Liberté provisoire à nouveau rejetée, Bujakera reste en prison

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgO_5B0hqcA3cg_4o7MoVPM5OgbDkmEohRljq_CFJjwEyuhLJd8FFIBi5rrKEl_riLtHwrGlm04g7dGQO2RzBy0-KzaodvzzV8h0Wp_F9T7VQ5dx-Ax5SB0ELfZoRS3cuLHAGSuAwsNxTSS1kSKG6lEZFIgXJVgCx7XZ-5NEKftBuoSmD1xJHs1d28hCLw6/s711/bujakera_stanis_23_25412_jpg_711_473_1.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="711" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgO_5B0hqcA3cg_4o7MoVPM5OgbDkmEohRljq_CFJjwEyuhLJd8FFIBi5rrKEl_riLtHwrGlm04g7dGQO2RzBy0-KzaodvzzV8h0Wp_F9T7VQ5dx-Ax5SB0ELfZoRS3cuLHAGSuAwsNxTSS1kSKG6lEZFIgXJVgCx7XZ-5NEKftBuoSmD1xJHs1d28hCLw6/w400-h266/bujakera_stanis_23_25412_jpg_711_473_1.jpeg" width="400" /></a></div><br /><span style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif; font-size: 18px;">La justice a refusé une nouvelle fois de libérer le correspondant à Kinshasa de Jeune Afrique Stanis Bujakera, jugé pour un article mettant en cause les renseignements militaires dans le meurtre de l’opposant Chérubin Okende, proche collaborateur de Moïse Katumbi, l’un des 24 candidats à la présidentielle de décembre 2023, a-t-on appris mardi auprès d’un de ses avocats.</span><p></p><p><span style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif; font-size: 18px;"><br /></span></p><p style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif !important; font-size: 18px; line-height: 28px !important; margin: 1rem 0px !important;">Le procès du journaliste devant le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe, siégeant dans l’enceinte de la prison de Makala, s’est brièvement ouvert le 13 octobre et doit reprendre vendredi. Ses avocats avaient alors demandé un délai pour préparer sa défense, ce qui leur a été accordé et, en parallèle, ils ont réclamé pour la 3e fois la libération du journaliste, aux arrêts depuis le 8 septembre.</p><p style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif !important; font-size: 18px; line-height: 28px !important; margin: 1rem 0px !important;"><span style="font-weight: 700 !important; line-height: 28px !important; margin: auto !important;"><em style="line-height: 28px !important; margin: auto !important;">“Le tribunal a rejeté lundi soir la demande de main levée de détention et de liberté provisoire du journaliste, arguant que sa fuite est à craindre”</em></span>, a indiqué à l’AFP Me Charles Mushizi. Les avocats vont se concerter et décider s’il faut faire appel de cette décision, a-t-il ajouté.</p><p style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif !important; font-size: 18px; line-height: 28px !important; margin: 1rem 0px !important;">Stanis Bujakera, 33 ans, également directeur adjoint de publication du site congolais d’information Actualité.cd et correspondant de l’agence Reuters, est accusé notamment de<span style="font-weight: 700 !important; line-height: 28px !important; margin: auto !important;"><em style="line-height: 28px !important; margin: auto !important;"> “faux en écriture, falsification des sceaux de l’Etat”</em></span>, <span style="font-weight: 700 !important; line-height: 28px !important; margin: auto !important;"><em style="line-height: 28px !important; margin: auto !important;">“propagation de faux bruits”</em></span>, <span style="font-weight: 700 !important; line-height: 28px !important; margin: auto !important;"><em style="line-height: 28px !important; margin: auto !important;">“transmission de messages erronés et contraires à la loi”</em></span>. Il risque jusqu’à dix ans de prison.</p><p style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif !important; font-size: 18px; line-height: 28px !important; margin: 1rem 0px !important;">L’affaire concerne un article publié fin août par Jeune Afrique, non signé du journaliste, qui se basait sur un document présenté comme une note des services de renseignements civils mettant en cause les renseignements militaires dans l’assassinat mi-juillet de l’ancien ministre et opposant Chérubin Okende. Selon les autorités et l’accusation, cette note était un faux.</p><p style="color: #163860; font-family: "Noto Serif", serif !important; font-size: 18px; line-height: 28px !important; margin: 1rem 0px !important;">Cette affaire intervient dans un contexte politique tendu, à l’approche de la présidentielle du 20 décembre à laquelle le chef de l’Etat Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis 2019, est candidat à un second mandat.</p>

Justice Liberté provisoire à nouveau rejetée, Bujakera reste en prison

  La justice a refusé une nouvelle fois de libérer le correspondant à Kinshasa de Jeune Afrique Stanis Bujakera, jugé pour un article mettan...

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L'affaire du conseiller principal de Moïse Katumbi Salomon Kalonda est renvoyée au lundi 25 septembre 2023.

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtzQ9QIdU_KlTyujs4OLR_BJKuuCvf5TqbOhU_Mrp_MhEmofH5kAh4-EHDddamPghmbjCCDZXFQSZCwhUfr7W_b02FapBedyJcGKxTi5JA5jMGOSMvXmuXfYrqtmtr8JISTiU2USgBgfPMYr0rGQbrqcWtjbgGGUqFK2Z-y4pyKEqQlmJPTmU-EOoZd6yR/s1280/Salomon-Idi-Kalonda.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtzQ9QIdU_KlTyujs4OLR_BJKuuCvf5TqbOhU_Mrp_MhEmofH5kAh4-EHDddamPghmbjCCDZXFQSZCwhUfr7W_b02FapBedyJcGKxTi5JA5jMGOSMvXmuXfYrqtmtr8JISTiU2USgBgfPMYr0rGQbrqcWtjbgGGUqFK2Z-y4pyKEqQlmJPTmU-EOoZd6yR/w400-h225/Salomon-Idi-Kalonda.jpg" width="400" /></a></div><br /><div><br /></div><div><br /></div>Il faut noter que le rapporteur du collectif des avocats de Salomon Kalonda, Hervé Diakiese, a, dans son unique mémoire au cours de l'audience de ce lundi 18 septembre, révélé que l'agent de l'Agence Nationale des Renseignements, ( ANR) , Patrick Nyundo Wabaluba, entendu par l'OPJ de l'ex-Demiap, a été chargé depuis 2018 par l'ambassadeur itinérant du chef de l'État congolais Dany Banza , de filer Salomon Kalonda afin de lui tendre des pièges par des messages insidieux. <br /><br /><br /><br />«C'est le cas des vidéos lui transférées dans lesquelles des insultes avaient été proférées à l'endroit du chef de l'État, dont la dernière le 29 mai, soit la veille de son arrestation», a -t- il expliqué. <br /><br />La défense a aussi souligné l’incompétence de la Cour militaire et rappelé qu’en sa qualité de civil, Salomon Kalonda ne devrait être justiciable des juridictions militaires. <br /><br />C'est dans cette logique qu'elle a demandé l’annulation totale de tous les procès-verbaux dressés dans cette procédure pour violation des dispositions légales.<br /><br />Il convient de souligner que le prévenu Salomon Kalonda s'est présenté physiquement à son procès.<br /><br />"Je suis malade et je suis ici contre l'avis de mes médecins. Autant la mort peut m'emporter par la maladie, autant cette situation avec ce procès de la honte peut aussi m'emporter", s'est il exprimé.

Justice Politique L'affaire du conseiller principal de Moïse Katumbi Salomon Kalonda est renvoyée au lundi 25 septembre 2023.

Il faut noter que le rapporteur du collectif des avocats de Salomon Kalonda, Hervé Diakiese, a, dans son unique mémoire au cours de l'au...

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La liberté d’expression étranglée en République Démocratique Congo

