BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Ambassade des USA : James C. Swan présente Dr. Peter Agre, Prix Nobel de Chimie 2013

February 14, 2014

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<strong><em>*</em></strong>L’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, James C. Swan, a organisé, en sa résidence de la Gombe, le 12 février 2014, une soirée pour honorer le Dr. Peter Agre, Prix Nobel de Chimie en 2013. </h3>
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Un membre particulièrement doué de la communauté scientifique américaine en séjour à Kinshasa, dans le cadre du Partenariat de l’Université Protestante du Congo et l’Université John Hopkins des Usa.<br />
<br />
Cette cérémonie avait un double sens. Le premier est de saluer son importante contribution qu’il a faite à la chimie et, le second, est celui de célébrer la collaboration scientifique dans le domaine de la santé, entre les deux pays : la RDC et les USA.<br />
<br />
Dans son allocution de circonstance, James C. Swan a présenté le Prix Nobel de Chimie 2013, Dr. Peter Agre comme l’un des membres les plus éminents du corps professoral de la faculté de médecine de l’Université John Hopkins où il occupe la fonction de directeur de recherche sur la malaria.<br />
<br />
Expliquant la raison qui lui a valu le Prix Nobel, il a indiqué que ses recherches ont été focalisées sur les aquaporines. Il a mené cette étude pour déterminer si elles peuvent, éventuellement, traiter et prévenir le paludisme. Sa présence en RDC est, explique l’Ambassadeur, relative  au lancement d’un programme de recherche sur les maladies infectieuses à la faculté de médecine de l’UPC. «En rapport avec ce programme, Dr. Peter Agre rencontrera les membres des corps professoral et estudiantin, en vue de faciliter la coopération entre les Etats-Unis et la RDC à travers la recherche et l’enseignement sur des sujets aussi importants que la santé publique et les maladies», a souligné James Swan. Cependant, fait-il remarqué, cette coopération augure un nouveau modèle de diplomatie médicale qui détermine les nouveaux contours de la collaboration entre les Etats-Unis et la RDC. Elle vise, selon lui, l’amélioration des capacités de recherche et à favoriser l’émergence d’un système de santé durable en RDC : «Des partenariats comme celui que nous évoquons fournissent une occasion supplémentaire pour améliorer les systèmes de soins de santé dans les pays du monde, sachant que le paludisme est la cause principale de mortalité en RDC », rassure-t-il en substance. Il a soutenu que la recherche entre les deux pays respectifs peut potentiellement vaincre cette maladie débilitante. Il a déclaré, en conclusion, que les Usa sont fiers des efforts que le Dr. Peter Agre et d’autres personnalités ont fournis pour faire progresser la collaboration scientifique internationale, lutter contre les maladies dans le pays en voie de développement et sauver des vies humaines. Prix Nobel de Chimie, Peter Agre est accompagné de son distingué collègue, le Dr. William Moss, professeur de l’Université John Hopkins et pédiatre de son état.<br />
<br />
Peter Tshibangu     <br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />
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Education Ambassade des USA : James C. Swan présente Dr. Peter Agre, Prix Nobel de Chimie 2013

* L’Ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, James C. Swan, a organisé, en sa résidence de la Gombe, le 12 février 2014, une soirée pour hono...

A cause de la Me-gestion folklorique de Constant Omari : La RDC perd 10 places au mois de février au Classement mensuel de la Fifa

February 14, 2014

La Fédération internationale de football association (Fifa), a publié hier, jeudi 13 février, son fameux classement de chaque mois. La République Démocratique du Congo a perdu dix places, par rapport au dernier classement de janvier 2014.<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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La RDC se classe désormais à la 91ème place au Monde, et 22ème en Afrique. Une perte sérieuse qui pourrait influencer négativement le tirage au sort des éliminatoires de la Can Maroc 2015 qui se pointe à l’horizon.<br />
<br />
Pour le classement de ce mois de février, la Fifa a pris en compte 42 matches internationaux dont 28 matches de la dernière du Championnat d’Afrique des Nations. Au Chan, la RDC s’était arrêtée en quart de finales. Sur quatre matches livrés dans ce Chan, la RDC avait gagné deux ; notamment contre la Mauritanie (1-0) et contre l’Ouganda (2-1). Le Gabon et le Ghana l’avaient battu, tour à tour par le même score de 1 but à 0.<br />
<br />
Au classement du mois de janvier, publié le 16, la RDC était en 81ème place sur le plan mondial et 19ème en Afrique. Tandis qu’au mois de décembre 2013, la RDC avait terminé l’année à la 82ème place et 20ème en Afrique.<br />
<br />
Par ailleurs, la première place en Afrique reste dominée toujours par la Côte d’Ivoire, qui passe de la 17ème à la 23ème place dans le monde. Vraisemblablement, c’est parce que la le pays de Didier Drogba n’était pas présent au Chan. Les Eléphants étaient éliminés au tour préliminaire. En Afrique, la Côte d’Ivoire est suivie par l’Algérie (26ème au Monde). Le Cap-Vert a détrôné le Ghana, il occupe désormais la troisième en Afrique et 27ème au Monde. Le Ghana redescend à la quatrième place en Afrique et va très loin au niveau mondial, soit la 37ème place. Le Ghana perd 13 places, pourtant il a joué la finale du Chan.<br />
<br />
Par contre, dans le monde le trio reste le même. L’Espagne en tête, suivi de l’Allemagne et de l’Argentine.<br />
<br />
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Sport A cause de la Me-gestion folklorique de Constant Omari : La RDC perd 10 places au mois de février au Classement mensuel de la Fifa

La Fédération internationale de football association (Fifa), a publié hier, jeudi 13 février, son fameux classement de chaque mois. La Répub...

Opération ‘’jeudi sinistre’’ : 138 dossiers indemnisés en assurances auto, vie et incendie

