Moïse Moni Della : « L’émir du Qatar a réussi là où Lourenço, Sassou et Macron ont échoué »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCnOupiIwc6MkJSujmYUOqrotMzpnw0y-D-aejdc1BS5YnGZrUkzl3B2NL-VsRSGcMeoRdsJ1jDqyXf7atI-ORtuG4UzL-LLPqwgNXpnv0fr3Ui_EEgJ3qtBx0KQnvw57qqWsBqg0a6bjLZy9nQ1KhENNYC_iUOuWVQAPSEawK093zun0TStI_ROCojjW6/s711/moise_moni_della_23_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="305" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCnOupiIwc6MkJSujmYUOqrotMzpnw0y-D-aejdc1BS5YnGZrUkzl3B2NL-VsRSGcMeoRdsJ1jDqyXf7atI-ORtuG4UzL-LLPqwgNXpnv0fr3Ui_EEgJ3qtBx0KQnvw57qqWsBqg0a6bjLZy9nQ1KhENNYC_iUOuWVQAPSEawK093zun0TStI_ROCojjW6/w458-h305/moise_moni_della_23_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="458" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Dans une analyse approfondie de la situation en République démocratique du Congo (RDC), Moïse Moni Della, observateur politique et analyste, souligne le rôle clé de l’argent dans les conflits qui secouent l’est du pays. Selon lui, la guerre dans cette région est avant tout une affaire de « gros sous », malgré les justifications sécuritaires et politiques avancées par le Rwanda. Il met en avant le rôle central de l’émir du Qatar, qui aurait réussi à relancer le dialogue entre les présidents congolais et rwandais, là où d’autres médiateurs internationaux ont échoué.</span></span><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>L’argent, moteur des conflits</strong><br />Moni Della cite Napoléon Bonaparte et Georges Marchais pour rappeler que l’argent est un élément central en politique. « L’argent est roi, l’argent corrompt, l’argent tue », dit-il, ajoutant que l’argent « enivre, commande, dirige, trompe, influence, colonise, hypnotise ». Selon lui, la guerre dans l’est de la RDC est largement motivée par des enjeux financiers, notamment la rupture d’un contrat entre la RDC et une société rwandaise dans laquelle l’émir du Qatar est actionnaire. Ce contrat, qui prévoyait l’exploitation de l’or et d’autres ressources minières, aurait été rompu de manière brutale, poussant le Rwanda à soutenir le M23 pour faire pression sur Kinshasa.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Le rôle de l’émir du Qatar</strong><br />L’analyste explique que l’émir du Qatar, grâce à ses ressources financières considérables, a réussi à organiser une rencontre entre les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame. Cette médiation, selon Moni Della, a permis de relancer un partenariat entre les deux pays, malgré les tensions persistantes. « Si les retombées de la rencontre du Qatar, c’est la paix à l’Est, le président Félix Tshisekedi avait raison de snober le M23/AFC », affirme-t-il. Cependant, il critique également le président congolais pour avoir choisi de négocier avec un intermédiaire humain plutôt que de chercher une solution divine.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un dialogue national nécessaire</strong><br />Moni Della plaide pour un dialogue interne en RDC, sous l’égide des confessions religieuses (CENCO et ECC) et avec le soutien de la communauté internationale. Il estime qu’un front intérieur doit être constitué pour renforcer la cohésion nationale et permettre au président Tshisekedi de terminer son mandat en 2028, conformément à la Constitution. Il soutient également l’idée d’une conférence internationale, comme l’a suggéré le Prix Nobel de la paix, le Dr Denis Mukwege, pour résoudre les problèmes complexes du pays.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Une convergence d’intérêts</strong><br />L’analyste souligne que le M23/AFC et le Rwanda ont désormais des intérêts convergents, notamment grâce à l’intégration du M23 dans l’Alliance Fleuve Congo (AFC), un mouvement politico-militaire aux revendications nationales. Cette alliance, selon lui, a permis de « congoliser » le conflit, tout en maintenant des liens étroits avec le Rwanda.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;"><strong>Conclusion : La paix passe par le dialogue et la coopération</strong><br />Moïse Moni Della conclut en insistant sur la nécessité d’un dialogue inclusif et d’une coopération régionale pour résoudre les conflits en RDC. Si l’émir du Qatar a joué un rôle clé en relançant les discussions entre Kinshasa et Kigali, la solution durable passe par une réconciliation interne et une collaboration renforcée entre les acteurs congolais et internationaux. La paix dans l’est de la RDC ne pourra être atteinte que par une approche multidimensionnelle, alliant dialogue, justice et développement économique.</span></p>

Politique Moïse Moni Della : « L’émir du Qatar a réussi là où Lourenço, Sassou et Macron ont échoué »

Dans une analyse approfondie de la situation en République démocratique du Congo (RDC), Moïse Moni Della, observateur politique et analyste,...

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RDC : Jean-Pierre Bemba dénonce un complot présumé pour assassiner le président Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwg7i7QbCsH35taI1eiVi9zw3mfmT6K9GyyIalQGjf2wFe5PDI1gFobu4mueT4kA0GVo976n4bvbhUCsvCYe9zYEi7GAjDufG-Y5i-RKCWqu2ZLGp9T94fOZQtYcDPoT3fHlae_2I07upIL2a796-TKPgJjjLG_GP0386O6oqnYIm6S3lyO6uPUPq4nLaD/s711/revelations_inquietantes_jean_pierre_evoque_un_plan_pour_assassiner_felix_tshisekedi_23_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="276" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwg7i7QbCsH35taI1eiVi9zw3mfmT6K9GyyIalQGjf2wFe5PDI1gFobu4mueT4kA0GVo976n4bvbhUCsvCYe9zYEi7GAjDufG-Y5i-RKCWqu2ZLGp9T94fOZQtYcDPoT3fHlae_2I07upIL2a796-TKPgJjjLG_GP0386O6oqnYIm6S3lyO6uPUPq4nLaD/w415-h276/revelations_inquietantes_jean_pierre_evoque_un_plan_pour_assassiner_felix_tshisekedi_23_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="415" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Lors d’un meeting d’éveil patriotique tenu ce dimanche 24 mars 2025 au stade Vélodrome de Kintambo à Kinshasa, Jean-Pierre Bemba, Vice-Premier ministre chargé des Transports, a révélé des informations alarmantes concernant un complot présumé visant à « éliminer physiquement » le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Antoine Tshisekedi. Ces déclarations ont suscité une vive inquiétude parmi les milliers de participants et soulèvent des questions cruciales sur la sécurité du chef de l’État et la stabilité du pays.</span></span><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un scénario macabre dévoilé</strong><br />Dans un discours percutant, Jean-Pierre Bemba a détaillé les éléments d’un plan supposé visant à assassiner le président Tshisekedi. « Ils ont utilisé un Centrafricain d’origine française pour venir nous éliminer et ensuite assassiner le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi. Nous sommes au courant de tout le scénario macabre et nous y travaillons avec les services pour démanteler ce réseau. Ils ne vont pas réussir », a-t-il déclaré. Ces révélations, bien que non encore corroborées par des preuves publiques, ont immédiatement capté l’attention des médias et de la population.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un appel à la vigilance citoyenne</strong><br />Le Vice-Premier ministre a également appelé à une collaboration étroite entre la population et les services de sécurité. « Les renseignements doivent commencer par la population avant d’atteindre les services spécialisés. Vous devez collaborer. À chaque fois que vous découvrirez un suspect, il faudrait alerter les services », a-t-il insisté. Cet appel à la vigilance citoyenne vise à renforcer la sécurité nationale et à prévenir toute tentative d’atteinte à la stabilité du pays.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un soutien massif au président Tshisekedi</strong><br />Les participants au meeting ont manifesté leur soutien indéfectible au président Tshisekedi, scandant des slogans en sa faveur et exprimant leur détermination à protéger leur pays contre toute menace. Jean-Pierre Bemba a promis de fournir davantage de détails sur cette affaire dans ses prochaines interventions, indiquant que des mesures sont déjà en cours pour neutraliser ce réseau présumé.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un contexte politique tendu</strong><br />Ces révélations interviennent dans un contexte politique déjà marqué par des tensions et des défis sécuritaires, notamment dans l’est du pays où les groupes armés, dont le M23 soutenu par le Rwanda, continuent de menacer la stabilité régionale. La RDC, qui a connu des décennies de conflits et d’instabilité, reste vulnérable aux complots et aux manœuvres politiques visant à déstabiliser le gouvernement.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;"><strong>Conclusion : Une alerte sérieuse</strong><br />Les déclarations de Jean-Pierre Bemba soulignent l’importance de renforcer les mécanismes de sécurité et de vigilance en RDC. Alors que le pays s’efforce de consolider sa démocratie et de garantir la sécurité de ses dirigeants, cette affaire rappelle les défis persistants auxquels il fait face. La collaboration entre les citoyens, les services de sécurité et les institutions gouvernementales sera essentielle pour déjouer toute menace et préserver la paix et la stabilité en RDC.</span></p>

Politique RDC : Jean-Pierre Bemba dénonce un complot présumé pour assassiner le président Tshisekedi

Lors d’un meeting d’éveil patriotique tenu ce dimanche 24 mars 2025 au stade Vélodrome de Kintambo à Kinshasa, Jean-Pierre Bemba, Vice-Premi...

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Gouvernement d’union nationale : Ébarande Kolongele s’engage à rassembler tous les fils et filles du pays

