforcer la confiance dans leur propre monnaie. Cela pourrait passer par des mesures de stabilisation économique, de contrôle des changes, et d’appui au commerce local pour réduire la dépendance aux monnaies étrangères.</span></p>

Economie Le shilling ougandais gagne du terrain dans l'est de la RDC

Le shilling ougandais s'impose de plus en plus dans les territoires frontaliers entre la République démocratique du Congo (RDC) et l...

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Glencore renforce son engagement en RDC : rencontre entre Gary Nagle et Félix Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYdeY3ZWkYLwk9mdWSpEgG-m7mfqL9OHCASEM8aIrst1M7aIkJbEkXaOjfA2_g5KyVwFMfWS0opmKvlp5ra1nD8C1LbwKothhuIFDBtnDmrHEXB0HnF-dqySP3H8I71-GdOriqsEYsy4O8Ua-6sU5jDyN6w2HXPZvO66DsJx6lV-gBtL3a_jqgEFewbCSn/s800/IMG-20241212-WA0004.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYdeY3ZWkYLwk9mdWSpEgG-m7mfqL9OHCASEM8aIrst1M7aIkJbEkXaOjfA2_g5KyVwFMfWS0opmKvlp5ra1nD8C1LbwKothhuIFDBtnDmrHEXB0HnF-dqySP3H8I71-GdOriqsEYsy4O8Ua-6sU5jDyN6w2HXPZvO66DsJx6lV-gBtL3a_jqgEFewbCSn/s280/IMG-20241212-WA0004.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>directeur général de Glencore</strong>, <strong>Gary Nagle</strong>, a tenu une réunion importante le mardi 10 décembre à <strong>Kinshasa</strong> avec le président de la République, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, ainsi que la Première ministre, <strong>Judith Suminwa</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un engagement renouvelé envers la RDC et ses communautés</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette rencontre visait à réaffirmer l'engagement de <strong>Glencore</strong> envers la <strong>RDC</strong> et ses populations, notamment dans les communautés autour de ses deux principales opérations minières : <strong>Mutanda Mining (MUMI)</strong> et <strong>Kamoto Copper Company (KCC)</strong>, situées dans la province du <strong>Lualaba</strong>. Ces échanges s’inscrivent dans le cadre d’une volonté commune de promouvoir un développement durable et inclusif.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Glencore, qui opère en RDC depuis <strong>2007</strong>, emploie actuellement plus de <strong>17 000 personnes</strong>, incluant ses employés directs et sous-traitants. Pour l’année 2023, l’entreprise a versé <strong>923 millions USD</strong> au gouvernement congolais sous forme de taxes, redevances et autres contributions financières.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un acteur clé de l'économie congolaise</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Depuis son arrivée dans le pays, Glencore a investi plus de <strong>8 milliards USD</strong> et contribué à hauteur de <strong>100 millions USD</strong> au développement social à travers des projets d’investissement communautaire. Ces initiatives sont mises en œuvre dans le cadre de son cahier des charges et de ses responsabilités sociales d’entreprise.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une délégation de haut niveau</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Gary Nagle était accompagné par une équipe comprenant <strong>Anne Edwards</strong>, responsable des affaires corporatives de Glencore, <strong>Marie-Chantal Kaninda</strong>, présidente de Glencore RDC, et <strong>Mark Davis</strong>, directeur général de Glencore Copper Africa.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Perspectives pour le futur</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette rencontre stratégique entre le chef de l'État congolais et la direction de Glencore souligne la volonté mutuelle d’améliorer la collaboration entre les deux parties. En mettant l'accent sur le <strong>développement social</strong>, le <strong>renforcement économique</strong> et une gestion <strong>responsable des ressources naturelles</strong>, Glencore vise à consolider sa contribution au progrès de la RDC tout en répondant aux attentes des communautés locales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec de telles initiatives, la relation entre Glencore et la RDC semble s’inscrire dans une dynamique durable, apportant des bénéfices tant au gouvernement qu’aux populations environnantes.</span></p>

Economie Glencore renforce son engagement en RDC : rencontre entre Gary Nagle et Félix Tshisekedi

Le directeur général de Glencore , Gary Nagle , a tenu une réunion importante le mardi 10 décembre à Kinshasa avec le président de la Répub...