February 14, 2014

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Plus que jamais, la Société Nationale d’Assurances S.a.r.l, a fort à faire pour répondre aux désidératas de la clientèle.
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Dans un pays où la majorité de la population détient un faible pouvoir d’achat, il est difficile pour la Sonas à mobiliser, dans une proportion raisonnable, un fonds déroulement conséquent pour parer aux opérations d’indemnisation de sinistrés.<br />
<br />
<br />
Qu’à cela ne tienne, la présence de la Sonas aux rendez-vous  hebdomadaires ne se fait pas prier.   <br />
<br />
<br />
Il en va pour preuve, elle a été, une fois de plus au contact de nombreux souscripteurs, hier jeudi 13 février 2014, à l’endroit habituel.<br />
<br />
<br />
A l’issue de cette rencontre, 138 dossiers ont été indemnisés en assurances automobile, vie et incendie.<br />
<br />
<br />
Les victimes bénéficiaires ou leurs ayant-droits ont manifesté leur joie envers la haute direction de la Sonas et l’ensemble de son personnel  pour la qualité du travail abattu, sans lequel, il ne serait nullement possible d’être rétablis dans leur droit.<br />
<br />
<br />
En ce qui concerne le nombre de dossiers traités et libérés, la Direction Générale a ordonnancé au total, 65 dossiers; ils étaient au nombre de 4, dans chacune des agences de N’sele Maluku et Funa. Tel n’a pas été le cas aux agences de 30 juin avec 5 dossiers indemnisés; 2 dossiers pour chacune des agences de Benseke, Kingabwa, Huileries et Commerce. <br />
<br />
<br />
L’agence de Limete en a libéré 17. Par contre, à l’agence de la Gombe, 7 victimes indemnisées ; 12 victimes à l’agence de N’dolo contre  13, à l’agence de N’djili.<br />
<br />
<br />
Par ailleurs, 3 dossiers indemnisés à l’agence de la Fikin. Et enfin, l’agence de Kasa-vubu avec 9 dossiers traités.<br />
<br />
<br />
Comprendre l’assurance incendie<br />
<br />
<br />
La Société Nationale d’Assurances Sonas S.a.r.l., informe sa clientèle que l’assurance incendie est l’une de gammes de produits qu’elle gère suivant la mission reçue du Gouvernement.<br />
<br />
<br />
Du point de vue Produit<br />
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<br />
Cette assurance couvre : - les risques simples, du genre ; habitations, écoles etc.<br />
<br />
<br />
Les risques commerciaux ; agricoles ; industriels ; spéciaux et multirisques incendie.  <br />
<br />
<br />
Des garanties<br />
<br />
<br />
La garantie pour cette assurance concerne l’incendie, la foudre, chutes d’avions, explosions,  tombes, tornades, tempêtes, feu de brousse, dommages aux appareils électriques, éruptions volcaniques, tremblement de terre, vol, bris de glace, dégâts des eaux…<br />
<br />
<br />
La Sonas ne couvre pas tout ce qui est incendie volontaire, risque de guerre, émeutes et rébellions.<br />
<br />
<br />
Eugène Khonde
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Economie Opération ‘’jeudi sinistre’’ : 138 dossiers indemnisés en assurances auto, vie et incendie

Plus que jamais, la Société Nationale d’Assurances S.a.r.l, a fort à faire pour répondre aux désidératas de la clientèle. Dans un ...

Feuille de route 2013-2016 : CENI, Jean-Claude Vuemba dénonce le complot anticonstitutionnel !

February 14, 2014

Le débat suscité par l’Abbé-Président de la CENI, le jeudi 30 janvier dernier à l’Assemblée nationale, avec sa feuille de route électorale 2013-2016, devient de plus en plus houleux. Depuis, les réactions fusent de partout. La dernière en date, c’est celle de l’Honorable Vuemba Jean-Claude, Président du MPCR.<br />
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En l’occurrence, l’article 197 de la Constitution, révisée le 10 Janvier 2011 par la suppression du second tour de l’élection présidentielle du 11 novembre de la même année, qui stipule que «les élections provinciales sont organisées au suffrage universel direct. </div>
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Voilà que, pour d’obscures raisons, la CENI veut faire élire les Députés provinciaux par un corps électoral restreint. </div>
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L’élu de Kasangulu dénonçant ce qu’il qualifie de ‘’complot anticonstitutionnel’’ qui vise à priver le peuple congolais de l’acquis démocratique du challenge 2006, illustré par l’élection exemplaire et nécessaire des Députés provinciaux au suffrage universel direct, se dresse résolument  contre la modification continue de la Constitution qui, prévient-il, va progressivement vider toute sa substance juridique et la transformer en une feuille morte dans un forum. En clair, Vuemba Jean-Claude réclame le respect de la Constitution en vigueur et exige l’organisation successive de  quatre scrutins universels directs,  avant la fin de l’année 2016, pour désigner les Elus locaux, les Députés provinciaux, les Députés nationaux et surtout,  le futur  Président de la République. Pragmatique, le Président du MPCR exige que les élections locales et provinciales soient organisées ensemble, au début de l’année prochaine, 2015. Avec comme double avantage, l’économie des ressources administratives, financières et logistiques d’abord et, ensuite, la solution en rapport avec le  dysfonctionnement institutionnel majeur observé  au niveau législatif (Sénat) et provincial (Gouvernorats).<br />
<br />
Ci-après, la libre opinion de l’Honorable Jean-Claude Vuemba au sujet du processus électoral 2014-2015.  <br />
<br />
A propos du processus électoral 2014 – 2015 (CENI)<br />
<br />
Le Mouvement du Peuple Congolais pour la République, MPCR, réclame le respect strict de la Constitution (Articles 197 et 220).<br />
<br />
La Constitution d’un pays constitue la loi fondamentale à laquelle, tout citoyen est soumis pour l’établissement d’un Etat de droit. Et celui-ci, à ne pas confondre avec un Etat néo patrimonial ou éthnocratique, repose sur trois piliers. Le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Le quatrième pilier étant bien entendu la Presse, jouissant de l’exercice de la liberté de l’expression dans la société démocratique.<br />
<br />
L’expérience politique partout au monde démontre qu’il ne peut y avoir des avancées démocratiques durables sans un respect strict de la Constitution, des échéances électorales, du nombre et de la durée des mandats (Article 220). La Communauté Internationale devrait conditionner son soutien au processus électoral 2014 – 2016, élaboré par la CENI, au respect desdits principes universels.<br />
<br />
Or, au lieu de se concentrer sur ses tâches prioritaires, la CENI, représidée par l’Abbé Apollinaire Malu Malu aujourd’hui tient à tout prix, comme en 2010, « à la modification des modes de scrutin avec la curieuse révision de certains articles de la Constitution du 18 Février 2006 » (sic). En l’occurrence, l’article 197 de la Constitution, révisée le 10 Janvier 2011 par la suppression du second tour des élections présidentielles du 11 Novembre de la même année, stipule que « les élections provinciales sont organisées au suffrage universel direct », la CENI prétend, pour d’obscures raisons, « faire élire les Députés provinciaux par un corps électoral restreint ».<br />
<br />
Du coup, ce complot anticonstitutionnel vise à priver le peuple congolais de l’acquis démocratique du challenge 2006 illustré par l’élection exemplaire et nécessaire des Députés provinciaux au suffrage universel direct. Autrement dit, les électeurs votent directement et librement pour les Elus des Assemblée Provinciales. Or, la modification continue de la Constitution va progressivement vider toute sa substance juridique et la transformer en une feuille morte dans un forum.<br />
<br />
Concrètement, le MPCR réclame le respect de la Constitution en vigueur et exige l’organisation successive des quatre scrutins universels directs avant la fin de l’année 2016, pour désigner les Elus locaux, les Députés provinciaux, les Députés nationaux et surtout le Président de la République. Car, l’actuel en fonction, Elu en 2006 et réélu en 2011, sera à terme échu après deux mandats de cinq ans, c’est-à-dire renouvelable une seule fois. Parvenu au pouvoir en 2001, il totalisera quinze ans de pouvoir en 2016. Donc trois mandats successifs de cinq ans !<br />
<br />
Cette proposition nationaliste, patriotique et judicieuse devra amener la CENI à économiser les ressources financières lui dévolues par le Parlement, à diminuer les convocations de l’électorat et les contraintes logistiques par les recours indispensables des regroupements des scrutins. Exigeons donc que les élections locales et provinciales soient organisées ensemble, au début de l’année prochaine, 2015. Avec comme double avantage l’économie des ressources administratives, financières et logistiques d’abord et ensuite, la solution au disfonctionnement institutionnel majeur observés au niveau législatif (Sénat) et provincial (Gouvernorats).<br />
<br />
C’est ainsi que la CENI disposera du temps voulu, avec un tel calendrier objectif, pour organiser l’élection indirecte des Sénateurs et des Gouverneurs par les Députés provinciaux élus avant Novembre 2015, sans pour autant recourir à la modification incompréhensible de la Constitution. Par ailleurs, la CENI est appelée à revoir et fiabiliser le fichier électoral en vue d’une réussite de l’ensemble du processus 2014 – 2016. Car, à l’Opposition parlementaire, on croit mordicus que « cette opération préalable permettra au processus en cours de disposer d’une liste actualisée des électeurs comprenant les omis ainsi que les électeurs réorientés mais aussi les Citoyens ayant accédé à la majorité depuis la tenue des dernières élections en 2011 et qui ne figurent donc pas sur les listes actuelles de la CENI, la NEO-CEI ».<br />
<br />
En outre, l’exercice de remise à jour desdites données de base devra s’étendre jusqu’à la cartographie opérationnelle des sites de vote, des entités de base, des groupements ainsi que des démembrements de la CENI. Cette procédure permettra d’améliorer sensiblement la qualité de l’offre électoral en République Démocratique du Congo, un pays post-conflit et fragile, et de faciliter la convocation unique de l’électorat pour des élections combinées.<br />
<br />
Dans le cas contraire, l’Opposition institutionnelle et extra-institutionnelle ne se sent pas liée par la signature du code de bonne conduite que l’Abbé Apollinaire Malu Malu doit signer lui-même avant l’organisation des élections crédibles, libres et transparentes. A défaut, nous allons revivre les débâcles électorales de 2006 et de 2011 avec les graves divisions qu’elles ont engendrées. Seul l’esprit de consensus qui a prévalu au sein de la classe politique et du Parlement a heureusement permis le vote de la nouvelle loi portant organisation et fonctionnement de la CENI ainsi que la désignation, en Juin 2013 de ses nouveaux animateurs.<br />
<br />
En définitive, le MPCR, un Parti d’avant-garde, dit non à la fraude électorale, à la tronçonneuse de la corruption, donc à l’achat des consciences dans la classe politique toutes tendances confondues. L’Opposition parlementaire lutte pour le rétablissement des Institutions Républicaines et légitimes par le recours au vote intégral et populaire. Car, la démocratie, avait dit Abraham Lincoln, un ancien Président des Etats-Unis d’Amérique, consiste à la mise en place de pouvoir du peuple (vote), par le peuple (élus) et pour le peuple (bien être). Le développement de la République Démocratique du Congo, un pays géostratégique en Afrique, nécessite donc une démocratie participative et non censitaire au profit de la démocrature et de l’oligarchie tant décriées au 20è siècle.<br />
<br />
A bon entendeur ! Salut !<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 13 Février 2014<br />
<br />
Jean Claude VUEMBA LUZAMBA<br />
<br />
Député National<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span></div>
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la Nation Politique Feuille de route 2013-2016 : CENI, Jean-Claude Vuemba dénonce le complot anticonstitutionnel !