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6yhavS0aXvg0kaeLWYyQkejWuGeyl0zQ3-BPYOwDlcKBHoNFBs5OJiJEwwDpN_TOzxo9hRnk5dgg8Im6P23t0MhqqayvV0Da5IXxazCaFsfQXTK0teU8eR6N9CUhS23d1X7cee-u-xV7fsG8IOaRNfGHPL2pA5Df2XkNjythrWOsEndV4mw_MhcMUNrVr/s711/desire_cashmir_eberande_kolongele_22_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="275" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6yhavS0aXvg0kaeLWYyQkejWuGeyl0zQ3-BPYOwDlcKBHoNFBs5OJiJEwwDpN_TOzxo9hRnk5dgg8Im6P23t0MhqqayvV0Da5IXxazCaFsfQXTK0teU8eR6N9CUhS23d1X7cee-u-xV7fsG8IOaRNfGHPL2pA5Df2XkNjythrWOsEndV4mw_MhcMUNrVr/w413-h275/desire_cashmir_eberande_kolongele_22_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="413" /></a></div><br /><strong style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Gouvernement d’union nationale : Ébarande Kolongele s’engage à rassembler tous les fils et filles du pays</span></strong><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Désigné le 22 février dernier par le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, pour mener des consultations en vue de la mise en place d’un gouvernement d’union nationale, Ébarande Kolongele a dévoilé ce samedi 23 mars 2025 à Kinshasa son agenda de travail. Ces consultations, qui débuteront dès le lundi 24 mars, visent à rassembler les différentes forces politiques, sociales et civiles du pays pour aboutir à une coalition inclusive et représentative.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un processus consultatif large et inclusif</strong><br />Le directeur de cabinet en matière de sécurité du chef de l’État, représentant Ébarande Kolongele, a précisé que les consultations se dérouleront en quatre étapes principales, ciblant différents groupes d’acteurs :</span></p><ol start="1" style="color: #404040; font-size: 16.002px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0; padding-left: calc(var(--ds-md-zoom)*24px);"><li><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;"><strong>La majorité parlementaire (Union sacrée)</strong> : Les partis et députés soutenant le président Tshisekedi seront consultés pour assurer la continuité des réformes en cours.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;"><strong>L’opposition parlementaire et extra-parlementaire</strong> : Les voix critiques et les partis d’opposition seront invités à participer pour garantir une représentation équilibrée.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;"><strong>La société civile</strong> : Les organisations de la société civile, dans toute leur diversité, seront sollicitées pour apporter leurs perspectives et préoccupations.</span></p></li><li style="margin-top: 4px;"><p style="font-size: var(--ds-md-font-size); line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;"><span style="font-family: arial;"><strong>Les personnalités influentes</strong> : D’anciens chefs de corps et l’ancien président de la République seront également consultés pour leur expérience et leur expertise.</span></p></li></ol><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un appel à l’unité nationale</strong><br />Le directeur de cabinet d’Ébarande Kolongele a souligné que des invitations seront lancées à toutes les filles et fils du pays, sans exclusion, pour aboutir à un gouvernement véritablement d’union nationale. Cette démarche vise à transcender les clivages politiques et à favoriser une collaboration constructive pour relever les défis auxquels la RDC est confrontée.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un enjeu crucial pour la stabilité du pays</strong><br />La formation d’un gouvernement d’union nationale représente un enjeu majeur pour la stabilité et la cohésion sociale en RDC. Dans un contexte marqué par des tensions politiques et des défis sécuritaires, ce processus consultatif vise à apaiser les divisions et à renforcer la légitimité des institutions.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;"><strong>Conclusion : Vers une nouvelle ère de collaboration</strong><br />Les consultations menées par Ébarande Kolongele s’inscrivent dans une volonté de rassembler toutes les forces vives de la nation autour d’un projet commun. Si ce processus aboutit à un gouvernement inclusif et représentatif, il pourrait marquer un tournant décisif pour la démocratie congolaise et ouvrir la voie à une gestion plus harmonieuse des affaires publiques. La réussite de cette initiative dépendra de la bonne volonté de tous les acteurs impliqués et de leur engagement en faveur de l’intérêt général.</span></p>

Politique Gouvernement d’union nationale : Ébarande Kolongele s’engage à rassembler tous les fils et filles du pays

Gouvernement d’union nationale : Ébarande Kolongele s’engage à rassembler tous les fils et filles du pays Désigné le 22 février dernier par ...

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Le président Tshisekedi assiste à l’investiture de la première femme présidente de Namibie

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5B1pcUgyU9ICJqS9BAnC_is9H_Dkao9VBdzqw-N6dTycVUo5dganu3WIw8SH4z-W6a-rwW5wTmhGDMGD-1eBNtt6qixwsymrAEgmLhTOIXHygxXfvl6rN6Go-bryXbtvhr49tIZ5s2OrdrsdqTM3JwNu_dkxgCdc9jSjXhMYOPiVmCoUFfT9kCUwXLiS_/s711/felix_antoine_tshisekedi_tshilombo_et_netumbo_nandi_ndaitwah_11_png_711_473_1.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="312" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5B1pcUgyU9ICJqS9BAnC_is9H_Dkao9VBdzqw-N6dTycVUo5dganu3WIw8SH4z-W6a-rwW5wTmhGDMGD-1eBNtt6qixwsymrAEgmLhTOIXHygxXfvl6rN6Go-bryXbtvhr49tIZ5s2OrdrsdqTM3JwNu_dkxgCdc9jSjXhMYOPiVmCoUFfT9kCUwXLiS_/w469-h312/felix_antoine_tshisekedi_tshilombo_et_netumbo_nandi_ndaitwah_11_png_711_473_1.png" width="469" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a assisté ce vendredi 21 mars 2025 à Windhoek, en Namibie, à la prestation de serment de la nouvelle présidente namibienne, Dr Netumbo Nandi-Ndaitwah. Cet événement historique marque l’accession de la première femme à la tête de la Namibie, faisant d’elle la deuxième femme africaine, après la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf, à accéder à cette fonction suprême à l’issue d’une élection démocratique.</span></span><p></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Une cérémonie protocolaire empreinte de symbolisme</strong><br />Arrivé à Windhoek dans la matinée, le président Tshisekedi a pris part à la cérémonie d’investiture aux côtés de plusieurs autres chefs d’État africains. La prestation de serment de Dr Netumbo Nandi-Ndaitwah s’est déroulée au Palais présidentiel, dans une ambiance solennelle et protocolaire. Le président sortant, M. Nangolo Mbumba, a officiellement remis les attributs du pouvoir au juge constitutionnel, qui les a ensuite transmis à la nouvelle présidente, lui conférant ainsi l’autorité pour diriger la Namibie pour les cinq prochaines années.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans son discours, M. Mbumba a exprimé sa gratitude envers le peuple namibien pour son soutien durant son mandat, déclarant : « Diriger la Namibie est le plus grand honneur que j’ai reçu, et rien ne pourra m’enlever cela. »</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un engagement en faveur du développement et de la lutte contre la corruption</strong><br />Dans son premier discours en tant que présidente, Dr Netumbo Nandi-Ndaitwah a rendu hommage à ses prédécesseurs et aux martyrs de l’indépendance de la Namibie. Elle a également exprimé sa gratitude envers le peuple namibien pour la confiance placée en elle.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">« Je me présente à vous aujourd’hui avec une profonde gratitude et un sens élevé de responsabilité envers le peuple de Namibie, qui a placé sa confiance en moi en m’élisant comme le 5e président de la République namibienne », a-t-elle déclaré. Elle a également souligné l’importance de l’unité nationale et de la continuité des efforts pour la prospérité du pays.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">La nouvelle présidente a annoncé son engagement à créer des emplois, à poursuivre le développement économique et à lutter contre la corruption, des priorités qui s’inscrivent dans la continuité des objectifs de son prédécesseur.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Un témoignage de solidarité africaine</strong><br />Le président Tshisekedi, qui avait rapidement félicité Dr Netumbo après l’annonce des résultats électoraux, a salué la maturité démocratique du peuple namibien. « Le Président Félix Tshisekedi félicite Mme Netumbo, présidente élue de la République sœur de Namibie, à l’issue des résultats publiés par la commission électorale. Le Chef de l’État salue la maturité démocratique du peuple namibien qui, pour la première fois de son histoire, a élu une femme à la tête du pays », avait indiqué la présidence congolaise sur son compte X.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><strong>Retour à Kinshasa</strong><br />Après cette visite éclair en Namibie, le président Tshisekedi est immédiatement retourné à Kinshasa, où il poursuit ses engagements nationaux et internationaux. Cette participation à l’investiture de la présidente namibienne témoigne de la solidarité et des relations fraternelles entre la RDC et la Namibie, deux nations engagées dans la promotion de la démocratie et du développement en Afrique.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">En conclusion, l’accession de Dr Netumbo Nandi-Ndaitwah à la présidence de la Namibie marque un tournant historique pour le pays et pour le continent africain. Son leadership inspirera sans doute de nombreuses femmes à travers l’Afrique, renforçant ainsi la représentation féminine dans les sphères politiques et décisionnelles.</span></p>

Politique Le président Tshisekedi assiste à l’investiture de la première femme présidente de Namibie

Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a assisté ce vendredi 21 mars 2025 à Windhoek...

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L’ECC et la Cenco saluent l’initiative de dialogue entre Kinshasa et le M23 proposée par le président angolais

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUNvtJh629YfhzDtrECsxHsG2Lfs9RZg7PQu8rckzwO7b-LirFT5e-eNmwZurn2eudpRrjMxjNA_s9dzGjrmMPd2diyMPu-UB2OQVQaODChe3wcM1HeD0XF-Q8jK5fN3n-FoeR6dnSWEtnGezVry3oKUBHXyQJ5x0bzwL37NwletTeBT-I-LiMfAqKUTHk/s700/ecc_et_cenco_salut_le_dialogue_direct_entre_kinshasa_et_m23_afc_13_mars_2025_jpg_700_456_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="456" data-original-width="700" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUNvtJh629YfhzDtrECsxHsG2Lfs9RZg7PQu8rckzwO7b-LirFT5e-eNmwZurn2eudpRrjMxjNA_s9dzGjrmMPd2diyMPu-UB2OQVQaODChe3wcM1HeD0XF-Q8jK5fN3n-FoeR6dnSWEtnGezVry3oKUBHXyQJ5x0bzwL37NwletTeBT-I-LiMfAqKUTHk/w434-h282/ecc_et_cenco_salut_le_dialogue_direct_entre_kinshasa_et_m23_afc_13_mars_2025_jpg_700_456_1.jpeg" width="434" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">L’Église du Christ au Congo (ECC) et la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) ont publié un communiqué ce jeudi 13 mars pour saluer l’initiative du président angolais, João Lourenço, visant à faciliter un dialogue direct entre les autorités congolaises et le groupe rebelle M23. Les deux institutions religieuses ont exprimé leur soutien à cette démarche, tout en appelant à un cessez-le-feu immédiat pour mettre fin aux souffrances des populations.</span></span><p></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Une initiative saluée par les Églises</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans leur communiqué, l’ECC et la Cenco ont félicité João Lourenço, également président en exercice de l’Union africaine, pour ses efforts en faveur de la paix en RDC et dans la région des Grands Lacs. « Nous saluons chaleureusement l’initiative du président Lourenço d’un dialogue direct entre les autorités congolaises et les responsables de l’AFC/M23 », ont-elles déclaré.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Les deux confessions religieuses ont également encouragé les chefs d’État de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) à soutenir pleinement ce processus de dialogue.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Un appel à la paix et à la collaboration</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">L’ECC et la Cenco ont exprimé leur gratitude envers les chefs d’État africains qui ont soutenu l’initiative du « Pacte social pour la paix et le bien-vivre ensemble en République démocratique du Congo et dans les Grands Lacs ». Elles ont appelé tous les acteurs concernés à saisir cette opportunité pour engager des négociations sincères et constructives.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">« Nous invitons les parties prenantes à s’investir sincèrement dans ce processus de paix, dans un esprit constructif, et à réunir urgemment les conditions d’un cessez-le-feu immédiat afin de mettre fin aux souffrances du peuple congolais », ont-elles insisté.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Un soutien à la mobilisation nationale</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans la foulée, l’ECC et la Cenco ont exhorté les acteurs politiques, les forces vives de la nation et l’ensemble du peuple congolais à soutenir activement le processus de dialogue en cours. Elles ont rappelé que la paix et la stabilité en RDC passent par une collaboration inclusive et un engagement collectif.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">« La paix est l’affaire de tous. Nous devons nous unir pour soutenir les efforts de dialogue et œuvrer ensemble à la construction d’un avenir meilleur pour notre pays », ont-elles déclaré.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Un contexte de tensions persistantes</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Cette initiative de dialogue intervient dans un contexte de tensions persistantes dans l’Est de la RDC, où le groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda selon plusieurs rapports internationaux, continue de semer la désolation. Les combats ont entraîné des déplacements massifs de populations, des destructions d’infrastructures et une crise humanitaire alarmante.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le président João Lourenço, en tant que médiateur désigné par l’Union africaine, joue un rôle clé dans les efforts de résolution du conflit. Son initiative de dialogue direct entre Kinshasa et le M23 représente une opportunité pour apaiser les tensions et ouvrir la voie à une solution durable.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le soutien de l’ECC et de la Cenco à l’initiative de João Lourenço souligne l’importance d’une approche inclusive et collaborative pour résoudre la crise dans l’Est de la RDC. Alors que les négociations se préparent, les appels à un cessez-le-feu immédiat et à une mobilisation collective pour la paix résonnent comme un message d’espoir pour les populations affectées.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">Dans les prochains jours, les parties prenantes devront faire preuve de bonne volonté et d’engagement pour concrétiser cette opportunité de dialogue et mettre fin à des décennies de violence et de souffrance.</span></p>

Politique L’ECC et la Cenco saluent l’initiative de dialogue entre Kinshasa et le M23 proposée par le président angolais

L’Église du Christ au Congo (ECC) et la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) ont publié un communiqué ce jeudi 13 mars pour salu...

