Affrontements FARDC – M23 : interdiction de navigation des pirogues sur le Lac Kivu

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXWZEgKr2bcJlEC1p1oycpFoPQDXDlk2j9ytKTr1eESuPtOuO3CEMcFXk6FZmobBFSmVfTixFAjLJ3v8ORJnZuCQuGtQ7HrGEDdbXHf-5aMq6BrmG_w1lMWCZrlHkhuKZkosAm2XtytuZOAE69sotKuujR89Biej7dhEvTt05N5tAEl433OUxFRErmqCsN/s711/nord_kivu_peter_cirimwami_22_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXWZEgKr2bcJlEC1p1oycpFoPQDXDlk2j9ytKTr1eESuPtOuO3CEMcFXk6FZmobBFSmVfTixFAjLJ3v8ORJnZuCQuGtQ7HrGEDdbXHf-5aMq6BrmG_w1lMWCZrlHkhuKZkosAm2XtytuZOAE69sotKuujR89Biej7dhEvTt05N5tAEl433OUxFRErmqCsN/s280/nord_kivu_peter_cirimwami_22_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dans un contexte de tensions accrues entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23, <strong>toute navigation diurne et nocturne des petites embarcations, notamment des pirogues, est désormais interdite sur le Lac Kivu</strong>. Cette interdiction concerne les trajets entre les provinces du <strong>Nord-Kivu et du Sud-Kivu</strong>.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, <strong>général Cirimwami Nkuba Pierre</strong>, a annoncé cette mesure en raison de la <strong>situation sécuritaire dégradée</strong> aux environs de la ville de Goma, attribuée à l’agression rwandaise sous le couvert du M23/AFC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué officiel, il a déclaré :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Il est porté à la connaissance de l’opinion publique du Nord-Kivu que suite à la situation sécuritaire qui prévaut aux environs de la ville de Goma, [...] il est formellement interdit la navigation diurne et nocturne des petites embarcations (pirogues) sur le Lac Kivu entre les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu, jusqu’à nouvel ordre. »</span></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Le général Cirimwami a également <strong>mis en garde</strong> contre toute tentative de contournement de cette décision et a ordonné aux services spécialisés d’en assurer l’application stricte.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette mesure vise à limiter les risques liés à la situation de conflit et à renforcer le contrôle dans une région déjà fortement affectée par l’instabilité.</span></p>

Securité Affrontements FARDC – M23 : interdiction de navigation des pirogues sur le Lac Kivu

Dans un contexte de tensions accrues entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23, toute na...

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Combats FARDC-M23 : coupure de la ligne haute tension affectant l'électricité à Goma

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhywEDiPLOU145ft8Uxmh_JJqphY60bc5bjTeIp5AiGszTHYNe5qaW_OFc1l6C3jG0ak04OBqFvP6_vgDxKE-SkjZv5cpiq4U6zecL5TAJszkKk6in9IWnsGGvaxVfh9cT8rbXrVe12zIvHkhqX8mHpzjRY-BaApHRBw6n_i1fHtmG0VKtJ1grin-zeovaS/s700/IMG-20250116-WA0019.webp" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="500" data-original-width="700" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhywEDiPLOU145ft8Uxmh_JJqphY60bc5bjTeIp5AiGszTHYNe5qaW_OFc1l6C3jG0ak04OBqFvP6_vgDxKE-SkjZv5cpiq4U6zecL5TAJszkKk6in9IWnsGGvaxVfh9cT8rbXrVe12zIvHkhqX8mHpzjRY-BaApHRBw6n_i1fHtmG0VKtJ1grin-zeovaS/s280/IMG-20250116-WA0019.webp" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Depuis la matinée de ce mercredi 22 janvier 2025, une grande partie de la ville de Goma est privée d’électricité à cause d'une panne sur la ligne haute tension 70 kV reliant Bukavu à Goma. La Société Nationale d’Électricité (SNEL), par le biais de sa Direction Régionale du Nord-Kivu, a annoncé que cette coupure est due à des circonstances imprévues et "indépendantes de sa volonté".</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les efforts en cours pour rétablir l’électricité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son communiqué, la SNEL a présenté ses excuses aux habitants et entreprises touchés par cette coupure et a assuré que des équipes techniques sont mobilisées pour identifier l'origine de la panne et la résoudre dans les plus brefs délais.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Nous mettons tout en œuvre pour rétablir l'approvisionnement en énergie le plus rapidement possible », précise le communiqué.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un quotidien déjà difficile aggravé par cette panne</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour les habitants de Goma, cette interruption survient dans un contexte déjà tendu, marqué par les combats entre les FARDC et le M23 et une insécurité croissante.</span></p><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Mugaruka Alex</strong>, habitant du quartier Mapendo, exprime sa frustration :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Sans électricité, je ne peux même pas charger mon téléphone. J’ai dû me rendre dans un bar pour trouver un peu d’énergie, mais mes enfants sont à la maison dans le noir. »</span></p></blockquote></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Carine Mangaza</strong>, du quartier Les Volcans, souligne l'impact psychologique :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Avec l’insécurité et les tensions liées au M23, cette coupure sans préavis nous met encore plus en difficulté. »</span></p></blockquote></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Mangaza Sophie</strong>, propriétaire d’un restaurant, craint des pertes financières :</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">« Mes réfrigérateurs sont à l’arrêt depuis ce matin. Les aliments risquent de se gâter, et cela représente une grosse perte pour mon activité. »</span></p></blockquote></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Recours à des alternatives énergétiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En attendant le rétablissement de la fourniture électrique, de nombreux habitants se tournent vers des solutions alternatives comme les groupes électrogènes et les panneaux solaires. Cependant, ces options restent coûteuses et ne sont pas accessibles à tous, ce qui exacerbe les inégalités.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la résilience et au soutien</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette panne d’électricité s’ajoute aux défis quotidiens auxquels les habitants de Goma sont confrontés. La population espère un rétablissement rapide de l’électricité et appelle à davantage de communication et de soutien de la part des autorités face à ces situations imprévues.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En parallèle, les combats en périphérie continuent de fragiliser davantage la région, rendant les conditions de vie encore plus précaires pour les habitants.</span></p>

Securité Combats FARDC-M23 : coupure de la ligne haute tension affectant l'électricité à Goma

Depuis la matinée de ce mercredi 22 janvier 2025, une grande partie de la ville de Goma est privée d’électricité à cause d'une panne sur...

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L’arrivée de ces quatre jeunes présumés combattants du M23 à Bunia

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTVx1S3kiOfbu3tp3AY5Rj_RX1pisDxmQQdkLaDD__28d6efp1-whk2QKBtFkdS-tH-vWl-PswlvvcD64HCtkYWriWcUOgwq_2Gvc00xbu6w5wjZ5V7Yotn0yeahO-qjR9LcAZVI1bOqkFe4ZlJgynE9FsXa_IaeDIIfjcgRi56jB4yhyphenhyphenKHt78oaArdSjs/s719/les_4_combattants_m23_captures_au_front_arrives_a_bunia.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="371" data-original-width="719" height="144" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiTVx1S3kiOfbu3tp3AY5Rj_RX1pisDxmQQdkLaDD__28d6efp1-whk2QKBtFkdS-tH-vWl-PswlvvcD64HCtkYWriWcUOgwq_2Gvc00xbu6w5wjZ5V7Yotn0yeahO-qjR9LcAZVI1bOqkFe4ZlJgynE9FsXa_IaeDIIfjcgRi56jB4yhyphenhyphenKHt78oaArdSjs/w418-h215/les_4_combattants_m23_captures_au_front_arrives_a_bunia.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Met en lumière la complexité des dynamiques de recrutement et des conflits dans l’est de la RDC. Le fait qu’ils soient originaires de l’Ituri et qu’ils affirment avoir été enrôlés par des figures politiques telles que Thomas Lubanga pose des questions cruciales sur le rôle des acteurs locaux dans la persistance des violences armées.</span><p></p><h3><span style="font-family: arial;">Analyse des faits :</span></h3><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Les déclarations des capturés</strong> :<br />Selon leurs témoignages, ils ont été recrutés sous prétexte de recevoir une formation militaire en Ouganda, mais ont fini dans un centre d’entraînement du M23 à Tchanzu. Ce schéma illustre une tactique classique de manipulation et de recrutement forcé ou frauduleux.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Implication de figures politiques</strong> :<br />L’accusation portée contre Thomas Lubanga, déjà controversé pour son passé lié à l’enrôlement d’enfants soldats, est particulièrement lourde. Bien que son parti, l’UPC, ait nié toute implication, ces allégations renforcent les suspicions autour de son rôle dans la déstabilisation de la région.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Le rôle de l’armée et des autorités provinciales</strong> :<br />La collaboration entre les gouverneurs du Nord-Kivu et de l’Ituri, ainsi que l’implication de l’armée congolaise, montre une volonté de briser les réseaux de recrutement pour le M23. Le lieutenant Jules Ngongo a souligné la priorité d’approfondir les enquêtes afin d’identifier et de neutraliser ces réseaux.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Contexte régional</strong> :<br />Le M23, soutenu par des acteurs régionaux selon plusieurs rapports, continue de menacer la stabilité de l’est de la RDC. L’implication d’acteurs locaux, comme suggéré ici, complique davantage la situation et démontre l’interconnexion entre les conflits locaux et régionaux.</span></p></li></ol><h3><span style="font-family: arial;">Ce que cela signifie pour l’avenir :</span></h3><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Renforcement des enquêtes</strong> : Si les accusations contre Thomas Lubanga et d'autres sont prouvées, cela pourrait mener à des sanctions et renforcer les efforts pour démanteler les réseaux internes de soutien aux groupes armés.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Pression internationale</strong> : La publication du rapport des Nations Unies met une pression accrue sur les autorités congolaises pour prendre des mesures contre les responsables locaux complices des groupes rebelles.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mobilisation de la société civile</strong> : Cette affaire pourrait aussi relancer le débat au sein de la société civile sur la nécessité de protéger les jeunes des stratégies de recrutement frauduleuses.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Dans l’immédiat, la sécurité des capturés doit être garantie pour qu’ils puissent coopérer pleinement avec les autorités. Le démantèlement des réseaux locaux pourrait constituer une avancée significative dans la lutte contre l’insécurité persistante dans l’est de la RDC.</span></p>

Securité L’arrivée de ces quatre jeunes présumés combattants du M23 à Bunia

Met en lumière la complexité des dynamiques de recrutement et des conflits dans l’est de la RDC. Le fait qu’ils soient originaires de l’Itur...