Le débat suscité par l’Abbé-Président de la CENI, le jeudi 30 janvier dernier à l’Assemblée nationale, avec sa feuille de route électorale 2...

Journal télévisé très émouvant de télé 50 du 14 Février 2014 (le lendemain de la mort du King)" Suivez avec attention "

February 14, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxY3jbsCuXw7OG_-5O9vJxhk1pLj41X_XeZxVUkZF29BnwO_YM8SA4uzwBOTStArkqoYrxpubwyqaOnqjaOeSIr_zQuf_E6ku0dPSu8NaiYUZVCk5fWf9iSr9uK5j03oi7let5zmB0bvw/s1600/J14.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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le journal Journal télévisé très émouvant de télé 50 du 14 Février 2014 (le lendemain de la mort du King)" Suivez avec attention "

Journal télévisé très émouvant de télé 50 du 14 Février 2014 (le lendemain de la mort du King)" Suivez avec attention " ...

EMENEYA REJOINT SON MENTOR TABU LEY

February 14, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">Il se voulait le digne successeur de Pascal Tabu Ley. Deux mois après le décès de son mentor, Emeneya le rejoint dans l’au-delà. La triste nouvelle, tombée hier jeudi 13 février, a fait l’effet d’une bombe à Kinshasa, où ses nombreuses fans n’en croyaient pas leurs oreilles. Emeneya est bel et bien mort ! C’est vrai. Le " King " a perdu sa voix à 5 heures 30’ à l’hôpital parisien de Marie Lannelongue, à l’âge de 57 ans. La maladie du cœur pour laquelle l’artiste a été admis depuis novembre 2013 à l’hôpital a finalement eu raison de lui. Un mal qui l’éloigne ainsi définitivement de la scène et même du studio d’enregistrement où il confectionnait " This is me ", le tube qui devrait consacrer le retour de Mubiala sur le marché du disque. Malheureusement, ce come back tant attendu des mélomanes n’aura pas lieu. Peut-être à titre posthume.</span></h3>
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<div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<b>HERITAGE LEGUE</b><br />
<br />
<div>
Dommage pour ce chanteur à double visage à l’image de son ancien patron Papa Wemba : musicien-sapeur. Ce dernier dira de lui quelques heures après sa mort que " cette maladie l’avait beaucoup fait souffrir. Qu’il aille vivre en paix aux côtés du Père ". " Il était mon petit-frère, mais nous avons fait les cent coups ensemble. C’est un artiste ", se souvient Papa Wemba qui l’a recruté pour Viva la musica alors qu’Emeneya n’avait que 21 ans. <br />
Kester Emeneya est compté parmi ceux qui ont boosté la musique congolaise moderne. Le patron de Victoria lègue un héritage d’envergure non seulement aux jeunes, mais aussi à ses collègues. <br />
Il se voyait " grand ", "intelligent ", " meilleur " que ses autres collègues à qui il ne manquait pas de faire des remarques musicales sans être contredit. Sûr de lui, il se considérait comme le " roi ", le "king " de la musique dont les musiciens devaient s’inspirer. L’auteur de la " musique d’anthologie ", comme aimait à le dire si bien Emeneya, savait ponctuer chacune de ses sorties médiatiques de ces dernières années d’une bonne dose d’humour.<br />
<b><br />TOUJOURS PERFECTIONNISTE</b></div>
<div>
Le début des années 90 constitue un tournant dans la carrière de ce géant. Perfectionniste, il affine ses sonorités, améliore la programmation musicale, diversifie l’instrumentation. Sa chanson " Nzinzi ", est le chef d’œuvre parfait qui illustre ce changement de cap vers la musique électronique. Le succès est sans appel. </div>
<div>
Emeneya Mubiala Kwamambu est l’un des artistes africains qui aura le plus contribué à faire entrer la musique africaine dans l’ère moderne, faisant appel à un son numérisé, rompant avec le style folklorique jusque-là incarné par le célèbre Zaïko Langa-Langa qui instaura l’animation dans la chanson. <br />
Emeneya est le premier artiste d’Afrique centrale connu à utiliser le synthétiseur et la programmation musicale assistée par ordinateur. Il en résultat en 1987 un album "Nzinzi ", critiqué sur le plan local, car s’éloignant de la réalité de la musique de son pays. Mais, cela n’a pas empêché l’artiste de connaître un immense succès commercial au niveau mondial. D’où, l’intérêt de grands journaux du monde, notamment américains et japonais à réserver quelques colonnes à l’artiste zaïrois de l’époque.<br />
<b><br />RENOMMEE INTERNATIONALE</b></div>
<div>
Artiste de renommée internationale, il s’est produit sur les cinq continents. Ses plus célèbres tournées se déroulent au Japon en 1991 et en Amérique du Nord. Il est le premier artiste congolais avec Abeti Masikini, à se produire au Zénith de Paris. </div>
<div>
Ses concerts ont toujours été reconnus comme spectacle de l’année par la presse congolaise. Un autre spectacle a eu lieu en Suisse devant plus de 12.000 personnes, une première pour un artiste africain dans ce pays. Son plus grand évènement au Congo-Kinshasa fut son concert au Stade des Martyrs en 1997 lors de son retour au pays après sept ans d’absence devant plus de 50.000 personnes.<br />
Pendant sa carrière, King Kester Emeneya a reçu de nombreux prix sur le plan international et national, dont successivement celui de meilleure vedette de l’année au Congo de 1982 à 1989.</div>
<div>
Sept ans de gloire pendant lesquels il mobilisait des milliers de gens lors de ses passages dans les rues de Kinshasa, à l’image de Werrason et de JB Mpiana actuellement. Ce n’est pas par hasard que ces deux derniers se sont servis de ses chansons et de son rythme musical pour créer le groupe Wenge Musica.<br />
Avec plusieurs dizaines de chansons dans sa carrière, Kester Emeneya a été reçu plusieurs fois par le président Mobutu Sese Seko, à trois reprises par le président Laurent-Désiré Kabila et deux fois par le président Joseph Kabila. L’honneur lui avait été accordé par le président Mobutu d’agrémenter la soirée de la visite du président français François Mitterrand.<br />
<b><br />TALENT DE SAPEUR</b></div>
<div>
Loin du micro, Emeneya a gardé son influence dans le monde de la sape. Ceux qui le confondaient à un sapeur n’ont pas du tout tort tellement que le chanteur et son ex-patron Papa Wemba, se sont investis dans la mode au point de dépenser des sommes importantes pour acquérir les vêtements griffés de grandes maisons occidentales. </div>
<div>
A Kinshasa, comme à Brazzaville, les membres de la Société des ambianceurs et personnes élégantes (SAPE) retiennent que c’est grâce a Kester que les couturiers italien Gianni Versace et le Japonais Masatomo ont réussit à gagner le marché africain. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Rachidi MABANDU
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RADIO 
Le direct
        