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Lamuka dénonce l’absence des ministres dans leurs cabinets pour « plaire à Tshisekedi »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjw9HMBimXGIftgKEKCW45r-JjckjpBVFZVph49i8s4p7uBvcDZ-xAmBSDkg-s0Zuj7IMvJYp-umMYYgqCUZgBTPFl6Ku1jZnMCZRpBCY_0cOJv3BQHkjLUBGnvceKdoHQce02_NlipCQVQxjx4XMiwhIZSlkoJv1uCn93Vgpu8XtvYkE_-kGb87xkJ1R1q/s711/les_ministres_ont_deserte_leurs_cabinets_pour_plaire_a_tshisekedi_lamuka_epenge_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjw9HMBimXGIftgKEKCW45r-JjckjpBVFZVph49i8s4p7uBvcDZ-xAmBSDkg-s0Zuj7IMvJYp-umMYYgqCUZgBTPFl6Ku1jZnMCZRpBCY_0cOJv3BQHkjLUBGnvceKdoHQce02_NlipCQVQxjx4XMiwhIZSlkoJv1uCn93Vgpu8XtvYkE_-kGb87xkJ1R1q/w443-h295/les_ministres_ont_deserte_leurs_cabinets_pour_plaire_a_tshisekedi_lamuka_epenge_jpg_711_473_1.jpeg" width="443" /></a></div><p><br /></p><p><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">La coalition d’opposition Lamuka a vivement critiqué les membres du gouvernement congolais, accusant plusieurs ministres d’avoir déserté leurs cabinets pour se consacrer à des campagnes de mobilisation dans leurs provinces et territoires respectifs. Selon Lamuka, cette attitude traduit un abandon des responsabilités administratives au profit d’une quête de faveurs auprès du président Félix Tshisekedi.</span></span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Une critique acerbe de Lamuka</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Prince Epenge, porte-parole de Lamuka, a exprimé son désarroi face à cette situation lors d’une interview sur TOP CONGO FM. « Depuis deux mois, les Congolais constatent avec étonnement que plusieurs ministres de l’Union sacrée ont abandonné leurs bureaux et se sont lancés dans une compétition dans leurs provinces, soi-disant pour recruter des jeunes en faveur de l’armée. En réalité, ces ministres cherchent à plaire à Félix Tshisekedi pour garder leurs postes », a-t-il déclaré.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Epenge a également remis en question la légitimité de ces actions : « L’armée congolaise a-t-elle un problème de sous-effectif ? A-t-elle demandé à ses ministres de délaisser leurs bureaux pour s’occuper d’une tâche qui lui est dévolue ? L’armée a un mécanisme de recrutement des volontaires en son sein. »</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Une gestion publique en suspens</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Dans un contexte de guerre dans l’Est du pays et de crise sociale, Lamuka estime que les ministres devraient se concentrer sur leurs responsabilités administratives. « Les ministres devraient normalement rester dans leurs bureaux de 6h à 20h pour travailler pour la nation, mobiliser les recettes pour financer l’armée et payer les soldes des militaires. Hélas, ils font un travail qui n’est pas le leur », a déploré Prince Epenge.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le pouvoir se défend</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Du côté du pouvoir, les critiques de Lamuka sont rejetées. Eliezer Tambwe, député national, a défendu les ministres, affirmant qu’ils ne délaissent pas leurs postes mais travaillent davantage. « Ils sont au conseil des ministres, dans leurs bureaux, mais également sur le terrain pour sensibiliser la population à la prise de conscience face à la situation qui prévaut », a-t-il expliqué.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Tambwe a également souligné qu’aucune disposition légale n’interdit aux ministres de jouer un rôle de mobilisateur. « La situation actuelle nécessite l’adhésion populaire. Avant d’être ministres, ce sont des leaders d’opinion et des citoyens qui ont tout intérêt à défendre l’intégrité de leur territoire », a-t-il ajouté.</span></p><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;"><br /></span></h3><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Un débat qui divise</span></h3><div><span style="font-family: arial;"><br /></span></div><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Ce débat met en lumière les tensions politiques en RDC, où la guerre dans l’Est et les défis socio-économiques exigent une gestion rigoureuse et une mobilisation collective. Alors que Lamuka dénonce une gestion désorganisée et une quête de faveurs politiques, le pouvoir insiste sur la nécessité d’une implication totale des dirigeants dans la défense du territoire et la mobilisation des citoyens.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">Dans un contexte où la stabilité du pays est en jeu, la question de l’équilibre entre les responsabilités administratives et les missions de mobilisation reste au cœur des préoccupations. Les prochains mois seront déterminants pour évaluer l’efficacité de cette approche et son impact sur la gouvernance et la cohésion nationale.</span></p>

Politique Lamuka dénonce l’absence des ministres dans leurs cabinets pour « plaire à Tshisekedi »

La coalition d’opposition Lamuka a vivement critiqué les membres du gouvernement congolais, accusant plusieurs ministres d’avoir déserté leu...

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Jean-Marc Kabund s’annonce déjà à la présidentielle de 2028

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz9dwGnsCR_k5CLoUMLz4Cds3GDI7qi5x-KsWHxpqVakti39C8MCvUaU3qvunXpq4s5R4fCjuL7QU3hR20MsqzsR6Ek6IsgDqvBeq3TS4ESyoO8TtFw9ZuIHQ7jwKbH57FHkLCdT7crBRBdjamk_zXxwxtF7nchYpUsR-Jpka4m0GGLQl3RpNi-jvdUgFU/s711/jean_marc_kabund_sur_rfi_s_annonce_pour_la_presidentielle_2028_07_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="273" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz9dwGnsCR_k5CLoUMLz4Cds3GDI7qi5x-KsWHxpqVakti39C8MCvUaU3qvunXpq4s5R4fCjuL7QU3hR20MsqzsR6Ek6IsgDqvBeq3TS4ESyoO8TtFw9ZuIHQ7jwKbH57FHkLCdT7crBRBdjamk_zXxwxtF7nchYpUsR-Jpka4m0GGLQl3RpNi-jvdUgFU/w411-h273/jean_marc_kabund_sur_rfi_s_annonce_pour_la_presidentielle_2028_07_mars_2025_jpg_711_473_1.jpeg" width="411" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">L’opposant Jean-Marc Kabund, leader de l’Alliance pour le Changement, ne cache pas ses ambitions politiques. À peine sorti de prison, l’ancien chef du parti au pouvoir annonce déjà sa candidature à l’élection présidentielle de 2028. Dans une interview accordée à Radio France Internationale (RFI), il affirme vouloir prendre les rênes du pays et met en avant son expérience pour justifier sa démarche.</span><p></p><h3><span style="font-family: arial;">Une candidature déjà annoncée</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Jean-Marc Kabund n’hésite pas à critiquer ouvertement la gestion actuelle du pays sous l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Il estime que le régime de Félix Tshisekedi est en fin de cycle et doit céder la place à une nouvelle gouvernance en 2028. "Le régime Tshisekedi est finissant et doit laisser la place dès 2028", a-t-il déclaré sur les ondes de RFI.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ancien cadre influent de l’UDPS, Kabund rappelle qu’il avait déjà alerté sur les dérives de gestion et la prédation qui gangrènent le pays. Aujourd’hui, il estime que les faits lui donnent raison et veut incarner une alternative crédible. Il n’exclut pas une alliance avec Martin Fayulu et d’autres figures de l’opposition pour renforcer ses chances en 2028.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Rejet du gouvernement d’union nationale</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Alors que le président Tshisekedi envisage un gouvernement d’union nationale pour faire face aux crises multiples que traverse le pays, Jean-Marc Kabund rejette cette option. "Je ne suis ni preneur ni demandeur", a-t-il tranché fermement. Il insiste sur le fait que sa libération ne doit pas être perçue comme un compromis politique, balayant ainsi les rumeurs sur un éventuel marchandage avec le pouvoir.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Position sur le conflit avec le M23</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Jean-Marc Kabund s’exprime également sur la question de l’insécurité dans l’est du pays, notamment l’avancée des rebelles du M23 soutenus par le Rwanda. Il juge cette situation "inacceptable" et appelle la communauté internationale à faire pression sur Kigali pour le retrait de ses troupes. Il préconise un dialogue en deux temps : d’abord entre Kinshasa et Kigali sous l’égide de la communauté internationale, puis entre le gouvernement congolais et toutes les forces politiques et sociales, y compris le M23/AFC.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Kabund ne cache pas son intention de discuter directement avec Corneille Nangaa, chef rebelle du M23. "Si j’avais l’occasion d’avoir ses contacts, je l’appellerais et lui parlerais", a-t-il affirmé, insistant sur la nécessité de privilégier la voie du dialogue pour éviter de nouvelles effusions de sang.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Prêt à dialoguer avec Joseph Kabila</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Alors que certaines figures de l’opposition, notamment Jean-Pierre Bemba, s’attaquent à l’ancien président Joseph Kabila, Jean-Marc Kabund adopte une posture plus ouverte. Il estime que Kabila reste un acteur politique incontournable et ne voit "aucun inconvénient" à le rencontrer.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Interrogé sur une éventuelle discussion avec Félix Tshisekedi, il précise ne pas en avoir l’intention mais reste ouvert si le président en fait la demande.</span></p><h3><span style="font-family: arial;">Un acquittement judiciaire qui relance sa carrière</span></h3><p><span style="font-family: arial;">Jean-Marc Kabund avait été arrêté et incarcéré à la prison de Makala lors des troubles du 1er septembre 2024. Il affirme que ces événements ont fait 2000 morts et entraîné le viol de 400 femmes. Son avocat, Me Emmanuelli Kahaya, a tenu à préciser que son client n’a pas bénéficié d’une grâce présidentielle mais a été acquitté par la Cour de cassation le 21 février 2025.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Avec un casier judiciaire désormais vierge, Jean-Marc Kabund peut pleinement se concentrer sur son ambition politique. Sa candidature à la présidentielle de 2028 est donc officiellement lancée, marquant ainsi son retour sur la scène politique congolaise.</span></p><p></p>

Politique Jean-Marc Kabund s’annonce déjà à la présidentielle de 2028

L’opposant Jean-Marc Kabund, leader de l’Alliance pour le Changement, ne cache pas ses ambitions politiques. À peine sorti de prison, l’anci...