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUmZArNEeHtuBo0Dr2Xx8LA6Y03QOnBSk1UxwYLm8Q4BBfhY2coNotSlLqo-Neig5aA1yyM4J6OU4YwzrW3xSol7rtRstNlouZnaJO7-30mvsYmf5dKSVlbm-zw-vYzz5YMjS9F3lxxVOjXniwLXyIS473RLRse0EOzhdtT3asX1by64G2NEhgxn85PCML/s275/download%20(2).jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="183" data-original-width="275" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUmZArNEeHtuBo0Dr2Xx8LA6Y03QOnBSk1UxwYLm8Q4BBfhY2coNotSlLqo-Neig5aA1yyM4J6OU4YwzrW3xSol7rtRstNlouZnaJO7-30mvsYmf5dKSVlbm-zw-vYzz5YMjS9F3lxxVOjXniwLXyIS473RLRse0EOzhdtT3asX1by64G2NEhgxn85PCML/w400-h266/download%20(2).jpeg" width="400" /></a></div><br /><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;">On ferait une mauvaise lecture des faits, si on limitait la tyrannie du pouvoir de l’udps par des arrestations de Stanys BUJAKERA et de Nestor KIMPALA MOTO du PPRD qui font l’actualité. Loin s’en faut ! L’udps au pouvoir nous montre un autre visage que celui qu’elle a porté dans l’opposition. Ceci se confirme par des arrestations arbitraires et le nombre impressionnant de détenus politiques à mettre sur leur compte.</span><p></p><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;">Qui aurait imaginé qu’avoir le courage de ses idées relèverait de l’héroïsme sous le pouvoir de Fatshi ? La fermeture des cachots de l’anr n’était qu’une simple promesse de campagne…</span><div><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;"><br /></span></div><div><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;">On retiendra que c’est sous Fatshi que le pays enregistre le plus grand nombre de congolais accusés pour offense au Chef de l’Etat. On retiendra aussi que c’est sous Fatshi que des journalistes sont partis en exil et que plusieurs militaires et officiers supérieurs de l’armée sont emprisonnés. J’aimerais que les talibans me donnent une définition à cette politique.</span><br style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;" /><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;">Le monitoring du mois de mai 2023 à ce jour indique l’arrestation de Mike Mukebayi, la clandestinité de Daniel SAFU, tous les deux étant des élus du peuple. </span></div><div><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;"><br /></span></div><div><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;">À cela, on ajoute la détention de Salomon Idi KALONDA DELLA et de Stanys BUJAKERA, l’arrestation de Nestor KIMPALA MOTO qui serait dans les geôles de l’ANR. Avant eux, Henri MAGIE, Jimmy KITENGE, Momo MULAPU, le président Jean Marc KABUND, Franck DIONGO, Barnabé Milinganyo, Pius Romain et tant d’autres noms non-repris ici ont fait les frais. Mesdames et messieurs, c’est du jamais vu.</span></div><div><span style="background-color: white; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px;"><br /></span></div><div><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px; height: auto !important; margin: 0px 0px 10px;"><strong style="box-sizing: border-box;">Avec toutes ces arrestations, c’est quoi le projet ?</strong><br style="box-sizing: border-box;" />Si la stratégie est de faire taire l’opposition, c’est peine perdue. “<em style="box-sizing: border-box;"><strong style="box-sizing: border-box;">Nous n’abdiquerons pas, nous ne nous rendrons pas. Au finish, le peuple gagne toujours</strong></em>” À ce propos, comment ne pas méditer sur cette pensée de Philippe Sollers qui déclarait :</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px; margin: 0px 0px 10px;">“<em style="box-sizing: border-box;"><strong style="box-sizing: border-box;">La résistance est individuelle, elle ne se réfère à aucun programme</strong></em>“? À chaque congolais d’intégrer cette notion pour sa participation dans le combat contre la dictature qui nous est imposé.<br style="box-sizing: border-box;" /><br style="box-sizing: border-box;" />En ce qui me concerne, j’ai fait mon choix : *<strong style="box-sizing: border-box;">Mieux vaut mourir debout dans la dignité que de vivre à genoux dans le déshonneur et la soumission</strong>.*</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px; margin: 0px 0px 10px;"><br /></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #404040; font-family: "Roboto Condensed", "Helvetica Neue", helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px; margin: 0px 0px 10px;">Contre l’extermination des gomatraciens, le RAM, l’accord primera, les détournements, la corruption, les arrestations arbitraires, la montée du tribalisme, les provocations à répétition sur le président Joseph KABILA, le processus électoral biaisé avec son lot des cartes d’électeur non exploitables, la montée de la misère de la population, la hausse du dollar, l’insécurité sur l’ensemble du territoire, l’EAC, le trafic d’influence ainsi que tous les maux semblables, j’ai fait le choix rationnel et rationalisé de la résistance. Patriotisme oblige !<br style="box-sizing: border-box;" /><br style="box-sizing: border-box;" />En tout état de cause, la résistance est un état d’esprit. Dans le corps des communicateurs de l’ancienne majorité présidentielle, seul moi et India OMARI sommes restés attachés aux valeurs que nous avons toujours défendues. Incompris par plusieurs personnes dans le passé, la donne change tous les jours depuis janvier 2019. <strong style="box-sizing: border-box;">Comment ne pas rendre un vibrant hommage à mon frère India OMARI ? Le sucre qu’offre l’union sacrée est aussi passé devant nos portes et nous avons dit NON pour combattre avec le peuple et aux côtés du peuple, quoi que cela nous coûte</strong>.<br style="box-sizing: border-box;" /><br style="box-sizing: border-box;" />Pour finir, j’en appelle aux congolais de discerner cette pensée de Jean Paul SARTRE : “<strong style="box-sizing: border-box;">Le secret d’un homme… c’est la limite même de sa liberté. C’est son pouvoir de résistance aux supplices et à la mort</strong>“<br style="box-sizing: border-box;" /><br style="box-sizing: border-box;" />Congolais, seule la lutte libère !!!</p></div>

Justice Politique La liberté d’expression étranglée en République Démocratique Congo

  On ferait une mauvaise lecture des faits, si on limitait la tyrannie du pouvoir de l’udps par des arrestations de Stanys BUJAKERA et de Ne...

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Jean-Claude Katende sur l’arrestation de Stanis Bujakera : « Le régime qui s’attaque aux journalistes est un régime qu’il faut combattre »

<div class="separator"><div class="separator" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgIe8r0zZYksSKHAX7kFMdfkTdel9Szgvu21EUNhTWNl4BdkbitPDr2nNEW2keZn0LMjyS0yI2Fh2LgBm27UuOlyTluE9_k69gjnMCLJGC0ssoe-pRzxVJaOiW86EGAbuNhUusOlFOwvXkja08lrUPRg46Hwq5a2YdBydUT9KtHgutEaW-_0_GfCsdSDT8h" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" data-original-height="900" data-original-width="1500" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgIe8r0zZYksSKHAX7kFMdfkTdel9Szgvu21EUNhTWNl4BdkbitPDr2nNEW2keZn0LMjyS0yI2Fh2LgBm27UuOlyTluE9_k69gjnMCLJGC0ssoe-pRzxVJaOiW86EGAbuNhUusOlFOwvXkja08lrUPRg46Hwq5a2YdBydUT9KtHgutEaW-_0_GfCsdSDT8h=w400-h240" width="400" /></a></div></div><br /><br /><br /> Jean-Claude Katende ne cache plus son ras-le-bol face au régime de Félix Tshisekedi Tshilombo. Le président de l’Association Africaine des Droits de l’Homme (Asadho) condamne fermement l’arrestation du journaliste et correspondant du Magazine Jeune Afrique, Stanis Bujakera Tshiamala.<br /><br /><br /><br />Pour ce défenseur des droits de l’homme, cette arrestation fait discréditer le régime au pouvoir, qu’il faut combattre, dit-il.<br /><br />« Le régime qui s’attaque aux journalistes et activistes des droits de l’homme est un régime qu’il faut combattre. L’arrestation de Bujakera ne fait discréditer le régime du Président Tshisekedi. Libérez-le », a tweeté Jean-Claude Katende.<br /><br />Par ailleurs, le Président de l’Asadho estime qu’il est admissible que des présumés détourneurs des deniers publics dénoncés par l’IGF vivent en liberté alors que la justice montre ses biceps contre un simple journaliste. Jean-Claude Katende exige la libération sans condition de Stanis Bujakera.<br /><br />« Libérez Bujakera. Le rapport de l’IGF sur la Gcm a mis en cause plusieurs individus. Mais personne n’a été inquiété par la justice. La justice est prête à montrer les biceps contre un simple journaliste. Libérez Bujakera! », a-t-il tweeté ce mercredi 13 septembre 2023.<br /><br />Le journaliste Stanis Bujakera a été placé sous mandat d’arrêt provisoire et transféré à la Prison Centrale de Makala (Kinshasa) après avoir été auditionné par le procureur général près le parquet de grande instance de la Gombe. Il lui serait reproché la propagation d’une information jugée fausse sur l’assassinat de Chérubin Okende.<br /><br />Agape Ntona

Justice Politique Jean-Claude Katende sur l’arrestation de Stanis Bujakera : « Le régime qui s’attaque aux journalistes est un régime qu’il faut combattre »

Jean-Claude Katende ne cache plus son ras-le-bol face au régime de Félix Tshisekedi Tshilombo. Le président de l’Association Africaine des...

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Le Gouvernement de Felix Tshisekedi peine à expliquer le massacre de Goma

<p> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidylUjL9IUauAu343jPDxV9-KycZ66T1nPhCG_j0wr9zDBSq4o4ynV3X-Xt1fEDZv_ZXB2Wd7D0CFu0i0Wxnd--vPrswyr8WtN03-CVJu55kofbNkdt9CRyoOKk6cqnXtBQ4zo-m8FAIj1gecS6i5oMuEMXl78fqLTYTuJjA-ID-Zzi3HkjCJwKlZ19KCB/s833/Snapshot_410.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="363" data-original-width="833" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidylUjL9IUauAu343jPDxV9-KycZ66T1nPhCG_j0wr9zDBSq4o4ynV3X-Xt1fEDZv_ZXB2Wd7D0CFu0i0Wxnd--vPrswyr8WtN03-CVJu55kofbNkdt9CRyoOKk6cqnXtBQ4zo-m8FAIj1gecS6i5oMuEMXl78fqLTYTuJjA-ID-Zzi3HkjCJwKlZ19KCB/w400-h174/Snapshot_410.png" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"></td></tr></tbody></table><br /></p> Depuis la répression sanglante de la manifestation du 30 août dernier, les interrogations sur les agissements de la garde républicaine se multiplient. En République démocratique du Congo, une semaine après la tuerie d'une cinquantaine de civils par les forces de sécurité congolaises, deux commandants de l'unité spéciale de la garde républicaine se trouvent sur le banc des accusés. <div><br /></div><div> Un procès hautement politique, donc, car ce corps de l'armée de Terre se trouve en principe sous la houlette du président de la République. Mais quel est donc son rôle ? Que faisait-elle à Goma et comment fonctionne-t-elle ? Eléments de réponses dans notre interview de la semaine avec l'avocat et défenseur des droits de l'Homme, Jean-Claude Katende. "Quelqu'un de haut placé doit avoir donné l'ordre à l'unité de pouvoir agir" 05:08 Retranscription de l'interview : DW : Maître Jean-Claude Katende, bonjour. Vous êtes le représentant, ici, en RDC, de l'Association Africaine des Droits de l'Homme (ASADHO). Alors pourriez-vous nous dire ce qu'est cette Garde républicaine ?</div><div><br /></div><div><br /></div><div> Jean-Claude Katende : Il faut rappeler que la garde républicaine a été mise en place entre 2012 et 2013 avec un mandat très clair, c'est-à-dire d'assurer la protection du président de la République, de sa famille ainsi que de ses biens. Mais il est dit aussi dans le décret qui crée la Garde républicaine, que celle-ci pourrait être appelée à assumer d'autres missions par les autorités du pays. <blockquote class="twitter-tweet"><p dir="ltr" lang="fr">J'appelle à une enquête sérieuse sur le massacre de Goma. La précipitation avec laquelle on voudrait organiser le procès risque de faire échapper à la justice d'autres individus impliqués. Le gouvernement a le sang sur les bras. Maintenant, organisez un processus sérieux</p>— Jean Claude Katende (@JeanClaudekat2) <a href="https://twitter.com/JeanClaudekat2/status/1698569623287869672?ref_src=twsrc%5Etfw">September 4, 2023</a></blockquote> <script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script> Je pense qu'il faut considérer d'abord que la garde républicaine est une unité spéciale de l'armée de la République démocratique du Congo. <div><br /></div><div> Juridiquement, la garde républicaine dépend du président de la République. Mais au niveau opérationnel, la garde républicaine a son commandant qui assure le fonctionnement ou le déploiement de toutes les activités de la garde républicaine. DW : Deux de ces hauts-gradés sont aujourd'hui jugés en flagrance devant un tribunal militaire. Mais à votre avis, sont-ils les seuls responsables ?<div><br /></div><div> Jean-Claude Katende : C'est pour ça que nous, nous avons demandé qu'on mette fin à la précipitation actuelle dont l'auteur est le vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur, qui a fait, avec la Commission dont il était membre, une enquête que nous, nous considérons comme étant une enquête précipitée. </div></div></div> Nous, nous pensons, quand nous regardons les lois de la République démocratique du Congo, que la mission de maintien de l'ordre ou de rétablissement de l'ordre ne relève pas de l'armée ne relève pas non plus de la Garde républicaine. Si la garde républicaine doit pouvoir assumer d'autres missions, comme la loi le dit, que ses missions principales, il doit y avoir quelqu'un de haut placé qui doit avoir donné l'ordre à l'unité dont il est question de pouvoir agir. Et c'est pour ça que nous pensons qu'il est important qu'on identifie quelle est cette autorité supérieure qui a donné l'ordre pour que la garde républicaine assume les missions qui ne sont pas, par nature, les siennes. Si cette autorité, quelque part, n'a pas donné cet ordre, comment la garde républicaine s'était-elle déployée, de là où elle est censée être pour aller vers l'église où les adeptes qui ont été tués étaient en train de prier ? <div><br /></div><div><br /></div><div>Ils ne peuvent pas le faire d'eux mêmes. Et les deux colonels ou les militaires qui ont été arrêtés, nous estimons pour notre part qu'il faut considérer que l'armée, c'est d'abord la discipline. Dire que le président de la République n'était pas au courant que le Premier ministre n'était pas au courant que le ministre de la Défense n'était pas au courant, c'est quand même insuffisant pour justifier ce qui est arrivé, un crime, une violation des droits de l'homme et le carnage de autant de personnes, ça ne pouvait pas être uniquement la décision des deux militaires qu'on a mis en cause. DW : La Garde républicaine a-t-elle déjà fait l'objet de ce type de crimes par le passé ?<div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div> Jean-Claude Katende : Sous le président Kabila, les grandes manifestations pacifiques qui ont été organisées ici à Kinshasa comme dans les autres villes du pays, la garde républicaine était impliquée. Quand le président Tshisekedi a eu le pouvoir, nous avons constaté qu'il y avait quand même une certaine démarcation, dans le sens que les manifestations pacifiques étaient principalement encadrées par la police. </div><div><br /></div><div>Mais il y a quand même des faits alarmants qui démontrent que cette démarcation n'a pas été tenue de manière absolue. <blockquote class="twitter-tweet"><p dir="ltr" lang="fr">La <a href="https://twitter.com/hashtag/MONUSCO?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#MONUSCO</a> encourage fortement les autorités🇨🇩 à diligenter une enquête prompte et indépendante et les invite à traiter les personnes détenues dans le respect de leurs droits en vertu de la Constitution et des engagements internationaux du pays.<a href="https://t.co/kfxFhTeSPy">https://t.co/kfxFhTeSPy</a></p>— MONUSCO (@MONUSCO) <a href="https://twitter.com/MONUSCO/status/1697384098401046783?ref_src=twsrc%5Etfw">August 31, 2023</a></blockquote> <script async="" charset="utf-8" src="https://platform.twitter.com/widgets.js"></script> C'est notamment l'implication de certains éléments de la garde républicaine dans la répression de l'incursion des Bakata Katanga dans la ville de Lubumbashi, où il y a eu aussi un carnage et où les personnes qui ont été arrêtées, les hommes comme les femmes, ont été internés dans une maison, nus. Nous l'avions dénoncé à l'époque.</div><div><br /></div><div> Deuxième fait alarmant pour nous, c'est le fait que la Garde républicaine a été impliquée dans des questions tout à fait privées où certains Congolais ont acheté des parcelles de terre en face du mausolée de monsieur Etienne Tshisekedi. Ces personnes ont été délogés de là par la garde républicaine. Et le carnage de Goma constitue un troisième fait important depuis que le président Tshisekedi est au pouvoir où la garde républicaine a agi de manière non respectueuse des droits des citoyens.</div></div>

