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Enfin Étienne Tshisekedi parle ( Discours d'Étienne Tshisekedi du 31 oct 2014 )

October 31, 2013

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Enfin Étienne Tshisekedi parle ( Discours d'Étienne Tshisekedi du 31 oct 2014 )

Britney Spears, l'arme secrète contre les pirates somaliens

October 31, 2013

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<a href="http://3.bp.blogspot.com/-VShB1QrXE6U/UnIoFCam3BI/AAAAAAAABHI/1KX3hj42sKE/s1600/Capture-decran-2013-10-29-a-10.jpeg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="200" src="http://3.bp.blogspot.com/-VShB1QrXE6U/UnIoFCam3BI/AAAAAAAABHI/1KX3hj42sKE/s400/Capture-decran-2013-10-29-a-10.jpeg" width="400" /></a></div>
<h2 class="subtitle" itemprop="alternativeHeadline" style="background-color: white; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 17px; margin: 0.83em 0px;">
PEOPLE – Qui aurait pu croire que Britney Spears ferait fuir des pirates somaliens ?Et pourtant, la chanteuse est une arme redoutable pour tenir les assaillants éloignés des bateaux naviguant au large de la côte ouest de l'Afrique.</h2>
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<div class="article-top title-on-top" style="background-color: white; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 17px; margin-bottom: 9px;">
<div class="image-component x-large">
<div class="caption-w full-width" style="border-bottom-style: none; font-size: 11px; padding: 0.3em 0px;">
<span style="color: #64625e; font-size: 13px;">Britney Spears est devenue, sans le vouloir, une arme de guerre. </span></div>
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<div class="article-main-wrapper" style="background-color: white; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 17px;">
<div class="article-left-wrapper title-on-top" style="border-right-color: rgb(178, 178, 178); border-right-style: solid; border-right-width: 1px; float: left; padding-right: 9px; width: 639px;">
<div class="article-full-width" style="width: 639px;">
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<div class="body-area" style="float: right; width: 639px;">
<div class="article-body" itemprop="articleBody">
<div style="font-size: 1.05em; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
Alors que les ventes d' armes de guerre se portent bien, les Britanniques ont eux, trouvé une arme plutôt insolite et très écologique pour lutter contre les pirates somaliens qui sévissent aux larges des côtes de la corne de l'Afrique.</div>
<div style="font-size: 1.05em; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
D'après Rachel Owens, officier de la marine marchande britannique à bord des super-pétroliers qui croisent au large de l'Afrique, il n'y a rien de mieux qu'un bon tube de Britney Spears pour faire fuir les terroristes des mers. Et avec 176 attaques de navires le long des côtes de la corne de l'Afrique en 2011, tous les moyens sont bons pour lutter contre ces pirates.</div>
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<b>Britney Spears, une arme efficace</b></div>
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Dans une interview accordée au <i><a href="http://www.sundaypost.com/news-views/uk/britney-s-our-secret-weapon-against-somali-pirates-1.146100" style="color: #0065ac; text-decoration: none;" target="_blank">Sunday Post</a></i>, l'officier est formelle : nul besoin de les menacer avec des armes, un simple passage de <i>"Baby One More Time"</i> à fond dans les hauts-parleurs des navires suffit à repousser les assaillants. "Ces chansons ont été choisies par l'équipe de sécurité car celle-ci pensait que les pirates les haïraient plus que tout", dit-elle. En effet, Britney Spears et sa musique catalyse tout ce que les pirates somaliens détestent : "ces gens haïssent la musique et la culture occidentale, donc c'est parfait", poursuit-elle. Et toujours selon l'officier de marine, "dès que les pirates entendent Britney, ils font demi-tour aussi vite qu'ils peuvent. "C'est tellement efficace que nos équipes n'ont plus besoin d'avoir recours aux armes", poursuit-Owens.</div>
<div style="font-size: 1.05em; margin-bottom: 1em; margin-top: 1em;">
L'utilisation de la musique pour faire fuir des assaillants est une pratique courante chez les forces de police américaines lors d'émeutes notamment. Quant à Britney Spears, on se souvient qu'elle était déjà utilisée <a href="http://www.franceinfo.fr/musique-guantanamo/la-scandaleuse-histoire-du-rock/quand-un-tube-de-britney-spears-participe-a-torturer-des-prisonniers-de-gua-1" style="color: #0065ac; text-decoration: none;" target="_blank">par les soldats américains à Guantanamo</a> dans le cadre de la torture auditive. Ses tubes étaient diffusés dans les hauts-parleurs des cellules afin de rendre fous les prisonniers. </div>
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Musique Politique Britney Spears, l'arme secrète contre les pirates somaliens