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Jean-Marc Kabund : “Le gouvernement d'union nationale ne résoudra rien du tout”

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYvRdRZdtj2m1bt4LwvTJWVDKaLRMATnEQ8ActBpsj0e7brtLcTTV8FoOQeeakXYOjpuZYlsoqC7u-L_FgU0dF2IF326Nipkt3rd4JqrZhi5tvLBR4R6SdpbWnKRs5AlXXR3NkeNxajtlS4Uoki1_0ar7K3739G2mBys-7V5aG_u7_CCFrkZDKoBT9oEPQ/s360/FB_IMG_1741253856883-360x180.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="180" data-original-width="360" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjYvRdRZdtj2m1bt4LwvTJWVDKaLRMATnEQ8ActBpsj0e7brtLcTTV8FoOQeeakXYOjpuZYlsoqC7u-L_FgU0dF2IF326Nipkt3rd4JqrZhi5tvLBR4R6SdpbWnKRs5AlXXR3NkeNxajtlS4Uoki1_0ar7K3739G2mBys-7V5aG_u7_CCFrkZDKoBT9oEPQ/w470-h235/FB_IMG_1741253856883-360x180.webp" width="470" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">L'opposant Jean-Marc Kabund exprime son scepticisme quant à l'efficacité du gouvernement d'union nationale envisagé par le président de la République, Félix Tshisekedi, pour faire face à la crise sécuritaire qui secoue la République démocratique du Congo (RDC).</span><p></p><p><span style="font-family: arial;">Lors d'une interview, Jean-Marc Kabund a tenu à préciser que sa récente libération après 30 mois de détention n'était pas le fruit d'un accord politique avec le pouvoir en place.</span></p><p><span style="font-family: arial;">“Je ne crois pas que ma libération soit l'objet d'un marchandage politique. J'ai été victime de persécutions politiques. Condamné à une peine de sept ans, j'ai passé 30 mois en prison. Cette injustice ne peut pas être réparée ainsi. Ma libération est plutôt le résultat d'une forte pression de la communauté internationale et de l'opinion nationale. Les Congolais étaient mécontents de mon arrestation. Face à cette pression, Tshisekedi a dû céder”, a-t-il affirmé.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Quant à la formation d'un gouvernement d'union nationale, Kabund reste convaincu qu'elle ne résoudra pas les problèmes du pays.</span></p><p><span style="font-family: arial;">“Tshisekedi est allé aux élections, il dit qu'il a gagné avec 73 % et s'est assuré une majorité de plus de 450 députés au Parlement. Pourquoi alors chercher à intégrer l'opposition dans son gouvernement ? Cela montre qu'il fait face à une crise de gouvernance. Pour moi, un tel gouvernement ne résoudra rien du tout”, a-t-il conclu.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces déclarations interviennent dans un contexte de tensions politiques et de crise sécuritaire persistante dans l'Est du pays, où les conflits armés continuent d'affecter les populations locales. L'opposition reste divisée quant à la pertinence d'une participation à un gouvernement d'union nationale, tandis que le pouvoir en place tente de rassembler un consensus pour faire face aux défis du pays.</span></p><p></p>

Politique Jean-Marc Kabund : “Le gouvernement d'union nationale ne résoudra rien du tout”

L'opposant Jean-Marc Kabund exprime son scepticisme quant à l'efficacité du gouvernement d'union nationale envisagé par le prési...

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Six ans après avoir quitté le pouvoir, Joseph Kabila, ancien président de la (RDC), fait un retour surprenant et calculé sur la scène politique congolaise

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_NAIviPTmCoZaadoDYYZ9lvCG_Dd8d-pCr_FTR83T9kaZzE6f98h9hyrHQP-uJKTB9AVsntQBTRniEVcjYo3933_ZbQWzThaLL8dArjg5mY9GFNeOx6O_55EJEG4mdFoi8vkk9RqtGbf7axDSl7GNk39-KByp0UvA8V3Z-HQI7HgOivBVWyhw8t5-gvZ/s275/images%20-%202025-03-05T214644.057.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="183" data-original-width="275" height="247" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_NAIviPTmCoZaadoDYYZ9lvCG_Dd8d-pCr_FTR83T9kaZzE6f98h9hyrHQP-uJKTB9AVsntQBTRniEVcjYo3933_ZbQWzThaLL8dArjg5mY9GFNeOx6O_55EJEG4mdFoi8vkk9RqtGbf7axDSl7GNk39-KByp0UvA8V3Z-HQI7HgOivBVWyhw8t5-gvZ/w371-h247/images%20-%202025-03-05T214644.057.jpeg" width="371" /></a></div><br /><span style="color: #404040; font-size: 16.002px;"><span style="font-family: arial;">Ce come-back, marqué par des apparitions publiques mystérieuses et des tournées dans plusieurs régions du pays, intervient dans un contexte politique et sécuritaire tendu, ravivant les tensions et les spéculations sur ses intentions réelles. Alors que le président Félix Tshisekedi tente de constituer un gouvernement d’union nationale pour faire face à la crise sécuritaire dans l’est du pays, le retour de Kabila brouille les cartes et relance les débats sur l’avenir politique de la RDC.</span></span><p></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Un retour stratégique dans un contexte tendu</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Joseph Kabila, qui a dirigé la RDC de 2001 à 2019, était resté largement en retrait de la scène politique depuis la passation de pouvoir à Félix Tshisekedi. Cependant, ses récentes apparitions publiques et ses déplacements dans plusieurs provinces ont relancé les discussions sur son rôle dans la politique congolaise. Considéré par Kinshasa comme « l’autorité morale » du groupe rebelle AFC/M23, Kabila est perçu comme une figure clé dans les équilibres politiques du pays.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Son retour intervient à un moment critique : le président Tshisekedi cherche à former un gouvernement inclusif pour faire face à la crise sécuritaire dans l’est de la RDC, où le groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda selon les autorités congolaises, continue de menacer la stabilité du pays. Cependant, le come-back de Kabila complique les efforts de Tshisekedi pour rassembler les forces politiques autour d’un projet commun.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Les blessures du passé : l’échec de la coalition FCC-CACH</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Kabila ravive les souvenirs de l’échec cuisant de la coalition FCC-CACH (Front commun pour le Congo - Cap pour le changement), formée en 2019 entre les partisans de Kabila et ceux de Tshisekedi. Cette alliance, censée incarner une transition harmonieuse après les élections de 2018, s’est rapidement effritée en raison de dissensions sur la répartition des postes et des accusations de mauvaise foi. Le limogeage progressif des proches de Kabila des institutions a creusé un fossé entre les deux camps, laissant des rancœurs durables.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Aujourd’hui, malgré les appels à l’union nationale lancés par Tshisekedi, les partisans de Kabila restent méfiants. Un cadre du FCC, sous couvert d’anonymat, a déclaré : « Nous ne sommes pas prêts à renouveler l’expérience d’une alliance avec Tshisekedi. Les promesses non tenues et les trahisons ont érodé toute confiance. » Cette méfiance mutuelle complique les efforts pour former un gouvernement inclusif capable de faire face aux défis sécuritaires et politiques du pays.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Kabila, un stratège en quête de légitimité ?</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Kabila est perçu par beaucoup comme une manœuvre stratégique. Proche de l’ancien chef de l’État, un cadre du FCC a confié : « Kabila écoute, observe, mais ne s’engage pas. Il sait que sa seule présence déstabilise le pouvoir en place. » Cette prudence contraste avec l’urgence affichée par Kinshasa, qui cherche à élargir sa base politique pour contrer l’offensive du M23.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Kabila conserve un réseau influent, notamment au sein de l’armée, de l’appareil sécuritaire et dans certaines provinces clés. Ses récentes tournées sont interprétées comme des tentatives de réaffirmer son influence et de tester sa capacité à mobiliser ses partisans. Pour certains observateurs, il s’agit d’une stratégie de long terme visant à repositionner Kabila comme une figure incontournable de la politique congolaise.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Les défis de Tshisekedi : naviguer entre ouverture et autorité</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le président Tshisekedi se trouve dans une position délicate. D’un côté, il doit faire face à la crise sécuritaire dans l’est du pays, où le M23 continue de menacer la stabilité régionale. De l’autre, il doit gérer le retour de Kabila, qui complique ses efforts pour former un gouvernement d’union nationale. Les appels à l’apaisement et à l’inclusion lancés par Tshisekedi se heurtent à la méfiance des partisans de Kabila, qui exigent des « garanties incontestables » avant de s’engager dans une nouvelle alliance.</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Pour ses détracteurs, Kabila incarne un « obstacle à l’unité » nationale. Pour ses partisans, il reste un « recours » dans un pays en quête de stabilité. Cette polarisation rend difficile toute tentative de réconciliation politique, alors que la RDC traverse une période critique de son histoire.</span></p><hr style="border: none; color: #404040; font-size: 16.002px; height: 1px; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;" /><h3 style="color: #404040; font-size: calc(var(--ds-md-zoom)*16px); font-weight: var(--ds-font-weight-strong); line-height: 1.5; margin: calc(var(--ds-md-zoom)*16px)0 calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><strong><span style="font-family: arial;">Quel avenir pour le dialogue politique ?</span></strong></h3><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin: calc(var(--ds-md-zoom)*12px)0;"><span style="font-family: arial;">Le retour de Joseph Kabila pose la question de l’avenir du dialogue politique en RDC. Alors que Kinshasa tente de rallier toutes les forces vives pour faire face à la crise dans l’est du pays, le silence de Kabila devient un sujet d’irritation. Est-ce une manœuvre de pression, un prélude à une nouvelle alliance, ou simplement l’ultime chant du cygne d’un ancien chef d’État en quête de légitimité ?</span></p><p style="color: #404040; font-size: 16.002px; line-height: var(--ds-md-line-height); margin-bottom: 0px !important;"><span style="font-family: arial;">La réponse à cette question dépendra en grande partie de l’évolution de la situation sécuritaire et politique dans les mois à venir. Une chose est sûre : le retour de Kabila ajoute une nouvelle dimension à la complexité de la crise congolaise, où le passé et le présent ne cessent de s’entrechoquer. Dans cette partie d’échecs politique, chaque mouvement est scruté, et l’avenir de la RDC reste incertain.</span></p>

Politique Six ans après avoir quitté le pouvoir, Joseph Kabila, ancien président de la (RDC), fait un retour surprenant et calculé sur la scène politique congolaise

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Réforme Judiciaire : Trois Hauts Magistrats Prêtent Serment Devant le Président Tshisekedi