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Les affrontements de ce dimanche 19 janvier 2025 à Minembwe illustrent une fois de plus les défis sécuritaires persistants dans l’est de la RDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeLLUXWvEqWWrYyRusqKqPTtZU95c9WBCn80f2dIl0Uddew8Y1Nj6YVCfxn5khslKZ-y-D10s_f-Q_fFUSx-STemBW-RkXzIxYYgg3VH9MtFE77UPzpZtDTi_jTBjN4WvPqqGwUCeum_P3ZRWb2-NYiNdymdYFMTApQCyWjMAkZssitXTWosrFkwYk0HVC/s259/images%20(61).jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="194" data-original-width="259" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeLLUXWvEqWWrYyRusqKqPTtZU95c9WBCn80f2dIl0Uddew8Y1Nj6YVCfxn5khslKZ-y-D10s_f-Q_fFUSx-STemBW-RkXzIxYYgg3VH9MtFE77UPzpZtDTi_jTBjN4WvPqqGwUCeum_P3ZRWb2-NYiNdymdYFMTApQCyWjMAkZssitXTWosrFkwYk0HVC/w340-h255/images%20(61).jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La réaction rapide et efficace des FARDC face à une coalition de groupes armés, dont les Makanika, les Red Tabara et des éléments du M23, souligne la détermination de l’armée congolaise à défendre la souveraineté nationale malgré la complexité de la situation sur le terrain.</span><p></p><h3><span style="font-family: arial;">Analyse des faits :</span></h3><ol><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Nature de l’attaque</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La coalition rebelle a ciblé une position stratégique des FARDC dans une zone hautement disputée des Hauts Plateaux de Minembwe.</span></li><li><span style="font-family: arial;">L’implication présumée de puissances étrangères, notamment le Rwanda, dans le soutien logistique ou stratégique de ces groupes armés, aggrave la situation sécuritaire.</span></li></ul></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Réponse des FARDC</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La riposte du 132ᵉ bataillon de la 13ᵉ brigade a été décisive, entraînant la neutralisation de six rebelles et des pertes supplémentaires chez les assaillants.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Cette contre-offensive a permis de maintenir la sécurité dans une région où les tensions ethniques et les rivalités géopolitiques alimentent les violences.</span></li></ul></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Conséquences locales</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Le contrôle maintenu par les FARDC rassure les populations locales, bien que celles-ci restent exposées à la menace d’attaques futures.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Les autorités militaires ont appelé à une collaboration accrue entre les civils et l’armée pour renforcer la vigilance et prévenir d’éventuelles incursions.</span></li></ul></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Enjeux stratégiques à Minembwe</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">La région des Hauts Plateaux est connue pour sa richesse en ressources naturelles et son importance géopolitique, ce qui en fait une cible privilégiée pour les groupes armés.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Ces affrontements montrent également que la lutte contre les groupes armés reste un enjeu national majeur, nécessitant des efforts soutenus tant sur le plan militaire que diplomatique.</span></li></ul></li></ol><h3><span style="font-family: arial;">Perspectives :</span></h3><ul><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Stabilisation de la région</strong> :<br />Les FARDC doivent continuer à renforcer leur présence dans des zones clés comme Minembwe pour dissuader les incursions rebelles et rassurer les populations locales.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Coopération régionale et internationale</strong> :<br />L’implication alléguée de puissances étrangères dans les conflits armés en RDC appelle à des discussions diplomatiques régionales pour limiter l’influence extérieure et promouvoir la stabilité.</span></p></li><li><p><span style="font-family: arial;"><strong>Rôle des communautés locales</strong> :<br />Les autorités civiles et militaires doivent travailler avec les leaders locaux pour encourager la paix, prévenir les recrutements par les groupes armés, et répondre aux besoins des populations affectées par ces conflits.</span></p></li></ul><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, bien que la situation à Minembwe semble sous contrôle pour le moment, ces événements rappellent l’urgence d’une approche globale pour résoudre les conflits armés dans l’est de la RDC, en impliquant à la fois l’État, les partenaires régionaux et la communauté internationale.</span></p>

Securité Les affrontements de ce dimanche 19 janvier 2025 à Minembwe illustrent une fois de plus les défis sécuritaires persistants dans l’est de la RDC

La réaction rapide et efficace des FARDC face à une coalition de groupes armés, dont les Makanika, les Red Tabara et des éléments du M23, so...

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Patrick Muyaya répond à Kagame : “Cette diarrhée verbale est une nouvelle preuve de la fin prochaine de vos aventures en RDC !”

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF2mfTU-6K2KZlzjbIG8pqSfwH55WGbyoAtZs9dozgEtQCFYENb-x336LbPsbwW3Peqw6BTZh5Z6ja8bSR0F6Q6eVI9fo1perVSPOnf0NYnsrNFPsFLPjX7OEvqfRuAxJke7tJw9f7r8uEAIGilG0hCeeiaSkIBYbwaecSjTF0iQpApAT57Upp5HVArt2j/s711/patrick_mukala_252_jpeg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF2mfTU-6K2KZlzjbIG8pqSfwH55WGbyoAtZs9dozgEtQCFYENb-x336LbPsbwW3Peqw6BTZh5Z6ja8bSR0F6Q6eVI9fo1perVSPOnf0NYnsrNFPsFLPjX7OEvqfRuAxJke7tJw9f7r8uEAIGilG0hCeeiaSkIBYbwaecSjTF0iQpApAT57Upp5HVArt2j/s280/patrick_mukala_252_jpeg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dans une réplique acerbe, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, a répondu avec fermeté aux récentes déclarations du président rwandais Paul Kagame, accusé de soutenir le groupe armé M23. Ces propos, qualifiés de “bassesses” par Muyaya, portaient sur les élections en République démocratique du Congo (RDC).</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">S’exprimant sur le réseau social X (anciennement Twitter), Patrick Muyaya n’a pas mâché ses mots. Il a dénoncé ce qu’il a décrit comme une “logorrhée” de Kagame, jugeant ses critiques “décalées et irréalistes”. En reprenant l’adage latin « <em>Quos vult perdere Jupiter dementat</em> » (Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre), Muyaya a souligné que les agissements de Kagame trahissaient un sentiment de désespoir face à son isolement croissant sur les scènes régionale et internationale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Alors que dans son pays, les élections se déroulent à huis clos, que l’opposition est réduite au silence, que la presse est muselée et que la répression constitue une stratégie de campagne, Paul Kagame se permet de donner des leçons. Parlez pillage, viols et massacres, vos spécialités, mais ne mentionnez jamais d’élections, surtout pas en RDC. Cette diarrhée verbale est une nouvelle preuve de la fin prochaine de ses aventures en République démocratique du Congo », a déclaré Muyaya.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la souveraineté et à la résistance</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre a également appelé à l’unité nationale et à une résistance farouche contre les ingérences étrangères. « La RDC ne se pliera pas aux manœuvres d’un voisin belliqueux », a-t-il affirmé, rappelant que la souveraineté de son pays était non négociable.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Muyaya a également cité un message fort du Pape François lors de sa visite en RDC, en février 2023 : « Ôtez vos mains de la RDC ! Vous perdrez sur tous les fronts. » Cette référence montre l’attachement des autorités congolaises à défendre l’intégrité territoriale et à dénoncer les menaces étrangères.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un contexte tendu entre la RDC et le Rwanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette réponse s’inscrit dans un contexte de tensions persistantes entre Kinshasa et Kigali. La RDC accuse depuis longtemps le Rwanda de soutenir activement le groupe rebelle M23, responsable de massacres, de viols et de pillages dans l’est du pays. Malgré les pressions internationales, Paul Kagame continue de nier toute implication directe.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec cette réplique cinglante, Patrick Muyaya réaffirme la position intransigeante du gouvernement congolais face aux provocations rwandaises et exhorte les Congolais à rester mobilisés pour défendre leur pays.</span></p>

Securité Patrick Muyaya répond à Kagame : “Cette diarrhée verbale est une nouvelle preuve de la fin prochaine de vos aventures en RDC !”

Dans une réplique acerbe, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement congolais, a répondu avec fermeté aux...

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Guerre dans l’Est : Félix Tshisekedi rejette l’idée d’un dialogue direct avec le M23

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgS4obIiD-f21Aev34O_rnceb4A_w4Si41aRasFi0bHlhuFcSHSbmxbp4Ddv1j6kuGGde7wy2Po0jixD7srmRVciJDSAGRz3EqVEyh-H-Cagh1AVXkdxnTLuNscaXyhsz8d3Bxfndhm9rId7nrOjufmdev-bOXd5g32mMDT9y20iC1qFaziyxEGbD1KFjKA/s711/tshisekedi_echances_des_voeux_avec_le_corps_diplomatique_18_janvier_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgS4obIiD-f21Aev34O_rnceb4A_w4Si41aRasFi0bHlhuFcSHSbmxbp4Ddv1j6kuGGde7wy2Po0jixD7srmRVciJDSAGRz3EqVEyh-H-Cagh1AVXkdxnTLuNscaXyhsz8d3Bxfndhm9rId7nrOjufmdev-bOXd5g32mMDT9y20iC1qFaziyxEGbD1KFjKA/w416-h277/tshisekedi_echances_des_voeux_avec_le_corps_diplomatique_18_janvier_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><br /></div><span style="font-family: arial;">Lors de la cérémonie annuelle d’échange de vœux avec le corps diplomatique accrédité en République démocratique du Congo (RDC) ce samedi 18 janvier, le président Félix Tshisekedi a exprimé une position ferme sur la crise sécuritaire dans l’est du pays. Le chef de l’État a catégoriquement rejeté l’idée d’un dialogue direct avec le M23, un groupe armé qu’il a qualifié de terroriste.</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">« Exiger un dialogue direct avec un groupe terroriste revient à légitimer des agissements qui violent nos lois et principes fondamentaux », a déclaré le président congolais, affirmant que de telles négociations seraient incompatibles avec les valeurs et la souveraineté de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une position claire contre l’impunité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Félix Tshisekedi a souligné que les crimes commis par le M23 – notamment des massacres, des déplacements forcés de populations et des exactions contre les civils – ne peuvent être ignorés. Selon lui, engager un dialogue reviendrait à accorder une reconnaissance à ces actes de violence et à remettre en question l’autorité de l’État congolais.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le président a également rappelé que le M23, malgré les appels internationaux au dialogue, reste un acteur déstabilisateur dans la région. « Négocier avec un tel groupe serait un affront à la mémoire des milliers de victimes de leurs atrocités », a-t-il ajouté.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la communauté internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son discours, Tshisekedi a également lancé un appel appuyé à la communauté internationale pour qu’elle prenne des mesures concrètes contre le Rwanda, accusé de soutenir activement le M23. Il a plaidé pour des sanctions fermes contre Kigali, qu’il tient responsable de l’instabilité chronique dans l’est de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Le soutien du Rwanda au M23 est une agression manifeste contre notre souveraineté. La communauté internationale doit imposer des sanctions sévères pour freiner ces actes belliqueux », a-t-il insisté, soulignant l’urgence d’une réponse collective pour rétablir la paix dans la région des Grands Lacs.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La recherche d’une solution durable</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré ce refus catégorique de négocier directement avec le M23, Tshisekedi s’est dit favorable à des solutions diplomatiques impliquant les partenaires régionaux et internationaux. Il a réaffirmé son engagement en faveur des processus de paix menés sous l’égide de l’Union africaine et des Nations unies, mais a insisté sur le respect des principes fondamentaux de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, le président congolais a réitéré sa détermination à ne pas céder aux pressions extérieures visant à fragiliser le pays. « La RDC continuera de se battre pour sa souveraineté, sa dignité et la sécurité de ses citoyens », a-t-il déclaré.</span></p>

Securité Guerre dans l’Est : Félix Tshisekedi rejette l’idée d’un dialogue direct avec le M23

Lors de la cérémonie annuelle d’échange de vœux avec le corps diplomatique accrédité en République démocratique du Congo (RDC) ce samedi 18 ...