PEOPLE – Qui aurait pu croire que Britney Spears ferait fuir des pirates somaliens ?Et pourtant, la chanteuse est une arme redoutable pou...

Tshisekedi parle ce jeudi

October 31, 2013

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<a href="http://2.bp.blogspot.com/-gimG5pElsws/UnIQkwHdOMI/AAAAAAAABG4/t0dZHR-k8kE/s1600/1378590_618322748211584_1429687309_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="http://2.bp.blogspot.com/-gimG5pElsws/UnIQkwHdOMI/AAAAAAAABG4/t0dZHR-k8kE/s400/1378590_618322748211584_1429687309_n.jpg" width="267" /></a></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Une session de formation des cadres de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) est annoncée pour ce jeudi 31 octobre 2013 à la permanence de ce parti, sise sur la 10me Rue, dans la commune de Limete. Elle devrait porter sur le « Projet de société » de ce parti, tel que consigné dans ses textes fondateurs, actualisés lors de son Congrès de décembre 2010. La cérémonie d’ouverture est prévue à 13 heures.</b></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
 Selon des sources proches de son pré-carré, c’est Etienne Tshisekedi en personne qui va la présider. A cette occasion, il compte adresser, à travers les cadres de sa formation politique, un important message au peuple congolais. On laisse entendre qu’il va retracer les lignes maîtresses du « Projet de société » qu’a toujours pensé matérialiser l’UDPS, dans l’hypothèse de son accession au pouvoir, par des voies pacifiques et démocratiques.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
On croit savoir que le Sphinx de Limete pourrait se saisir de cette opportunité pour rafraîchir la mémoire des participants sur des concepts tels que l’amour de la patrie, la solidarité entre Congolais, la bonne gouvernance, la justice distributive, la lutte contre l’impunité, le respect du bien commun, le bien-être social, le respect des droits de l’homme, l’égalité entre citoyens, la recherche de l’intérêt collectif, etc. L’objectif visé par l’organisation de cette session de formation est de remobiliser les troupes autour du combat pour la conquête du pouvoir par les urnes, en avançant en rangs serrés et en intériorisant les idées-forces du changement.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Les observateurs pensent qu’Etienne Tshisekedi pourrait également en profiter pour faire l’état des lieux de la démocratie congolaise, toujours plombée par les fraudes électorales de 2011. Il serait difficile qu’il ne puisse pas donner sa lecture des sujets de brûlante actualité, notamment les événements de l’Est du pays, l’état des lieux en matière de démocratie et des droits de l’homme, ses contacts manqués avec le président Denis Sassou Nguesso du Congo/Brazzaville, les spéculations autour des visites à sa résidence de Limete des personnalités proches d’un pouvoir qu’il ne reconnaît pas, les perspectives électorales de 2016, etc.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Sauf imprévu, la clôture de cette activité politique interviendra le samedi 02 novembre, toujours au siège de l’UDPS, sur la 10me Rue Limete. Le protocole indique qu’à l’instar de l’ouverture, cette manifestation serait une fois de plus conduite par Etienne Tshisekedi, qui s’adressera de nouveaux aux cadres idéologiquement et politiquement formés.</div>

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Tshisekedi parle ce jeudi

Une session de formation des cadres de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) est annoncée pour ce jeudi 31 octobre 2013 ...

M23 : Kabila confirme la chute !