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1mTkPxoDIE2QjV-hWtPOM4xdQEXahK7FCoXtvm6mWYGxwpzI4wOhgf-IcVMyPoS76n-CqTOE29F829HQjROuoXB2B8ylvKkl2AIu_CkLwVBMn7VEyXcW5bkl9bIHieA2FoYNRE1L2amCwNR3LnvIJNMHh5RqU31lzkGt0nS2SJa954s6nVC23gd1Xe_o5/s2048/GjmkSWAX0AEKZdT.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1126" data-original-width="2048" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1mTkPxoDIE2QjV-hWtPOM4xdQEXahK7FCoXtvm6mWYGxwpzI4wOhgf-IcVMyPoS76n-CqTOE29F829HQjROuoXB2B8ylvKkl2AIu_CkLwVBMn7VEyXcW5bkl9bIHieA2FoYNRE1L2amCwNR3LnvIJNMHh5RqU31lzkGt0nS2SJa954s6nVC23gd1Xe_o5/w400-h220/GjmkSWAX0AEKZdT.jpg" width="400" /></a></div><br /><p></p><p><br /></p><p>Le mercredi 12 février 2025, la salle des Congrès du Palais de la Nation à Kinshasa a été le théâtre d'une cérémonie solennelle : la prestation de serment des nouveaux hauts magistrats du Conseil d'État. En présence du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, et de nombreuses personnalités politiques et judiciaires, Mme Brigitte Nsensele wa Nsensele (Première présidente), M. Jean-Paul Mukolo Nkokesha (Procureur général) et Mme Rose Mutombo Kiese (Premier avocat général) ont officiellement pris leurs fonctions.</p><br /><p></p><p data-end="920" data-start="578">Après avoir prêté serment, les nouveaux animateurs du Conseil d'État ont signé le procès-verbal de la cérémonie aux côtés du Directeur de cabinet du Chef de l'État. Le Président Tshisekedi, en sa qualité de Magistrat suprême, a pris acte de leurs engagements et leur a adressé ses sincères félicitations. <span class="" data-state="closed"></span></p><br /><p></p><p data-end="1316" data-start="922">Le Conseil d'État, institué par l'article 154 de la Constitution de la République Démocratique du Congo, est la plus haute juridiction de l'ordre administratif. Créé par ordonnance présidentielle en juin 2018, il joue un rôle essentiel dans l'État de droit en tranchant les litiges entre les citoyens, les entreprises, les associations et l'administration. <span class="" data-state="closed"></span></p><br /><p></p><p data-end="1551" data-start="1318">Cette cérémonie marque une étape importante dans le renforcement des institutions judiciaires du pays, avec l'entrée en fonction de ces hauts magistrats déterminés à servir la justice et à garantir le respect des droits des citoyens.</p> <iframe width="736" height="414" src="https://www.youtube.com/embed/Nl0X8ZDdHXs" title="Le Chef de l’État a pris acte de la prestation de serment de nouveaux animateurs du conseil d’état" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe>

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Justice : Prestation de serment de nouveaux membres de la Cour constitutionnelle

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAgGej7jyqML0fZnGfROLiCL9q0qCY_Sy85bJ0ozH7StkUEj6p0XlF7zSKstDbY8iaqQuflDRUwR7TkhKj3BghN-Sp49JcQX8w8XbSXynpIgU8nBeDauRYYMdI3U5LgNPYiaE4l0EsM-fd9SsYTVX2jaVbvpbexq0Edvwlo8MIBh6AVjSvmUQrzSuzZt2/s2048/GjhFU_aWkAAsteo.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1164" data-original-width="2048" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAgGej7jyqML0fZnGfROLiCL9q0qCY_Sy85bJ0ozH7StkUEj6p0XlF7zSKstDbY8iaqQuflDRUwR7TkhKj3BghN-Sp49JcQX8w8XbSXynpIgU8nBeDauRYYMdI3U5LgNPYiaE4l0EsM-fd9SsYTVX2jaVbvpbexq0Edvwlo8MIBh6AVjSvmUQrzSuzZt2/w400-h228/GjhFU_aWkAAsteo.jpg" width="400" /></a></div><br />Ce mardi, une session extraordinaire du Parlement a été convoquée pour assister à la prestation de serment du Procureur général près la Cour constitutionnelle et de deux nouveaux juges de cette institution. La cérémonie s'est déroulée en présence du Président de la République, du Sénat, de l'Assemblée nationale et du Conseil supérieur de la magistrature, représenté par son bureau.<p></p><p data-sourcepos="7:1-7:46">Les personnalités qui ont prêté serment sont :</p><ul data-sourcepos="9:1-12:0"> <li data-sourcepos="9:1-9:68">M. Moke Mayele, Procureur général près la Cour constitutionnelle</li> <li data-sourcepos="10:1-10:86">Mme Marthe Odio Nonde, membre de la Cour constitutionnelle (composante Présidence)</li> <li data-sourcepos="11:1-12:0">M. Aristide Kahindo Nguru, membre de la Cour constitutionnelle (composante Parlement)</li> </ul><p data-sourcepos="13:1-13:110">Ces nominations font suite à une série d'ordonnances signées par le Chef de l'État en date du 13 janvier 2025.</p><p data-sourcepos="15:1-15:238">Le Président de la République a pris acte de leurs prestations de serment et les a chaleureusement félicités. Les trois assermentés ont ensuite signé le procès-verbal de la cérémonie, en présence du Directeur de cabinet du Chef de l'État.</p><h3 data-sourcepos="17:1-17:44">Composition de la Cour constitutionnelle</h3><p data-sourcepos="19:1-19:140">La Cour constitutionnelle est composée de neuf membres, nommés pour un mandat de neuf ans non renouvelable. La composition est la suivante :</p><ul data-sourcepos="21:1-24:0"> <li data-sourcepos="21:1-21:56">3 membres désignés par le Président de la République</li> <li data-sourcepos="22:1-22:56">3 membres désignés par le Parlement réuni en congrès</li> <li data-sourcepos="23:1-24:0">3 membres désignés par le Conseil supérieur de la magistrature</li> </ul><p data-sourcepos="25:1-25:147">Cette composition est conforme à la Loi organique n° 13/026 du 15 octobre 2013 portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle.</p><h3 data-sourcepos="27:1-27:37">Rôle de la Cour constitutionnelle</h3><p data-sourcepos="29:1-29:161">La Cour constitutionnelle est la plus haute juridiction de la République démocratique du Congo en matière constitutionnelle. Elle est notamment compétente pour :</p><ul data-sourcepos="31:1-34:0"> <li data-sourcepos="31:1-31:77">Le contrôle de la constitutionnalité des lois et des actes réglementaires</li> <li data-sourcepos="32:1-32:66">Le règlement des conflits de compétence entre les institutions</li> <li data-sourcepos="33:1-34:0">Le contentieux des élections présidentielles et législatives</li> </ul><p data-sourcepos="35:1-35:218">La prestation de serment de ces nouveaux membres est un événement important pour la justice en République démocratique du Congo, car elle assure le bon fonctionnement de cette institution essentielle à l'État de droit.</p><p data-sourcepos="37:1-37:83">N'hésitez pas à me solliciter si vous souhaitez d'autres informations sur ce sujet.</p>

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Joseph Kabila invité à l’investiture de Donald Trump le 20 janvier aux États-Unis

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2nA5pTmShYi2nIrxRMr8V4-Me4jqqYWMVlCyVftJ0KZckJyg_GHZAgWMS_VCmitduX2gokscx3mKn3-oEuI3lFDZCW6iqJisHdE9trqe-7zVoGTWJfJ8AW7Wo988JT7OJgmtU9wRvPckp7z5XOshvSZkmEz2EuXsg11_PENdFUn8-2Ni_LjWuqLBLTkH5/s800/InCollage_20250114_091358667.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2nA5pTmShYi2nIrxRMr8V4-Me4jqqYWMVlCyVftJ0KZckJyg_GHZAgWMS_VCmitduX2gokscx3mKn3-oEuI3lFDZCW6iqJisHdE9trqe-7zVoGTWJfJ8AW7Wo988JT7OJgmtU9wRvPckp7z5XOshvSZkmEz2EuXsg11_PENdFUn8-2Ni_LjWuqLBLTkH5/s320/InCollage_20250114_091358667.webp" width="320" /></a></div><p></p><p><span style="font-family: arial;">L’ancien président de la République démocratique du Congo (<strong>RDC</strong>), <strong>Joseph Kabila</strong>, figure parmi les invités triés sur le volet pour assister à la cérémonie d’investiture de <strong>Donald Trump</strong>, prévue le lundi <strong>20 janvier</strong> à Washington. Cette invitation marque une dérogation à la tradition américaine, où les chefs d’État ou de gouvernement étrangers ne sont habituellement pas conviés à cet événement.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une initiative personnelle de Donald Trump</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon des sources proches de l’administration Trump, cette cérémonie revêt un caractère particulier, avec une liste restreinte de personnalités internationales soigneusement choisies par le président élu.</span></p><p><span style="font-family: arial;"><strong>Joseph Kabila</strong>, actuellement aux États-Unis, a été aperçu lors de plusieurs rencontres informelles en marge de l'événement. Parmi ces moments, une soirée en tête-à-tête avec <strong>Elon Musk</strong>, le milliardaire à la tête de Tesla et SpaceX, a particulièrement attiré l’attention. Musk, décrit comme un proche de Donald Trump, pourrait avoir joué un rôle dans la facilitation de cette rencontre.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Autres personnalités internationales invitées</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Outre Joseph Kabila, plusieurs autres dirigeants et personnalités internationales ont reçu leur carton d’invitation :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Xi Jinping</strong>, président chinois, aurait décliné l’invitation.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Giorgia Meloni</strong>, cheffe du gouvernement italien, et <strong>Viktor Orbán</strong>, Premier ministre hongrois, sont attendus à Washington.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Javier Milei</strong>, président argentin, et <strong>Nayib Bukele</strong>, président salvadorien, ont également confirmé leur présence.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Jair Bolsonaro</strong>, ancien président brésilien, souvent comparé à Trump pour ses positions populistes, figure également parmi les invités.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Signification politique et diplomatique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La présence de Joseph Kabila à cet événement pourrait refléter une stratégie visant à renforcer les relations entre les États-Unis et certains pays africains, en particulier la RDC. Ce geste pourrait également s’inscrire dans une tentative de Donald Trump de diversifier les alliances internationales et de mettre en avant des figures influentes sur la scène mondiale.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Pour l’ancien président congolais, cette invitation pourrait offrir une opportunité de redorer son image à l’international, tout en réaffirmant son rôle comme une figure politique importante.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un événement sous les projecteurs</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La cérémonie d’investiture du 20 janvier s’annonce comme un moment fort, non seulement pour la politique américaine, mais aussi pour la diplomatie internationale. La présence de figures influentes, dont Joseph Kabila, témoigne de la volonté de Donald Trump de rompre avec les conventions et de créer un événement à la hauteur de ses ambitions personnelles et politiques.</span></p>

Politique Joseph Kabila invité à l’investiture de Donald Trump le 20 janvier aux États-Unis

  L’ancien président de la République démocratique du Congo ( RDC ), Joseph Kabila , figure parmi les invités triés sur le volet pour assist...