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Tshisekedi répond à Kagame : « Les élections rwandaises sont des scénarios pré-écrits avec des résultats inchangés »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyVkei3UQdMhrj3jikcQIsL_7Fbp_kK2jre7IPgMBraeLb0i-9bb2JXD95wSSfFRue-RC9PdoW-deHLtNxfgjfT8ZrgLdWlltmU5W6ZhabC2xHFMIc1zFy2MX2cMyg1IO7k8V-TWgbf1vU7pssiZ1koPktXNpK54_bS2YTq8f9wjiU98ZlT16GsJNrRhif/s711/tshisekedi_echances_des_voeux_avec_le_corps_diplomatique_18_janvier_202501_jpg_711_473_1%20(1).jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyVkei3UQdMhrj3jikcQIsL_7Fbp_kK2jre7IPgMBraeLb0i-9bb2JXD95wSSfFRue-RC9PdoW-deHLtNxfgjfT8ZrgLdWlltmU5W6ZhabC2xHFMIc1zFy2MX2cMyg1IO7k8V-TWgbf1vU7pssiZ1koPktXNpK54_bS2YTq8f9wjiU98ZlT16GsJNrRhif/w381-h254/tshisekedi_echances_des_voeux_avec_le_corps_diplomatique_18_janvier_202501_jpg_711_473_1%20(1).jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le président Félix Tshisekedi n’a pas tardé à réagir aux propos de son homologue rwandais, Paul Kagame, qui avait remis en question la légitimité de sa victoire aux élections présidentielles de 2018 et 2023. Lors de la cérémonie traditionnelle d’échanges de vœux avec le corps diplomatique accrédité en RDC ce samedi 18 janvier, Tshisekedi a répondu avec force et clarté.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une défense de la démocratie congolaise</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Réaffirmant la transparence et la crédibilité des élections de 2023, Tshisekedi a déclaré :<br />« 2024 avait débuté sous le signe de la confirmation de ma victoire et de celle de la coalition politique que j’ai conduite, l’Union sacrée de la nation, lors des élections générales de décembre 2023. Ce scrutin, libre et transparent, a permis au peuple congolais d’exprimer, dans toute sa souveraineté, sa confiance renouvelée en notre projet de société. Cette confiance, je la considère comme un appel à ancrer durablement la justice, la paix et le développement au cœur de notre gouvernance. »</span></p><p><span style="font-family: arial;">Le président congolais a également souligné que le processus électoral en RDC est inclusif et respectueux de la diversité des opinions, à l’opposé du système rwandais. Il a dénoncé la nature rigide et contrôlée des élections au Rwanda, affirmant qu’elles sont dénuées de tout suspense démocratique.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« En RDC, nous avons fait le choix irréversible de bannir la dictature et de construire une démocratie véritablement inclusive. Contrairement à d’autres pays, où les élections s’apparentent à des scénarios pré-écrits avec des adversaires soigneusement choisis d’avance pour garantir un résultat inchangé, le processus électoral congolais est un espace ouvert, où chaque voix compte, où chaque citoyen peut concourir et où l’opposition a sa place. »</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un modèle pour les démocraties émergentes</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Tshisekedi a présenté la RDC comme une source d’inspiration pour les démocraties émergentes en Afrique et dans le monde, tout en reconnaissant que des améliorations restent nécessaires. Cependant, il a insisté sur le fait que le système électoral congolais reflète véritablement la volonté populaire et reste un pilier fondamental de la souveraineté nationale.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une position ferme sur la sécurité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le président a également profité de cette occasion pour réitérer sa position concernant la situation sécuritaire dans l’est du pays. Il a maintenu son refus catégorique de dialoguer avec le M23, qu’il considère comme un groupe terroriste soutenu par le Rwanda.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette prise de position renforce l’image d’un chef d’État déterminé à défendre la souveraineté et la démocratie en RDC face aux défis sécuritaires et aux ingérences étrangères.</span></p>

Securité Tshisekedi répond à Kagame : « Les élections rwandaises sont des scénarios pré-écrits avec des résultats inchangés »

Le président Félix Tshisekedi n’a pas tardé à réagir aux propos de son homologue rwandais, Paul Kagame, qui avait remis en question la légit...

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Nord-Kivu : la coalition RDF-M23 massacre sept civils à Rutshuru en représailles aux attaques des forces loyalistes

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghQuQK5DJEiAW937uViawIJRX4n3MMl7bVqGUd17zqhsLelIa_4VCQUS1coSuGN4ZMsKrDQRqzY3O3bvrrOrUk3ZEB4T_GS48gVzp_fa0DH2z5Hn0iXRk-BD736NiaDDASdy2ifnTC0T-O52Yot9Zj7wBuAkRxDOAGEeTtUdK9AyKiMXVgMaioz3MmX6i4/s711/coalition_m23_rdf_18_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEghQuQK5DJEiAW937uViawIJRX4n3MMl7bVqGUd17zqhsLelIa_4VCQUS1coSuGN4ZMsKrDQRqzY3O3bvrrOrUk3ZEB4T_GS48gVzp_fa0DH2z5Hn0iXRk-BD736NiaDDASdy2ifnTC0T-O52Yot9Zj7wBuAkRxDOAGEeTtUdK9AyKiMXVgMaioz3MmX6i4/s280/coalition_m23_rdf_18_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Mercredi 17 janvier, dans le territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, des civils ont été violemment pris pour cible par les rebelles de la coalition RDF-M23. À Kihondo, dans la chefferie de Bwito, sept personnes ont été massacrées en représailles à une embuscade tendue par les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP/Wazalendo), alliés des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une embuscade meurtrière contre les rebelles</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon des sources locales, les combattants du M23, soutenus par l’armée rwandaise (RDF), ont subi de lourdes pertes lors de cette embuscade. Des témoins rapportent que l’attaque des Wazalendo, un groupe de défense communautaire, a pris de court les rebelles, infligeant des dégâts significatifs dans leurs rangs.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette riposte aurait poussé la coalition RDF-M23 à se venger en ciblant des civils sans défense dans le village de Kihondo. Le responsable délégué du gouverneur affecté à Bambo, Isaac Kibira, a confirmé ces exactions et condamné fermement le massacre.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à l’intervention des autorités</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Isaac Kibira a appelé les autorités nationales et internationales à agir rapidement pour mettre fin à la crise sécuritaire qui continue de ravager l’est de la RDC. « Ces massacres ne peuvent plus être tolérés. Les populations civiles ne doivent pas payer le prix des affrontements armés », a-t-il déclaré.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les combats se poursuivent dans Rutshuru et Masisi</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pendant ce temps, les affrontements se poursuivent dans les territoires de Rutshuru et Masisi, où les FARDC, soutenues par les Wazalendo, continuent de repousser les rebelles. Des sources dans la région ont confirmé que l’armée loyaliste a repris le contrôle du village de Kasake, une position stratégique située sur une colline surplombant la ville de Ngungu, dans le territoire de Masisi.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces victoires militaires renforcent l’espoir d’une reprise progressive du contrôle des zones occupées par le M23. Cependant, la situation humanitaire demeure critique, avec des milliers de personnes déplacées et des villages sous la menace constante des violences armées.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un besoin urgent d’une solution durable</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Face à l’intensification des combats et aux exactions commises contre les civils, les acteurs locaux et internationaux insistent sur l’urgence d’une solution politique et sécuritaire durable. Le soutien du Rwanda au M23, régulièrement dénoncé par Kinshasa, reste un point de tension majeur dans les efforts de pacification de la région des Grands Lacs.</span></p>

Securité Nord-Kivu : la coalition RDF-M23 massacre sept civils à Rutshuru en représailles aux attaques des forces loyalistes

Mercredi 17 janvier, dans le territoire de Rutshuru, au Nord-Kivu, des civils ont été violemment pris pour cible par les rebelles de la coal...

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La CENCO clarifie sa position face aux critiques sur son silence concernant les prouesses des FARDC

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTHd-Gkl-hOJb_Tz4If13GnTWsouvvYYUZnGwdAj-tZeZ1_-jHjbD08rIRNHydOS1J0l4JOinZyXSsae7MCs3FwLQXo62_ZnmZ6o5eWNcpN0e0d6jI1tBUGamzaP4OVgd8fJUweenarAtvSe4SSCfw7HDD7Agj6IxxMxbBgsIj80bXFMJXkPidSZQT-rPg/s711/donatien_nshole_17_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTHd-Gkl-hOJb_Tz4If13GnTWsouvvYYUZnGwdAj-tZeZ1_-jHjbD08rIRNHydOS1J0l4JOinZyXSsae7MCs3FwLQXo62_ZnmZ6o5eWNcpN0e0d6jI1tBUGamzaP4OVgd8fJUweenarAtvSe4SSCfw7HDD7Agj6IxxMxbBgsIj80bXFMJXkPidSZQT-rPg/s280/donatien_nshole_17_janv_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /></div><br /><span style="font-family: arial;">Face aux accusations de silence à l’égard des récents succès militaires des <strong>Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC)</strong> sur les fronts de Masisi et Lubero, la <strong>Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO)</strong>, par la voix de son secrétaire général, Monseigneur <strong>Donatien Nshole</strong>, a répondu avec fermeté.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">“L’Église ne réagit pas sur des bases non vérifiées”</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d’une conférence de presse tenue le mercredi 15 janvier à Kinshasa, Mgr Nshole a souligné que l’Église catholique s’appuie sur des données fiables avant de se prononcer, écartant ainsi les informations provenant des réseaux sociaux, souvent contradictoires et non vérifiées :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Les églises ne se prononcent pas sur base des données des réseaux sociaux… Aujourd’hui on vous dit ceci, demain c’est une autre réalité. Nous travaillons pour la paix et nous n’avons pas de représentants sur les champs de bataille. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Il a ajouté que l’Église préfère adopter une position neutre et responsable, rappelant que même dans un contexte compétitif, comme un match de football, des arbitres indépendants sont nécessaires pour juger objectivement.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un soutien constant aux FARDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Mgr Nshole a également rappelé que la CENCO a toujours soutenu les <strong>FARDC</strong>, en mettant en avant plusieurs initiatives entreprises par l’Église catholique pour encourager les forces armées :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Dans plusieurs messages de la CENCO, nous avons encouragé nos vaillants soldats. Nous avons plaidé auprès du gouvernement pour qu’ils soient équipés de manière adéquate. »</span></em></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les récentes victoires des FARDC sur le terrain</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces déclarations interviennent alors que des informations encourageantes font état de victoires des <strong>FARDC</strong> contre les rebelles du <strong>M23</strong> dans les territoires de <strong>Masisi</strong> et <strong>Lubero</strong>, au Nord-Kivu. Les troupes gouvernementales auraient non seulement infligé des pertes significatives aux rebelles, mais aussi repris plusieurs localités stratégiques.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette résistance a mis un coup d’arrêt aux ambitions du M23, qui espérait une avancée rapide après la reconquête de <strong>Masisi-centre</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la prudence et à l’unité nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les propos de Mgr Nshole soulignent l’importance d’une information crédible dans des contextes sensibles et mettent en lumière la volonté de l’Église catholique de privilégier des actions en faveur de la <strong>paix durable</strong> en RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La position de la CENCO appelle également à la reconnaissance des efforts des FARDC tout en encourageant un soutien unifié de toutes les institutions du pays pour mettre fin aux conflits persistants dans l’Est de la RDC.</span></p>

Securité La CENCO clarifie sa position face aux critiques sur son silence concernant les prouesses des FARDC

Face aux accusations de silence à l’égard des récents succès militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) su...