October 31, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-lRCMIAMps-A/UnH7TNlCO6I/AAAAAAAABGo/biVGpdmB2PY/s1600/joseph_kabila_cinquatenaire_RDCongo.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="301" src="http://4.bp.blogspot.com/-lRCMIAMps-A/UnH7TNlCO6I/AAAAAAAABGo/biVGpdmB2PY/s400/joseph_kabila_cinquatenaire_RDCongo.jpg" width="400" /></a></div>
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*A travers un message radiotélévisé, le Chef de l’Etat s’est adressé à la nation hier, mercredi 30 octobre 2013. C’était principalement pour annoncer la fin de l’aventure M23, avec la chute de Bunagana, le fief politique et dernier bastion de la créature rwandaise. Joseph Kabila a saisi cette opportunité,  pour féliciter tous les Officiers, sous-officiers, caporaux et soldats des Forces armées qui, au péril de leur vie, ont défendu la patrie et assuré la sécurité de nos compatriotes du Nord-Kivu. Ce, avant de saluer la mémoire des victimes militaires et civiles tombées sur le champ depuis le début de cette rébellion. ‘‘Je pense également aux trois soldats de la paix Tanzaniens ainsi qu’à tous les autres casques bleus de la Monusco fauchés dans la fleur de l’âge aux cotés de leurs camarades d’armes congolais’’, a-t-il déclaré. Et, de réitérer son appel aux éléments des groupes armés qui viennent d’être déguerpis des territoires de Nyiragongo et de Rutshuru à se démobiliser volontairement à la faveur de l’initiative de paix des Grands Lacs. Faute de quoi, a-t-il prévenu, ‘‘nous n’aurons d’autres options que de les y contraindre par la force’’. Quant aux groupes armés qui continuent à semer la désolation dans les provinces du Nord et Sud-Kivu, Joseph Kabila leur a lancé une mise en demeure afin qu’ils déposent les armes et mettent fin à toutes les exactions sur la population congolaise. Faute d’obtempérer à cette injonction, ils s’exposent à un désarmement forcé aussi vigoureuse que cela coûte. Aux pays voisins, Kabila exige le respect des engagements, voie royale pour la paix et la stabilité dans la région. Aux congolais, le dernier développement de la situation au Nord-Kivu, conseille le Chef de l’Etat, devra être une opportunité de renforcer la cohésion nationale. Dans cette optique, il en a appelé au patriotisme de chaque congolaise et chaque congolais afin de bannir toute attitude ou tout comportement de nature à semer la division entre congolais. L’heure, a-t-il rassuré, n’est pas à la chasse aux sorcières ou à la recherche des boucs-émissaires, mais plutôt au rassemblement des congolais dans toutes leurs diversités autour d’un seul objectif, la grandeur et la dignité du Congo.<br />
<br />
Revenant sur la contre-offensive impétueuse des troupes gouvernementales, le Chef de l’Etat a rappelé que, c’est après une longue série de harcèlements contre leurs positions et les agglomérations à fortes concertations des populations que les Forces Armées de la République Démocratique du Congo ont reçu l’ordre de réagir. Ce faisant, elles ont libéré la plupart des entités du Nord-Kivu qui, depuis plusieurs mois, se trouvaient sous le contrôle des ennemis de la Paix.<br />
<br />
‘‘Kibumba, Rutshuru et Rumangabo et depuis quelques heures Bunagana sont de nouveau sous l’administration des autorités politiques et administratives légalement établies’’, a soutenu Joseph Kabila.<br />
<br />
Contrairement au corps expéditionnaire rwandais, les forces régulières ont, tout au long de leur avancée fulgurante, rempli leur devoir de protection de la population et ont rétabli, de la plus belle manière, l’honneur et la dignité de la Nation toute entière.<br />