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Musique EMENEYA REJOINT SON MENTOR TABU LEY

Il se voulait le digne successeur de Pascal Tabu Ley. Deux mois après le décès de son mentor, Emeneya le rejoint dans l’au-delà. La tris...

Complication des sorties des Congolais : le gouvernement doit s’expliquer

February 14, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Le Phare s’est fait l’écho, dans son édition d’hier jeudi 13 février 2014, de nouvelles dispositions réglementant les voyages des Congolais entre Bukavu et Bujumbura. La nouveauté relevée pour la circonstance est que nos compatriotes sont appelés à exhiber un passeport, un tenant lieu de passeport ou un laissez-passer de la CEPGL, moyennant espèces sonnantes et trébuchantes, alors que les Burundais pourraient passer la frontière sur présentation d’un simple jeton, délivré gratuitement par les autorités de leur pays. Pendant que l’indignation grogne au sein de la communauté nationale, on vient d’apprendre que ces mesures touchent tous les postes frontaliers de la RDC avec ses voisins. Pour la traversée du Beach Ngobila entre Kinshasa et Brazzaville par exemple, un Congolais de Kinshasa devrait disposer, en plus du laissez-passer habituel et du certificat de vaccination, d’un passeport. Une Congolaise mariée devrait justifier, en plus de toute cette paperasse, d’une autorisation maritale tandis qu’un enfant devrait être couvert par une autorisation parentale.</span></h3>
<div>
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<br />
Bref, l’Etat congolais a terriblement compliqué les sorties de ses citoyens vers les pays voisins, alors que les ressortissants desdits pays ne sont soumis à aucune restriction. Jusqu’à preuve du contraire, il est laissé aux Angolais, Congolais de Brazzaville, Centrafricains, Sud-Soudanais, Ougandais, Rwandais, Burundais, Tanzaniens et Zambiens, la latitude de franchir allégrement nos frontières muni d’un simple jeton ou laissez-passer, à obtenir sans débourser le moindre sou.<br />
<br />
<b>Lutte contre le trafic d’être humains ?</b><br />
<br />
Du côté de la frontière entre la RDC et le Burundi, sur l’axe Bukavu-Bujumbura, les restrictions imposées aux Congolais sont justifiées par la nécessité d’éviter l’insécurité lors des élections prévues dans ce dernier pays en 2015. Ce qui fait tiquer, est que Kinshasa, qui organise des élections locales, municipales, urbaines, législatives provinciales, sénatoriales, législatives nationales et présidentielle entre 2013 et 2016 maintient ses frontières largement ouvertes aux étrangers détenteurs de jetons.<br />
<br />
Maintenant, l’on apprend que le durcissement des conditions de sorties de nos compatriotes  vers les pays voisins serait liée à la nécessité de lutter contre le trafic d’êtres humains. A ce sujet, il y a lieu de douter de l’éradication ou de la limitation de la saignée. Car, il est démontré que les Congolaises vendues à l’étranger sortaient du pays à la régulière, munies des passeports nationaux et des visas des Etats d’accueil en Europe, en Asie ou en Amérique. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
En clair, le passeport n’a jamais constitué un remède contre le trafic d’être humains. Ne parlons même pas des « Ngulu » (immigrés clandestins) sortis du pays depuis des décennies et qui continuent de partir pour l’étranger, en quête de l’eldorado, avec passeports et visas. Artistes-musiciens, footballeurs, basketteuses et basketteurs, journalistes, militaires et policiers en formation, diplomates, hommes et femmes d’affaires, élèves, étudiants, handballeuses et handballeurs, volleyeuses et volleyeurs, pasteurs, évangélistes…en exil économique à l’étranger, le plus souvent sans « papiers », franchissent les frontières nationales avec des passeports dans leurs valises.<br />
<br />
D’où, l’obligation d’obtenir un passeport avant de se rendre dans un Etat voisin est sans effet sur le trafic d’êtres humains.<br />
<b><br />Les Congolais exclus du commerce transfrontalier ?</b></div>
<div>
Ce qu’il faut plutôt craindre, c’est l’exclusion des Congolais du commerce transfrontalier. Désormais, les agriculteurs du Nord-Kivu devraient faire des économies pour acquérir des passeports devant leur permettre d’aller vendre les produits de leurs champs (bananes, haricots, pommes de terre, manioc, légumes) en Ouganda, au Rwanda ou au Burundi. C’est pareil pour les débrouillards de Kinshasa spécialisés dans le petit commerce entre Kinshasa et Brazzaville.<br />
<br />
A-t-on pensé au sort des compatriotes fréquentant les marchés de Lufu, Yema ou Kahungula entre la RDC et l’Angola, ou encore ceux de Zongo, en face de Bangui, ou de Kasumbalesa, à la frontière zambienne. Ce qui va arriver est que pendant qu’agriculteurs, pêcheurs, éleveurs et autres débrouillards congolais seraient distrait par des formalités de passeront, leurs homologues d’Angola, du Congo/Brazza, de la RCA, du Sud-Soudan, du Rwanda, du Burundi, de Tanzanie et de Zambie pourraient opérer en situation de monopole. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
En fait, la RDC est en train d’empêcher ses citoyens d’équilibrer les échanges commerciaux transfrontaliers, et de devenir totalement dépendants des autres. Dans un Etat où le chômage bat son plein et où la majorité des produits de consommation courante viennent de l’étranger, un terrible coup de frein est donné à la production agricole et artisanale interne. Les débouchés extérieurs sont pratiquement fermés aux Congolais, qui devraient désormais tout attendre de leurs voisins, libres de leurs mouvements comme l’air.<br />
<br />
Tout ceci exige, du gouvernement congolais, des explications, au risque de pousser de nombreux compatriotes à croire que la RDC a choisi de faire le jeu de ses voisins, au détriment de ses citoyens.  Kimp</div>
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la Nation Complication des sorties des Congolais : le gouvernement doit s’expliquer