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Félix Tshisekedi réorganise l’appareil judiciaire avec des nominations clés

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2h9X9O5GN_FfzEoDiodBFHod9ZpKZYQX8N5n0sjTxSc6dbpUDwRyJqiXMmv_XFm7RdMYeASdeyEFrcDN-BT8CF_8AYGlrK5QwrLOWnYFofvZ5gpyLJI1CvqPKS6FdCcnaDws3Tcx5FLTwdNzdoR1eENlcHKB5S_GDKsc9_o6DNIFqj7QbIcrA_SZaU3ZB/s1080/078b86af-dc23-4224-b0f5-7e7be1ec1165.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="718" data-original-width="1080" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2h9X9O5GN_FfzEoDiodBFHod9ZpKZYQX8N5n0sjTxSc6dbpUDwRyJqiXMmv_XFm7RdMYeASdeyEFrcDN-BT8CF_8AYGlrK5QwrLOWnYFofvZ5gpyLJI1CvqPKS6FdCcnaDws3Tcx5FLTwdNzdoR1eENlcHKB5S_GDKsc9_o6DNIFqj7QbIcrA_SZaU3ZB/s320/078b86af-dc23-4224-b0f5-7e7be1ec1165.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Le président de la République, <strong>Félix Tshisekedi</strong>, poursuit sa volonté affichée de réformer l’appareil judiciaire de la République démocratique du Congo (RDC) en ce début de son <strong>deuxième mandat constitutionnel</strong>. Le jeudi <strong>16 janvier 2025</strong>, le chef de l’État a procédé à plusieurs nominations importantes, notamment à la <strong>Cour constitutionnelle</strong> et dans d’autres institutions stratégiques.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Deux nouveaux membres à la Cour constitutionnelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Félix Tshisekedi a nommé deux nouveaux membres pour renforcer la <strong>Cour constitutionnelle</strong> :</span></p><ol><li><span style="font-family: arial;"><strong>Madame Odio Nonde Marthe</strong> (issue de la composante Présidence).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Monsieur Kayindo Nguru Aristide</strong> (issu de la composante Parlement).</span></li></ol><p><span style="font-family: arial;">Ces nominations s’inscrivent dans la démarche de renouvellement des institutions judiciaires pour garantir une justice indépendante et efficace.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Remaniement au Conseil d’État</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le président a également apporté des changements significatifs au <strong>Conseil d’État</strong> :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Mme Odio Nonde Marthe</strong>, jusque-là Première Présidente du Conseil d’État, a été mise à la retraite.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Nsensele Wa Nsele</strong> a été nommé Première Présidente du Conseil d’État.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Jean-Pierre Mukolo</strong> a été désigné Procureur général près le Conseil d’État.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Nouvelles nominations au sein du ministère public</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour renforcer le ministère public :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Moke Mayele</strong> a été nommé Procureur général près la Cour constitutionnelle.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Réformes dans les entreprises publiques</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Outre le secteur judiciaire, des nominations ont également eu lieu dans des entreprises stratégiques, notamment :</span></p><ul><li><span style="font-family: arial;"><strong>Congo Airways</strong> (Nouvelle compagnie d’aviation).</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Société nationale d’électricité (SNEL)</strong>.</span></li><li><span style="font-family: arial;"><strong>Afridex</strong>, une entreprise clé dans le secteur énergétique et extractif.</span></li></ul><h3><strong><span style="font-family: arial;">Vers une nouvelle ère judiciaire et institutionnelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Ces réformes marquent un engagement clair de Félix Tshisekedi pour moderniser l’appareil judiciaire, renforcer l’État de droit et promouvoir la transparence. Le renouvellement des postes clés dans les institutions judiciaires et les entreprises publiques s’inscrit dans une stratégie plus large visant à impulser une gouvernance plus efficace et inclusive.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Ces nominations sont également perçues comme une manière d’assurer un meilleur équilibre des pouvoirs et de répondre aux attentes des citoyens en matière de justice et de services publics.</span></p>

Politique Félix Tshisekedi réorganise l’appareil judiciaire avec des nominations clés

Le président de la République, Félix Tshisekedi , poursuit sa volonté affichée de réformer l’appareil judiciaire de la République démocratiq...

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Probable rencontre entre Joseph Kabila et Martin Fayulu : Lamuka confirme la disponibilité de son leader

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmC121dwKg5RLNOqciuZXAjcudPdwkF7YGrxx16ku0UOrHL7YdFXDsJx0yGEArhwvkp4ulAXbWXC92lGOspYDjQhLzQZ56AhLhtSo7TKUg5YBJ1ss8AznXhQnl0VDGhajLNta2q_8iCsnR79yuYiZL4CgNLM3QGmJxxROMlEZaX6DyvgTo9TLttptjS8-J/s711/probable_rencontre_kabila_et_fayulu_lamuka_rassure_sur_la_disponibilite_de_son_leader_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmC121dwKg5RLNOqciuZXAjcudPdwkF7YGrxx16ku0UOrHL7YdFXDsJx0yGEArhwvkp4ulAXbWXC92lGOspYDjQhLzQZ56AhLhtSo7TKUg5YBJ1ss8AznXhQnl0VDGhajLNta2q_8iCsnR79yuYiZL4CgNLM3QGmJxxROMlEZaX6DyvgTo9TLttptjS8-J/s320/probable_rencontre_kabila_et_fayulu_lamuka_rassure_sur_la_disponibilite_de_son_leader_jpg_711_473_1.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">La République démocratique du Congo (RDC) pourrait bientôt assister à une rencontre historique entre l’ancien président <strong>Joseph Kabila</strong>, autorité morale du <strong>Front Commun pour le Congo (FCC)</strong>, et <strong>Martin Fayulu</strong>, leader de l’opposition et figure emblématique de la coalition <strong>Lamuka</strong>. Cette perspective a été évoquée par <strong>Prince Epenge</strong>, cadre influent de Lamuka, qui a réaffirmé la volonté de Fayulu de dialoguer avec tout Congolais dans l’intérêt de l’unité nationale et de la cohésion sociale.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un dialogue pour la nation</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon Prince Epenge, Martin Fayulu est prêt à engager des discussions avec toutes les forces politiques et sociales afin de préserver la stabilité institutionnelle et de lutter contre les projets de changement constitutionnel, perçus comme une menace à la démocratie. « Il s’agit de la vie de la Nation », a-t-il déclaré sur <strong>Top Congo FM</strong>, insistant sur l’urgence de fédérer les énergies pour contrer les ambitions du camp au pouvoir.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une opposition stratégique et unie</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Cette éventuelle rencontre entre Kabila et Fayulu s’inscrit dans une dynamique récente de rapprochements entre les acteurs clés de l’opposition. Il y a quelques jours, Joseph Kabila a également rencontré <strong>Moïse Katumbi</strong>, ancien gouverneur de l’ex-Grand Katanga et figure de proue de l’opposition. Les deux leaders ont exprimé leur détermination à conjuguer leurs efforts pour barrer la route à toute tentative de réforme constitutionnelle.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Lamuka et la présidentielle de 2018</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Malgré ces ouvertures au dialogue, la coalition Lamuka maintient ses revendications concernant l’élection présidentielle de 2018, dont elle continue à contester les résultats officiels. Martin Fayulu revendique toujours la victoire de ces scrutins, marqués par une controverse autour des résultats annoncés.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un enjeu crucial pour l’avenir politique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">La perspective d’une rencontre entre Martin Fayulu et Joseph Kabila, deux figures aux parcours politiques contrastés, suscite beaucoup d’intérêt dans l’arène politique congolaise. Si elle se concrétise, cette rencontre pourrait marquer un tournant dans les alliances et les stratégies de l’opposition en RDC, alors que le pays se prépare à d’importantes échéances électorales.</span></p><p><span style="font-family: arial;">En attendant, Lamuka réaffirme son engagement pour une opposition unie et stratégique, déterminée à défendre la démocratie et l’intégrité constitutionnelle de la RDC.</span></p>

Politique Probable rencontre entre Joseph Kabila et Martin Fayulu : Lamuka confirme la disponibilité de son leader

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RDC : Joseph Kabila reste dans l’ombre mais prêt à agir, selon Raymond Tshibanda (FCC)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjM2gxHCt9WjGkPKI6YniL88K_fZcghWkFozKDziFNrTyc0dC3YOrP8iE8hhdGPO0ozKVScHWK_y1TJHHea5TncsEkxw0VZDR5YGWI1DWHQd4-JXm7sw5f34ACtm2J7vxUy8OHfCyC5ZQmCwXNp2_RggOPQTwD2d2l9YL4EDc9bDc9CVbmZNjKXkMSWyFw9/s600/86ff38f2-88e6-4597-aa8f-57fdc897a921.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="330" data-original-width="600" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjM2gxHCt9WjGkPKI6YniL88K_fZcghWkFozKDziFNrTyc0dC3YOrP8iE8hhdGPO0ozKVScHWK_y1TJHHea5TncsEkxw0VZDR5YGWI1DWHQd4-JXm7sw5f34ACtm2J7vxUy8OHfCyC5ZQmCwXNp2_RggOPQTwD2d2l9YL4EDc9bDc9CVbmZNjKXkMSWyFw9/s320/86ff38f2-88e6-4597-aa8f-57fdc897a921.jpeg" width="320" /></a></div><br /><p></p><p><span style="font-family: arial;">Lors de la commémoration de la Journée des Martyrs de l'Indépendance ce 4 janvier, Raymond Tshibanda, coordonnateur de la cellule de crise du <strong>Front Commun pour le Congo (FCC)</strong> et proche de Joseph Kabila, a affirmé que l’ancien président n’a pas pris sa retraite politique. Dans une déclaration empreinte de symbolisme, Tshibanda a réitéré que Joseph Kabila reste un acteur clé, prêt à intervenir dans l’avenir politique du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une figure toujours présente</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Rappelant les mots de Kabila en janvier 2019, lorsqu’il avait déclaré : <em>« Avec votre concours, j’ai fait ma part, pour l’heure »</em>, Tshibanda a précisé que ces paroles n’étaient pas une abdication, mais plutôt une indication d’un retrait temporaire. Il a poursuivi en déclarant :</span></p><blockquote><p><em><span style="font-family: arial;">« Ceux qui prennent le taiseux pour un muet et donnent le lion au repos pour mort se détrompent. »</span></em></p></blockquote><p><span style="font-family: arial;">Pour Tshibanda, surnommant Kabila "le Raïs", l’ancien président reste une force politique prête à relever les défis que traverse la RDC.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à la résistance contre la « dictature »</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son discours, Raymond Tshibanda a également dénoncé ce qu’il appelle une <strong>"dictature tribalo-politique"</strong>, qu’il accuse de restreindre les libertés fondamentales des citoyens. Il a exhorté la population congolaise à suivre l'exemple des Martyrs de l’Indépendance de 1959, en affirmant :</span></p><ul><li><em><span style="font-family: arial;">« Notre devoir est de nous dresser résolument contre la dictature. Transformons chaque foyer en cellule de résistance. »</span></em></li></ul><p><span style="font-family: arial;">Cet appel intervient dans un contexte politique tendu, où l’opposition, notamment le FCC, accuse l’administration de Félix Tshisekedi d’autoritarisme et de mauvaise gouvernance.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Discrétion publique de Joseph Kabila</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Depuis son départ de la présidence en janvier 2019, Joseph Kabila s’est fait rare dans les débats publics, préférant se consacrer à des activités privées, notamment dans sa ferme de Kingakati. Cependant, ses proches, à travers le FCC, continuent d’entretenir son héritage politique et de mobiliser ses partisans.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une opposition en quête de renouveau</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Le FCC, coalition politique dirigée par Kabila, a vu son influence diminuer depuis la fin de son mandat présidentiel. Néanmoins, Tshibanda et d’autres figures du FCC tentent de repositionner le mouvement comme une force d’opposition capable de jouer un rôle majeur dans les échéances électorales futures.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Conclusion</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Alors que Raymond Tshibanda appelle à la résistance face à ce qu'il qualifie de "dictature tribalo-politique", ses propos visent aussi à rassurer la base du FCC et à réaffirmer la présence de Joseph Kabila comme un acteur politique influent. Dans un contexte de polarisation politique croissante en RDC, le retour potentiel de l'ancien président sur le devant de la scène pourrait redéfinir les dynamiques politiques du pays. </span></p>

Politique RDC : Joseph Kabila reste dans l’ombre mais prêt à agir, selon Raymond Tshibanda (FCC)

Lors de la commémoration de la Journée des Martyrs de l'Indépendance ce 4 janvier, Raymond Tshibanda, coordonnateur de la cellule de cri...