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Félix Tshisekedi : "La RDC est capable de faire face aux incertitudes économiques grâce à ses réserves internationales"

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZjsecPyYbeywdMKqkRvWB3ryUbCJdoF3xnc42gd6w8ZBGqPJKWTocslTyy2vMea8rfNlquo1VvsuyOdJP-ol9qlT51HFyCuBY2V9O05JOk0rbespoKHnZxEe1Qxjsg7EDV0ZxQ_zb1PRGQjFseVssSodIjdlc62yG6WKSoXrzIy5ryuUlbuxTvFqrxZmZ/s1066/DndwkM_XcAAUCC-.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="1066" data-original-width="1066" height="280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZjsecPyYbeywdMKqkRvWB3ryUbCJdoF3xnc42gd6w8ZBGqPJKWTocslTyy2vMea8rfNlquo1VvsuyOdJP-ol9qlT51HFyCuBY2V9O05JOk0rbespoKHnZxEe1Qxjsg7EDV0ZxQ_zb1PRGQjFseVssSodIjdlc62yG6WKSoXrzIy5ryuUlbuxTvFqrxZmZ/s280/DndwkM_XcAAUCC-.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Mercredi 11 décembre 2024, devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès, le président de la République, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, a présenté un état des lieux de la situation économique de la RDC. En dépit des défis mondiaux, il a souligné la <strong>résilience économique</strong> du pays et les mesures prises pour garantir sa stabilité financière.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une croissance prometteuse malgré les défis mondiaux</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le chef de l’État a indiqué que la RDC prévoit une <strong>croissance économique de 6 %</strong> pour 2024, un taux supérieur à la moyenne de <strong>3,8 %</strong> attendue pour l’Afrique subsaharienne. Ce résultat témoigne, selon lui, de la capacité du pays à s'adapter aux crises économiques mondiales et aux tensions géopolitiques.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En parallèle, Félix Tshisekedi a annoncé un <strong>accord préliminaire avec le Fonds Monétaire International (FMI)</strong> d’un montant d’environ <strong>3 milliards USD</strong>, destiné à consolider la position économique du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des réserves internationales solides</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L'un des points saillants de son discours fut la mise en avant des <strong>réserves internationales</strong> du pays, qui s’élèvent à plus de <strong>6,1 milliards USD</strong> au 27 novembre 2024. Ces réserves couvrent environ <strong>14 semaines d'importations</strong>, renforçant la capacité du pays à <strong>faire face aux incertitudes économiques</strong> et à soutenir la stabilité de la monnaie nationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les défis liés à l’inflation et au franc congolais</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré ces avancées, Félix Tshisekedi a reconnu que l'<strong>inflation</strong> reste une préoccupation majeure. Au premier semestre 2024, l'inflation a dépassé le seuil annuel prévu de <strong>11,3 %</strong>, sous l'effet de la hausse des tarifs de transport, du rationnement des produits pétroliers et de l'augmentation des prix des denrées alimentaires.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le <strong>franc congolais</strong> a également subi une <strong>dépréciation de 4,2 %</strong> par rapport au dollar américain depuis fin décembre 2023, ce qui a renchéri le coût des biens importés. Cependant, une gestion rigoureuse des finances publiques et une coordination étroite avec la <strong>Banque Centrale du Congo</strong> ont permis de stabiliser le taux de change.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un plan pour soutenir la population</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le président a assuré que son gouvernement, dirigé par la Première ministre <strong>Judith Suminwa Tuluka</strong>, travaille à maîtriser l'inflation, stabiliser la monnaie nationale et améliorer le pouvoir d'achat des citoyens. Parmi les priorités :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Stabiliser le cadre macroéconomique.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Améliorer l'environnement des affaires.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Mobiliser des financements à des conditions favorables pour soutenir les projets de développement.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des perspectives économiques encourageantes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, Félix Tshisekedi a souligné que la RDC est en bonne voie pour poser les bases d'une économie plus <strong>diversifiée</strong>, <strong>durable</strong>, et <strong>orientée vers l’avenir</strong>, tout en répondant aux besoins urgents de la population. "Grâce à une gestion rigoureuse et des partenariats solides, nous allons continuer à bâtir une économie robuste capable de résister aux chocs externes", a-t-il affirmé.</span></p>

Economie Félix Tshisekedi : "La RDC est capable de faire face aux incertitudes économiques grâce à ses réserves internationales"

Mercredi 11 décembre 2024, devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès, le président de la République, Félix Tshisekedi , a pré...