Justice Politique Province Le Gouvernement de Felix Tshisekedi peine à expliquer le massacre de Goma

  Depuis la répression sanglante de la manifestation du 30 août dernier, les interrogations sur les agissements de la garde républicaine se...

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Ituri : 3 civils tués par des miliciens CODECO à Djugu

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOdo3LSWjBr_wtVMDLZmDyEqZKgp1Ykc4PB8oLUe2aGA8gsEmdGYLUJjEEl9Qhp686wTIQMft3_OlQ8f8pH89MkjAr6sHywZG-AksyZ25AgSuFMcjlwvLbF9myidlaxwalwZaEsPaoyY-r_fwqAxfsu88S263LTEJVF-5kWz9x0g9tsxNYHdZNjCL_dMe8/s1080/Milice-CODECO.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="705" data-original-width="1080" height="261" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOdo3LSWjBr_wtVMDLZmDyEqZKgp1Ykc4PB8oLUe2aGA8gsEmdGYLUJjEEl9Qhp686wTIQMft3_OlQ8f8pH89MkjAr6sHywZG-AksyZ25AgSuFMcjlwvLbF9myidlaxwalwZaEsPaoyY-r_fwqAxfsu88S263LTEJVF-5kWz9x0g9tsxNYHdZNjCL_dMe8/w400-h261/Milice-CODECO.jpeg" width="400" /></a></div><br /><p></p><h2 style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 2.2em; line-height: 1.1; margin-bottom: 10px; margin-top: 20px;">Des hommes armés identifiés aux miliciens CODECO (coopérative pour le développement du Congo) ont attaqué 3 agglomérations de la chefferie de Bahema Nord en territoire de Djugu, province de l'Ituri, le lundi 7 août 2023.<br style="box-sizing: border-box; font-family: Lato;" />Il s'agit du centre commercial Largu et des villages Djadzi et Nyali du groupement Buku.</h2><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px;">Trois (3) civils ont été tués et 2 autres grièvement blessés lors de ces attaques, rapporte le président de la société civile de ladite chefferie.<br style="box-sizing: border-box;" />Plusieurs bêtes ont été également pillées, ajoute-t-il.</p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px;"><p style="box-sizing: border-box; line-height: 2; margin: 0px;">"<em style="box-sizing: border-box;">Il y a un enfant tué dans le village Nyali, il y a un jeune homme tué dans le village Djadzi. Il y a encore un jeune homme taximan qui est déplacé, qui a été tué au niveau de la rivière Tchuru. Ce petit là a été assassiné par des miliciens CODECO venus des groupements Masumbuko et Gobi</em>", a expliqué Charité Banza, dans une communication à la presse ce mardi 8 août.</p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px;">Cet acteur de la société civile plaide pour des enquêtes et que les responsables de ces attaques soient traduits en justice. Aussi, il veut voir le comité du P-DDRCS être "restructuré" en Ituri.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px;">Ces nouvelles attaques interviennent après un moment d'accalmie observé dans cette partie de l'Ituri. Ceci, au lendemain de l'accord de paix signé par 4 groupes armés à Aru, à la frontière avec la République ougandaise.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Séraphin Banangana depuis Bunia</span></p>

Insécurité Justice Politique Ituri : 3 civils tués par des miliciens CODECO à Djugu

  Des hommes armés identifiés aux miliciens CODECO (coopérative pour le développement du Congo) ont attaqué 3 agglomérations de la chefferie...

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RDC : Dénie Lessie recherché par la justice pour injures publiques

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiX0fsr8Yqgnxxc2X4AiyNmpvJUqoyEEvszT49KUQusrVd5QRXdvWP3uz3iqpU2GX8-xBTfJCzKaKSnDdhvTUxYsWRmBGuo6Z1E13vN7lH4wFxnsWEFEWYIOKN-3jDISR0Hk1t4_azgITsSJOjB5fq_lIabpXSgrxCstVzdSvNNAf3uBxo3RJkOltvdIw/s706/images-63.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="434" data-original-width="706" height="197" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiX0fsr8Yqgnxxc2X4AiyNmpvJUqoyEEvszT49KUQusrVd5QRXdvWP3uz3iqpU2GX8-xBTfJCzKaKSnDdhvTUxYsWRmBGuo6Z1E13vN7lH4wFxnsWEFEWYIOKN-3jDISR0Hk1t4_azgITsSJOjB5fq_lIabpXSgrxCstVzdSvNNAf3uBxo3RJkOltvdIw/s320/images-63.jpeg" width="320" /></a></div>Le procureur général près le parquet général de la cour d’appel de Kinshasa/Matete, Sylvain Kaluila Muana a émis un avis de recherche contre le prophète Dénie Lessie, visionnaire de L’Église Arche de Noé pour des menaces d’attentat, injures publiques et imputations dommageables.<br /><br />« En cas de sa découverte, l’appréhender et l’acheminer sous bonne escorte au parquet général près la cour d’appel de Kinshasa Matete», peut-on lire dans ce document dont une copie est tombée sur la table de votre rédaction.<br />Notons que le prophète qui s’est converti en chroniqueur n’a pas tardé à se faire des ennemis dans son nouveau secteur. Initiateur de plusieurs piques, l’homme de Dieu auteur d’un album musical dénommé « Afro pétage » figurait il y a peu dans la liste des hommes de médias interdits de citer le nom de Koffi Olomide.<br /><br />Gaël Hombo<br /><p><br /> </p><br />

Justice Religion RDC : Dénie Lessie recherché par la justice pour injures publiques

Le procureur général près le parquet général de la cour d’appel de Kinshasa/Matete, Sylvain Kaluila Muana a émis un avis de recherche contre...