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Jean Claude Tshilumbay en visite sur KMC TV : Encouragement à la jeunesse et aux bonnes valeurs ( ARTICLE + VIDEO )

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGdI7fffjBF64_7-k3i_uHSrvV9RQGgijnEnLa-ZjNzpivqQiBSvLeFXHWmPP8HOgVrdyhIaUnXyxOSUQzoOrm7uPvxP34nHvpf07AJGIyqX7373NgQ3STiDStrhkkSgy6SfrqYbeLlX_x-_bae6cSrNOYQ03HVvzRApQyA0u8CydL5T6vVwCV-TBhyphenhyphen9Kz/s1120/Snapshot_427.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="630" data-original-width="1120" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGdI7fffjBF64_7-k3i_uHSrvV9RQGgijnEnLa-ZjNzpivqQiBSvLeFXHWmPP8HOgVrdyhIaUnXyxOSUQzoOrm7uPvxP34nHvpf07AJGIyqX7373NgQ3STiDStrhkkSgy6SfrqYbeLlX_x-_bae6cSrNOYQ03HVvzRApQyA0u8CydL5T6vVwCV-TBhyphenhyphen9Kz/w400-h225/Snapshot_427.jpg" width="400" /></a></div><br /><p></p><h3><br /></h3> <p><strong>Kinshasa, le 05/01/2024</strong> – KMC TV (Kyria Medias Channel), la chaîne de télévision dédiée à la jeunesse et aux bonnes valeurs, a eu l’honneur de recevoir la visite de l’honorable Jean Claude Tshilumbay, Premier Vice-Président de l’Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo. Cette rencontre a marqué un moment fort pour cette plateforme médiatique en pleine expansion, incarnant les aspirations de toute une génération.</p> <p><strong>Un message d’encouragement à la jeunesse entreprenante</strong><br /> Lors de sa visite, Jean Claude Tshilumbay a exprimé son admiration pour l’effort consenti par KMC TV (Kyria Medias Channel) et son fondateur, <strong>Christian Lumu Lukusa</strong>, président de la Ligue des Jeunes de l’UDPS, parti au pouvoir en République Démocratique du Congo. « Je suis ici pour visiter cette merveilleuse chaîne de télévision et encourager l’entrepreneuriat. Cette initiative répond parfaitement à l’appel de Son Excellence Monsieur le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui invite les jeunes à saisir les opportunités du moment pour bâtir un pays qui crée de l’emploi et s’émancipe, » a-t-il déclaré.</p> <p>L’honorable a salué la vision et le travail acharné de l’équipe de KMC TV (Kyria Medias Channel), en les qualifiant de modèle à suivre pour les jeunes congolais. Il a également rappelé l’importance de telles initiatives pour renforcer la démocratie et les valeurs patriotiques au sein du pays.</p> <iframe width="1003" height="564" src="https://www.youtube.com/embed/bGTPJYnQop0" title="" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe> <p><strong>Des vœux pour la RDC et un soutien appuyé à KMC TV</strong><br /> Jean Claude Tshilumbay a profité de l’occasion pour adresser ses meilleurs vœux à Son Excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et à son épouse, Denise Nyakeru Tshisekedi, tout en partageant un message de solidarité avec les populations de l’Est du pays. « Mes pensées vont à tous ceux qui se battent contre l’agresseur rwandais et à nos compatriotes en difficulté. Nous devons rester unis et déterminés face aux défis qui nous attendent, » a-t-il affirmé.</p> <p>L’honorable a aussi rendu hommage à ses collègues enseignants, avocats, et députés, en les exhortant à continuer de lutter pour le bien-être et la prospérité de la nation.</p> <p><strong>Une reconnaissance marquée pour KMC TV</strong><br /> Jean Claude Tshilumbay a annoncé avec enthousiasme sa participation à la première émission inaugurale de la chaîne, prévue la semaine prochaine, témoignant de son soutien indéfectible à ce projet. « Je félicite <strong>Christian Lumu Lukusa</strong> et toute son équipe pour cette œuvre remarquable. Je me porte garant pour accompagner cette activité afin que cette chaîne devienne une référence nationale et contribue à la consolidation de notre démocratie naissante, » a-t-il assuré.</p> <p><strong>Un avenir prometteur pour KMC TV</strong><br /> KMC TV (Kyria Medias Channel), qualifiée de « télévision de la jeunesse et des bonnes valeurs », s’impose comme une nouvelle voix inspirante pour la jeunesse congolaise. Grâce à cette reconnaissance institutionnelle, la chaîne renforce son engagement à promouvoir l’entrepreneuriat, l’excellence, et la citoyenneté responsable.</p> <p><strong>Retrouvez KMC TV sur plusieurs plateformes :</strong></p> <ul> <li><strong>TNT :</strong> Fréquence 546 et Canal 37</li> <li><strong>Application BLEU OTT :</strong> Canal numéro 873</li> </ul> <p><strong>Pour nous contacter :</strong></p> <ul> <li><strong>Téléphone :</strong> +243 991 501 845</li> <li><strong>WhatsApp :</strong> +33 6 05 74 21 91</li> <li><strong>Facebook :</strong> <a href="#">KMC Kyria Média Channel</a></li> </ul> <p><strong>Adresse :</strong><br /> Boulevard du 30 Juin n°144, Immeuble FINI-ONE, 7ème étage<br /> (Between Batetela et Royal)</p> <p>Avec de tels soutiens, KMC TV (Kyria Medias Channel) est bien partie pour devenir un pilier de l’éducation civique et culturelle en République Démocratique du Congo. Bravo à l’équipe et bon vent à cette chaîne porteuse d’espoir pour tout un peuple !</p>

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  Kinshasa, le 05/01/2024  – KMC TV (Kyria Medias Channel), la chaîne de télévision dédiée à la jeunesse et aux bonnes valeurs, a eu l’honn...

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ABRAHAM LWAKABWANGA EN VISITE À KMC : UN HOMMAGE AU PROFESSIONALISME ET AUX VALEURS DE LA CHAÎNE ( ARTICLE + VIDEO )

<div class="separator"><div class="separator" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgeXdHAGV7lPY1_-J0hKKjWpaeX5gufQDOu4j1qgHO2oObAH8o0RwWzIXrI25fjDC5jz_DQRwBS4YLna9w1uEHbFJOa6PDNYHuU3KBnCfgc9Yd3R-_-XI20jIZtL3inkCi_jccA1Fl1fbf-unM2NilFGIAZQydPGrztwk6ku63zJteKIqtonwBTkOCOirJB" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" data-original-height="635" data-original-width="1122" height="181" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgeXdHAGV7lPY1_-J0hKKjWpaeX5gufQDOu4j1qgHO2oObAH8o0RwWzIXrI25fjDC5jz_DQRwBS4YLna9w1uEHbFJOa6PDNYHuU3KBnCfgc9Yd3R-_-XI20jIZtL3inkCi_jccA1Fl1fbf-unM2NilFGIAZQydPGrztwk6ku63zJteKIqtonwBTkOCOirJB" width="320" /></a></div></div><p><strong><br /></strong></p><p></p><br /><br /><br /><strong><br /><br />KINSHASA</strong> - Le boulevard du 30 Juin a été témoin d’une rencontre mémorable ce week-end, alors que <strong>Abraham Lwakabwanga</strong>, figure emblématique des médias et acteur politique de premier plan, a honoré de sa présence la chaîne <b><span style="color: #3d85c6;"><a href="https://www.youtube.com/@KMCkyriamediaschannel" rel="nofollow" target="_blank">KMC - Kyria Média Channel.</a></span></b><p></p><p>À <strong>62 ans</strong>, ce père de trois fillettes et ancien directeur de la presse présidentielle a marqué l’histoire des médias congolais à travers des initiatives telles que l’édition des magazines <strong>Émergence</strong> et <strong>UDPS Viva</strong>, et par son rôle en tant que secrétaire national adjoint de l’UDPS en charge de la communication et des médias. Il est également le fondateur de la chaîne <strong><a href="https://www.youtube.com/@newscode243tv2" rel="nofollow" target="_blank">Code243</a></strong>, confirmant son empreinte durable dans le paysage médiatique de la RDC.</p><p>Lors de sa visite, M. Lwakabwanga n’a pas manqué de souligner l’atmosphère de <strong>professionnalisme</strong> qui règne à <b><span style="color: #6fa8dc;"><a href="https://www.youtube.com/@KMCkyriamediaschannel" rel="nofollow" target="_blank">KMC</a></span></b> :</p><blockquote><p>"J'ai été dans plusieurs chaînes, mais ici, je ressens une véritable maîtrise et un engagement pour la qualité. Je prie pour que tous ceux qui participent à ce projet soient à la hauteur de cette vision."</p></blockquote><p>Mettant en avant la singularité de l’emplacement prestigieux de la chaîne sur le boulevard du 30 Juin, il a comparé cette opportunité à un privilège rare, comparable à celui d'être sur les Champs-Élysées :</p> <iframe allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" src="https://www.youtube.com/embed/E9TpegzDyXg" title="💡 ABRAHAM LUAKABWANGA À KMC : RETOUR AUX FONDAMENTAUX, L’HOMME AU CŒUR DE TOUT ❤️🔑" width="640"></iframe> <blockquote><p>"Bravo au président <b>Christian Lumu</b>, que je connais bien. C’est une véritable fierté nationale."</p></blockquote><p>Dans une réflexion poignante sur l’état de la nation, M. Lwakabwanga a déclaré :</p><blockquote><p>"Mboka ekufa, mais ce n'est pas seulement le pays qui est mort, c'est aussi le peuple dans la tête. Nous devons revenir à notre première ressource : l’homme."</p></blockquote><h3>KMC : UNE CHAÎNE ENGAGÉE POUR LA JEUNESSE ET LES VALEURS</h3><p><b><span style="color: #3d85c6;">KMC - Kyria Média Channel</span></b> s’affirme comme un acteur incontournable des médias en RDC. Avec pour mission de promouvoir <strong>la jeunesse et les bonnes valeurs citoyennes</strong>, la chaîne offre une programmation qui inspire et éduque.</p><blockquote><p>"KMC, c’est la télévision de la jeunesse et des bonnes valeurs," a conclu Abraham Luakabwanga, exprimant son soutien et sa reconnaissance pour cette initiative.</p></blockquote><h3><span style="color: #3d85c6;">RETROUVEZ KMC</span></h3><ul><li><strong>TNT</strong> : Fréquence 546 et canal 37</li><li><strong>Application BLEU OTT</strong> : Canal numéro 873</li><li><strong>Contactez-nous</strong> :<ul><li>Téléphone : +243 991501845</li><li>WhatsApp : +33605742191</li><li>Page Facebook : <span style="color: #3d85c6;"><b>KMC Kyria Média Channel</b></span></li><li><span><b><span style="color: red;">YOUTUBE</span><span style="color: #3d85c6;">  : </span></b></span><b style="color: #3d85c6;"><span face="Roboto, Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #0f0f0f; font-size: 16px; font-weight: 500; white-space: pre;"><a href="https://www.youtube.com/@KMCkyriamediaschannel" rel="nofollow" target="_blank">KMC KYRIA MEDIAS CHANNEL </a></span></b></li></ul></li><li><strong>Adresse</strong> : Boulevard du 30 Juin n°144, immeuble FINI-ONE, 7ème étage (entre Batetela et Royal)</li></ul><p>KMC, une chaîne qui s'impose comme un symbole d'excellence et d’engagement pour l’avenir de la RDC.</p>