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Tshisekedi salue la stabilité du taux de change en RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2yjw7H0rQwgcyc3rt7oi4mWZpd7jfWz6QAj6watqHauiRkCPkVakDhcIhZQZCflCtYHca2IrY4w5b14kp-0q1p5ULq46ows3N9IZCThJ6q4mZHCChcRJmiO1Tn41LFCGTnVNHF0zf8pGoJW41eFXjMUddt9vpEdja3FLc8h-rnatV4nNQDN98LRTnaFmP/s1200/bitmap_1200_nocrop_1_1_20201215081602041657-Congres.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1200" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2yjw7H0rQwgcyc3rt7oi4mWZpd7jfWz6QAj6watqHauiRkCPkVakDhcIhZQZCflCtYHca2IrY4w5b14kp-0q1p5ULq46ows3N9IZCThJ6q4mZHCChcRJmiO1Tn41LFCGTnVNHF0zf8pGoJW41eFXjMUddt9vpEdja3FLc8h-rnatV4nNQDN98LRTnaFmP/w382-h254/bitmap_1200_nocrop_1_1_20201215081602041657-Congres.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de son discours sur l’état de la Nation ce mercredi 11 décembre, le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a exprimé sa satisfaction face à la stabilité du taux de change en République démocratique du Congo (RDC).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une gestion rigoureuse des finances publiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le chef de l’État a attribué cette réussite à une gestion financière stricte et à une coordination efficace entre le gouvernement et la Banque Centrale du Congo (BCC).</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Grâce à une gestion rigoureuse de nos finances publiques et à une étroite coordination entre le gouvernement et la Banque Centrale du Congo, nous avons stabilisé le taux de change », a déclaré Félix Tshisekedi devant les deux chambres réunies en congrès.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un taux de change stabilisé</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Actuellement, un dollar américain s’échange à 2850 Francs congolais à Kinshasa et dans d’autres villes du pays, un niveau considéré comme stable après plusieurs années marquées par des fluctuations importantes.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette stabilité contribue à maintenir le pouvoir d’achat des citoyens et à rassurer les investisseurs, tant nationaux qu’étrangers.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un signal positif pour l’économie</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La stabilité du taux de change reflète, selon les économistes, une amélioration de la discipline budgétaire et une gestion monétaire prudente. Elle est perçue comme un signal positif pour l’économie congolaise, qui cherche à attirer davantage d’investissements dans un contexte mondial incertain.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Toutefois, certains analystes rappellent que cette stabilité reste fragile et doit s’accompagner d’efforts pour diversifier l’économie et réduire la dépendance aux exportations de matières premières.</span></p><p><br /></p>

Economie Tshisekedi salue la stabilité du taux de change en RDC

Lors de son discours sur l’état de la Nation ce mercredi 11 décembre, le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a exprimé sa satisfact...

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Félix Tshisekedi engagé à transformer l’agriculture et atteindre l’autosuffisance alimentaire en RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIqCCWnfhNomQnggYdOww0I9BklEqtUOTF02jcMkPZzjTx-1ez4FmQLf76kyDv87D0GZA5ZuybGX_Us3sDNW56hyphenhyphenG8oQ6L0jOuVOXFicC_4zyiMvsJPiU9kK7Rs9TdgQCFH7Sax3LRD_z5aVyLlRK8awDzx0pvwYvjmGIVIiCsppNkrtSoi7C25nk03_tw/s780/IMG_7404-780x440.jpeg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="440" data-original-width="780" height="158" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIqCCWnfhNomQnggYdOww0I9BklEqtUOTF02jcMkPZzjTx-1ez4FmQLf76kyDv87D0GZA5ZuybGX_Us3sDNW56hyphenhyphenG8oQ6L0jOuVOXFicC_4zyiMvsJPiU9kK7Rs9TdgQCFH7Sax3LRD_z5aVyLlRK8awDzx0pvwYvjmGIVIiCsppNkrtSoi7C25nk03_tw/w400-h226/IMG_7404-780x440.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de son discours sur l’état de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a réaffirmé sa détermination à faire de <strong>l’autosuffisance alimentaire</strong> une réalité en République démocratique du Congo (RDC). « L’autosuffisance alimentaire ne doit pas demeurer un slogan. Elle doit devenir une réalité. Et nous avons les moyens », a-t-il déclaré devant les deux Chambres du Parlement réunies en Congrès.</span><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une vision soutenue par des investissements stratégiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En octobre 2024, la RDC a lancé le <strong>Programme de transformation de l’Agriculture (PTA-RDC)</strong>, financé à hauteur de <strong>6,6 milliards de dollars</strong> sur dix ans, en partenariat avec la Banque africaine de Développement (BAD).</span></p><p><span style="font-family: arial;">De plus, la <strong>Loi de finances 2025</strong> allouera <strong>plus de 11 % du budget national</strong> au secteur agricole, dépassant l’objectif fixé dans les <strong>accords de Maputo</strong>, où les pays africains s’étaient engagés à investir au moins 10 % de leurs budgets nationaux dans l’agriculture.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Relance de la pêche et de l’élevage</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Président Tshisekedi a présenté des mesures concrètes pour renforcer la productivité :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Distribution d’intrants et équipements</strong> : Des milliers de pêcheurs artisanaux dans des provinces comme la Tshopo, le Tanganyika et Kinshasa ont reçu du matériel pour améliorer leurs capacités de production.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Acquisition de bateaux de pêche industrielle</strong> : Huit bateaux sont en phase finale d’acquisition pour dynamiser la pêche industrielle.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Relance de la filière avicole</strong> : Un programme ambitieux prévoit le développement de huit pôles avicoles à travers le pays, destinés à soutenir les petits éleveurs, fermes et PME.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Impact attendu sur la population et l’économie</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces initiatives visent à <strong>réduire la dépendance alimentaire</strong> de la RDC vis-à-vis des importations, tout en créant des opportunités économiques pour les communautés rurales. En soutenant des secteurs clés comme la pêche, l’élevage et l’agriculture, le gouvernement entend consolider la croissance économique et améliorer la sécurité alimentaire.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pensez-vous que ce programme sera un tournant décisif pour le développement agricole de la RDC ? Souhaitez-vous approfondir un aspect particulier, comme les impacts sur les PME ou les moyens d’accompagnement pour les pêcheurs et éleveurs ?</span></p><p></p>