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RDC : quand Willy Bakonga confirme que c’est bel et bien Félix Tshisekedi qui l’a fait sortir de prison

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtMDosfvTfTIODVT3h8-ZOfmvj2UTie9-gORrC2jNDlTwZaKItxLjA3VCcyi3hqaFHHDuO9gn1qDJIAPzAfayPArcdPgI-sVlEls0F6lMHwLYXIz8GBZtUeR9ctz-4KHF1Epppa0p7e6FuF4wHQQRrNAzY6HjTsFS5zglJSRoigJWcZ-uf4SompW-NCg/s678/IMG-20230103-WA0042-678x375.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="375" data-original-width="678" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjtMDosfvTfTIODVT3h8-ZOfmvj2UTie9-gORrC2jNDlTwZaKItxLjA3VCcyi3hqaFHHDuO9gn1qDJIAPzAfayPArcdPgI-sVlEls0F6lMHwLYXIz8GBZtUeR9ctz-4KHF1Epppa0p7e6FuF4wHQQRrNAzY6HjTsFS5zglJSRoigJWcZ-uf4SompW-NCg/s320/IMG-20230103-WA0042-678x375.jpg" width="320" /></a></div><br /><p></p><p><br /></p><p>Devant sa base à la Tshuapa, Willy Bakonga a craché le morceau. L’ancien ministre de l’Enseignement primaire secondaire et technique a confirmé que c’est l’actuel chef de l’État qui l’a gracié.</p><p>« L’enrôlement vient de commencer. Si vous obtenez votre carte d’électeur, il faut voter pour Fatshi Béton qui m’a sortir de la prison, moi et et Eteni [Longondo], des dignes fils de la Tsuapa… », a déclaré Willy Bakonga devant ses partisans à la Tshuapa.</p><p><br /></p><p>En novembre 2021, Willy Bakonga a été libéré à la suite d’une grâce présidentielle, alors qu’il a été condamné, sept mois avant, à trois ans de prison pour « blanchiment d’argent » et « transfert illicite de capitaux vers l’étranger » par la Cour de cassation.</p><p><br /></p><p>Une libération qui avait suscité une vive polémique dans l’opinion nationale. La ministre de la Justice, Rose Mutombo, avait alors exigé la réincarnation de l’ancien ministre, estimant que son nom a été frauduleusement ajouté parmi les personnes graciées. Elle avait évoqué « un manquement grave » et « un excès de pouvoir » de la part du procureur de la Cour d’appel. Selon elle, les personnes condamnées par la Cour de Cassation n’étaient pas concernées par cette libération.</p><p><br /></p><p>Plus d’un an après, Willy Bakonga, ancien Kabiliste qui a adhéré à l’Union sacrée dès sa sortie de prison, n’est jamais revenu en prison. Le voilà en train de battre campagne pour le président Tshisekedi, avant la lettre.</p><p><br /></p><p>Socrate Nsimba</p>

Justice Politique RDC : quand Willy Bakonga confirme que c’est bel et bien Félix Tshisekedi qui l’a fait sortir de prison

  Devant sa base à la Tshuapa, Willy Bakonga a craché le morceau. L’ancien ministre de l’Enseignement primaire secondaire et technique a con...

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La cour constitutionnelle se déclare compétente pour juger un ancien premier ministre et un ancien président

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqaKCVanoD3tUqBBeSyva1GDMzuyjvfOhJovXwpQWhGBt9LxRwmLBPp93RPOnyezf3E_rUXkx3n8UlBSSBp2-Rs8z86Juqvx9XGgr8opYRXz_dKsH8SjD4gnAS_dk9huIBu5IaORCyYVEExsMcBd7nYPPVI-cx5tTtdb8HoIXLO5TxUZjIF4AKNClJQw/s1024/images_cour_constitutionnelle_rdc.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="578" data-original-width="1024" height="181" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqaKCVanoD3tUqBBeSyva1GDMzuyjvfOhJovXwpQWhGBt9LxRwmLBPp93RPOnyezf3E_rUXkx3n8UlBSSBp2-Rs8z86Juqvx9XGgr8opYRXz_dKsH8SjD4gnAS_dk9huIBu5IaORCyYVEExsMcBd7nYPPVI-cx5tTtdb8HoIXLO5TxUZjIF4AKNClJQw/s320/images_cour_constitutionnelle_rdc.jpeg" width="320" /></a></div><br /><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; text-align: justify;">La cour constitutionnelle siégeant en matière d’appréciation de la conformité à la constitution, d’interprétation et de contrôle d’inconstitutionnalité, est revenue sur sa compétence de juger un ancien Premier ministre.</span><p></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 26px; margin-bottom: 26px; margin-top: 0px; overflow-wrap: break-word; text-align: justify;">Cette décision a été prise dans son audience publique tenue vendredi à son siège, à Kinshasa. « Plusieurs causes ont été appelés, dont 4 de Cours normales et 12 en procédure de filtrage », indique une source judiciaire, proche de cette Cour. Signalant que « l’affaire exception d’inconstitutionnalité et question de constitutionnalité soulevées d’office par la cour de cassation dans la procédure sous RP09/CR ». « Examinant les affaires en procédure normale, la cour constitutionnelle s’est déclaré compétente et a donné le Sens qu’il faut attendre des expressions solliciter par la cour de cassation.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 26px; margin-bottom: 26px; margin-top: 0px; overflow-wrap: break-word; text-align: justify;">Ainsi la cour constitutionnelle s’est déclarée compétente pour juger les anciens Présidents de la République et premier ministre, pour les infractions commises dans l’exercice et à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 26px; margin-bottom: 26px; margin-top: 0px; overflow-wrap: break-word; text-align: justify;">A travers cet arrêt, la cour constitutionnelle marque ainsi la rupture avec son arrêt précédent sous RP 0001 dans l’affaire ministère public et les parties Matata et consorts. Procédure en filtrage Par ailleurs, la deuxième catégorie a porté sur 12 affaires examinées par la cour constitutionnelle en  procédure de filtrage. Cette procédure est adoptée par la Cour lors qu’une affaire est manifestement irrecevable, ou ne relève pas de la compétence de la cour.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; line-height: 26px; margin-bottom: 26px; margin-top: 0px; overflow-wrap: break-word; text-align: justify;">Celle-ci l’examine en procédure de filtrage, conformément aux articles 23 et 24 du règlement intérieur de la cour constitutionnelle du 10 août 2018. «<em style="box-sizing: border-box;">Ainsi toute cause qui ne relève manifestement pas de la compétence de la Cour constitutionnelle ou manifestement irrecevable, est examiné en procédure de filtrage</em> », indique-t-on. <strong style="box-sizing: border-box;">ACP/</strong></p>

Justice Politique La cour constitutionnelle se déclare compétente pour juger un ancien premier ministre et un ancien président

  La cour constitutionnelle siégeant en matière d’appréciation de la conformité à la constitution, d’interprétation et de contrôle d’inconst...

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11 MORTS AU CONCERT DE FALLY IPUPA AU STADE DES MARTYRS : LE GOUVERNEMENT ANNONCE DES POURSUITES JUDICIARES CONTRE FALLY IPUPA

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdwCJe5gfvNJcIbzoJ-xqC5-tVbeelxoUKdP8Y0uOjzB4QG4xwI9g_AxQ6CxAmNc1NQk_yqLTG8sswfG2j_5H7Qne9lqgPa2AmoFask8ulSCLcIH_7pT1cdCdondJyvbr-gwYqlhKmUUpR7HVFASFGGDyb0G0G1NoDy0yIaVpR1Ry5wffQ05QO_ZjlVw/s756/Snapshot_462.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="426" data-original-width="756" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhdwCJe5gfvNJcIbzoJ-xqC5-tVbeelxoUKdP8Y0uOjzB4QG4xwI9g_AxQ6CxAmNc1NQk_yqLTG8sswfG2j_5H7Qne9lqgPa2AmoFask8ulSCLcIH_7pT1cdCdondJyvbr-gwYqlhKmUUpR7HVFASFGGDyb0G0G1NoDy0yIaVpR1Ry5wffQ05QO_ZjlVw/w400-h225/Snapshot_462.png" width="400" /></a></div><br /><p><br /></p><p> Daniel Asselo Okito Wankoy, Vice-premier ministre, ministre de l'Intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumière, annonce que 11 personnes sont mortes en marge du concert de Fally Ipupa samedi au stade des Martyrs de la Pentecôte. Parmi les victimes, il y’a également deux policiers.</p> <blockquote class="twitter-tweet"><p lang="fr" dir="ltr"><a href="https://twitter.com/hashtag/RDC?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw">#RDC</a>: Au concert de <a href="https://twitter.com/fallyipupa01?ref_src=twsrc%5Etfw">@fallyipupa01</a> à Kinshasa, "les dégâts humains d’après les informations que nous avons, s’évaluent à 11 personnes décédées, ici au stade des martyrs, y compris deux policiers", dit le VPM de l'intérieur qui stigmatise "les attitudes des organisateurs ..." <a href="https://t.co/i4TQHsT9Ts">pic.twitter.com/i4TQHsT9Ts</a></p>— Stanis Bujakera Tshiamala (@StanysBujakera) <a href="https://twitter.com/StanysBujakera/status/1586682806088138753?ref_src=twsrc%5Etfw">October 30, 2022</a></blockquote> <script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script> <p><br /></p><p>« D’après nos informations, ce qui s’est passé est la conséquence du comportement de l’organisateur. La Police, le Stade et l’organisateur s’étaient entendus sur un certain pourcentage au sujet du nombre de personnes qui devraient accéder au stade. L’organisateur est allé au-delà de 100%. Les gens étaient étouffés. Personne n’a été frappée », a déclaré Daniel Asselo Okito Wankoy.</p><p><br /></p><p>Et d’ajouter:</p><p><br /></p><p>« Ça doit cesser. L’organisateur doit être puni. Il sera recherché et sera arrêté et sanctionné. Il doit se présenter de lui-même pour s’expliquer ».</p><p><br /></p><p>Le Vice-premier ministre a par ailleurs félicité la Police qui, d’après lui, s’était comportée de manière professionnelle: « Si une grenade lacrymogène avait été lancée par la Police, on se sait pas ce qui se serait passé ».</p>

Justice Musique Politique 11 MORTS AU CONCERT DE FALLY IPUPA AU STADE DES MARTYRS : LE GOUVERNEMENT ANNONCE DES POURSUITES JUDICIARES CONTRE FALLY IPUPA

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RDC : Sans surprise ,liberté provisoire accordée à Vidiye Tshimanga (proches )

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiHcTWsXyYO4q9iKykXpTafebi66iumPUm3dc7sX0l53au5jO9szws2Qa3wdzGhMfmhuBRR7gxtWMcsTtYdfNNQ0f1JyeZSW4AS0cpiTezPY9Huh-34l0aDo65nwZiV0_w8NPgPMsth6Vc91T_CbeoWg76fxbGBQtBfHkIFgX9xWklaeOQL1zu_FTN3Q/s840/Vidiye%20Tshimanga%20corruption-1663484326%20(1).jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="470" data-original-width="840" height="224" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhiHcTWsXyYO4q9iKykXpTafebi66iumPUm3dc7sX0l53au5jO9szws2Qa3wdzGhMfmhuBRR7gxtWMcsTtYdfNNQ0f1JyeZSW4AS0cpiTezPY9Huh-34l0aDo65nwZiV0_w8NPgPMsth6Vc91T_CbeoWg76fxbGBQtBfHkIFgX9xWklaeOQL1zu_FTN3Q/w400-h224/Vidiye%20Tshimanga%20corruption-1663484326%20(1).jpeg" width="400" /></a></div><br /><p></p><p>Vidiye Tshisekedi serait bénéficiaire d’une liberté provisoire lui accordée par le tribunal de grande instance de Kinshasa – Gombe.</p><p><br /></p><p>Éclaboussé dans une affaire de corruption et trafic d’influence dans l’acquisition des licences minières pour les investisseurs en échange d’une participation dans une coentreprise, l’ancien conseiller de Tshisekedi avait démissionné afin d’avoir toute la liberté de dénoncer et lever le voile sur les commanditaires de ce qu’il qualifie de « machination » et ainsi démontrer, preuves à l’appui, les manipulations et détournements de ses propos. Il avait évoqué aussi une voie d’éthique face au scandale le concernant.</p><p><br /></p><p>Dans l’une des vidéos publiée par Le TEMPS, Vidiye Tshimanga propose aux investisseurs de s’associer avec sa société congolaise, la COBAMIN.</p><p><br /></p><p>Dans sa version, Vidiye Tshimanga a expliqué que le contenu entier de l’enregistrement rendu public aurait été saucissonné et sorti de son contexte.</p>

Justice Politique RDC : Sans surprise ,liberté provisoire accordée à Vidiye Tshimanga (proches )

  Vidiye Tshisekedi serait bénéficiaire d’une liberté provisoire lui accordée par le tribunal de grande instance de Kinshasa – Gombe. Éclabo...