<br />
Face à ces exploits, le Président de la République n’a pas manqué de féliciter tous les Officiers, sous-officiers, caporaux et soldats des Forces armées qui, au péril de leur vie, ont défendu la patrie et assuré la sécurité de nos compatriotes du Nord-Kivu.<br />
<br />
Kabila Kabange a salué, à l’occasion, la mémoire de nos vaillants éléments des forces de défense qui sont tombés sur le champ, depuis le début de cette rébellion. ‘‘Je pense également aux trois soldats de la paix Tanzaniens ainsi qu’à tous les autres casques bleus de la Monusco fauchés dans la fleur de l’âge aux côtés de leurs camarades d’armes congolais. Par ma voix, la Nation congolaise dans son ensemble leur exprime toute notre reconnaissance. Je présente à leurs gouvernements et à la Monusco les condoléances les plus attristées du Gouvernement congolais’’, a-t-il, sans omettre de témoigner, par ailleurs, ses compassions aux familles de nombreuses victimes non combattantes de la violence perpétrée par les groupes armés.<br />
<br />
Il a, aussi, rappelé la trilogie de l’action gouvernementale qui a été menée en droite ligne de cette guerre, à savoir : les fronts politique, diplomatique et militaire.<br />
<br />
‘‘Je me sens d’autant plus conforté dans la pertinence de cette approche de forces vives de la nation réunies récemment en concertations nationales de Kinshasa qui m’ont adressé une recommandation dans ce sens et les résultats escomptés sont encourageantes’’, a-t-il déclaré. Toutefois, a rassuré le Chef de l’Etat, le succès au plan militaire n’aura nullement pour conséquence de rendre caduque les options politique et diplomatiques levées en vue de rétablir une paix durable.<br />
<br />
Il a réitéré son appel aux éléments des groupes armés qui viennent d’être déguerpis des territoires de Nyiragongo et de Rutshuru à se démobiliser volontairement à la faveur de l’initiative de Grands Lacs. Faute de quoi, a-t-il prévenu, ‘‘nous n’aurons d’autres options que de les y contraindre par la force’’. Quant aux groupes armés étrangers Fdlr, ADF/Nalu qui continuent à semer la désolation dans les provinces du Nord et Sud-Kivu, Joseph Kabila leur a lancé une mise en demeure afin qu’ils déposent les armes et mettent fin à toutes les exactions sur la population congolaise. Faute d’obtempérer à cette injonction, ces groupes armés s’exposent à un désarmement forcé aussi vigoureuse que cela coûte.<br />
<br />
Aux pays voisins, il a tenu à les rappeler que la voie royale de paix et de stabilité dans la région réside dans la mise en œuvre effective de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba ainsi que la résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Chacun devra, a-t-il soutenu, respecter les engagements souscrits au terme de cet accord.<br />
<br />
Pour avoir souffert de la guerre, note Kabila, les congolais connaissent le prix de la paix. Ce faisant, il a soutenu que le dernier développement de la situation au Nord-Kivu devra être une opportunité de renforcer la cohésion nationale. Dans cette optique, il en a appelé au patriotisme de chaque congolaise et chaque congolais afin de bannir toute attitude ou tout comportement de nature à semer la division entre congolais. L’heure, a-t-il rassuré, n’est pas à la chasse aux sorcières ou à la recherche des boucs-émissaires, mais plutôt au rassemblement des congolais dans toutes leurs diversités autour d’un seul objectif, la grandeur et la dignité du Congo.