Economie Félix Tshisekedi engagé à transformer l’agriculture et atteindre l’autosuffisance alimentaire en RDC

Lors de son discours sur l’état de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a réaffirmé sa détermination à faire de l’autosuffisance aliment...

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Agriculture : le Chef de l'État salue l’accroissement des crédits dans la Loi des finances 2025 et annonce des réformes stratégiques

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4sn6kTz4xh77qKCzQUUBUXD4kElg27USscQfT8PQ42igST5rVR2FhieTtNPMi4kiOJFPM0try_YVGds_-RaBXuOz99u5HyegNqDUwObvVyM-hsCsAoLYxUEX1JyZcR7MPsnlVEsqldK1Ap9y6ufPA_j9gXafdZ8x6rx5bF9lFoz_LTg0E9251LaUF_ZAa/s2560/2K1A3779-scaled.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="1708" data-original-width="2560" height="187" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4sn6kTz4xh77qKCzQUUBUXD4kElg27USscQfT8PQ42igST5rVR2FhieTtNPMi4kiOJFPM0try_YVGds_-RaBXuOz99u5HyegNqDUwObvVyM-hsCsAoLYxUEX1JyZcR7MPsnlVEsqldK1Ap9y6ufPA_j9gXafdZ8x6rx5bF9lFoz_LTg0E9251LaUF_ZAa/w371-h248/2K1A3779-scaled.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors de son discours sur l’état de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a exprimé sa satisfaction face à l’allocation historique de <strong>11 % du budget national</strong> au secteur agricole dans la <strong>Loi des finances 2025</strong>, dépassant ainsi les objectifs des accords de Maputo.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un soutien accru pour un secteur stratégique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Président a rappelé que cet accroissement des crédits marque un engagement fort en faveur de la diversification économique et de la souveraineté alimentaire. Parmi les efforts déployés, il a souligné :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>380 tracteurs</strong> pour soutenir la mécanisation agricole.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>1 million de matériels aratoires</strong>, 5 millions de tonnes de semences, et 37 millions de mètres linéaires pour renforcer la production.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>70 séchoirs à énergie solaire</strong>, destinés à améliorer les techniques de conservation et réduire les pertes post-récolte.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">2025 : l'année des réformes agricoles</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Président Tshisekedi a annoncé que <strong>l’année 2025 sera consacrée au parachèvement des réformes</strong> visant à libérer le plein potentiel du secteur agricole. Parmi les priorités figurent :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le développement de <strong>huit pôles agricoles</strong> pour soutenir les petits éleveurs, fermes et PME, consolidant ainsi la croissance du secteur.</span></li><li><span style="font-family: arial;">L’allocation de ressources supplémentaires pour <strong>l’encadrement, la professionnalisation et l’accompagnement</strong> des agriculteurs, pêcheurs et éleveurs.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Autosuffisance alimentaire : une priorité nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le Chef de l'État a réaffirmé son ambition de faire de <strong>l’autosuffisance alimentaire</strong> une réalité. « L’autosuffisance alimentaire ne doit plus être un slogan, mais une réalité. Nous en avons les moyens », a-t-il martelé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce budget et ces réformes illustrent une volonté claire de transformer l’agriculture congolaise en un moteur de croissance économique et de résilience nationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Souhaitez-vous explorer les impacts potentiels de ces réformes sur les populations rurales ou le secteur économique ?</span></p>

Economie Agriculture : le Chef de l'État salue l’accroissement des crédits dans la Loi des finances 2025 et annonce des réformes stratégiques

Lors de son discours sur l’état de la Nation, le Président Félix Tshisekedi a exprimé sa satisfaction face à l’allocation historique de 11 %...