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Affaire Vidiye Tshimanga: s’achemine-t-on vers le scénario du procès des 100 jours ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkEtLzZpubp1HQjMjM-ZGD7kCiPQfurNxxDJb6jQHrJRQ50OSmJwjY_-M-XcneQQI1JXkVw-p-NK-L3TiQeGplwnJ1A7vyEBwCAhNjflm4z5cVvG9v_97DqAW_fiUOp55V0dOd75upgOQKPoTYVsIjPxV4peHBmzQCYV3eiYV2IOIEP9yn7vv_SaPAow/s640/maxresdefault%20(4).jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="360" data-original-width="640" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkEtLzZpubp1HQjMjM-ZGD7kCiPQfurNxxDJb6jQHrJRQ50OSmJwjY_-M-XcneQQI1JXkVw-p-NK-L3TiQeGplwnJ1A7vyEBwCAhNjflm4z5cVvG9v_97DqAW_fiUOp55V0dOd75upgOQKPoTYVsIjPxV4peHBmzQCYV3eiYV2IOIEP9yn7vv_SaPAow/w400-h225/maxresdefault%20(4).jpg" width="400" /></a></div><br /> <em style="box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;">Après audition au Parquet général de KInshasa/Gombe, l’ex-Conseiller de Félix Tshisekedi en matière des questions stratégiques, a passé sa première nuit hier à Makala.</span></em><p></p><p class="has-text-align-justify" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;">Vidiye Tshimanga a été placé hier mercredi 21 septembre sous mandat d’arrêt provisoire. Des sources proches du Parquet général près la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe et son avocat ont confirmé que l’ancien conseiller de Félix Tshisekedi en charge des questions stratégiques n’est plus rentré à son domicile après s’être présenté devant le Procureur.</span><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;"></span></p><p class="has-text-align-justify" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;">Les mêmes sources affirment également que Vidiye Tshimanga a été bel et bien auditionné hier pendant plusieurs heures. Il aurait été question, pour le magistrat d’enquêter sur des faits constitutifs de prévention de corruption présumée.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;">Ombre du procès des « 100 jours « </span></p><p class="has-text-align-justify" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;">Dans l’opinion, les Congolais ont encore frais en mémoire le procès dit  » des 100 jours  » qui, telle une montagne, a accouché d’une souris, après tous les bruits qu’il y a eus autour. L’affaire Vidiye Tshimanga va-t-elle se terminer de la même manière ? C’est-à-dire selon un scenario bien connu des Congolais, qui va de l’interpellation avec tapage médiatique à l’élargissement surprise, en passant notamment par l’embastillement, la libération provisoire pour cause de  » maladie  » et le procès. La question que l’on se pose aujourd’hui, est celle de savoir si cette fois-ci, la Justice ira jusqu’au bout. En des termes plus clairs, est-ce qu’on va dire le droit sans interférences politiques ?</p><p class="has-text-align-justify" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;">Il est un fait que le procès dit de « <em style="box-sizing: border-box;">100 jours</em> » a laissé un goût d’inachevé, comme les sont jusqu’à ce jour les maisons préfabriquées. Bien malin qui pourrait dire qui a finalement détourné des millions de dollars du contribuable congolais. Après la libération de Vital Kamerhe, on ne sait même plus où on en est de cette affaire. La faute manifestement aux pesanteurs politiques qui ont plombé jusqu’à frelater la logique judiciaire.</p><p class="has-text-align-justify" style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px; text-align: justify;">Tels des chats échaudés, nombre de Congolais craignent que ce qu’il convient déjà d’appeler l’affaire Tshimanga ressemble à la saga procès « <em style="box-sizing: border-box;">100 jours</em>« . Trêve de procès d’intention.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;">Test pour les autorités judiciaires </span> </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;">Reste qu’au seuil de nominations au sein de l’appareil judiciaire, cette énième affaire constitue un test pour la justice que tout le monde veut indépendante. En particulier pour l’actuel Procureur général près la Cour de cassation, un homme dont on connait la rigueur, la rectitude.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;">Pour rappel, cette vidéo renferme tout ce que l’UDPS décrie officiellement matin, midi et soir. D’après plusieurs extraits de différents entretiens, en visioconférence et en présentiel, Vidiye Tshimanga aurait eu des entretiens avec des personnes qui se sont présentées comme des « <em style="box-sizing: border-box;">investisseurs</em>« . Le conseiller de Fatshi explique le rôle qu’il joue auprès de ce dernier et dit clairement à ses interlocuteurs qu’il peut les aider à obtenir des contrats miniers. Il met en avant sa proximité avec le Chef de l’Etat, déclare avoir financé sa campagne présidentielle. Il ne s’arrête pas là. Il dit aussi que s’ils font affaire ensemble, ils vont gagner de l’argent et qu’ils vont partager les parts de la société qu’ils vont monter ensemble…</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;">Vidiye Tshimanga devrait être jugé. L’Association congolaise pour l’accès à la Justice recommande au Procureur général près la cour de Cassation d’ordonner une enquête judiciaire crédible et exhaustive.</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #7a7a7a; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 16px; margin-bottom: 0.9rem; margin-top: 0px;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: bolder;">Rachidi MABANDU et Didier KEBONGO</span></p>

Justice Politique Affaire Vidiye Tshimanga: s’achemine-t-on vers le scénario du procès des 100 jours ?

  Après audition au Parquet général de KInshasa/Gombe, l’ex-Conseiller de Félix Tshisekedi en matière des questions stratégiques, a passé sa...

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RDC : Vidiye Tshimanga placé sous mandat d’arrêt provisoire

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT1BrKmLIj7-FYZm9yqWGjH_NbZCpfW6laeI6L69Ho3hBqvXXVbGvT9AcreDvXDcqV9DfDzuyOiJDYiO2UIAYD6KUunGhIM8D5Hy49OZNYp9t6yfNiRWRNOGRPpe3H6Bfp-QJXnua0jpXuT-U1yIbNpiwtK6VExuj8cWPw4AEfCY7Sb_oHL8ClRmOpcQ/s840/Vidiye%20Tshimanga%20corruption-1663484326.jpeg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="470" data-original-width="840" height="224" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT1BrKmLIj7-FYZm9yqWGjH_NbZCpfW6laeI6L69Ho3hBqvXXVbGvT9AcreDvXDcqV9DfDzuyOiJDYiO2UIAYD6KUunGhIM8D5Hy49OZNYp9t6yfNiRWRNOGRPpe3H6Bfp-QJXnua0jpXuT-U1yIbNpiwtK6VExuj8cWPw4AEfCY7Sb_oHL8ClRmOpcQ/w400-h224/Vidiye%20Tshimanga%20corruption-1663484326.jpeg" width="400" /></a></div><br /> <br /><br /> L’ancien conseiller stratégique de Félix Tshisekedi, Vidiye Tshimanga, a été placé sous mandat d'arrêt provisoire mercredi 21 septembre soir et conduit à la prison centrale de Makala à Kinshasa. Au terme d'un long interrogatoire, soit de 11 à 18 heures au parquet général près la cour d'appel de Kinshasa-Gombe, il a été invité à répondre aux questions se rapportant aux faits constitutifs de la prévention de corruption.<br /><br />Vidiye Tshimanga est en effet au cœur d'un scandale le mêlant à une tentative de trafic d'influence auprès de supposés investisseurs dans les mines.<br /> <iframe src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=476&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fsangoyacongo1%2Fvideos%2F1211033242809316%2F&show_text=false&width=262&t=0" width="262" height="476" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen="true" allow="autoplay; clipboard-write; encrypted-media; picture-in-picture; web-share" allowFullScreen="true"></iframe> <br />Il a démissionné de son poste le vendredi 16 septembre, à la suite d’une série des vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux, où il s’entretient avec ces supposés investisseurs. Ces derniers l’ont filmé à son insu.<br /><br />Dans une vidéo publiée par ''Le Temps", un média suisse, on l'a montré en train de promettre à ses interlocuteurs la sécurité, leur demandant en contrepartie une commission de 20% sur les futures opérations.<br /><br />Les avocats de l’ex-conseiller, approchés par Radio Okapi à l'issue des auditions, ont refusé de s'exprimer.<br /><br />Quant à l'Agence de prévention et de la lutte contre la corruption, elle confirme avoir ouvert une enquête à l’encontre de Vidiye Tshimanga.

Justice Politique RDC : Vidiye Tshimanga placé sous mandat d’arrêt provisoire

L’ancien conseiller stratégique de Félix Tshisekedi, Vidiye Tshimanga, a été placé sous mandat d'arrêt provisoire mercredi 21 septem...

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Démission ou fuite en avant ? /VidiyeTshimangagate : Noël Tshiani exige un procès équitable !