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RDC : Martin Fayulu appelle au « processus de Kinshasa » et s’oppose à la révision constitutionnelle

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZtq2rPWQo_aiuAW5m6YTOEYwG1yjnwUZV89SgQj32lYUVi4qUxKD_ainu7XJ-nUWQzRGbMSLtqwMUZObMkruoVRHY2MT-gTRGf8-4-AfJU4ET_TdNBNC4Y2nKRrlXj7gebG1Ogz9qOFVfFBkI1wFDB5lrC49CDi_9QsVvw66keIe6hSGLE5whGWL6g6wT/s711/changement_ou_revision_de_la_constitution_fayulu_appelle_la_population_a_la_vigilance_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="254" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZtq2rPWQo_aiuAW5m6YTOEYwG1yjnwUZV89SgQj32lYUVi4qUxKD_ainu7XJ-nUWQzRGbMSLtqwMUZObMkruoVRHY2MT-gTRGf8-4-AfJU4ET_TdNBNC4Y2nKRrlXj7gebG1Ogz9qOFVfFBkI1wFDB5lrC49CDi_9QsVvw66keIe6hSGLE5whGWL6g6wT/w382-h254/changement_ou_revision_de_la_constitution_fayulu_appelle_la_population_a_la_vigilance_jpg_711_473_1.jpeg" width="382" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Martin Fayulu, figure de l’opposition congolaise et ancien candidat à la présidence, a lancé un appel vibrant à la nation pour instaurer un « processus de Kinshasa ». Cette initiative, selon lui, vise à promouvoir la vérité, la réconciliation et la cohésion nationale dans un pays confronté à des crises multiples. Lors de son adresse à la nation ce lundi, Fayulu a dénoncé avec vigueur le « désordre orchestré » qui sévit en République démocratique du Congo depuis le « hold-up électoral de 2018 » et les récentes élections contestées de 2023.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un tableau alarmant de la situation nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Fayulu a dressé un constat sombre de l’état du pays, dénonçant une corruption endémique, une insécurité galopante et une pauvreté extrême touchant une grande majorité des Congolais. Selon lui, les institutions nationales sont paralysées par des détournements massifs de fonds publics, le favoritisme tribal et une incapacité chronique à répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Il a critiqué la classe dirigeante pour son manque de leadership et d’engagement envers les défis cruciaux auxquels le pays fait face.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Sur le plan sécuritaire, Fayulu a exprimé son indignation face à l’occupation de plus de 130 localités par le groupe armé M23 dans le Nord-Kivu, ainsi qu’aux violences perpétrées par d’autres groupes armés dans les provinces de l’Ituri, du Sud-Kivu et du Bandundu. Il a également salué le courage des forces armées congolaises, tout en dénonçant leur manque d’équipement et l’abandon de leur cause par les autorités.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Opposition ferme à la révision constitutionnelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’un des points centraux de son discours a été son opposition catégorique au projet de révision constitutionnelle envisagé par le gouvernement. Martin Fayulu a qualifié cette initiative de « distraction inutile », estimant qu’elle détourne l’attention des vrais défis auxquels le pays est confronté, notamment la guerre et les crises sociales. Pour lui, les problèmes de la RDC ne découlent pas du texte fondamental, mais d’un leadership défaillant.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le « processus de Kinshasa » : une voie pour la réconciliation nationale</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Pour sortir de l’impasse actuelle, Fayulu propose un « processus de Kinshasa », un cadre de dialogue national inclusif sous la conduite des leaders religieux. Cette initiative vise à réunir toutes les parties prenantes – gouvernement, opposition, société civile et partenaires internationaux – pour engager des réformes structurelles et poser les bases de la stabilité et du développement. Il a exhorté des organisations comme la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), l’Union africaine (UA) et les Nations unies à soutenir ce projet.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Fayulu a également appelé à la libération immédiate de prisonniers politiques, dont Jean-Marc Kabund et Seth Kikuni, dénonçant une répression systématique des voix dissidentes. Selon lui, une véritable réconciliation nationale passe par la fin des persécutions politiques.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Unité de l’opposition et mobilisation citoyenne</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’ancien candidat a souligné l’importance de l’unité au sein de l’opposition. Le 7 décembre 2024, il a rencontré Moïse Katumbi à Genval, en Belgique, pour coordonner leurs efforts contre la révision constitutionnelle. Fayulu a promis de mobiliser la population pour défendre l’ordre constitutionnel et empêcher toute tentative de modification du texte fondamental.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une vision pour un Congo uni et prospère</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, Martin Fayulu a appelé les Congolais à rester mobilisés et déterminés face aux défis actuels. Il a exprimé ses vœux de paix et de prospérité pour l’année 2025, réaffirmant son engagement à poursuivre la lutte pour un Congo libre, fort et uni. Pour lui, le « processus de Kinshasa » représente une chance unique de reconstruire le pays sur des bases solides et inclusives.</span></p>

Politique RDC : Martin Fayulu appelle au « processus de Kinshasa » et s’oppose à la révision constitutionnelle

Martin Fayulu, figure de l’opposition congolaise et ancien candidat à la présidence, a lancé un appel vibrant à la nation pour instaurer un ...

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RDC : Martin Fayulu dénonce « le tribalisme primaire du régime » et réaffirme son opposition à la révision constitutionnelle

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz_yxjNEO8faB8Mv_Uaeunrva-ALZYmDN6af0vjaFRxo7IUGyDF9NpjqVdrG8yrwqh1-KlaR28-4hk_QXUHkcZCMPNOeNIeTwYIyPG1S_UpKqkWc8BQ8rhaaMjkJKISF0qcVdj6YPFVMFbigjJIOONMM-XVmmPVr9noJJ3l8vhpxKStfQbhqBTDzS93wg9/s1087/4b45b730-ec95-41b2-8d90-c3bcb264d6f9.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1087" height="250" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz_yxjNEO8faB8Mv_Uaeunrva-ALZYmDN6af0vjaFRxo7IUGyDF9NpjqVdrG8yrwqh1-KlaR28-4hk_QXUHkcZCMPNOeNIeTwYIyPG1S_UpKqkWc8BQ8rhaaMjkJKISF0qcVdj6YPFVMFbigjJIOONMM-XVmmPVr9noJJ3l8vhpxKStfQbhqBTDzS93wg9/w377-h250/4b45b730-ec95-41b2-8d90-c3bcb264d6f9.jpeg" width="377" /></a></div><br /><span style="font-family: arial;">Dans son traditionnel message de fin d’année adressé à la nation ce 30 décembre, Martin Fayulu, leader de la coalition LAMUKA, a livré un réquisitoire sévère contre la gestion actuelle de la République démocratique du Congo. Il a dénoncé ce qu’il qualifie de « tribalisme primaire du régime », une pratique qu’il considère comme l’une des principales causes de la division de la nation.</span><p></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Le tribalisme au sommet de l’État</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Selon Martin Fayulu, l’actuelle gouvernance serait marquée par un repli identitaire dangereux, exacerbant les tensions ethniques et sapant l’unité nationale. Il a fustigé une gestion où « une seule tribu bénéficie de nominations privilégiées dans les postes étatiques », marginalisant ainsi d’autres communautés. Fayulu a également dénoncé des mouvements migratoires vers des grandes villes comme Kinshasa et Lubumbashi, qu’il estime orchestrés pour renforcer une « influence tribale » et déstabiliser les mouvements d’opposition.</span></p><p><span style="font-family: arial;">« Nous observons un repli identitaire au sommet de l’État avec une opposition constante entre les frères dits ‘de sang’ et les autres ‘compatriotes’ », a-t-il déclaré. Pour lui, cette approche renforce les divisions au sein de la société congolaise et freine le développement du pays.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Une critique ferme de l’instrumentalisation politique</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">L’ancien candidat à la présidence a également dénoncé l’instrumentalisation des Congolais à des fins qu’il qualifie de « machiavéliques et politiciennes ». Il a mis en garde contre les manœuvres visant à exacerber les tensions ethniques pour des intérêts partisans, appelant les citoyens à refuser de se laisser manipuler par ce qu’il décrit comme une stratégie « destructrice pour la nation ».</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Opposition à la révision constitutionnelle</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">Dans son discours, Martin Fayulu a réitéré son opposition catégorique au projet de révision constitutionnelle, porté par le président Félix Tshisekedi et les partis de l’Union sacrée de la nation. Il a dénoncé cette initiative comme une tentative de « présidentialité à vie », affirmant qu’elle ne sert qu’à prolonger indéfiniment le pouvoir d’une élite dirigeante au détriment des besoins réels du peuple.</span></p><p><span style="font-family: arial;">Fayulu a souligné que les ambitions de changement de la Constitution ne répondent ni aux préoccupations sécuritaires ni aux crises sociales qui minent le pays. Il appelle les Congolais à s’opposer fermement à cette initiative, qu’il considère comme une menace directe à la démocratie et à l’ordre constitutionnel.</span></p><h3><strong><span style="font-family: arial;">Un appel à l’unité et à la vigilance</span></strong></h3><p><span style="font-family: arial;">En conclusion, Martin Fayulu a exhorté les Congolais à rester vigilants et à rejeter toute forme de division basée sur des considérations tribales. Il a rappelé l’importance de préserver l’unité nationale face aux défis sécuritaires, économiques et politiques actuels. Le leader de LAMUKA a réaffirmé sa détermination à lutter pour un Congo uni, démocratique et inclusif, où chaque citoyen peut contribuer au développement de la nation sans être entravé par des considérations ethniques ou partisanes.</span></p>

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Dans son traditionnel message de fin d’année adressé à la nation ce 30 décembre, Martin Fayulu, leader de la coalition LAMUKA, a livré un ré...

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