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RDC : Baisse des prix des produits de base dès le 10 décembre, annonce le gouvernement

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9hwTeW7fObLddKYIHE2FKMMiQOmvqvaSUQS3rrxHRiuQNJr6b8DH_aZpeWgVguxakEFXLyfjl0DAn_GHEKLxXDMSyFgDOBDH9bDed7F5m7D9GMEEfRxy-62qkhRCBe967Y3gikGSUqUDiOBTDUQJvHr6tzykdb8zCV9P3OItlWgXCx6QIMKo4f3Q-pknT/s1280/1713620567.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="878" data-original-width="1280" height="192" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9hwTeW7fObLddKYIHE2FKMMiQOmvqvaSUQS3rrxHRiuQNJr6b8DH_aZpeWgVguxakEFXLyfjl0DAn_GHEKLxXDMSyFgDOBDH9bDed7F5m7D9GMEEfRxy-62qkhRCBe967Y3gikGSUqUDiOBTDUQJvHr6tzykdb8zCV9P3OItlWgXCx6QIMKo4f3Q-pknT/s280/1713620567.jpg" width="280" /></a></div><p></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais a finalisé un <strong>accord historique</strong> avec les gros importateurs pour réduire les prix des produits de première nécessité, une mesure qui prendra effet dès le mardi <strong>10 décembre 2024</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Détails de l’accord</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Un <strong>procès-verbal officiel</strong> a été signé en présence de :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Judith Suminwa</strong>, Première ministre.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Daniel Mukuko Samba</strong>, Vice-Premier ministre chargé de l’Économie.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Représentants des gros importateurs, dont <strong>Ibrahim Issaoui</strong> (SOCIMEX et FEC).</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cet accord vise à aligner les prix sur des niveaux plus accessibles, dans le cadre de la lutte contre la vie chère et l’amélioration du pouvoir d’achat des Congolais.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les mesures adoptées</span></strong></h3><ol><li><strong><span style="font-family: arial;">Réduction des prélèvements multiples au cordon douanier.</span></strong><ul><li><span style="font-family: arial;">Suppression de certaines taxes non essentielles pour alléger les coûts d’importation.</span></li></ul></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Engagement des importateurs</strong> à appliquer des prix ajustés dès le 10 décembre.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcement des contrôles</strong> pour garantir l’application des nouveaux tarifs à tous les niveaux de la chaîne de distribution.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Propos des acteurs principaux</span></strong></h3><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Daniel Mukuko Samba</strong> :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Cette décision s’aligne sur l’un des engagements majeurs du chef de l’État : protéger et améliorer le pouvoir d’achat des Congolais. »<br />Il a assuré que des efforts supplémentaires seront faits pour alléger les charges pesant sur les importateurs et, à terme, sur les consommateurs.</span></p></blockquote></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Ibrahim Issaoui (SOCIMEX)</strong> :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« L’objectif était de réduire le prix des produits alimentaires de première nécessité. Nous espérons que cette mesure satisfera la population. »</span></p></blockquote></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Suivi et mise en œuvre</span></strong></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Inspection terrain :</strong> Le Vice-Premier ministre a annoncé qu’il se rendra personnellement sur le terrain pour constater la mise en œuvre des nouveaux prix.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Participation de la société civile :</strong> Les associations de défense des consommateurs seront mobilisées pour s’assurer de l’application effective des tarifs ajustés.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte économique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette initiative fait suite à :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>La hausse récente des prix alimentaires,</strong> exacerbée par les prélèvements excessifs et les coûts logistiques.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les actions gouvernementales pour réduire la pression économique sur les ménages, notamment par la baisse des prix des produits pétroliers.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La baisse des prix des produits de base est une <strong>mesure clé</strong> pour améliorer la qualité de vie des Congolais. Avec cet accord, le gouvernement espère relancer la consommation et alléger le fardeau financier des ménages, tout en promettant de nouvelles réformes pour assurer un impact durable.</span></p><p><span style="font-family: arial;"> </span></p>

Economie RDC : Baisse des prix des produits de base dès le 10 décembre, annonce le gouvernement

Le gouvernement congolais a finalisé un accord historique avec les gros importateurs pour réduire les prix des produits de première nécessi...

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RDC : Évolution hebdomadaire des prix des produits miniers, agricoles et forestiers