<p> </p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXlFdujLrub3-iuFIHU74AG1h0Ul3H1cweIv94Q6nSru64R0cxRnEMPdz1y8dGjW9h3Rq12dDKDOUjrQlzJyWnirRMJyhzJNDcWEHl0XChk6IokNDaW7g1R5XWlDvlbn6eXEQHF-C7-xjiioUnGVM6fkOM7OFtz9Zdf3uS99NVFsgCPeOP0Ih1ng0Hzg/s678/a-conserver-pour-le-blanc-en-arriC3A8re-plan.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="678" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXlFdujLrub3-iuFIHU74AG1h0Ul3H1cweIv94Q6nSru64R0cxRnEMPdz1y8dGjW9h3Rq12dDKDOUjrQlzJyWnirRMJyhzJNDcWEHl0XChk6IokNDaW7g1R5XWlDvlbn6eXEQHF-C7-xjiioUnGVM6fkOM7OFtz9Zdf3uS99NVFsgCPeOP0Ih1ng0Hzg/w400-h266/a-conserver-pour-le-blanc-en-arriC3A8re-plan.jpeg" width="400" /></a></div><br />Les propos tenus dans les vidéos qui circulent sur internet et dans l’article publié par le média suisse Le Temps sont plus que gravissimes pour susciter la curiosité des instances judiciaires congolaises et internationales. <p></p><p><br /></p><p>Les suggestions des  fuites des capitaux vers les paradis fiscaux sont plus que scandaleux et nécessitent des suivis au niveau national et international pour plus de lumières et d’actions afin de remettre le peuple souverain désabusé  dans ses droits. Mais,  s’il y a poursuites judiciaires, le tout doit se faire en respectant la dignité et la présomption d’innocence de l’intéressé et en suivant les lois du pays et les règles en la matière’’, soutient, à haute voix, Noël Tshiani, à l’aune d’une interview accordée exclusivement à La Prospérité  hier, tard dans la soirée.</p><p><br /></p><p>Interview</p><p><br /></p><p>Vidiye Tshimanga a été pris la main dans le sac à en juger par des vidéos faites par des investisseurs étrangers potentiels. Quelle est votre lecture de ces vidéos et des actes posés par ce Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en charge des questions stratégiques ?</p><p><br /></p><p>Si ces vidéos sont authentiques, la situation est gravissime et pathétique. Elles révèlent le manque d’intégrité, la mauvaise gouvernance, les conflits d’intérêts, la corruption à grande échelle, la cupidité, la prédation des ressources naturelles et des minerais, la prévalence des intérêts privés sur l’intérêt national et la perversion des valeurs. C’est tout ce qu’il ne faut pas faire au sommet de l’Etat. En écoutant les propos de Vidiye Tshimanga dans ses œuvres à travers ces vidéos, ce qui est intriguant est que l’homme était Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en charge des « Questions Stratégiques». On est en droit de se demande quelles stratégies il conseillait au Chef de l’Etat?</p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;">Très franchement, je ne sais pas s’il s’agit d’une démission ou d’une fuite en avant. VidiyeTshimangagate n’est qu’un arbre qui cache la forêt. Si l’on coupe l’arbre, la forêt demeurera et le problème reste entier. Les fléaux identifiés ci-dessus ne disparaissent pas avec la démission de l’un des milliers de conseillers du Chef de l’Etat. Le mal est très profond et a une peau très dure pour résister aux secousses passagères. Je pense que le Chef de l’Etat aurait dû révoquer ce conseiller spécial au lieu d’accepter sa démission. Ne pas le faire montre que le Chef de l’Etat ne lutte pas énergiquement contre ces antivaleurs dans son cabinet et dans les institutions de la République.  Le fait que le Chef de l’Etat n’ait rien dit après que ces faits troublants aient été dévoilés par le journal suisse « Le Temps » est très préoccupant d’autant plus que ce scandale menace la crédibilité et la survie de son régime. </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">Que faut-il faire pour éradiquer ces fléaux et le syndrome Vidiye Tshimanga définitivement ?</strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;">La lutte contre les antivaleurs doit être institutionnalisée et permanente. Il n’y a pas d’autres alternatives que de faire triompher l’Etat de droit dans toutes ses dimensions de façon à prévenir les fléaux avant qu’ils ne se produisent, attraper les récalcitrants lorsqu’ils transgressent les lois et les règles, et sanctionner lorsqu’on trouve ces récalcitrants coupables des violations des lois. Sans état de droit appliqué à tous sans exception, les êtres humains se comportent comme dans la jungle en commettant toute une variété des violations des lois au détriment de l’intérêt général. </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">Faut-il traduire Vidiye Tshimanga en justice ? </strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;">Les propos tenus dans les vidéos qui circulent sur internet et dans l’article publié par le média suisse Le Temps sont plus que gravissimes pour susciter la curiosité des instances judiciaires congolaises et internationales. Les suggestions des  fuites des capitaux vers les paradis fiscaux sont plus que scandaleux et nécessitent des suivis au niveau national et international pour plus de lumières et d’actions afin de remettre le peuple souverain désabusé  dans ses droits. Mais,  s’il y a poursuites judiciaires, le tout doit se faire en respectant la dignité et la présomption d’innocence de l’intéressé et en suivant les lois du pays et les règles en la matière. </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"></strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">Vidiye Tshimanga a affirmé qu’il avait financé la campagne électorale du Président Tshisekedi. Ne faut-il pas comprendre ses agissements comme une façon de récupérer son argent investi pendant la campagne ?</strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;">Je pense que la RDC doit avoir des lois sur le financement des élections et campagnes des candidats à la présidence, à la députation, au sénat et à tous les autres niveaux. Sans des lois qui défissent les règles du jeu électoral, le pays reste ouvert à toute sorte de manipulation d’argent salle qui crée des situations de conflits d’intérêts privés au détriment de l’intérêt national. </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">*Noël K. Tshiani Muadiamvita est Professeur des Universités et Initiateur de la proposition de loi de père et de mère. Il est l’Auteur du Plan Marshall de Noël Tshiani pour la Reconstruction et le Développement de la RDC. Il fut Candidat à l’élection présidentielle de 2018.</strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;"></strong></p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #313131; font-family: "Libre Franklin", serif; font-size: 15px; line-height: 1.8; margin: 0px 0px 17px; outline: none; padding: 0px;"><strong style="box-sizing: border-box; margin: 0px; outline: none; padding: 0px;">LPM</strong></p>

Justice Politique Démission ou fuite en avant ? /VidiyeTshimangagate : Noël Tshiani exige un procès équitable !

  Les propos tenus dans les vidéos qui circulent sur internet et dans l’article publié par le média suisse Le Temps sont plus que gravissime...

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Procès Kabund : L'affaire renvoyée au 12 septembre

<h2 style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Roboto, sans-serif; font-size: 2.2em; line-height: 1.1; margin-bottom: 10px; margin-top: 20px; text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj69U2MDbJwbtgWc5pQNcVIQ_dLUb9inSNqcCUl1SSTzeglAgGAozinF_mI75x_65JyowFh-aZTetrt4x0xJjP4IXlkpOjNWCzHx3_kwFIuJtE-Y-NOUNP9yq8a7sWUEFrfiIpZsMdRLVelVhkjqXWzOIQL2rF1nkp3ycMOe2wGp1kXTMCV0DOxeKfJBQ/s1280/FaEHLfjWAAMNcSH.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj69U2MDbJwbtgWc5pQNcVIQ_dLUb9inSNqcCUl1SSTzeglAgGAozinF_mI75x_65JyowFh-aZTetrt4x0xJjP4IXlkpOjNWCzHx3_kwFIuJtE-Y-NOUNP9yq8a7sWUEFrfiIpZsMdRLVelVhkjqXWzOIQL2rF1nkp3ycMOe2wGp1kXTMCV0DOxeKfJBQ/w400-h225/FaEHLfjWAAMNcSH.jpg" width="400" /></a></div><br />La première audience du procès opposant le ministère public au député national Jean-Marc Kabund-A-Kabund a eu lieu ce lundi 05 septembre 2022 à la Cour de cassation. </h2><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;">Les avocats de l'ancien président intérimaire de l'UDPS/Tshisekedi ont, de prime abord, demandé l'exécution de l'ordonnance portant assignation de leur client à résidence surveillée. </p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px; text-align: justify;"><p style="box-sizing: border-box; line-height: 2; margin: 0px;">« <em style="box-sizing: border-box;">Nous avons posé des préalables. Le premier, c'est l'exécution de l'ordonnance qui a été rendue le 12 août à la Cour de cassation qui assigne le président Jean-Marc Kabund à résidence surveillée. Il se fait que jusqu'aujourd'hui, l'ordonnance n'est toujours pas exécutée. On a demandé à la Cour de se prononcer quant à ce. En ce qui concerne ce premier préalable, la Cour ne s'est pas prononcée. Pour ce qui est du deuxième préalable, c'est la remise qui a été sollicitée pour 3 semaines. Au lieu de 3 semaines, la Cour a renvoyé l'affaire à une semaine</em> », a expliqué Me Emmanuelli Kahaya, l'un des avocats de Kabund. </p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;">Il a justifié leur position par le fait que J-M Kabund bénéficie toujours de son statut de député national. </p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px; text-align: justify;"><p style="box-sizing: border-box; line-height: 2; margin: 0px;">« <em style="box-sizing: border-box;">Jean Marc Kabund continue de bénéficier du statut de député national. Sa place est dans une résidence surveillée. On a évoqué tout simplement que la résidence est une notion qui relève du droit civil et que la prison relève du droit pénitentiaire. Il est député. Pourquoi doit-il être toujours à Makala ? La citation à prévenu crée encore une confusion en reprenant qu'il est en détention préventive avec assignation à résidence. C'est la confusion</em> », a-t-il dit. </p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;">S'agissant de l'argument évoqué par le ministère public sur le quitus du ministère de l'Intérieur pour la mise à résidence surveillée de leur client, Me Kahaya s'est inscrit en faux contre cette manière de voir les choses. </p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px; text-align: justify;"><p style="box-sizing: border-box; line-height: 2; margin: 0px;">« <em style="box-sizing: border-box;">C'est une mauvaise direction. Le ministère de l'intérieur n'a rien à voir avec cette affaire. Peut-être quand il s'agirait d'une exécution de l'ordonnance, le ministère public ferait mieux de prendre la réquisition pour obtenir peut-être l'appui du ministère de l'intérieur pour les policiers qui doivent être commis à cette résidence surveillée. Jusqu'ici on est en train de patauger. Vous pensez que nous allons accepter qu'on amène l'honorable Kabund à la guillotine ? Ce n'est pas du bétail qu'on va devoir amener à l'abattoir. C'est un sentiment du désespoir parce que nous sommes en face d'un litige. Ce litige est que cette ordonnance est en souffrance</em> », a-t-il fait remarquer. </p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;">Au cours de cette audience, les avocats de Kabund ont aussi déploré l'illisibilité des procès-verbaux de l'instruction préjuridictionnelle. </p><blockquote style="background-color: white; border-left: 5px solid rgb(238, 238, 238); box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 17.5px; margin: 0px 0px 20px; padding: 10px 20px; text-align: justify;"><p style="box-sizing: border-box; line-height: 2; margin: 0px;">« <em style="box-sizing: border-box;">Depuis que l'affaire a commencé au niveau du parquet général près la Cour de cassation, il faut relever que le ministère public a fait usage du carbone. C'est ce qui a créé la confusion. Nous sommes à l'ère du numérique, on ne peut pas continuer à utiliser le carbone. Au-delà de tout, vous devez retenir que la levée copie des pièces a été faite au greffe de la Cour de cassation. Donc, il ne nous appartient pas de pouvoir justifier l'illisibilité de ces PV</em> », a expliqué Me Kahaya. </p></blockquote><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px 0px 20px; text-align: justify;">Il sied de noter que J-M Kabund est poursuivi pour outrage au gouvernement, outrage au parlement, offense au chef de l’État et propagation des faux bruits. </p><p style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: Lato; font-size: 18px; line-height: 2; margin: 0px; text-align: justify;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;">Merveil Molo</span></p>

Justice Politique Procès Kabund : L'affaire renvoyée au 12 septembre

La première audience du procès opposant le ministère public au député national Jean-Marc Kabund-A-Kabund a eu lieu ce lundi 05 septembre 202...