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Denis Mukwege soutient l’appel de la CENCO et de l’ECC pour un Pacte social pour la paix et la cohésion en RDC et dans les Grands Lacs

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH68keo_oRX9cnvTyzMsG4bQRR8bDn57HOoudUzG9fOVbp1Jgo3fC4vAOcDD31IXvPy64CR9TXKef30KZahxkBkbrLFBhcTC1wH-L6-ArpYdhDgJfEqODx6dkXS9a0aQchlt3q6ACl_ayPl_6RxP3e5JWdK82-jlSn1cgCbLvFOAsbV6RR9QMBO4Vx-W34/s711/denis_mukwege_25_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH68keo_oRX9cnvTyzMsG4bQRR8bDn57HOoudUzG9fOVbp1Jgo3fC4vAOcDD31IXvPy64CR9TXKef30KZahxkBkbrLFBhcTC1wH-L6-ArpYdhDgJfEqODx6dkXS9a0aQchlt3q6ACl_ayPl_6RxP3e5JWdK82-jlSn1cgCbLvFOAsbV6RR9QMBO4Vx-W34/s280/denis_mukwege_25_png_711_473_1.png" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le Docteur <strong>Denis Mukwege</strong>, prix Nobel de la paix et militant infatigable pour les droits humains, a exprimé son plein soutien à l’initiative lancée par la <strong>Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO)</strong> et l’<strong>Église du Christ au Congo (ECC)</strong> en faveur d’un <strong>Pacte social pour la Paix et le Bien-Vivre Ensemble</strong> en République Démocratique du Congo (RDC) et dans la région des Grands Lacs.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel face à une crise humanitaire et sécuritaire sans précédent</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son message, le Docteur Mukwege a dénoncé les <strong>conséquences désastreuses des décennies de conflits armés</strong> et de violences systémiques qui ravagent la RDC. Il rappelle des faits alarmants :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Plus de 7 millions de déplacés internes</strong>, victimes des violences et de l’insécurité.</span></li><li><strong><span style="font-family: arial;">Un quart de la population en situation d’insécurité alimentaire.</span></strong></li><li><span style="font-family: arial;">Des centaines de milliers de victimes de violences sexuelles, principalement des femmes et des enfants.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Mukwege souligne que cette tragédie est aggravée par une <strong>culture de l’impunité</strong>, où des criminels de guerre continuent d’opérer librement.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les causes profondes du conflit</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Mukwege pointe du doigt :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>L’échec des accords de paix</strong> passés, notamment à Lusaka, Sun City et Goma, qui ont sacrifié la justice au profit d’une paix fragile.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>L’exploitation illégale des ressources naturelles</strong> de la RDC, souvent orchestrée par des puissances étrangères, des pays voisins et des multinationales, qui profitent du chaos pour piller les richesses minières.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>La résurgence du M23</strong>, un groupe armé soutenu par certains États voisins, qu’il qualifie de menace existentielle pour la RDC et la sous-région des Grands Lacs.</span></li></ol><h3><strong><span style="font-family: arial;">Solutions proposées par Denis Mukwege</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le prix Nobel appelle à une <strong>action multilatérale et politique forte</strong>, en insistant sur les points suivants :</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">1. Redynamiser l’Accord-Cadre d’Addis-Abeba (2013)</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Mukwege propose de relancer cet accord pour aborder les <strong>causes structurelles des conflits</strong> en RDC et briser le cycle de violences récurrentes.</span></p><h4><strong><span style="font-family: arial;">2. Organisation d’un sommet international pour la paix</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Mukwege soutient l’idée d’un sommet international en 2025 pour réunir les acteurs politiques, économiques et civils, avec l’objectif de :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Mettre fin à la violence.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Répondre aux besoins humanitaires urgents.</span></li><li><span style="font-family: arial;">Poser les bases d’une paix durable.</span></li></ul><h4><strong><span style="font-family: arial;">3. Engagement du secteur privé à travers l’initiative « Business for Peace »</span></strong></h4><p><span style="font-family: arial;">Il exhorte les entreprises, en particulier celles du secteur minier, à adopter des pratiques éthiques pour :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;">Traquer les chaînes d’approvisionnement et éliminer les « minerais du sang ».</span></li><li><span style="font-family: arial;">Contribuer au développement économique durable et à la protection des droits humains.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un plaidoyer pour la solidarité régionale et mondiale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Mukwege insiste sur l’importance d’une <strong>coopération régionale accrue</strong> entre les pays de la CIRGL (Conférence internationale sur la région des Grands Lacs) pour stimuler les échanges commerciaux et renforcer la sécurité.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Il appelle également la communauté internationale, notamment les grandes entreprises technologiques, à jouer un rôle actif dans la promotion de la paix.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un message d’espoir et de mobilisation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour Denis Mukwege, l’année 2025 doit marquer un tournant :</span></p><ul><li><strong><span style="font-family: arial;">La paix doit être une priorité absolue.</span></strong></li><li><span style="font-family: arial;">Les citoyens congolais et les habitants des Grands Lacs doivent s’approprier cet appel à l’unité et à la solidarité.</span></li></ul><p><span style="font-family: arial;">« <strong>Ensemble, nous devons redonner à la RDC sa place légitime comme pilier du développement de l’Afrique.</strong> »</span></p><p><span style="font-family: arial;">Mukwege conclut en affirmant que seule une action commune, urgente et déterminée permettra de bâtir un avenir de paix et de dignité pour la RDC et ses voisins.</span></p>

Securité Denis Mukwege soutient l’appel de la CENCO et de l’ECC pour un Pacte social pour la paix et la cohésion en RDC et dans les Grands Lacs

Le Docteur Denis Mukwege , prix Nobel de la paix et militant infatigable pour les droits humains, a exprimé son plein soutien à l’initiative...

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Guerre dans l’Est de la RDC : Le commandant des ADF se réfugie dans le Haut-Uélé

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiU9vIaCTB3x4mqt5eXWGYj5nOQ5n2CVd3kUc7m_G-G5hs44n4MoWlMudIHNv8Vz0zOIk3jejqyQw6LwLxTUzWatd9ATMLGeh01cqtpks0mVPWkiJoF6Jj8rTa62ETC6G_xWKvAaMnObrDUw0grdAptUs1jpYy-IO_nbScTKGGAp0nvJSHADYVSyOjKq_MY/s711/fuyant_le_feu_des_fardc_updf_le_commandant_des_adf_se_refugie_dans_le_haut_uele_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiU9vIaCTB3x4mqt5eXWGYj5nOQ5n2CVd3kUc7m_G-G5hs44n4MoWlMudIHNv8Vz0zOIk3jejqyQw6LwLxTUzWatd9ATMLGeh01cqtpks0mVPWkiJoF6Jj8rTa62ETC6G_xWKvAaMnObrDUw0grdAptUs1jpYy-IO_nbScTKGGAp0nvJSHADYVSyOjKq_MY/s280/fuyant_le_feu_des_fardc_updf_le_commandant_des_adf_se_refugie_dans_le_haut_uele_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Un développement préoccupant dans le conflit qui ravage l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) : <strong>Seka Musa Baluku</strong>, commandant des <strong>Forces Démocratiques Alliées (ADF)</strong>, s’est repositionné dans la province du <strong>Haut-Uélé</strong>, plus précisément dans le territoire de <strong>Dungu</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un refuge stratégique pour échapper aux FARDC-UPDF</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon des informations relayées par le <strong>journal Rafiki</strong> dans sa 36ᵉ édition de janvier 2025, Seka Musa Baluku s’est installé à Dungu depuis <strong>juillet 2022</strong> pour échapper aux attaques menées par la coalition <strong>FARDC-UPDF</strong> (Forces Armées de la RDC et armée ougandaise). Cette stratégie viserait à échapper à la pression militaire croissante dans les provinces du <strong>Nord-Kivu</strong> et de l’<strong>Ituri</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En 2023, Baluku aurait effectué deux visites en Ituri pour remonter le moral de ses troupes. De plus, il a été rejoint dans le Haut-Uélé par <strong>Amigo Kibirige</strong>, chef logistique des ADF, qui aurait échappé de justesse à une embuscade tendue par les forces ougandaises près d’<strong>Eringeti</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un nouveau bastion en création</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le repositionnement des ADF dans le Haut-Uélé pourrait marquer une tentative d’élargir leur influence. Selon le journal, Baluku serait en train de créer un nouveau bastion dans cette région, avec une <strong>ouverture stratégique vers la République Centrafricaine (RCA)</strong>, ce qui pourrait compliquer les efforts de lutte contre ce groupe armé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette expansion pose une menace sérieuse pour la sécurité régionale, en particulier si les ADF parviennent à établir des liens opérationnels avec d’autres groupes armés actifs en RCA.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une traque intensifiée par les forces ougandaises</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d’une récente visite sur les lignes de front au Nord-Kivu et en Ituri, le chef de la Défense de l’armée ougandaise a donné l’ordre d’intensifier les efforts pour capturer les principaux leaders des ADF, y compris <strong>Abwakasi</strong> et <strong>Seka Musa Baluku</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Les FARDC et l’UPDF poursuivent leurs opérations conjointes dans l’Est de la RDC, cherchant à éradiquer les ADF, responsables de massacres, enlèvements, et actes terroristes depuis des décennies.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conséquences pour le Haut-Uélé et au-delà</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La présence de Baluku dans le Haut-Uélé constitue une menace croissante pour cette province autrefois relativement épargnée par le conflit. Les autorités locales et les forces armées devront redoubler de vigilance pour éviter que cette région ne devienne un nouveau centre de violence et d’instabilité.</span></p><p><span style="font-family: arial;">La situation illustre également l’ampleur des défis auxquels fait face la RDC dans sa quête de sécurité et de stabilité, alors que les groupes armés continuent de menacer l’intégrité du pays et la sécurité de sa population.</span></p>

Securité Guerre dans l’Est de la RDC : Le commandant des ADF se réfugie dans le Haut-Uélé

Un développement préoccupant dans le conflit qui ravage l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) : Seka Musa Baluku , commandant d...