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizAwMZepoMkcIKkwQO2Gp_hCCB-y8D-y_FJYJSHITcqTrsLIfdyFbbXfER3CmKVOwLTmvgkOY-N2pS__75i6z9HKBlr7x0NexRNso6n6ZipmFi9xd3TwBMf76j0x5SJFVp9-hrNYbcC9CrP6OzHRydNBuzmYrzum7OU58kxFTe5GP3MJnPhVtMhkUo9_mc/s300/EMFBPAOPZFFTDLCCEOWPSDPZII.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="169" data-original-width="300" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizAwMZepoMkcIKkwQO2Gp_hCCB-y8D-y_FJYJSHITcqTrsLIfdyFbbXfER3CmKVOwLTmvgkOY-N2pS__75i6z9HKBlr7x0NexRNso6n6ZipmFi9xd3TwBMf76j0x5SJFVp9-hrNYbcC9CrP6OzHRydNBuzmYrzum7OU58kxFTe5GP3MJnPhVtMhkUo9_mc/s280/EMFBPAOPZFFTDLCCEOWPSDPZII.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>ministère du Commerce Extérieur</strong> a publié le rapport de la <strong>Commission Nationale des Mercuriales</strong> pour la semaine du <strong>2 au 7 décembre 2024</strong>, détaillant les fluctuations des prix des produits miniers, agricoles et forestiers exportés par la République Démocratique du Congo.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Produits miniers : baisse notable du cuivre et de l’étain</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les prix des principaux produits miniers ont montré une évolution contrastée :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Cuivre</strong> : baisse de 0,24 % (8 924,05 $/T → 8 902,55 $/T).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Étain</strong> : baisse de 0,69 % (29 060,00 $/T → 28 859,00 $/T).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Cobalt</strong> : hausse marginale (24 049,00 $/T → 24 050,00 $/T).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Zinc</strong> : hausse significative (2 949,05 $/T → 3 030,25 $/T).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Or</strong> : hausse (83,78 $/gr → 85,86 $/gr).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Argent</strong> : légère hausse (0,99 $/gr → 1,00 $/gr).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Tantale</strong> : hausse (226,80 $/Kg → 227,00 $/Kg).</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Produits agricoles et forestiers : stabilité générale avec quelques variations</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La plupart des produits agricoles et forestiers exportés ont maintenu des prix stables. Exceptions notables :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Café robusta</strong> : baisse de 5,54 % (5,41 $/kg → 5,11 $/kg).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Café arabica</strong> : hausse de 8,30 % (5,54 $/kg → 6,00 $/kg).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Cacao</strong> : hausse de 7,21 % (8,59 $/kg → 9,21 $/kg).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Caoutchouc</strong> : légère baisse (1,12 $/kg → 1,10 $/kg).</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Les autres produits, tels que la <strong>papaïne</strong>, les <strong>écorces de quinquina</strong>, la <strong>poudre de totaquina</strong>, et le <strong>sel de quinin</strong>, n’ont pas enregistré de variation.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Rôle et mission de la Commission Nationale des Mercuriales</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Créée par l'<strong>Ordonnance 89-288 du 9 novembre 1989</strong>, cette commission a pour mission de :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;">Élaborer les <strong>mercuriales des prix</strong> des produits exportés.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Fixer les <strong>prix minima de vente</strong> sur les marchés internationaux.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Réajuster les prix en fonction des fluctuations significatives du marché.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Appuyer l’<strong>Office Congolais de Contrôle</strong> dans sa mission de surveillance des exportations.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Analyse et impact économique</span></strong></h3><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Minier</strong> :</span><ul><li><span style="font-family: arial;">La baisse des prix du cuivre et de l’étain pourrait affecter les revenus des exploitants, mais les hausses pour le zinc, l’or et le cobalt sont encourageantes.</span></li></ul></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Agricole et forestier</strong> :</span><ul><li><span style="font-family: arial;">La stabilité des prix est bénéfique pour les acteurs du secteur, bien que les baisses du café robusta et du caoutchouc puissent inquiéter certains producteurs.</span></li></ul></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Ce suivi hebdomadaire permet aux opérateurs économiques de mieux planifier leurs activités et aux autorités de prendre des mesures adaptées aux dynamiques des marchés internationaux.</span></p>

Economie RDC : Évolution hebdomadaire des prix des produits miniers, agricoles et forestiers

Le ministère du Commerce Extérieur a publié le rapport de la Commission Nationale des Mercuriales pour la semaine du 2 au 7 décembre 2024 ...

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RDC-Zambie-Angola : Les États-Unis investissent 560 millions de dollars supplémentaires dans le corridor de Lobito