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Félix Tshisekedi reçoit le serment des trois nouveaux juges de la Haute Cour

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilbKjEY5zl3SmM6k9O_kkEnQxSs6ejKR4bOq5ICy8zxeUf-MNb1EteEmouvqWcB9lcOsdmUuNj3t-8AQv54hVZJ3a7Ts8kxnEJooUmr5zL8feKsR2OWy3RrUenTIpAssjVapIaSeNg2-dbsyt6dO4_ZHbXUHz2SMaNtFuw9H9NHJPtnh9kN061FNJboQ/s1118/Snapshot_710.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="884" data-original-width="1118" height="253" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilbKjEY5zl3SmM6k9O_kkEnQxSs6ejKR4bOq5ICy8zxeUf-MNb1EteEmouvqWcB9lcOsdmUuNj3t-8AQv54hVZJ3a7Ts8kxnEJooUmr5zL8feKsR2OWy3RrUenTIpAssjVapIaSeNg2-dbsyt6dO4_ZHbXUHz2SMaNtFuw9H9NHJPtnh9kN061FNJboQ/s320/Snapshot_710.jpg" width="320" /></a></div>Les juges de la Cour constitutionnelle et les membres du Parquet près cette Cour, prêtent serment ce mercredi 15 juin devant le Président Félix Tshisekedi. La cérémonie aura lieu au Palais du peuple, en présence des députés nationaux et des sénateurs réunis en Congrès. C’est ce qu’ont annoncé hier mardi, les speakers de l’Assemblée nationale et du Sénat, à l’issue de la plénière de leurs chambres respectives.<br /><br />En l’espèce, il s’agit de l’ancien sénateur Dieudonné Mandza Andie, désigné par le congrès, le samedi 28 mai dernier pour remplacer le défunt Polycarpe Mongulu T’Apangane, décédé le 8 avril de l’année en cours. Les deux autres nouveaux hauts magistrats sont ceux respectivement désignés par le Président de la république et le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM). Ces derniers viennent en remplacement de l’ancien Président de la Cour constitutionnelle et du CSM, Dieudonné Kaluba Dibwa et du juge Prince Funga Molima. Leur mandat ayant pris fin à l’issue d’un tirage au sort le 10 mai dernier, après les trois premières années d’exercice. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Si le successeur du défunt Polycarpe Mongulu est déjà archiconnu de l’opinion, en tout cas ce n’est pas le cas des deux autres. Dès lors que leur désignation s’est faite en toute discrétion des institutions mandantes, à savoir le Président de la république et le CSM, il va donc de soi que le public ne les découvre qu’au cours de la solennité prévue de mercredi au Palais du peuple.<br /><br />Conformément à l’article 158 de la constitution du 18 février 2006, « la Cour constitutionnelle comprend neuf membres nommés par le Président de la République dont trois sur sa propre initiative, trois désignés par le Parlement réuni en Congrès et trois désignés par le Conseil supérieur de la magistrature. Les deux tiers des membres de la Cour Constitutionnelle doivent être des juristes provenant de la magistrature, du barreau ou de l’enseignement universitaire ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En ce qui concerne les missions dévolues à cette Cour de juridiction constitutionnelle, l’article 164 de la Constitution dispose qu’elle est le juge pénal du Président de la République et du Premier ministre pour des infractions politiques de haute trahison, d’outrage au Parlement, d’atteinte à l’honneur ou à la probité ainsi que pour les délits d’initié et pour les autres infractions de droit commun commises dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions. Elle est également compétente pour juger leurs co-auteurs et complices.<br /><br />Par ailleurs, la Cour constitutionnelle est le juge du contentieux des élections présidentielles et législatives ainsi que du référendum.<br />ELECTION D’UN NOUVEAU PRESIDENT<br /><br />A la faveur de la cérémonie de prestation de serment annoncée pour ce mercredi, on peut inférer que la Haute cour affiche désormais complet. Dès lors, Il appartiendra à la composition d’élire le nouveau Président de leur institution. Sur pied de l’article 158 alinéa 4 de la Constitution, ce dernier est élu par ses pairs pour une durée de trois ans renouvelable une seule fois. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Par contre, le mandat des membres de la Cour constitutionnelle est de neuf ans non renouvelable. En ce qui concerne le fonctionnement de la Haute Cour le constituant dispose qu’« elle est renouvelée par tiers tous les trois ans. Toutefois, lors de chaque renouvellement, il sera procédé au tirage au sort d’un membre par groupe ».<br />UNE CLOTURE DE SESSION CHARGEE AU SENAT<br /><br />Coïncidence de calendrier, la cérémonie de prestation des juges de la Haute Cour ce mercredi, tombe à la clôture de la première session ordinaire du Parlement, constitutionnellement prévue pour le 15 juin de chaque année. Autant dire qu’aussitôt après le Congrès, les deux chambres parlementaires devront regagner leurs salles respectives de plénières pour un ultime acte, avant la cérémonie officielle de clôture.<br /><br />Au sénat, la journée de ce mercredi ne sera sans doute pas de tout repos. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Car, après le Congrès, le journal du protocole annonce plusieurs matières à traiter en plénière. D’abord, l’examen et adoption du projet de loi d’habilitation du Gouvernement. Ensuite, l’examen et adoption de six projets de loi. A savoir, le projet de loi autorisant la ratification des Résolutions n°271 et 272 du Conseil des Gouverneurs de la Société financière internationale (SFI); le projet de loi autorisant la ratification des résolutions n°663 et 664 du Conseil des Gouverneurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement.<br /><br />S’ajoutent à ces premiers projets de loi, celui autorisant l’adhésion de la RD Congo à l’Accord du 28 mai 2007 relatif à l’établissement d’Africa Finance Corporation (AFC) et le projet de loi portant reddition des coptes de l’exercice 2021. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il s’en suivra également l’audition du Rapport de la Commission mixte paritaire sur trois initiatives législatives. A savoir, la loi modifiant et complétant la loi n°06/006 du 09 mars 2006 portant organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, municipales et locales ; loi portant protection et promotion des droits des peuples autochtones pygmées et la loi portant régime spécial de sécurité sociale des agents publics de l’Etat.<br /><br />Grevisse KABREL<br />Forum des as<p> </p>

Justice Félix Tshisekedi reçoit le serment des trois nouveaux juges de la Haute Cour

Les juges de la Cour constitutionnelle et les membres du Parquet près cette Cour, prêtent serment ce mercredi 15 juin devant le Président Fé...

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L'artiste musicien Ferré Gola condamné et détenu à Paris (Avocat)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0EHlV2-lhoBe0LQS4N3T9dQNz9I9MVYfyKx410EAT3kTqY4sK7I9MD83hpvx-umtBGsyyPZytXSQJWFui9ZQRHLerXvn7ezDWVRqOq1fFuh3PCIqYaqBsT6Q3SJBOQONrRQ1UJ8YIVrThEweXE4EQLRir3lqomun-ji9OWm3uF99DJ6rQROJN4t3JCA/s795/Snapshot_575.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="441" data-original-width="795" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0EHlV2-lhoBe0LQS4N3T9dQNz9I9MVYfyKx410EAT3kTqY4sK7I9MD83hpvx-umtBGsyyPZytXSQJWFui9ZQRHLerXvn7ezDWVRqOq1fFuh3PCIqYaqBsT6Q3SJBOQONrRQ1UJ8YIVrThEweXE4EQLRir3lqomun-ji9OWm3uF99DJ6rQROJN4t3JCA/s320/Snapshot_575.jpg" width="320" /></a></div> "L'artiste musicien Ferré Gola est en détention à Paris en France. Contrairement à ce qui se raconte sur les réseaux sociaux, il est arrêté pour une affaire privée, familiale. Ferré Gola a été condamné par défaut", confirme, à top congo fm, son avocat Me Hugues Matadi.<br /><br />Qui refuse cependant de dévoiler la peine infligée à l'artiste musicien Ferré Gola parce que "les gens aiment bien spéculer. C'est une condamnation, mais elle ne peut pas faire peur".<br /><br />Il rassure que "toutes les dispositions ont été prises. Mes confrères qui sont à Paris ont pris le relais pour dire aux juges qu'il n'a jamais refusé de se présenter, mais qu'il n'avait jamais reçu d'invitations parce qu'il avait changé d'adresse".<br /><br />Que s'est-il passé ?<br /><br />"C'est une affaire qui date de 2013. Il a voulu ramener sa fille à la raison. Mais, cela a été mal pris à l'école. On lui avait envoyé des invitations. Malheureusement, Ferré Gola avait changé d'adresse. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Mais la justice continuait à envoyer les invitations à son ancienne adresse. Estimant qu'il a refusé de se présenter, il a été condamné par défaut".<br /><br />Me Hugues Matadi révèle que"'à l'époque des faits, sa fille était mineure. Elle avait 13 ans. Les assistants sociaux ont porté cette affaire devant la justice pour voir s'il y avait un manquement de parent vis-à-vis de l'enfant. Et l'affaire a été relancée pendant la période de Covid et l'artiste était au pays et n'a pas pu se rendre en France".<br /><br />Son avocat demande "à la ministre de la culture de s'impliquer. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Ferré Gola est l'un des ambassadeurs de notre culture. Le soutien du ministère de la culture est important".<br /><br />Il remercie aussi tous ses collègues artistes musiciens pour cet élan de solidarité avec des messages de soutien principalement relayés sur les réseaux sociaux.<br /><br />En route pour un concert privé en Guinée, Ferré Gola avait été interpellé à l'aéroport de Paris-Orly en France.<br />Barick Bwematelwa<br />Top Congo Fm<p></p>

Justice Musique L'artiste musicien Ferré Gola condamné et détenu à Paris (Avocat)

"L'artiste musicien Ferré Gola est en détention à Paris en France. Contrairement à ce qui se raconte sur les réseaux sociaux, il e...