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Fin progressive de l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri : 15 jours pour une feuille de route

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfvjdClNRZSQewpDkkG7S0abzFObsK8swe5cADGxlaaPHYqnqLp12H6xEyHqPbyJvQgPQzWT0EImrKOAMe1Gjzl0_7G52f1JmhGIOixE0zEsFxys5vLzW9ETd47xR6qPklqQFLaYD-1SXxKRCzqq-zTw_feSvHjMAAEs4gEEEergHMsUa3v6Fbf9DF9aU5/s1200/bitmap_1200_nocrop_1_1_20250116004550049100_Aou.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="1200" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfvjdClNRZSQewpDkkG7S0abzFObsK8swe5cADGxlaaPHYqnqLp12H6xEyHqPbyJvQgPQzWT0EImrKOAMe1Gjzl0_7G52f1JmhGIOixE0zEsFxys5vLzW9ETd47xR6qPklqQFLaYD-1SXxKRCzqq-zTw_feSvHjMAAEs4gEEEergHMsUa3v6Fbf9DF9aU5/w398-h265/bitmap_1200_nocrop_1_1_20250116004550049100_Aou.jpg" width="280" /></a></div><br /> Le président de la République démocratique du Congo, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, a demandé au gouvernement de présenter dans les <strong>15 prochains jours</strong> une feuille de route visant à <strong>mettre fin progressivement à l’état de siège</strong> instauré dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri depuis mai 2021.<h3><strong>Contexte de l’état de siège</strong></h3><p>Depuis son instauration, l’état de siège a été une mesure exceptionnelle destinée à rétablir la paix et la sécurité dans ces deux provinces, fortement touchées par l’insécurité due à des groupes armés locaux et étrangers. Cependant, après plusieurs prolongations, des voix se sont élevées pour réclamer une évaluation et un plan clair de sortie de ce régime.</p><h3><strong>Instruction présidentielle et responsabilités du gouvernement</strong></h3><p>Lors du <strong>conseil des ministres extraordinaire</strong> du mercredi 15 janvier 2025, le président Tshisekedi a chargé la Première ministre, <strong>Judith Suminwa</strong>, ainsi que les ministères de l’Intérieur, de la Défense nationale, et de la Justice, de préparer cette feuille de route.</p><p>Selon le porte-parole du gouvernement, <strong>Patrick Muyaya</strong>, cette feuille de route devra inclure :</p><ul><li><strong>Les actions prioritaires à mener</strong> pour une transition en douceur vers un régime civil dans les zones stabilisées.</li><li><strong>Les recommandations</strong> issues de la table ronde d’août 2023, organisée pour évaluer l’efficacité et l’avenir de l’état de siège.</li><li><strong>Un dispositif transitoire</strong> garantissant la continuité de la sécurité par les forces de défense et de sécurité dans les zones sensibles.</li></ul><h3><strong>Bilan et perspectives</strong></h3><p>La <strong>table ronde d’août 2023</strong> avait mis en lumière les forces et les faiblesses de l’état de siège. Dans son <strong>message à la nation d’octobre 2023</strong>, Félix Tshisekedi avait déjà évoqué la nécessité de :</p><ol><li>Établir une stratégie de <strong>retrait progressif</strong> des autorités militaires.</li><li>Rétablir l’autorité civile dans les zones sécurisées.</li><li>Assurer une transition sécuritaire pour éviter une recrudescence des violences.</li></ol><h3><strong>Prochaine étape</strong></h3><p>Le gouvernement est attendu pour produire une feuille de route cohérente et détaillée dans les <strong>15 jours</strong>, répondant aux attentes de la population et des partenaires nationaux et internationaux.</p><p>Cette transition sera un test majeur pour l’administration Tshisekedi, alors que l’état de siège est critiqué pour ses limites en matière de restauration de la paix et son impact sur les droits civiques dans les deux provinces concernées.</p><p>Les prochains jours seront déterminants pour l’avenir du Nord-Kivu et de l’Ituri.</p>

Securité Fin progressive de l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri : 15 jours pour une feuille de route

 Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi , a demandé au gouvernement de présenter dans les 15 prochains jours ...

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Processus de Luanda : Emmanuel Macron appelle à une reprise des discussions entre la RDC et le Rwanda

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHAaypREm0n35yOrxZGtSYC35lifQIYBsxHizihcv9RbyA2HB9wtuQ_OZjMyaqQmY1HtcyAkFZBt8Jx83OJ6bPRt_0yexnnIU_2Mn69lpmccvn2IFYAVe1RK5h-ji6MbmuPNY2n-29lahqNtd5W79Ws_M5RQ23A2GSW1OT7R9Cz-d5uc72l0OFCrx1KFeO/s730/6789328dd30e8143034993.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="426" data-original-width="730" height="163" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHAaypREm0n35yOrxZGtSYC35lifQIYBsxHizihcv9RbyA2HB9wtuQ_OZjMyaqQmY1HtcyAkFZBt8Jx83OJ6bPRt_0yexnnIU_2Mn69lpmccvn2IFYAVe1RK5h-ji6MbmuPNY2n-29lahqNtd5W79Ws_M5RQ23A2GSW1OT7R9Cz-d5uc72l0OFCrx1KFeO/s280/6789328dd30e8143034993.jpg" width="280" /></a></div><br />Lors d’une conférence de presse tenue le <strong>jeudi 16 janvier 2025</strong> à Paris, le président français, <strong>Emmanuel Macron</strong>, en présence de son homologue angolais, <strong>João Lourenço</strong>, a mis en avant l’importance de la poursuite des efforts diplomatiques dans le cadre du <strong>processus de Luanda</strong>.<p></p><h3><strong>Le rôle de João Lourenço dans la médiation</strong></h3><p>Emmanuel Macron a salué l’engagement du président angolais en faveur de la paix dans la région des <strong>Grands Lacs</strong>, notamment dans le cadre de la médiation entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.</p><p><strong>Déclaration d’Emmanuel Macron</strong> :</p><blockquote><p><em>"La priorité, dans la région des Grands Lacs, doit aller au dialogue et à la recherche d’une paix durable, dans le respect de l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo. La dynamique de paix que vous avez initiée doit se poursuivre. Ensemble, nous appelons à la reprise des discussions au plus haut niveau. La France, en tant que partenaire proche, est prête à soutenir cette médiation et ces initiatives de paix."</em></p></blockquote><h3><strong>Le contexte sécuritaire à l'Est de la RDC</strong></h3><p>Pendant que les appels à la paix se multiplient sur la scène internationale, la situation reste tendue dans l'Est de la RDC, où les <strong>Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC)</strong> continuent de lutter contre les rebelles du <strong>Mouvement du 23 mars (M23)</strong>.</p><p>Dans la localité de <strong>Saké</strong>, les affrontements se poursuivent, avec les FARDC déterminées à reprendre le contrôle des territoires occupés par le M23. Ces combats intensifient la crise humanitaire dans une région déjà en proie à l'insécurité depuis des décennies.</p><h3><strong>Le Processus de Luanda : Un espoir pour la paix</strong></h3><p>Le <strong>processus de Luanda</strong>, initié par João Lourenço, vise à encourager un dialogue direct entre Kinshasa et Kigali pour mettre fin à l’instabilité dans les <strong>Grands Lacs</strong>. Cependant, les tensions restent vives, avec des accusations mutuelles d'ingérence et de soutien aux groupes armés.</p><h3><strong>Le rôle de la France</strong></h3><p>En réaffirmant son soutien à ces initiatives, Emmanuel Macron insiste sur l’importance d’une médiation internationale pour encourager la reprise des pourparlers entre les deux pays, dans le respect de la souveraineté de la RDC et des principes du droit international.</p><h3><strong>Conclusion</strong></h3><p>Alors que les efforts diplomatiques se poursuivent, le défi reste immense pour instaurer une paix durable à l'Est de la RDC. La reprise des discussions entre la RDC et le Rwanda dans le cadre du processus de Luanda pourrait être un pas décisif, mais cela nécessitera un engagement ferme des deux parties et un soutien accru de la communauté internationale.</p>

Securité Processus de Luanda : Emmanuel Macron appelle à une reprise des discussions entre la RDC et le Rwanda

Lors d’une conférence de presse tenue le jeudi 16 janvier 2025 à Paris, le président français, Emmanuel Macron , en présence de son homolog...

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Nord-Kivu : plusieurs terroristes du M23 neutralisés dans une embuscade des Wazalendo à Rutshuru

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWeiykf2kiQ_bKlmTQVWeFo7167k_iPU_lLLjju5xJN3Iw-fW6K1ICjHCZz7Fsha0N0kV2z64bzJ4ZWHbOfigVY_Fsfrk_bewbSvP-3ch-eBTw1vdDk5mtUt5HFxhtZdHX6edYTfnNNiheJb4gh0kIvrPEOtip7TS7KMQ33u7KaMkuAasxBy1znMv3rHpz/s711/plusieurs_terroristes_du_m23_tombent_dans_une_embuscade_tendue_par_des_wazalendo_a_rutshuru_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjWeiykf2kiQ_bKlmTQVWeFo7167k_iPU_lLLjju5xJN3Iw-fW6K1ICjHCZz7Fsha0N0kV2z64bzJ4ZWHbOfigVY_Fsfrk_bewbSvP-3ch-eBTw1vdDk5mtUt5HFxhtZdHX6edYTfnNNiheJb4gh0kIvrPEOtip7TS7KMQ33u7KaMkuAasxBy1znMv3rHpz/s280/plusieurs_terroristes_du_m23_tombent_dans_une_embuscade_tendue_par_des_wazalendo_a_rutshuru_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Ce vendredi 10 janvier 2025, des jeunes combattants patriotes du mouvement <strong>Wazalendo</strong>, affiliés au <strong>Collectif des Mouvements pour le Changement (CMC)</strong>, ont infligé un sérieux revers aux forces du <strong>M23</strong>, qualifiées de "terroristes rwandais", dans le territoire de <strong>Rutshuru</strong>, province du Nord-Kivu.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une embuscade sur l’axe stratégique Tongo-Kanaba</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon le <strong>Général Dominique Kamanzi</strong>, commandant du mouvement <strong>CMC/VDP</strong>, les Wazalendo ont tendu une embuscade à un convoi du M23 sur l’axe stratégique <strong>Tongo-Kanaba</strong>. Cette attaque a visé une colonne ennemie composée de plusieurs véhicules, dont une <strong>Land Cruiser</strong>, qui a été détruite avec tout son équipage.</span></p><blockquote><p><span style="font-family: arial;">"Nous venons de neutraliser une jeep de l’ennemi avec tout son équipage. Il n’y a pas eu de survivants dans ce véhicule rebelle. Nous avons détruit la Land Cruiser au centre du convoi, infligeant un bilan humain très lourd. Le président de la République a réaffirmé qu’il ne négocierait jamais avec ces terroristes, et nous sommes motivés à poursuivre la résistance face aux agresseurs", a déclaré le Général Dominique Kamanzi dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux.</span></p></blockquote><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un bilan lourd pour le M23</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Des sources locales rapportent que l’embuscade a coûté la vie à près de <strong>20 combattants du M23</strong>, parmi lesquels figurent des officiers supérieurs. Plusieurs autres membres du groupe rebelle auraient été gravement blessés lors de cette opération menée avec précision et détermination.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Contexte du conflit</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le mouvement rebelle M23, soutenu par des éléments du <strong>Rwandan Defense Forces (RDF)</strong> selon les autorités congolaises, continue de mener des attaques dans la région du Nord-Kivu, semant le chaos et pillant les ressources locales. Toutefois, les <strong>Wazalendo</strong>, des groupes d’autodéfense locaux, se sont organisés pour contrer cette menace, jouant un rôle clé dans la défense des territoires congolais.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le soutien à la résistance</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette victoire des Wazalendo intervient dans un contexte où le gouvernement congolais, par la voix du Président Félix Tshisekedi, a réaffirmé son refus catégorique de négocier avec le M23, qualifié de groupe terroriste. Le succès de cette embuscade renforce la détermination des forces locales à poursuivre leur combat pour protéger l’intégrité territoriale du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un signal fort aux agresseurs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’embuscade de Tongo-Kanaba constitue un signal fort envoyé aux groupes rebelles opérant en RDC. Elle illustre non seulement la résilience des populations locales mais aussi leur volonté de défendre leur terre contre toute tentative d’agression ou d’occupation.</span></p>