Le Phare s’est fait l’écho, dans son édition d’hier jeudi 13 février 2014, de nouvelles dispositions réglementant les voyages des Congolais...

Kinshasa réactions des kinois sur la fête saint valentin 2014 ( vidéo )

February 14, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWy25e5XTsg_aLe_EzvudITNcnWtsyYQq2ZmVGePwkF9iw8N0K40wmg2fycxu40oNiZBzDkHfXUawB8gzOBq4UZBcEzPUCWznrYkl3i-Qv-bkL9RAVy1B238woLiOS9oYiKlfHQ90Nr3c/s1600/toloko.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
</div>
<h3>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWy25e5XTsg_aLe_EzvudITNcnWtsyYQq2ZmVGePwkF9iw8N0K40wmg2fycxu40oNiZBzDkHfXUawB8gzOBq4UZBcEzPUCWznrYkl3i-Qv-bkL9RAVy1B238woLiOS9oYiKlfHQ90Nr3c/s1600/toloko.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWy25e5XTsg_aLe_EzvudITNcnWtsyYQq2ZmVGePwkF9iw8N0K40wmg2fycxu40oNiZBzDkHfXUawB8gzOBq4UZBcEzPUCWznrYkl3i-Qv-bkL9RAVy1B238woLiOS9oYiKlfHQ90Nr3c/s1600/toloko.jpg" width="400" /></a><span style="font-size: large;">Kinshasa réactions des kinois sur  la  fête saint valentin 2014 ( vidéo )</span></h3>
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Au tour de Kinshasa Kinshasa réactions des kinois sur la fête saint valentin 2014 ( vidéo )

Kinshasa réactions des kinois sur la fête saint valentin 2014 ( vidéo )

Emeneya : la rue et la toile ont parlé

February 14, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">La grande  toile s’est totalement enflammée, jeudi 13 février  2014 à l’annonce de la mort du Grand Kwangolo, Mutu wa zamani, le Grand Mawula, le Grand Maluata,  Evala. Ce grand adepte d’Orphée vient de quitter le monde sur la pointe des pieds.</span></h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcPkJZmtCClrLosM-Pfj-cnzMugDxDY2dqpYefFbti_it9cImLx_7eF-I0crs_9wn2xmvKiY9elbVhnpVIRshkujpVewBSbX35SeW9NQdvY7EIfDi3QGMZYa9RCbgwINnhomYQ9cKpLtA/s1600/yemeyiiii-300x294.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="392" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcPkJZmtCClrLosM-Pfj-cnzMugDxDY2dqpYefFbti_it9cImLx_7eF-I0crs_9wn2xmvKiY9elbVhnpVIRshkujpVewBSbX35SeW9NQdvY7EIfDi3QGMZYa9RCbgwINnhomYQ9cKpLtA/s1600/yemeyiiii-300x294.jpg" width="400" /></a></div>
Beaucoup connu sous le sobriquet de « King Kester »,  Emeneya Kuamabu  le «Grand  bachelier» aura été l’une de grandes voix de la musique congolaise moderne.<br />
<br />
Beaucoup des mélomanes regrettent seulement que l’homme n’ait pas mis sur le marché du disque son dernier opus tellement prémonitoire, « This is me »,  en français « c’est moi », dont il ne tarissait pas d’éloges.<br />
<br />
D’autres estiment qu’ils ne vont plus suivre les émissions musicales  du fait que celui qui à travers ses expressions égayait le monde n’est plus.<br />
<br />
Voici quelques réactions recueillies sur la toile<br />
<br />
«  Mpangi nous ne t’oublierons jamais dans la musique congolaise »;<br />
<br />
« Qui a tué Mfumu mpa ? » ;<br />
<br />
« Et  avec lui est parti son style musical unique que personne d’autre jusqu’à présent n’a produit. En plus de son sens d’humour renversant » ;<br />
<br />
« La mort d’Emeneya m’a fait oublier que c’est jeudi aujourd’hui, et je m’interroge : les « combattants », vont-ils pleurer le King, étant donné que ce n’était plus le grand amour entre nos musiciens et cette frange de nos compatriote de la diaspora ? Pour être logique avec eux-mêmes, ils doivent boycotter le deuil, à mon sens » ;<br />
<br />
« Ooo ba mpika na betooo me kuma ba nfumu, bome kuma ba nfumuuu na bwala na beto, bome kuma ku tekila beto, nfinda na ntoto, yo mebikala kaka bo komisa betooo mawa troooop! chantait Emeneya, prophète. Ce qu’il a chanté il y a près de 20 ans, se concrétise aujourd’hui à travers les Rwandais. «Les étrangers qui étaient inférieurs à nous hier, deviennent nos supérieurs aujourd’hui dans notre propre pays, au point de nous revendre nos propres villages, et nos propres terres. Ah! »<br />
<br />
«Jean Emeneya Mubiala, Nkwamambu, le Bachelier, le Pétrolier, le Descendant d’Abraham et de Moïse, le Grand Kisimbi, le Grand Nkukuta, Nkongolo-Zonso, Muntu A Zamani, Joe Kester, Hatari Wambi… Bye Bye Kess! »<br />
<br />
<br />
<br />
« … lela lela nakolelaka yo, lela lela ti na tango mayi ya miso ekokawuka aaa. Pardon pardon mokolo mosusu eleka te, sinon sinon nakozala déshydraté…» King Kester Emeneya, toi qui berçais notre jeunesse. Que la terre de nos ancêtres te soit favorable. Bravo l’artiste! »<br />
<br />
«Triste rapprochement. Michael Jackson préparait son retour sur scène avec This is it. Un come back qui n’eut pas lieu. King Kester Emeneya préparait lui aussi son retour sur scène avec This is me. Un come back qui n’aura pas non plus lieu. »<br />
<br />
<br />
<br />
<b>VAN</b>

Musique Emeneya : la rue et la toile ont parlé

La grande toile s’est totalement enflammée, jeudi 13 février 2014 à l’annonce de la mort du Grand Kwangolo, Mutu wa zamani, le Grand Mawu...