Au tour de Kinshasa la Nation Politique M23 : Kabila confirme la chute !

*A travers un message radiotélévisé, le Chef de l’Etat s’est adressé à la nation hier, mercredi 30 octobre 2013. C’était principalemen...

Agissons immédiatement et résolument pour mettre fin à la violence sexuelle en RDC

October 30, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-yXqMeVjJVPA/UnGcOhuDlwI/AAAAAAAABGY/Wu_dwBrLiDk/s1600/agissons.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="267" src="http://4.bp.blogspot.com/-yXqMeVjJVPA/UnGcOhuDlwI/AAAAAAAABGY/Wu_dwBrLiDk/s400/agissons.JPG" width="400" /></a></div>
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Imaginez un orphelinat où plus de 300 enfants nés d’un viol ont été abandonnés en raison de la honte associée à la violence sexuelle. Imaginez une ville où, l’année dernière, 11 nourrissons de 6 mois à 1 an et 59 enfants de 1 à 3 ans ont été violés. Quel sera l’avenir de ces enfants ? La violence sexuelle dans les situations de conflit fait partie de l’histoire du monde depuis le début des temps. Le viol ne connaît pas de frontières géographiques, ethniques, religieuses ni de limites d’âge. <br />
<br />
La population de la République démocratique du Congo (RDC)ne connaît que trop bien la douleur et la souffrance qui accompagnent la violence sexuelle.  Selon un récent rapport du ministère du Genre, il y a eu, rien qu’en 2012,15 654 cas signalés de violence sexuelle, soit une augmentation de 52pour cent par rapport à 2011. Environ 98 pourcent de ces violences ont été commises contre des femmes. Dans les régions de la RDC touchées par les conflits, l’âge moyen des survivantes est de moins de 21 ans, un tiers d’entre elles étant âgée entre12 et17 ans. En 2012, 82pourcentdes survivantes n’avaient pas terminé leurs études primaires.<br />
<br />
Ces chiffres ne sont pas abstraits. Il s’agit d’enfants nés de viols qui sont abandonnés, de femmes et de filles qui font face quotidiennement aux conséquences physiques et psychologiques de cette violence, d’hommes et de garçons qui souffrent en silence. Toutes les survivantes et tous les survivants doivent avoir accès à des services essentiels. Tous les partenaires doivent s’unir non seulement pour prévenir de futures agressions mais aussi pour permettre aux survivantes et aux survivants de refaire leur vie.<br />
<br />
Mais ce n’est pas le conflit présent qui a créé de lui-même le fléau de la violence sexuelle à laquelle nous faisons face aujourd’hui en RDC. Les racines de cette violence généralisée, à savoir l’inégalité des sexes et l’abus de pouvoir, existent dans le pays depuis des siècles. En RDC et de par le monde, la violence basée sur le genre est une atteinte aux droits les plus élémentaires de la personne, mais malheureusement elle est la moins signalée aux autorités. Les conflits engendrent la violence, l’insécurité et un environnement favorable à l’impunité, ce qui, par la suite, accroît la prévalence de la violence sexuelle.<br />
<br />
Pour éliminer efficacement la violence sexuelle liée aux conflits, nous devons redoubler les efforts pour promouvoir les droits des femmes en tant que droits fondamentaux de la personne. Nous devons mettre en place des systèmes viables pour mettre  un terme à l’impunité dont jouissent les auteurs des violences et qui proclament haut et fort que cette forme extrême et omniprésente d’abus de pouvoir ne sera plus tolérée. Nous devons faire savoir sans ambiguïté que de tels crimes donneront lieu à des poursuites judiciaires et que les coupables seront châtiés.<br />
<br />
La violence sexuelle dans les situations de conflit, notamment dans l’est  de la RDC, présente des défis particuliers. Selon le tout dernier rapport du Secrétaire Général sur la violence sexuelle dans les situations de conflit, on compte au moins 44 groupes armés actifs dans la seule région de l’Est de la RDC, certains provenant de pays voisins. Presque tous ces groupes armés sont coupables des crimes de violence sexuelle. Des éléments des forces armées et de la police ont eux aussi été accusés de tels crimes. Dans ce contexte, engager les acteurs étatiques et non étatiques tout en s’assurant que la violence sexuelle ne soit plus utilisée comme arme de guerre présentent une complexité toute particulière.<br />