Securité Nord-Kivu : plusieurs terroristes du M23 neutralisés dans une embuscade des Wazalendo à Rutshuru

Ce vendredi 10 janvier 2025, des jeunes combattants patriotes du mouvement Wazalendo , affiliés au Collectif des Mouvements pour le Changeme...

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RDC : Tensions autour des déclarations de Muhoozi Kainerugaba et menace de reconsidération des relations avec l'Ouganda

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOj4z1UIUjLFT3IhiH5TdpWNGSdtEdI0lImF7w53KWV5rZGkGDCyPQw_BNpbN_nqpe6fgroPT6ENUuA2DPvoaWc5_GnfsKJfnxzzREHvwYTb3ld8avKU9p4KNPYSDfli0ywc8EiXy_f-juUaDoz25UDdhJUmmqciKsw8KtvfoA1ogfPyElN4rBSwhhtEOd/s800/Th%C3%A9r%C3%A8se%20Kayikwamba%20.jpg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="210" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOj4z1UIUjLFT3IhiH5TdpWNGSdtEdI0lImF7w53KWV5rZGkGDCyPQw_BNpbN_nqpe6fgroPT6ENUuA2DPvoaWc5_GnfsKJfnxzzREHvwYTb3ld8avKU9p4KNPYSDfli0ywc8EiXy_f-juUaDoz25UDdhJUmmqciKsw8KtvfoA1ogfPyElN4rBSwhhtEOd/s280/Th%C3%A9r%C3%A8se%20Kayikwamba%20.jpg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>ministre des Affaires étrangères de la République Démocratique du Congo</strong>, <strong>Thérèse Kayikwamba Wagner</strong>, a exprimé <strong>une vive préoccupation</strong> suite aux <strong>déclarations provocatrices</strong> de <strong>Muhoozi Kainerugaba</strong>, le fils du président ougandais <strong>Yoweri Museveni</strong>, qui occupe également le poste de commandant de l’armée ougandaise. Lors d’un briefing presse le <strong>9 janvier 2024</strong>, la cheffe de la diplomatie congolaise a annoncé que le gouvernement congolais pourrait <strong>reconsidérer ses relations avec l'Ouganda</strong> si ces déclarations, jugées <strong>inconsidérées et menaçantes</strong>, persistaient.</span><p></p><div class="flex max-w-full flex-col flex-grow"><div class="min-h-8 text-message flex w-full flex-col items-end gap-2 whitespace-normal break-words text-start [.text-message+&]:mt-5" data-message-author-role="assistant" data-message-id="a30b8d6c-eb9b-4cce-8869-65fbc04ece00" data-message-model-slug="gpt-4o-mini" dir="auto"><div class="flex w-full flex-col gap-1 empty:hidden first:pt-[3px]"><div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le contexte des déclarations de Muhoozi Kainerugaba</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Muhoozi Kainerugaba a récemment fait des sorties publiques sur <strong>X (anciennement Twitter)</strong> qui ont été perçues comme des provocations, non seulement à l’égard de la RDC, mais aussi envers plusieurs autres pays de la région, dont le <strong>Soudan du Sud</strong> et le <strong>Soudan</strong>. Ces propos ont été largement critiqués, et le gouvernement congolais a exprimé sa <strong>désapprobation</strong> à plusieurs reprises.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réactions de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Thérèse Kayikwamba Wagner a souligné que la RDC entretient de <strong>bonnes relations avec l'Ouganda</strong>, mais a averti que la <strong>continuation des déclarations de Muhoozi</strong> sans <strong>clarification officielle et publique</strong> de la part des autorités ougandaises pourrait <strong>mettre en péril ce partenariat</strong>. Elle a également précisé que la <strong>diplomatie congolaise suivait de très près</strong> cette situation et qu'elle attendait <strong>une réponse claire et publique</strong> des autorités ougandaises pour clarifier si les propos de Muhoozi étaient en <strong>accord avec la position officielle</strong> du gouvernement de Kampala.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les préoccupations de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La ministre a insisté sur le fait qu’il était <strong>insuffisant</strong> pour l’Ouganda de simplement répéter que Muhoozi agissait en son nom personnel, car ses déclarations avaient des <strong>conséquences géopolitiques</strong> qui affectent la stabilité de la région. Elle a ajouté que la <strong>logorrhée de déclarations erratiques</strong> de Muhoozi pouvait <strong>irriter</strong> non seulement la RDC, mais aussi d'autres pays de la région, ce qui appelle à <strong>une solution crédible et cohérente</strong> de la part des autorités ougandaises.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">La position de la RDC sur l'implication de l'Ouganda dans l'est de la RDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette situation survient dans un contexte déjà tendu, marqué par des <strong>relations complexes</strong> entre l’Ouganda et la RDC concernant les <strong>activités militaires</strong> dans l’est du pays. L'armée ougandaise, dans le cadre de l’<strong>Opération Shujaa</strong>, collabore avec les <strong>Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC)</strong> pour lutter contre les <strong>rebelles ADF</strong> (Allied Democratic Forces). Cependant, des <strong>soupçons</strong> persistent quant à un <strong>soutien supposé</strong> de l'armée ougandaise aux <strong>rebelles du M23</strong>, alimentant des <strong>tensions</strong> entre les deux pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Les démarches diplomatiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En <strong>décembre 2023</strong>, le gouvernement congolais a convoqué le <strong>chargé d'affaires ougandais</strong> en RDC pour lui demander des <strong>explications</strong> sur les déclarations de Muhoozi, qui avaient inclus des <strong>menaces</strong> à l’encontre de certains mercenaires blancs et des remarques déplaisantes à l'égard des <strong>FARDC</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La situation actuelle met en lumière les <strong>difficultés diplomatiques</strong> auxquelles la RDC fait face dans ses relations avec l'Ouganda, un partenaire important dans la lutte contre les groupes armés dans l'est du pays. Si Muhoozi Kainerugaba persiste dans ses déclarations, la RDC pourrait revoir sa position sur <strong>la coopération militaire</strong> et <strong>diplomatique</strong> avec l'Ouganda, ce qui aurait des <strong>répercussions importantes</strong> sur la stabilité régionale et les relations entre ces deux pays.</span></p></div></div></div></div>

Securité RDC : Tensions autour des déclarations de Muhoozi Kainerugaba et menace de reconsidération des relations avec l'Ouganda

Le ministre des Affaires étrangères de la République Démocratique du Congo , Thérèse Kayikwamba Wagner , a exprimé une vive préoccupation s...

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30 ans d’agression, ça suffit : Le gouvernement congolais résolu à en finir avec l’agression rwandaise