Edition du Journal télévisé de la RTNC du 13/02/2014 " Suivez très attentivement "

February 13, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1qa3NaWpJ2pAH5O2WUaZlAPTy7KYzT1ciY0KHI2z2IGy27HDvrPnMM5x9NMXziSSSOgTeNwSqeqJnOBE-2kRApCATxQoTo9WYFNyoqfvnakK_qLJPBXRWV427CziG70bx5fMYCjhUcAQ/s1600/j13.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Edition du Journal télévisé de la RTNC du 13/02/2014 " Suivez très attentivement "
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le journal Edition du Journal télévisé de la RTNC du 13/02/2014 " Suivez très attentivement "

Edition du Journal télévisé de la RTNC du 13/02/2014 " Suivez très attentivement "

Un policier poursuivi pour viol et grossesse sur mineure !

February 13, 2014

Limbaya, policier de son état, est en détention depuis une année, à la Prison Militaire de Ndolo, pour viol et grossesse sur une mineure. <script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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<div>
<br /></div>
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La famille de la victime exige des dommages et intérêts et la prise en charge de la grossesse que porte leur fille, Sarah Omba. Cette cause a été examinée le 12 février 2014, par le Tribunal de Garnison Militaire de Gombe. La prochaine audience est prévue le 21 février 2014 pour la comparution de la victime.<br />
<br />
Selon l’acte d’accusation du ministère public, le policier Limbaya est poursuivi pour avoir violé et engrossé Sarah Omba, âgée de 16 ans, en 2013. C’était au croissement des avenues Kabinda et Huileries, dans la commune de Kinshasa. L’organe de la loi soutient que le policier avait usé des menaces à l’aide d’une arme pour accomplir sa mission sur la fille. Il l’avait brutalisée. C’est ainsi que la fillette avait fini par céder et était tombée enceinte.  L’officier du ministère public a martelé que c’était vers 20 heures. Il avait amené Sarah Omba dans un endroit isolé, il était en tenue militaire et menaçait de tuer cette dernière si elle résistait.<br />
<br />
En réplique, les avocats du prévenu Limbaya ont fait savoir que la version donnée par le ministère public est fausse parce que les avenues Huileries et Kabinda sont fréquentées jusque tard. D’où, le viol ne peut pas se passer à cet endroit à 20h. Ils ont indiqué que leur client vivait en concubinage avec Sarah Omba.<br />
<br />
Il y avait consentement entre les deux. Même sa famille était au courant de cette relation amoureuse. Ses  relations sexuelles avec Sarah Omba se sont passées plus de 6 fois.  C’était dans sa résidence à Kimwenza. Ils ont ajouté que la victime n’était pas vierge. Elle avait dit au prévenu qu’elle avait 19 ans et comme Limbaya était à la recherche d’une femme à prendre en mariage, c’est ainsi qu’il l’avait aimée. Et lorsque Sarah était tombée enceinte, il avait accepté de la prendre en charge. C’est sa famille qui a tout dérangé.<br />
<br />
Au cours de cette audience, le ministère public a pris encore la parole pour démentir la version des faits donnée par la défense. Il a rappelé les circonstances dans lesquelles ce viol a eu lieu. Il a indiqué que c’était au moment où la victime se rendait chez elle, en provenance de Lingwala. Le policier l’avait interpellée et l’avait déshabillée de force. C’est par là que tout a commencé, a fait savoir le ministère public.<br />
<br />
Les avocats de la défense ont relevé qu’aucune pièce n’atteste que Sarah Omba est mineure.  L’âge d’un enfant est prouvé par le rapport médical ou l’acte d’Etat civil, conformément au prescrit de l’article 2 du Code pénal congolais.  Mais en ce qui concerne la victime, elle n’a produit aucun acte même pas sa carte d’élève pour soutenir son argumentaire. On signale que la RDC est intervenue dans la présente cause pour demander l’acquittement du prévenu Limbaya, parce que  l’Etat congolais a besoin de lui. Il doit reprendre son travail.<br />
<br />
Le ministère public a demandé au tribunal de faire comparaitre la victime pour éclairer sa religion afin de préserver la bonne administration de la justice.<br />
<br />
.                                  Murka</div>
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Le direct
        
                <br />
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Justice Un policier poursuivi pour viol et grossesse sur mineure !

Limbaya, policier de son état, est en détention depuis une année, à la Prison Militaire de Ndolo, pour viol et grossesse sur une mineure. ...

Scandale à la frontière RDCongo – Burundi !