<br />
Les coûts économiques et humains infligés aux communautés et aux pays suites a la violence sexuelle et aux diverses formes de violence basée sur le genre sont immenses. L’impact de cette violence est dévastateur : perte de vies et de moyens d’existence, l’ostracisme des familles et des communautés, et des conséquences graves, parfois mortelles, pour la santé reproductive et mentale. Mais la violence sexuelle n’est pas inévitable.<br />
<br />
Le gouvernement de la RDC a reconnu les ravages causés par ce fléau et a pris des mesures pour infléchir le cours de la violence sexuelle dans le pays.  En 2006,la RDC a adopté une loi élargissant la définition de la violence sexuelle et prévoyant des sanctions renforcées envers les contrevenants, loi dont la portée est parmi les plus vastes en la matière. En 2009, le pays a élaboré la Stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre, et en mars 2013, le Gouvernement de la RDC et les Nations Unies ont émis un communiqué conjoint exposant les mesures concrètes que les autorités entendent prendre pour éliminer les infractions à la loi.<br />
<br />
Toutes ces mesures sont salutaires, mais il faut en faire davantage. Les lois doivent être appliquées et les contrevenants poursuivis et condamnés. L’établissement de l’état de droit sur un territoire immense où, dans de nombreuses régions, seul fait autorité le droit coutumier, constitue un défi de taille pour les organismes juridiques et les parties prenantes engagés dans la lutte contre l’impunité des auteurs de violences sexuelles et d’autres formes de violence basée sur le genre.<br />
<br />
La RDC n’est toutefois pas seule dans ce combat. Le système des Nations Unies, notamment les forces de maintien de la paix, a également le devoir et la responsabilité direct d’appuyer et de renforcer les initiatives nationales.<br />
<br />
Nous avons entrepris cette mission conjointe en RDC pour solidifier l’engagement politique en renforçant la participation des institutions démocratiques, des dirigeants politiques et de la société civile.<br />
<br />
Le but visé  par nos efforts collectifs est de veiller à ce que les engagements qui ont été pris et les travaux qui ont été effectués par le gouvernement et les Nations Unies font une différence dans la vie des femmes, des filles, des garçons et des hommes qui vivent dans la peur au quotidien. <br />
<br />
Nous nous engageons nous-mêmes, nos équipes et nos organisations, à œuvrer en vue de l’élimination de la violence sexuelle en RDC. Nous devons, pour réaliser des progrès significatif, obtenir le soutien de la communauté internationale, de l’ensemble du système des Nations Unies et du gouvernement. Nous devons également mener un plaidoyer en faveur d’une attention accrue de la part des bailleurs de fonds pour appuyer l’offre de services de base aux survivantes et aux survivants de la violence sexuelle, notamment de services d’éducation, de soins et de produits de santé accessibles, de centres d’hébergement protégés, de moyens d’existence et d’autres appuis psychosociaux.<br />
<br />
La page est loin d’être tournée, mais nous pouvons, en œuvrant de concert, mettre un terme à ce que l’on appelle depuis longtemps le plus grand silence de l’Histoire et rédiger le dernier chapitre sur une époque marquée par cette violation déshumanisante et dégradante. L’élimination de la violence basée sur le genre est au cœur de la solution pour orienter la RDC sur la voie de la paix et du développement.<br />
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Zainab Bangura est Secrétaire générale adjointe des Nations Unies et Représentante spéciale du Secrétaire général chargée de la question des violences sexuelles commises en période de conflit.<br />
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Babatunde Osotimehin est Secrétaire général adjoint des Nations Unies et Directeur exécutif de l’UNFPA, le Fonds des Nations Unies pour la population.