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnfF26u8l7fvLpaiOPmGbJW0YFROnEtfXKtU-5LHq3cpMdUWOxCZ0wKcwpSqb21uF3Blj2Bqn9P_rUVtru5LFNO8ITkUc2EYyp-hM873lqP6R-8oazlhJqYnp2hFD1JPVoysBUkMOjLzE9kJleXkDg9WAiWYSwJzePJiJu0QxD5dj1srELbn6KWcIultV-/s711/muyaya_kayikwamba_et_sylvain_ekenge_agression_rwandaise_10_janvier_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnfF26u8l7fvLpaiOPmGbJW0YFROnEtfXKtU-5LHq3cpMdUWOxCZ0wKcwpSqb21uF3Blj2Bqn9P_rUVtru5LFNO8ITkUc2EYyp-hM873lqP6R-8oazlhJqYnp2hFD1JPVoysBUkMOjLzE9kJleXkDg9WAiWYSwJzePJiJu0QxD5dj1srELbn6KWcIultV-/s280/muyaya_kayikwamba_et_sylvain_ekenge_agression_rwandaise_10_janvier_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /> <p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Détermination des FARDC</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le porte-parole des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), <strong>le général-major Sylvain Ekenge</strong>, a exprimé la <strong>détermination</strong> des forces congolaises à mettre un terme définitif à l’agression rwandaise qui dure depuis trois décennies. Devant la presse à <strong>Kinshasa</strong>, aux côtés des ministres <strong>Patrick Muyaya</strong> (Communication et Médias) et <strong>Thérèse Kayikwamba Wagner</strong> (Affaires étrangères), Ekenge a souligné la <strong>fermeté</strong> des FARDC, qui, malgré quelques défaites ponctuelles comme à Masisi, restent engagées à lutter jusqu’à la <strong>victoire finale</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Avancées sur le terrain</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Les FARDC ont infligé des défaites importantes aux Forces de Défense du Rwanda (RDF) et à leur groupe allié, le M23. Selon le général-major Ekenge, l’armée congolaise a mené des offensives réussies dans des zones stratégiques comme <strong>Sake</strong>, où les terroristes rwandais ont été délogés. Des équipements militaires capturés à <strong>Masisi</strong> ont été identifiés comme appartenant aux <strong>RDF</strong>, confirmant ainsi l’implication directe du Rwanda dans la déstabilisation de l'Est congolais. Ces victoires illustrent l’engagement des FARDC à défendre la souveraineté de la RDC, malgré les lourdes pertes subies par les agresseurs.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réponse ferme du gouvernement congolais</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le gouvernement congolais reste déterminé à <strong>ne pas céder</strong> face à cette agression, comme l'a martelé le général-major Ekenge : <em>“30 ans, ça suffit”</em>. Le Gouvernement congolais affirme qu'il n’y a <strong>aucune place pour la complaisance</strong> avec le Rwanda et ses alliés. La ministre des <strong>Affaires étrangères</strong>, <strong>Thérèse Kayikwamba Wagner</strong>, a rappelé que la RDC refuse tout dialogue avec le M23, qualifiant les dirigeants rwandais de <strong>bandits</strong> et <strong>terroristes</strong>. Elle a mis en avant l'isolement diplomatique du Rwanda, en soulignant les condamnations internationales, y compris du <strong>Royaume-Uni</strong>, des <strong>États-Unis</strong> et de l'<strong>Angola</strong>, face à son rôle dans le conflit.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appels à des sanctions internationales contre le Rwanda</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Thérèse Kayikwamba a insisté sur le fait que <strong>le Rwanda</strong> doit rendre des comptes pour ses actions. Elle a demandé à la communauté internationale de prendre des <strong>sanctions</strong> contre le Rwanda pour sa violation du <strong>droit international</strong> et de la <strong>Charte des Nations unies</strong>, particulièrement en ce qui concerne les massacres et le <strong>pillage des ressources naturelles</strong> de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le rôle des médias et la lutte contre l’apologie du terrorisme</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre de la <strong>Communication et Médias</strong>, <strong>Patrick Muyaya</strong>, a fermement critiqué les médias, notamment <strong>Al Jazeera</strong>, pour avoir donné la parole à des <strong>terroristes</strong> du M23, comme <strong>Bertrand Bisimwa</strong>. En réponse, l'accréditation de huit journalistes d'Al Jazeera a été révoquée, et le ministre a mis en garde contre l'<strong>apologie du terrorisme</strong>, affirmant qu'il n'y aurait <strong>plus de tolérance</strong> envers toute forme de soutien médiatique à l'agression.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le Congo uni dans la lutte</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Patrick Muyaya a insisté sur le fait que cette guerre n’est pas seulement celle du président <strong>Félix Tshisekedi</strong>, mais qu’elle concerne <strong>tous les Congolais</strong>, où qu’ils se trouvent. Il a dénoncé les <strong>tentatives d'infiltration</strong> du Rwanda, en rappelant que ce dernier profite de cette guerre pour sa propre économie, notamment à travers la <strong>contrebande</strong>. Le gouvernement congolais, sous la direction de Tshisekedi, dispose d’une <strong>stratégie claire</strong> pour éradiquer cette menace et restaurer la paix dans l’Est de la RDC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ce discours du gouvernement congolais marque un tournant décisif dans la <strong>lutte contre l’agression rwandaise</strong>. La RDC semble prête à prendre des mesures fermes, tant sur le terrain militaire qu'au niveau diplomatique, pour défendre sa souveraineté et mettre fin à l'impunité du Rwanda dans cette guerre de plus de <strong>30 ans</strong>.</span></p>

Securité 30 ans d’agression, ça suffit : Le gouvernement congolais résolu à en finir avec l’agression rwandaise

  Détermination des FARDC Le porte-parole des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), le général-major Sylvain Ekenge ...

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Guerre dans l'Est de la RDC : Le ministre Muyaya justifie le retrait d'accréditation d'Al Jazeera

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIR2L6W6cwFdrNEjIJt7DHxBpw79tmigUPlA3aoP9nYes3qX81cx0Kdx0uXfUOreq2ExpNWviXfVICr-orZibYLuddWifDpnvFN4G1Az9n_Qlx0Zbt6y65juAMeBC6Uda3-QB_nJummbtinc0JJLR0-uIfV9x6xNjtSzXo_ZmVJK13pX90HsI0nN7xa-Tv/s711/patrick_muyaya_10_jan_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIR2L6W6cwFdrNEjIJt7DHxBpw79tmigUPlA3aoP9nYes3qX81cx0Kdx0uXfUOreq2ExpNWviXfVICr-orZibYLuddWifDpnvFN4G1Az9n_Qlx0Zbt6y65juAMeBC6Uda3-QB_nJummbtinc0JJLR0-uIfV9x6xNjtSzXo_ZmVJK13pX90HsI0nN7xa-Tv/s280/patrick_muyaya_10_jan_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>ministre de la Communication et Médias</strong> de la République Démocratique du Congo (RDC), <strong>Patrick Muyaya</strong>, a défendu fermement la décision du gouvernement congolais de retirer l'accréditation aux journalistes de <strong>Al Jazeera</strong>, un média étranger, en raison de ce qu'il considère comme des <strong>faits corroborés</strong> et des <strong>agissements douteux</strong>.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Des faits corroborés derrière la décision</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Lors d'un briefing presse le <strong>9 janvier 2025</strong>, Patrick Muyaya a expliqué que cette mesure a été prise en raison d'une série de <strong>faits avérés</strong>, notamment l'implication d'une <strong>chercheuse pro-rwandaise</strong> utilisée par Al Jazeera pour réaliser une interview avec un chef rebelle, <strong>Bertrand Bisimwa</strong>, lié au M23. Le ministre a exprimé son <strong>mécontentement</strong> quant au fait que cette chercheuse, jugée <strong>partiale</strong>, ait été utilisée pour approcher une figure terroriste, ce qu'il considère comme <strong>humiliant</strong> pour les journalistes accrédités localement par Al Jazeera.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">L’ambiguïté et la liberté d'expression</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Patrick Muyaya a souligné que, pour la <strong>protection de l’opinion publique congolaise</strong>, il n'y avait désormais plus de place pour <strong>l’ambiguïté</strong>. Selon lui, si une telle décision a été prise contre Al Jazeera, c'est parce que des <strong>faits corroborés</strong> ont prouvé des agissements incompatibles avec les valeurs de la <strong>liberté d'expression</strong> en RDC. Il a affirmé que <strong>personne ne pourra reprocher au gouvernement congolais</strong> cette action, insistant sur le fait que la <strong>liberté d'expression</strong> n'est <strong>pas équivalente</strong> partout, en particulier de l'autre côté des frontières.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Maintien de la collaboration avec d’autres médias étrangers</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Tout en restant ferme sur la question d'Al Jazeera, <strong>Patrick Muyaya</strong> a exprimé sa volonté de maintenir la <strong>collaboration</strong> avec les autres médias étrangers qui respectent les principes de <strong>neutralité</strong> et de <strong>réalisme</strong> dans leur couverture du conflit. Il a notamment salué la position de <strong>Radio France Internationale (RFI)</strong>, qui a <strong>pris position contre les terroristes</strong> opérant dans l'Est de la RDC. Il a également rappelé que les médias tels que <strong>RFI</strong>, <strong>France 24</strong> et <strong>TV5 Monde</strong> ont une <strong>audience significative</strong> en RDC, représentant jusqu'à <strong>60 %</strong> du bassin d’audience, et que les Congolais, majoritairement, rejettent les <strong>agissements du Rwanda</strong> sur leur territoire.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Transparence et communication</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le ministre a réitéré la <strong>disponibilité</strong> du gouvernement congolais à fournir des informations <strong>fiables</strong> et transparentes sur l’évolution de la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC, en particulier face à la guerre menée contre les <strong>groupes armés</strong> et les <strong>forces rwandaises</strong> soutenant le M23. Il a également rassuré la presse que les autorités congolaises sont déterminées à garantir la <strong>liberté d'expression</strong>, mais sans tolérer les <strong>complicités</strong> avec les <strong>terroristes</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette prise de position de Patrick Muyaya marque un tournant dans la gestion de l’information par le gouvernement congolais en période de crise, visant à contrôler le récit médiatique autour du conflit, tout en s'assurant que les <strong>médias étrangers</strong> respectent les intérêts nationaux de la RDC.</span></p>

Securité Guerre dans l'Est de la RDC : Le ministre Muyaya justifie le retrait d'accréditation d'Al Jazeera

Le ministre de la Communication et Médias de la République Démocratique du Congo (RDC), Patrick Muyaya , a défendu fermement la décision du...

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Insécurité dans l'Est de la RDC : Denis Mukwege appelle à des sanctions contre le Rwanda après un rapport accablant des experts de l'ONU

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmf_ZIZHlgTmeN_jZ2ampKlCj-7ihp-Gscj7bJl6pmCcExJ8AfKNuEL3yJXq4ZJF9cj8_dVEThq6GbDOx0AUaUhX3BF3tCyqRHZvSRRhJKs4G06qkDwxZBFGVp6ZnFsev5R9jCn0ZyXzya7z8_3olTBimGZJ8boe3Zutl8VDiS-kqlDnjpWBQ8-qXpZNvP/s1024/0a.webp" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="576" data-original-width="1024" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmf_ZIZHlgTmeN_jZ2ampKlCj-7ihp-Gscj7bJl6pmCcExJ8AfKNuEL3yJXq4ZJF9cj8_dVEThq6GbDOx0AUaUhX3BF3tCyqRHZvSRRhJKs4G06qkDwxZBFGVp6ZnFsev5R9jCn0ZyXzya7z8_3olTBimGZJ8boe3Zutl8VDiS-kqlDnjpWBQ8-qXpZNvP/w437-h246/0a.webp" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le <strong>Prix Nobel de la paix</strong>, le Dr <strong>Denis Mukwege</strong>, a renouvelé son appel à la <strong>Communauté internationale</strong> pour imposer des <strong>sanctions sévères</strong> contre le <strong>Rwanda</strong> en raison de son soutien aux rebelles du <strong>M23</strong> et de son implication dans l'exploitation illégale des <strong>minéraux</strong> dans l'Est de la <strong>République Démocratique du Congo (RDC)</strong>. Ce nouvel appel survient après la publication d'un rapport des experts de l'<strong>ONU</strong>, qui a révélé des pratiques de <strong>commerce illicite</strong> de minerais, en particulier du <strong>coltan</strong>, sous le contrôle des rebelles.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Sanctions et mesures concrètes demandées</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans un communiqué publié le <strong>10 janvier 2025</strong>, le Dr Mukwege a insisté sur le fait qu'il était désormais impératif de passer des <strong>condamnations verbales</strong> à des <strong>actions concrètes</strong>. Il a exhorté la <strong>Communauté internationale</strong> à ne plus tolérer les <strong>attitudes passives</strong> et à adopter des <strong>sanctions fortes</strong> contre les acteurs responsables de la <strong>déstabilisation</strong> dans la région.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Il a souligné l'urgence de mettre fin à la <strong>guerre économique</strong> qui se nourrit des <strong>extractions illégales</strong> de minerais, qui profitent principalement aux rebelles soutenus par le Rwanda. Mukwege a affirmé que la <strong>transition énergétique</strong> et la lutte contre le <strong>changement climatique</strong> ne peuvent être durables si elles sont <strong>compromises</strong> par le <strong>commerce de minerais volés</strong> provenant de zones en conflit, comme celles de l'Est de la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Commerces illégaux et profits pour les Forces d'occupation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon le rapport des experts de l'ONU, la coalition <strong>AFC/M23</strong> contrôle l'extraction et le commerce d'environ <strong>120 tonnes de coltan par mois</strong>. Cela génère des <strong>revenus significatifs</strong>, avec des estimations indiquant que les <strong>impôts</strong> sur la production et le commerce du coltan à <strong>Rubaya</strong> rapportent environ <strong>800.000 USD</strong> par mois, qui alimentent directement les <strong>Forces d'occupation</strong> soutenues par le Rwanda. Cette <strong>exploitation illégale</strong> profite à la fois à des <strong>réseaux criminels</strong> et aux <strong>forces étrangères</strong> impliquées dans la déstabilisation du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la justice et à la responsabilité</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Denis Mukwege a conclu son appel en soulignant qu'il était <strong>vital</strong> pour la communauté internationale de prendre des mesures <strong>immédiates</strong> et <strong>décisives</strong> pour que le <strong>Rwanda</strong> cesse de soutenir le M23 et retire ses <strong>forces militaires</strong> du <strong>territoire congolais</strong>. Il a aussi insisté sur le fait que l’<strong>indifférence</strong> de la communauté internationale face à ces violations des droits humains et à l'exploitation illégale des ressources naturelles est <strong>inacceptable</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">L'appel de Denis Mukwege met en lumière l'importance d'une action internationale coordonnée pour stopper l'agression et les violations des droits humains dans l'Est de la RDC, tout en dénonçant la complicité économique derrière les conflits prolongés dans cette région riche en ressources naturelles.</span></p>