February 13, 2014

<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
</div>
<h3>
<b>C’est la consternation, la déception et l’inquiétude chez les Congolais résidant au Sud-Kivu en général et à Bukavu en particulier.</b></h3>
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<b></b>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiST0umCMy6kQCfRLvB_t0N0akkYh9uZkx49e3kEtupByjFiZ_ygG_9sn0d-Mim72OqD4fWn15vmHbqze7mE9Ao0WFBOv5eZPMYveo3Uhl8jBOpm3g-XpXdT_AgJCwSUX1QOsp4WcQzUVc/s1600/Snapshot_37.jpg" rel="image_src" width="400"></link><b>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiST0umCMy6kQCfRLvB_t0N0akkYh9uZkx49e3kEtupByjFiZ_ygG_9sn0d-Mim72OqD4fWn15vmHbqze7mE9Ao0WFBOv5eZPMYveo3Uhl8jBOpm3g-XpXdT_AgJCwSUX1QOsp4WcQzUVc/s1600/Snapshot_37.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiST0umCMy6kQCfRLvB_t0N0akkYh9uZkx49e3kEtupByjFiZ_ygG_9sn0d-Mim72OqD4fWn15vmHbqze7mE9Ao0WFBOv5eZPMYveo3Uhl8jBOpm3g-XpXdT_AgJCwSUX1QOsp4WcQzUVc/s1600/Snapshot_37.jpg" width="400" /></a></b></div>
<b>
</b>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b> En effet, un communiqué daté du 24 janvier 2014 et visible au poste frontalier de Gatumba, à l’entrée de Bujumbura, indique que le laissez-passer individuel est suspendu pour les Congolais jusqu’à nouvel ordre. Selon les accords intervenus récemment entre les autorités de Bukavu et leurs homologues de Bujumbura, le trafic entre les deux villes sera désormais soumis à la présentation d’un passeport, un tenant lieu de passeport ou un passeport de la CEPGL pour tout citoyen congolais. Quant au Burundais, il pourrait franchir la frontière congolaise muni d’un simple jeton délivré gratuitement par les autorités de son pays.</b></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
 Selon des sources congolaises, cette mesure consensuelle a été adoptée en vue de sécuriser davantage Bujumbura, la capitale du Burundi, en prévision des élections générales annoncées dans ce pays à l’horizon 2015.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Comme il fallait s’y attendre, nos compatriotes du Sud-Kivu se posent des tas de questions au sujet de cette décision administrative discriminatoire qui ne frappe que les Congolais. Non seulement elle viole les règles de réciprocité qui devraient régir les mouvements des biens et des personnes à la frontière congolo-burundaise, mais en plus énerve le principe de la libre circulation des citoyens au sein de la Communauté Economique des Pays des Grands Lacs.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Beaucoup d’observateurs sont tentés de penser, à la lumière de ces nouvelles dispositions, que la RDCongo a accepté que ses citoyens sont susceptibles d’exporter l’insécurité dans la capitale burundaise. Il s’agit là d’un dangereux aveu qui peut exposer les Congolais à tous les désagréments imaginables et inimaginables de l’autre côté de la frontière, sur le territoire burundais. Dans le même ordre d’idées, les autorités provinciales du Sud-Kivu ont accordé un chèque en blanc aux Burundais, considérés comme des enfants de chœur incapables de faire du mal à une mouche.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
 <b>Infiltrations, tracasseries administratives, sanctions commerciales et agricoles…</b></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
A-t-on pensé aux conséquences des restrictions imposées désormais aux Congolais de Bukavu et du « boulevard » ouvert aux Burundais ? La délivrance d’un simple jeton gratuit aux Burundais par les autorités de leurs pays pour venir en RDCongo risque de favoriser davantage des infiltrations d’éléments douteux pour la sécurité nationale congolaise. Nos compatriotes n’ont pas du tout oublié que l’Est du pays a toujours été le ventre mou de notre système de défense. Que d’invasions et agressions armées n’a-t-on pas enregistrées depuis 20 ans ? Combien des milliards de dollars américains la République n’a-t-elle pas perdu, pendant deux décennies, dans le trafic illicite des minerais, à cause de l’insécurité et de la situation de non Etat entretenue par nos voisins ? A-t-on oublié que le Burundi a souvent été aux côtés des agresseurs du grand Congo ?</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
L’autre conséquence de la limitation des mouvements des Congolais vers Bujumbura est à chercher dans les tracasseries administratives qui vont entourer la délivrance du passeport, du tenant lieu du passeport ou du passeport de la CEPGL. Dès le départ, ce sauf-conduit est placé financièrement hors de portée du commun des compatriotes de cette partie de la République, avec un taux de 165 dollars Usd pour le passeport et de 45 dollars pour le tenant lieu de passeport. C’est à croire qu’implicitement, il est interdit aux paysans, agriculteurs, débrouillards et autres sans-emploi vivant au jour le jour, bref, aux Congolais pauvres, de traverser la frontière congolo-burundaise. Tous les compatriotes qui vivent de la cueillette et de petites activités commerciales quotidiennes sont désormais exclus du circuit des voyages entre Bukavu et Bujumbura.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Quant aux opérateurs économiques congolais, ils risquent de rencontrer beaucoup d’ennuis dans leurs opérations d’exportation ou d’importation qui ont comme point de transit, au départ comme au retour de l’étranger, Bujumbura. Beaucoup vont connaître de sérieuses difficultés dans le processus d’approvisionnement du Sud-Kivu en produits manufacturés. En fait, ils sont frappés de sanctions économiques et commerciales qui ne disent pas leur nom.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
</div>
<div align="center" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Pourquoi ne pas fermer la frontière ?</b></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
            S’il est établi que la RDC, à travers ses citoyens vivant à Bukavu et ailleurs au Sud-Kivu, représente une menace pour les élections au Burundi, le plus simple serait de décréter purement et simplement la fermeture de la frontière, jusqu’à la tenue de ces scrutins. De cette façon, les autorités burundaises seraient sûres qu’il n’y aurait plus rien à craindre des Congolais. D’aucuns pensent que si les autorités congolaises et burundaises veulent réserver un traitement égalitaire aux citoyens des deux pays, ce serait le moindre mal.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
            Il y a toutefois de quoi s’étonner des mesures conservatoires initiées par les autorités burundaises en rapport avec leur processus électoral mais surtout de l’attitude défaitiste de leurs homologues congolaises.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
 Avec le recul du temps, on pense que la RDC aurait pu fermer carrément ses frontières avec le Burundi, pour des durées indéterminées, lors des opérations préélectorales et électorales de 2006 et 2011.  Pourquoi la partie congolaise n’avait-elle pas pensé à prendre la même précaution face aux mouvements des Burundais vers le territoire congolais ? S’agissant du cas d’espèce, la RDC est en droit de proposer des mesures réciproques, c’est-à-dire passeport, tenant lieu de passeport ou passeport de la CEPGL à l’endroit des citoyens burundais, étant donné qu’elle se trouve elle aussi engagée dans un nouveau cycle électoral, de 2013 à 2016 voire 2017. Logiquement, les décideurs politiques congolais ont intérêt à verrouiller aussi les frontières nationales, en fonction de la « feuille de route » de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante). Ainsi, les intérêts de la Nation seraient saufs.</div>
<div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
                                                                                  <b>Kimp</b></div>
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la Nation Scandale à la frontière RDCongo – Burundi !

C’est la consternation, la déception et l’inquiétude chez les Congolais résidant au Sud-Kivu en général et à Bukavu en particulier. ...

« IL N’Y A NI ACHARNEMENT, NI PRESSION SUR LA RDC », DIXIT MARY ROBINSON jeudi 13 février 2014

February 13, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">* Hier mercredi, François Muamba et l’Envoyée spéciale de Ban-Ki Moon ont évalué l’Accord-cadre d’Addis Abeba</span><span style="font-size: large;">François Muamba Tshishimbi a révélé à Mary Robinson les efforts fournis par le Gouvernement congolais en rapport avec le processus de suivi de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Satisfaits du rôle de la Communauté internationale eu égard à ses engagements, le coordonateur du Mécanisme national de suivi (MNS) et l’Envoyée spéciale du secrétaire général de l’ONU pour les Grands lacs ont passé en revue, hier mercredi 12 février, d’une manière croisée, à la fois la mise en œuvre des engagements pris par la RDC.</span>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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Non seulement qu’ils ont passé en revue toute la situation de paix, François et son hôte ont jeté un regard sur ce qu’ils doivent faire ensemble " pour que la paix revienne dans la région des Grands lacs ". " Nous avons insisté sur les avancées internes ", reconnaît François Muamba. En clair, le coordonateur du MNS et Mary Robinson ont réexaminé le processus de Kampala avec la signature de l’Accord de paix de Nairobi. C’est ici que François Muamba a révélé à la délégation onusienne les avancées réalisées par la RDC en vue de concrétiser ses engagements pris au niveau international. <br />
Devant Mary Robinson, François Muamba a souligné le fait que le chef de l’Etat Joseph Kabila s’est battu pour rendre possible la réconciliation nationale. Ce, en organisant les Concertations nationales. "Nous sommes dans la phase de la mise en œuvre des recommandations prises lors de ce forum national avec les décisions que le Président de la République va devoir prendre dans les semaines qui viennent", déclare-t-il.<br />
<br />
<b>SATISFAITE DE L’AMNISTIE</b><br />
<br />
<div>
L’Envoyée spéciale du secrétaire général de l’Onu pour les Grands lacs a encouragé les avancées réalisées par le Gouvernement congolais vis-à-vis de ses engagements pris en signant l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Au terme d’une séance de travail de près d’une heure avec le coordonateur du MNS, Mary Robinson justifie sa présence en RDC " par la recherche d’une paix durable dans la région ". " Je suis là pour le suivi de l’Accord-cadre pour une paix durable. Il faut aller de l’avant ", affirme Mary Robinson. Pour l’Irlandaise, la RDC et les autres pays de la région sont déterminés à aller de l’avant dans ce processus. " Je suis contente que d’ici là, il y aura un grand pas au niveau national. Les chefs d’Etat et de Gouvernement se sont mis d’accord sur quinze priorités. </div>
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<br /></div>
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Ça veut dire que nous sommes déterminés à faire des progrès. Bientôt, on aura un plan d’action au niveau national. Je suis contente que la loi d’amnistie soit élaborée au Parlement et promulguée par le chef de l’Etat".<br />
<br />
<div>
Pour Mary Robinson, la présence des fonctionnaires de l’ONU en RDC ne constitue aucunement une pression ou un acharnement contre la RDC. "Contrairement à ce que pense une certaine opinion nationale congolaise ". " C’est une impression et non la vérité ", explique-t-elle avant d’affirmer que " même au niveau régional, beaucoup pensent que nous leur faisons trop de pressions alors qu’il appartenait aux autorités de la RDC à subir des pressions. Moi je n’ai qu’un seul agenda : celui de la paix durable dans la région ".<br />
<br />
<div>
François Muamba et Mary Robinson ont aussi analysé d’une manière globale les conditions dans lesquelles le MNS accomplit ses missions. "Là aussi, nous nous félicitons de l’appui de Mary Robinson et de l’ensemble des partenaires qui œuvrent de manière à rendre possible un mécanisme fort pour l’ensemble des engagements pris. C’est dans ce sens que nous allons permettre aux différents pays engagés dans ce processus de l’Accord-cadre de pouvoir poser les vrais actes de développement ", explique François Muamba. Rachidi MABANDU</div>
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« IL N’Y A NI ACHARNEMENT, NI PRESSION SUR LA RDC », DIXIT MARY ROBINSON jeudi 13 février 2014