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Quelles charges pèsent contre François Beya, ex-conseiller sécurité du président?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNxwAI0-r3AE5zLCHJRqkH3eMs_LeYluhS4tEilY8Zc_huah87Vfjg4S2OtQ2GtSw6YCs-3xcFUukXmEDtpMThi0kyLPV2FBFcN9ONwqImeHYulGqb-IsJyB2ZyqA0yUR0-WpweRkCa4ij2HNa6rDg9kDVS3tvA1_FnqhL6Ju-N00JDa5pQDR6Z2UhXQ/s619/Snapshot_668.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="343" data-original-width="619" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNxwAI0-r3AE5zLCHJRqkH3eMs_LeYluhS4tEilY8Zc_huah87Vfjg4S2OtQ2GtSw6YCs-3xcFUukXmEDtpMThi0kyLPV2FBFcN9ONwqImeHYulGqb-IsJyB2ZyqA0yUR0-WpweRkCa4ij2HNa6rDg9kDVS3tvA1_FnqhL6Ju-N00JDa5pQDR6Z2UhXQ/s320/Snapshot_668.jpg" width="320" /></a></div>François Beya, ancien conseiller spécial du président congolais Felix Tshisekedi en matière de sécurité sera devant les juges de la haute cour militaire, ce vendredi matin à Kinshasa. Lui et ses 5 co-accusés sont poursuivis pour avoir, entre 2020 et début février 2022, « participé à un complot en vue d’atteinte contre la personne du président de la République ». Quelles charges pèsent contre cet homme qui a servi tous les précédents régimes congolais?<br /><br />Le procureur militaire affirme d’abord que François Beya, sans autorisation du ministère de la Défense et de la Présidence aurait ordonné à un colonel, chef de son protocole, d’acheter du matériel militaire auprès d’une société belge : « trois tenues militaires, un polo militaire, un sac à dos, une paire de bottines et deux ceinturons ». <br /><br /><br />L’accusation la plus étayée par le procureur militaire porte sur des liens qu’avaient maintenu François Beya et certaines figures controversées de l’entourage de l’ancien président Joseph Kabila. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />En 2021, il se serait rendu à Harare, au Zimbabwe pour y rencontrer en personne le général fugitif John Numbi, l’ancien inspecteur général de l’armée et principal suspect dans l'assassinat de deux défenseurs des droits de l'homme, Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.<br /><br />L’auditorat militaire soupçonne aussi John Numbi de s’activer au recrutement d’anciens miliciens congolais refugiés en Angola et en Namibie pour renverser le régime en place.<br /><br />Le procureur militaire retient contre François Beya le fait de s’être abstenu de livrer au président des informations « sur des projets ou actes de trahison ou d’espionnage ». <br /><br />En guise d’exemple, la citation à comparaître fait allusion aux « actes préparatoires de déstabilisation du pouvoir de Kinshasa à partir de la Tanzanie suite à la mutualisation des forces entre la RDC et l’Ouganda ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />L’ancien patron de la sécurité nationale aurait aussi dissimulé, selon l’accusation, l’existence d’un réseau d’infiltration des miliciens Bakata Katanga dans les grandes villes du Katanga. Le procureur parle aussi de propos injurieux qu’auraient tenus François Beya à l’encontre du chef de l’État. Pour cette charge, il dispose des messages audio.<br /><br />Ses avocats n’ont pas souhaité s’exprimer avant l’ouverture du procès.<br /><br />RFI<p> </p>

Justice Quelles charges pèsent contre François Beya, ex-conseiller sécurité du président?

François Beya, ancien conseiller spécial du président congolais Felix Tshisekedi en matière de sécurité sera devant les juges de la haute co...

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Affaire François Beya : sur ordre de l’ex chef du CNS, « un commissariat de police suspect dénommé IDJUI a été créé dans sa ferme privée » à Mont Ngafula

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_0KLDs_E1jaqNJPngAJ-YSbqzWaroVCI0xgjhrTsLxBgPDzgRqSvmcJs2bsmY_QjdyUkRnsaz8bgnbkZCjtnphY46pm1Abi5wYUOMnD2MZe8ogj6WO2GlZeAzbQsYMGIZAJTI0Gd-nqs4w1EzoYfhuNk41iFqswFlisABCew392l3jshwUHgqMzzcEg/s853/hbgvcfcf.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="853" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_0KLDs_E1jaqNJPngAJ-YSbqzWaroVCI0xgjhrTsLxBgPDzgRqSvmcJs2bsmY_QjdyUkRnsaz8bgnbkZCjtnphY46pm1Abi5wYUOMnD2MZe8ogj6WO2GlZeAzbQsYMGIZAJTI0Gd-nqs4w1EzoYfhuNk41iFqswFlisABCew392l3jshwUHgqMzzcEg/s320/hbgvcfcf.png" width="320" /></a></div>C’est l’un des griefs qui tient au coup l’ancien spécial sécurité du président Tshisekedi dont le procès s’ouvre ce vendredi 03 juin à la Haute Cour Militaire, HCM délocalisée pour la circonstance à la prison centrale de Makala où séjourne depuis plus d’un mois déjà l’accusé.<div><br />À en croire un spécialiste du droit pénal, les faits tel que l’atteste l’acte d’accusation sont à la fois graves et gravissimes. François Beya Kasonga doit dire à la Cour le pourquoi de la création dans sa ferme privée de Mont Ngafula, d’un commissariat de police baptisé « IDJUI ». Suspect, explique le juriste au regard des fonctions assumées par le concerné. Beya Kasonga est un fin connaisseur des arènes sécuritaires du pays par où il est passé depuis Mobutu. L’homme serait cuit, il serait à la tête d’un groupe d’officiers sur qui il comptait pour ses sales besognes notamment, le renversement du régime qui passe par l’élimination physique du président de la République Félix Tshisekedi.<br /><br />Dans la foulée, pour ce qui ont suivi la tragédie du double assassinat de des défenseurs de droits de l’homme Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, « le mode opératoire relatif à la création d’un site ressemble à celui de Beya et ses hommes de mains ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Aussi, lorsque l’accusateur cite preuves à l’appui, les cas de contacts que l’ancien chef du CNS aurait avec John Numbi en fuite au Zimbabwe, le dossier se corse davantage. Cependant, fait remarquer l’interlocuteur du média non-aligné, la justice militaire doit batailler dur pour convaincre.<br /><br />Zamenga Odimbale<p> </p></div>

Justice Politique Affaire François Beya : sur ordre de l’ex chef du CNS, « un commissariat de police suspect dénommé IDJUI a été créé dans sa ferme privée » à Mont Ngafula

C’est l’un des griefs qui tient au coup l’ancien spécial sécurité du président Tshisekedi dont le procès s’ouvre ce vendredi 03 juin à la Ha...

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Congrès-Affaire désignation juge constitutionnel : les Parlementaires du FCC dénoncent des irrégularités et un hold-up électoral à l’horizon

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpe4Cxgv7omTZy_rxe6AW4QlJiU0kwqMIUqkcic6DCRJ_KsSiXG6BKMpHDl9g0F7k7LFq8YdZhfWEb-3Rp0Suf6K74-o1sfC0fMGz039qffkeva54VwivdievATKcLkOYKVcVU7uawNdfXep_q_KKw1t93YzWAXvyaG64hiI8qHErDnCnov54goMW6NQ/s904/Snapshot_512.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="516" data-original-width="904" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpe4Cxgv7omTZy_rxe6AW4QlJiU0kwqMIUqkcic6DCRJ_KsSiXG6BKMpHDl9g0F7k7LFq8YdZhfWEb-3Rp0Suf6K74-o1sfC0fMGz039qffkeva54VwivdievATKcLkOYKVcVU7uawNdfXep_q_KKw1t93YzWAXvyaG64hiI8qHErDnCnov54goMW6NQ/s320/Snapshot_512.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 27 mai 2022- Les députés nationaux et sénateurs du Front Commun pour le Congo (FCC), 48 au total, ont dans une déclaration signée ce vendredi, affirmé que le congrès convoqué ce jour sur la désignation du juge constitutionnel du quota Parlement se déroule en violation du règlement intérieur du Congrès en son article 42.<br /><br />Ils soulignent que le stipulé de cette disposition indique qu’une commission spéciale devrait être mise en place au préalable.<br /><br />“Loin d’être une simple formalité, ce dernier prévoit la création d’une commission composée des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat aux fins d’analyser les candidatures au poste de juge constitutionnel. Bien entendu, les critères prévus par la loi organique relative à la Cour ainsi que les lois et règlements doivent être respectés. Une fois le travail de la commission terminé et le candidat choisi, la plénière du Congres pourra être convoqué conformément au Règlement intérieur et aux usages pour confirmer le choix qui engagera tout le Parlement”, écrivent-ils. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />Pour eux, les correspondances entre les présidents deux chambres du Parlement est une illustration parfaite d’une bataille de positionnement d’un de leur au détriment du règlement établi et la jurisprudence.<br /><br />Ainsi, ils se disent non concernés par ce qu’ils qualifient de “mascarade” pour ne pas cautionner, disent-ils, une énième forfaiture de l’Union sacrée. <br /><br /><br />A les en croire, ce procéssus vise purement à porter un coup fourré au processus électoral pour dresser le lit d’un hold-up à l’horizon.<br /><br />Il convient de noter que la séance plénière du congrès a été momentanément suspendue après mise en place de la commission spéciale pour examiner le dossier de candidatures.<br /><br /><br />Au moins 36 membres issus du Sénat et de l’Assemblée nationale ont été désignés afin soumettre à la plénière le profil du candidat choisi avant son entérinement par la plénière. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Signalons que la candidature du sénateur Louis Mbonga Magalu a été validé après une discorde entre les deux Présidents du Parlement sur la désignation du remplaçant du juge constitutionnel Polycarpe Mongulu, décédé.<br /><br />Cédric BEYA<p></p>

Justice Congrès-Affaire désignation juge constitutionnel : les Parlementaires du FCC dénoncent des irrégularités et un hold-up électoral à l’horizon

Kinshasa, 27 mai 2022- Les députés nationaux et sénateurs du Front Commun pour le Congo (FCC), 48 au total, ont dans une déclaration signée ...

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