Securité Insécurité dans l'Est de la RDC : Denis Mukwege appelle à des sanctions contre le Rwanda après un rapport accablant des experts de l'ONU

Le Prix Nobel de la paix , le Dr Denis Mukwege , a renouvelé son appel à la Communauté internationale pour imposer des sanctions sévères c...

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Agression rwandaise en RDC : Les pays silencieux, responsables selon Thérèse Kayikwamba

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVlZN96QcxYa5NvXpLvVkaFLO9E-60r0MJHj8QjCZ9sdj2ZiFxCw8_79qWfZ1xEeNVGkREtpzUvNrmjEmMTTLzLaUxKeF78kfm1evWyy0aAaJylYPPJQqBzp-xvttxvceNeldYom6Vud0uZ38-jXtHVOHdnQfRCQkFuBmQlI5ezOhLKBrLwhKwK15xCjDV/s711/rapport_des_experts_sur_l_implication_du_rwanda_la_rdc_prend_les_pays_membres_de_l_onu_a_temoin_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVlZN96QcxYa5NvXpLvVkaFLO9E-60r0MJHj8QjCZ9sdj2ZiFxCw8_79qWfZ1xEeNVGkREtpzUvNrmjEmMTTLzLaUxKeF78kfm1evWyy0aAaJylYPPJQqBzp-xvttxvceNeldYom6Vud0uZ38-jXtHVOHdnQfRCQkFuBmQlI5ezOhLKBrLwhKwK15xCjDV/w381-h254/rapport_des_experts_sur_l_implication_du_rwanda_la_rdc_prend_les_pays_membres_de_l_onu_a_temoin_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Lors du <strong>briefing presse</strong> du <strong>9 janvier 2025</strong>, la <strong>ministre des Affaires étrangères</strong> de la République Démocratique du Congo, <strong>Thérèse Kayikwamba</strong>, a exprimé sa <strong>désapprobation</strong> envers le <strong>silence</strong> de certains pays membres de la <strong>communauté internationale</strong> face à l'<strong>agression rwandaise</strong> dans l'Est de la RDC. Elle a notamment fait référence à l'<strong>absence de sanctions</strong> contre le <strong>Rwanda</strong>, accusé de soutenir les rebelles du <strong>M23</strong>, et a souligné que certains pays qui se positionnent comme des défenseurs des droits de l'homme sont également <strong>responsables</strong> par leur inaction.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le silence accablant des pays responsables</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La ministre a déploré la passivité des <strong>pays membres des Nations Unies</strong>, soulignant que <strong>l'inaction</strong> face à l'agression rwandaise est une <strong>violence indirecte</strong> qui profite à <strong>l'occupation illégale</strong> du territoire congolais. Elle a exprimé son inquiétude quant à la <strong>complicité silencieuse</strong> de ces nations, qui pendant des décennies ont permis au <strong>Rwanda</strong> de commettre des <strong>violations graves des droits de l'homme</strong>, telles que des <strong>meurtres</strong>, des <strong>violences sexuelles</strong> et des <strong>pillages</strong>, tout en restant largement <strong>insensibles</strong> aux appels de la RDC pour une <strong>action concrète</strong>.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la responsabilité internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Elle a insisté sur le fait que ces <strong>pays partenaires</strong> qui se présentent comme des <strong>champions des droits humains</strong> ne doivent plus se contenter de <strong>condamnations verbales</strong> mais doivent prendre des <strong>mesures concrètes</strong>, y compris des <strong>sanctions</strong> contre les responsables de cette <strong>agression</strong>. Elle a également annoncé que la <strong>RDC</strong> envisageait de <strong>dresser une liste</strong> d'<strong>individus</strong> à <strong>sanctionner</strong> au sein des Nations Unies, pour rendre les responsables de cette <strong>déstabilisation</strong> régionale <strong>comptables</strong> de leurs actions.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Appel à la justice internationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans sa déclaration, Kayikwamba a rappelé que <strong>l'inaction internationale</strong> vis-à-vis du soutien rwandais aux rebelles du M23 et de l'exploitation illégale des ressources naturelles de la RDC avait permis à cette <strong>situation</strong> de perdurer. Elle a souligné qu'il est <strong>temps</strong> que la communauté internationale <strong>prenne ses responsabilités</strong> en vertu du <strong>droit international</strong> et de la <strong>Charte des Nations Unies</strong>.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Cette déclaration de Thérèse Kayikwamba souligne la frustration croissante de la <strong>République Démocratique du Congo</strong> face à l'<strong>inaction</strong> des pays membres des Nations Unies et leur manque de <strong>volonté</strong> à appliquer des <strong>sanctions</strong> efficaces contre le <strong>Rwanda</strong>, un acteur clé dans la <strong>déstabilisation</strong> de l'Est du pays.</span></p>

Securité Agression rwandaise en RDC : Les pays silencieux, responsables selon Thérèse Kayikwamba

Lors du briefing presse du 9 janvier 2025 , la ministre des Affaires étrangères de la République Démocratique du Congo, Thérèse Kayikwamba...

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Guerre à l'Est : Félix Tshisekedi réunit le Conseil supérieur de la défense pour de nouvelles orientations

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiGN4WMOVpb2jIupuNhyphenhyphenSeex66JdkMHGnljw1FJqYVi8SS_yfGbt0FEPIAkvID_ghw0sMzIfQG7GlN2HcE1dGnuAVbMZm77KnuuDTT8GiDTBLkz8kM6Gm00S7Vub2YpaKaXcFNwM9LAmSNZhEsv0f0JVaMgAf-NF4YNv0bpVQB370bJxFH8itllSPrRv1O/s711/felix_tshisekedi_reunion_conseil_superieur_de_defense_24_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgiGN4WMOVpb2jIupuNhyphenhyphenSeex66JdkMHGnljw1FJqYVi8SS_yfGbt0FEPIAkvID_ghw0sMzIfQG7GlN2HcE1dGnuAVbMZm77KnuuDTT8GiDTBLkz8kM6Gm00S7Vub2YpaKaXcFNwM9LAmSNZhEsv0f0JVaMgAf-NF4YNv0bpVQB370bJxFH8itllSPrRv1O/w350-h233/felix_tshisekedi_reunion_conseil_superieur_de_defense_24_jpg_711_473_1.jpeg" width="280" /></a></div><br />Le président de la République démocratique du Congo, <strong>Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo</strong>, a présidé ce mercredi 8 janvier 2025 une importante réunion du <strong>Conseil supérieur de la défense</strong> à la <strong>cité de l'Union africaine</strong>. Cette rencontre stratégique vise à renforcer la coordination et l'efficacité des Forces armées de la RDC (FARDC) dans leur lutte contre les rebelles du M23 et leurs alliés.<p></p><div class="flex max-w-full flex-col flex-grow"><div class="min-h-8 text-message flex w-full flex-col items-end gap-2 whitespace-normal break-words text-start [.text-message+&]:mt-5" data-message-author-role="assistant" data-message-id="37cfe207-521c-4d42-a926-9e5bfe336e7e" data-message-model-slug="gpt-4o" dir="auto"><div class="flex w-full flex-col gap-1 empty:hidden first:pt-[3px]"><div class="markdown prose w-full break-words dark:prose-invert light"><h3><strong>Objectifs de la réunion</strong></h3><p>Selon la presse présidentielle, cette réunion s'inscrit dans le cadre de :</p><ul><li><strong>Donner de nouvelles directives</strong> aux autorités militaires nouvellement nommées.</li><li>Renforcer les stratégies militaires pour contrer la <strong>guerre d'agression</strong> à l'Est du pays, où la RDC fait face à une insécurité grandissante.</li></ul><h3><strong>Changements récents dans le commandement militaire</strong></h3><p>Le chef de l'État a récemment supervisé la <strong>passation de commandement</strong> à la tête des FARDC.</p><ul><li><strong>Lieutenant-général Jules Banza Mwilambwe</strong> a été nommé chef d'État-major général des FARDC, remplaçant le général d'armée Christian Tshiwewe, désormais <strong>conseiller militaire du président de la République</strong>.</li><li>Ces changements visent à insuffler un nouvel élan dans la gestion des opérations militaires et à consolider les avancées sur le terrain.</li></ul><h3><strong>Avancées significatives sur le front</strong></h3><p>Les FARDC continuent de progresser dans leur offensive contre les rebelles du <strong>M23</strong>, soutenus par l'armée rwandaise.</p><ul><li>Les forces loyalistes ont récemment repris le contrôle de <strong>Ngungu</strong>, une localité stratégique en territoire de Masisi, auparavant tenue par les rebelles depuis plusieurs mois.</li><li>Cette victoire ouvre la voie pour une avancée vers le <strong>carré minier de Rubaya</strong>, actuellement exploité par les assaillants, une ressource clé dans cette région en conflit.</li></ul><h3><strong>Un contexte militaire et diplomatique complexe</strong></h3><p>Le regain des affrontements à l’Est reste au centre des priorités du gouvernement Tshisekedi, qui cherche à :</p><ul><li><strong>Renforcer la souveraineté territoriale</strong> face à l’ingérence étrangère.</li><li>Mobiliser des soutiens régionaux et internationaux pour mettre fin aux agressions répétées.</li></ul><p>La réunion de ce jour marque une nouvelle étape dans la lutte contre l’insécurité dans l’Est du pays, alors que les FARDC enregistrent des victoires sur le terrain et continuent de renforcer leur position.</p></div></div></div></div>

Securité Guerre à l'Est : Félix Tshisekedi réunit le Conseil supérieur de la défense pour de nouvelles orientations

Le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo , a présidé ce mercredi 8 janvier 2025 une important...

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