* Hier mercredi, François Muamba et l’Envoyée spéciale de Ban-Ki Moon ont évalué l’Accord-cadre d’Addis Abeba François Muamba Tshishimbi a ...

« PHENOMENE BAKATA-KATANGA » UN RAPPORT SUR LA TABLE DE JOSEPH KABILA

February 13, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">A en croire des sources croisées, en plus des renseignements dont il disposait déjà, le Raïs a reçu, mardi dernier, la délégation des notables ba lubakat qui ont sillonné les coins et recoins du Nord-Katanga pour une mission de pacification</span><span style="font-size: large;">Le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, s’est entretenu, mardi dernier, en long et en large avec la délégation des notables balubakat ayant effectué une mission de pacification dans le Nord de leur province, confient des sources croisées contactées par « Forum des As ». Au centre de cette rencontre, indique-t-on, le « phénomène Bakata-Katanga » du nom des inciviques qui ne cessent de répandre la terreur dans le pays cuprifère. C’est de la sorte qu’un rapport serait déjà sur la table du Raïs pour lui permettre d’agir en connaissance de cause afin de mettre un terme à ce phénomène.</span></h3>
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Des notables balubakat chez Joseph Kabila. C‘est ce que renseignent des sources croisées quoiqu’il se soit agi d’une rencontre off the record. Surtout lorsqu’on sait que la délégation en question avait pour mission, au cours de sa tournée d’une semaine dans le nord du Katanga, d’étudier ce phénomène en détails en vue de proposer des pistes de solution au chef de l’Etat. Car, les notables balubakat ont sillonné les coins et recoins de cette partie de leur province en mission de pacification suite aux nombreux incidents enregistrés dans le Katanga et à plusieurs reprises.<br />
C’est le lundi 03 février 2014 que la délégation des notables balubakat composée des personnalités de haut rang avait bouclé la tournée qui avait débuté une semaine plus tôt. Les territoires de Kamina, Malemba Nkulu, Mitwaba, Manono... ont été passés au peigne fin sans oublier les secteurs et les villages en vue de cerner les tenants et les aboutissants du phénomène en examen. Au terme de leur tournée, les notables balubakat ont ainsi déposé un rapport sur la table du Raïs au cours de leur rencontre. Question d’aider le président de la République à agir en âme et conscience sur le dossier, c’est-à-dire en parfaite connaissance de cause en vue d’écarter le danger dans le Katanga.<br />
Mais, en réalité, le Raïs disposait déjà d’un bon paquet de renseignements sur le « phénomène Bakata-Katanga » qui, il faut bien le reconnaître n’a pas du tout commencé il y a quelques mois seulement dans la province. C’est pourquoi, il est question d’extirper le mal à la source pour s’assurer, une bonne fois pour toutes alors, que ces inciviques ne se signaleront plus à travers l’insécurité qu’ils ne cessent de causer dans la province. En vue de juguler cette tare, il fallait donc, en toute logique, maîtriser d’abord les tenants et les aboutissants du dossier qui ne cesse vraiment de perturber la quiétude des paisibles citoyens au Katanga.<br />
<br />
<b>REACTION DU RAIS DESORMAIS ATTENDUE</b><br />
<br />
<div>
Après les renseignements dont il disposait et le rapport des notables balubakat qui ont effectué une tournée dans les coins et recoins du bled lubakat, la réaction du Raïs est attendue dans l’opinion. Car, il s’agit, aujourd’hui plus que jamais, de prendre toutes les mesures nécessaires pour sinon éradiquer, alors juguler le « phénomène Bakata-Katanga » qui rappelle un autre phénomène, « Bundu dia Kongo », connu autrefois dans la province du Bas-Congo. Car, indiquent bon nombre d’observateurs, il faut surtout éviter de donner l’impression que lorsqu’il s’agit du Katanga, les choses se règlent plutôt à l’amiable.</div>
<div>
Mais, il est surtout question de dissuader un bon nombre d’inciviques en RD Congo qui seraient tentés d’emprunter le même chemin dans l’avenir pour faire entendre leur voix. La force doit demeurer à la loi et les inciviques ne peuvent pas impunément menacer la vie de toute une nation. Si l’on ne parle plus aujourd’hui du fameux phénomène « Bundu dia Kongo » au Bas-Congo et du M23 au Nord-Kivu, rien ne peut justifier que les « Bakata-Katanga » demeurent à la page après tous les incidents qu’ils ont créés au Katanga. Il ne faut donc pas faire de cette affaire une histoire du genre qu’on appelle deux poids deux mesures.<br />
<br />
<b>LES « BAKATA-KATANGA » DANS L’OEIL DU CYCLONE</b></div>
<div>
<br />
Avec tous les éléments à sa disposition actuellement, Joseph Kabila est désormais mieux placé pour abattre ses cartes. ce qui pousse à croire que les « Bakata-Katanga » se retrouvent dans l’œil du cyclone. A moins que, comme on ne cesse de le souhaiter, qu’ils renoncent alors à leurs mauvaises habitudes pour une réinsertion sociale dans la vie. Sinon, la République n’aura d’autre choix que de mettre définitivement fin à leur campagne par la force de la loi. Ce qui rappellerait dans l’opinion le sort réservé à l’époque aux combattants de « Bundu dia Kongo ».<br />
Mais, dans tous les cas, ce que souhaitent les Congolais, c’est que le « phénomène Bakata-Katanga » cesse tout comme il avait commencé, c’est-à-dire qu’on en parle plus du tout dans l’avenir. La balle est dans le camp du Raïs qui, avec tous les détails reçus sur l’affaire qui défraie la chronique, doit insuffler un air de paix dans les coins et recoins du Katanga pour que l’on n’entende plus parler des incidents qui perturbent la quiétude des habitants de la province cuprifère chère à Moïse Tshombe et Janson Sendwe. Il revient à Joseph Kabila d’imprimer un tout nouveau rythme. <br />
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M. M.</div>
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