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkFMWW9wnOKbHdyRqD6RZxN_rfgBquZ1VWnQm4lB2nu0cMhV9Q6T43LufDU4cU2lH2Te6LterIisQBxBjNMLc2DDybdRoIQMI9L-GKKSELpk8trRO7fDjRVnZYpJc6QhB3JGtJNnH4hG4J15LhjC-BbB0e4ccI1l-EGaWiFF7gCqbAR8RYaJsxuEpSUtBu/s800/biden%20tshisekedi.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkFMWW9wnOKbHdyRqD6RZxN_rfgBquZ1VWnQm4lB2nu0cMhV9Q6T43LufDU4cU2lH2Te6LterIisQBxBjNMLc2DDybdRoIQMI9L-GKKSELpk8trRO7fDjRVnZYpJc6QhB3JGtJNnH4hG4J15LhjC-BbB0e4ccI1l-EGaWiFF7gCqbAR8RYaJsxuEpSUtBu/s280/biden%20tshisekedi.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le président américain <strong>Joe Biden</strong> a annoncé ce mercredi une enveloppe supplémentaire de <strong>560 millions de dollars</strong> pour soutenir le développement du <strong>corridor transafricain de Lobito</strong>, un projet stratégique visant à connecter la République démocratique du Congo (RDC), la Zambie, et l'Angola à des infrastructures modernes.</span><h4><strong><span style="font-family: arial;">Un levier pour le commerce régional et la transition énergétique</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Lors de la rencontre à Lobito avec le président angolais <strong>João Lourenço</strong> et d'autres dirigeants africains, Joe Biden a souligné que ce corridor jouera un rôle essentiel dans :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>L’amélioration de la connectivité</strong> entre les bassins miniers de la RDC et de la Zambie au port de Lobito en Angola.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Le renforcement de la sécurité alimentaire et des infrastructures numériques</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>L'accélération de la transition énergétique mondiale</strong>, grâce à une exploitation plus durable des ressources naturelles.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Le financement inclut des engagements pour mobiliser <strong>200 millions de dollars de capitaux privés</strong>, portant à plus de <strong>4 milliards de dollars</strong> le total des investissements américains alloués au projet dans le cadre du <strong>Partenariat pour les infrastructures mondiales et les investissements (PGI)</strong>.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Un corridor stratégique pour l'Afrique et le monde</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Lancé lors du <strong>G7 de 2023</strong>, le corridor de Lobito ambitionne de devenir une infrastructure clé pour le transport de minerais, notamment le cuivre et le cobalt essentiels aux technologies vertes. Les <strong>6 milliards de dollars déjà mobilisés</strong>, issus de partenariats entre des institutions américaines et internationales, visent également à créer des emplois et à dynamiser les économies locales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Joe Biden a qualifié ce corridor de "moteur de transformation", insistant sur son impact positif pour les communautés locales et son importance dans le commerce régional et mondial.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce soutien s'inscrit dans une approche visant à renforcer les relations économiques et diplomatiques entre les États-Unis et l'Afrique, tout en soutenant des projets porteurs de développement durable.</span></p><p></p>

Economie RDC-Zambie-Angola : Les États-Unis investissent 560 millions de dollars supplémentaires dans le corridor de Lobito

Le président américain Joe Biden a annoncé ce mercredi une enveloppe supplémentaire de 560 millions de dollars pour soutenir le développem...

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Félix Tshisekedi : « Le corridor de Lobito, un moteur de transformation pour la RDC et la région »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEga0xi_JBpJg0zXC-dPE4lNtjReWvJPcmPgRnR44pc1CXiXXelfe7UCsS1d8yApsQGt_5xnOtw7g-oa0eComPj61wQVEQQZdYgqM7Etk6V8z4A-ZUmL5LYRodAz9wMv5fKc__f01N8JgzPPvlzvCaYH_6117luAfNbsRIm8r3BsIW881ENO44BSNgpdgmVY/s800/IMG_0744.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEga0xi_JBpJg0zXC-dPE4lNtjReWvJPcmPgRnR44pc1CXiXXelfe7UCsS1d8yApsQGt_5xnOtw7g-oa0eComPj61wQVEQQZdYgqM7Etk6V8z4A-ZUmL5LYRodAz9wMv5fKc__f01N8JgzPPvlzvCaYH_6117luAfNbsRIm8r3BsIW881ENO44BSNgpdgmVY/s280/IMG_0744.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le président de la République démocratique du Congo (RDC), <strong>Félix Tshisekedi</strong>, a qualifié le corridor de Lobito de levier stratégique pour la valorisation des ressources naturelles de la région, en particulier le cuivre et le cobalt, essentiels à la transition énergétique mondiale. Lors d'une rencontre avec les présidents angolais et zambiens à Lobito, il a mis en avant l'impact économique et social majeur de ce projet.</span><p></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Un corridor pour la prospérité régionale</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Tshisekedi a présenté le corridor de Lobito comme un <strong>axe d'intégration régionale</strong>, capable de :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Réduire le temps de transit des marchandises</strong> de 30 à moins de 10 jours grâce à ses 1 739 km d’infrastructures connectant réseaux routiers et ferroviaires.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Transporter jusqu’à 20 millions de tonnes de marchandises par an d'ici 2030</strong>, optimisant les exportations de la RDC, notamment pour ses minerais critiques.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Il a souligné l’importance de diversifier les routes d'exportation pour le cuivre et le cobalt, qui représentent environ <strong>70 % de la demande mondiale</strong> pour la production de batteries et autres technologies liées aux énergies renouvelables.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Impact humain et économique</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Le président a mis l'accent sur les bénéfices directs pour les populations :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Création de plus de 30 000 emplois directs et indirects</strong>, avec des opportunités économiques pour les communautés locales.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Renforcement du commerce intra-africain, aligné sur les objectifs de l’<strong>Agenda 2063</strong> de l’Union africaine.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Il a également plaidé pour la <strong>transformation locale des ressources naturelles</strong> afin de maximiser leur valeur ajoutée avant l’exportation, contribuant ainsi à une industrialisation durable de la région.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">Défis et engagements</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Tshisekedi a reconnu les défis liés à la sécurité, notamment dans l’Est de la RDC, et a assuré que son gouvernement œuvre activement pour un retour durable à la paix, avec le soutien de l’Angola dans le cadre du <strong>processus de Luanda</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Sur le plan des infrastructures, il a mentionné :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La <strong>modernisation des réseaux ferroviaires et routiers</strong> reliant les zones minières de Kolwezi et Likasi au corridor.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Le développement de projets énergétiques tels qu’<strong>Inga III</strong> pour fournir une énergie durable aux industries émergentes.</span></li></ul><h4><strong><span style="font-family: arial;">Une vision pour l'avenir</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, Félix Tshisekedi a affirmé que le corridor de Lobito représente bien plus qu’un simple axe de transport : il s’agit d’un <strong>outil de transformation économique et sociale</strong> pour la RDC et ses voisins.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Les richesses de notre sol doivent impérativement améliorer la vie de nos populations, et ce projet nous rapproche de cet objectif ambitieux », a-t-il déclaré, réitérant l’engagement total de la RDC dans ce partenariat stratégique.</span></p>

Economie Félix Tshisekedi : « Le corridor de Lobito, un moteur de transformation pour la RDC et la région »

Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi , a qualifié le corridor de Lobito de levier stratégique pour la...

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Lors d'une réunion multilatérale sur le Corridor de Lobito à Benguela, les présidents Joe Biden des États-Unis et Félix Tshisekedi ont discuté d'un partenariat stratégique visant à renforcer la souveraineté économique de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJiJ46z4LDoEXHoplVM-luHUANRTDnADdGo0OkI2xD9vN8-KPUpDBk5-Bh64UlJDq4fqfw8c9_l1uZUi1yqAfnZl0LlhXb8qzq38rXrbDXzKIi50eJW6iZxkerNyCG2XD-4SPkYk7BHLJmtnn4psH_OBFLDBCHp-CQuOjCcpHPUFNTxQEw3fQpk6j-doOH/s1080/joe_biden_et_tshisekedi_a_luanda.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJiJ46z4LDoEXHoplVM-luHUANRTDnADdGo0OkI2xD9vN8-KPUpDBk5-Bh64UlJDq4fqfw8c9_l1uZUi1yqAfnZl0LlhXb8qzq38rXrbDXzKIi50eJW6iZxkerNyCG2XD-4SPkYk7BHLJmtnn4psH_OBFLDBCHp-CQuOjCcpHPUFNTxQEw3fQpk6j-doOH/w356-h237/joe_biden_et_tshisekedi_a_luanda.jpg" width="280" /></a></div><br /><p></p><p><span style="font-family: arial;">Un pays dont l'économie reste fortement dépendante des ressources naturelles, notamment les minerais.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le président américain a réaffirmé le soutien des États-Unis à la RDC pour lui permettre de <strong>détourner les bénéfices</strong> de ses ressources naturelles directement en faveur de sa population, en soutenant des investissements privés qui respectent les principes de <strong>bonne gouvernance</strong> et de <strong>transparence</strong>. Cette collaboration vise à garantir que la RDC pourra exploiter ses <strong>immenses richesses</strong> de manière <strong>durable</strong> et <strong>indépendante</strong> tout en améliorant son <strong>développement industriel</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le soutien américain se manifeste à travers des investissements dans le <strong>Corridor de Lobito</strong>, un projet majeur qui permettra de renforcer l'accès aux <strong>minéraux essentiels</strong> comme le cuivre et le cobalt, cruciaux pour la transition énergétique mondiale. Le corridor vise également à stimuler l'<strong>industrialisation</strong> et la <strong>compétitivité</strong> de la RDC, en améliorant la <strong>connectivité régionale</strong> et en renforçant la <strong>sécurité alimentaire</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Au cours de la réunion, <strong>Joe Biden</strong> a annoncé un financement supplémentaire de <strong>560 millions de dollars</strong>, avec l'engagement de générer environ <strong>200 millions de dollars supplémentaires</strong> du secteur privé pour les <strong>projets d'infrastructure</strong> le long du corridor, portant ainsi les investissements américains dans ce projet à plus de <strong>4 milliards de dollars</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les États-Unis et leurs partenaires internationaux ont ainsi mobilisé plus de <strong>6 milliards de dollars</strong> pour soutenir ce projet d'envergure, ce qui marque un tournant significatif dans le développement économique de la RDC et son intégration dans l’économie mondiale, tout en cherchant à améliorer les conditions de vie des Congolais. </span></p>

Economie Lors d'une réunion multilatérale sur le Corridor de Lobito à Benguela, les présidents Joe Biden des États-Unis et Félix Tshisekedi ont discuté d'un partenariat stratégique visant à renforcer la souveraineté économique de la RDC

Un pays dont l'économie reste fortement dépendante des ressources naturelles, notamment les minerais. Le président américain a réaffirmé...

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