Au tour de Kinshasa Justice la Nation Agissons immédiatement et résolument pour mettre fin à la violence sexuelle en RDC

Imaginez un orphelinat où plus de 300 enfants nés d’un viol ont été abandonnés en raison de la honte associée à la violence sexuelle. Ima...

Représentativité de la femme : Udps, la Ligue de femmes pessimiste face au discours de Kabila

October 30, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-JNQlJg1U59I/UnGb1QcA-4I/AAAAAAAABGQ/WsMh56Eyt84/s1600/femmes.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://3.bp.blogspot.com/-JNQlJg1U59I/UnGb1QcA-4I/AAAAAAAABGQ/WsMh56Eyt84/s400/femmes.JPG" width="400" /></a></div>
<br /><br />*Le grand rendez-vous mensuel a été respecté à la Ligue de Femmes de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Hier, mardi 29 novembre 2013, la branche féminine du parti cher à Etienne Tshisekedi a réuni ses membres de toutes les fédérations de Kinshasa, au cours de sa traditionnelle  Assemblée Nationale. C’était à la Permanence Nationale de ce parti, dans la commune de Limete.<br /><br />Au cours de cette rencontre animée par leur Présidente, Denise Lupetu, les femmes de cette formation politique ont abordé les questions liées au fonctionnement du parti, au niveau de la base. Aussi, ont-elles commenté l’actualité politique en République Démocratique du Congo.<br /><br />A l’occasion, ces Udépésiennes ont donné de la voix, en rapport avec le dernier discours de Joseph Kabila, devant les deux Chambres du Parlement, réunies en Congrès. Discours qui a, entre autres, mis l’accent sur la problématique de la représentativité de la femme, dans les partis politiques ou encore dans les différentes instances de décision. La Ligue de Femmes de l’Udps s’est dit étonnée des applaudissements qui ont suivi cette déclaration, alors que, selon elle, cette représentativité est restée une promesse non tenue, depuis l’arrivée de l’actuel Président au pouvoir.<br /><br />«La question sur la parité est déjà consacrée par la Constitution, mais elle n’est pas respectée par le pouvoir en place, pendant aujourd’hui douze ans », a déclaré Denise Lupetu. Elle classe tout ceci dans le registre de la pure «distraction». Et de critiquer le «caractère non juridique» de la formation d’un Gouvernement de Cohésion Nationale.<br /><br />Par ailleurs, la Présidente Nationale de cette ligue a conscientisé les mamans, venues de tous les coins de capitale congolaise, pour participer à cette  grande rencontre, sur le leadership de la femme. Son discours a fait ressortir toutes les capacités qu’auraient les femmes qu’elle présente comme de bonnes gestionnaires. Ce, dans différents secteurs de la vie, y compris au sein des partis politiques.<br /><br />«Rarement les femmes ont été  impliquées dans les cas de corruption ou de toute sorte  d’antivaleurs dans des postes de responsabilité», assument-elles, comme pour souligner l’importance de placer des femmes à des plus hautes charges.<br /><br />Au cours de cette rencontre, la Ligue de Femmes de l’Udps a encore, une fois, renouvelé son soutien indéfectible au Président National du Parti, Etienne Tshisekedi à qui elle ne cesse de louer les qualités d’un homme politique charismatique et sage.<br /><br />Chaque fin du mois, cette ligue tient régulièrement une Assemblé e Générale. Celle-ci est une occasion pour ces femmes de redynamiser les activités du parti, mais aussi de parler d’une seule langue, en rapport avec les différents faits politiques. <br /><br />Socrate Nsimba  <div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
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Au tour de Kinshasa la Nation Politique Représentativité de la femme : Udps, la Ligue de femmes pessimiste face au discours de Kabila

*Le grand rendez-vous mensuel a été respecté à la Ligue de Femmes de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Hier, mardi 2...

Amélioration de la production agricole : RDC, Matata avalise la création de ‘’TRIOMF DRC’’

October 30, 2013

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<a href="http://2.bp.blogspot.com/-5rYb_tUWg5s/UnGbHu0BK3I/AAAAAAAABGE/U8s4QJsEc4Q/s1600/matata2.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="286" src="http://2.bp.blogspot.com/-5rYb_tUWg5s/UnGbHu0BK3I/AAAAAAAABGE/U8s4QJsEc4Q/s400/matata2.JPG" width="400" /></a></div>
*Augustin Matata Ponyo, Chef du Gouvernement, a présidé, ce mardi 29 octobre 2013, à la Primature, la cérémonie de signature d’un protocole d’accord portant création d’une entreprise d’économie mixte dénommée ‘’TRIOMF DRC’’, spécialisée dans la production agricole. Cette usine sera implantée dans la province du Bas-Congo, plus précisément à Boma. Fruit de la coopération entre le gouvernement de la RDC et la firme sud-africaine Comodity Fertilizer, ce projet évalué à près de USD 39 millions sera effectif en juin 2014. Une convention d’actionnaires a été également signée entre les ministres en charge du Portefeuille, Agriculture, Industrie et celui délégué aux Finances, d’une part, et les investisseurs sud-africains conduits par Christo Grobler, CEO de TRIOMF RSA, filiale de Comodity Fertilizer, d’autre part.<br /><br />Ce protocole d’accord et la convention d’actionnaires définissent les contours structurels du projet. C’est-à-dire, les statuts, les obligations et droits des actionnaires. Il prévoit 30% de parts pour la RDC. La libération de parts de l’Etat congolais se fera de 3 manières. D’abord. L’évaluation du site mis à la disposition des investisseurs. La ville de Boma dans le Bas-Congo est retenue pour abriter cette usine. Déjà ce matin, les investisseurs s’y rendront pour identifier le site. Ensuite. Les exonérations que l’Etat congolais va accorder à cette firme. Enfin. La différence sera libérée en linéaire. La firme sud-africaine aura 70% de parts.<br /><br />Soulignant la portée de ce protocole d’accord, Louise Munga, Ministre du Portefeuille, a dévoilé la stratégie arrêtée par l’équipe gouvernementale pour moderniser le secteur agricole. Celle-ci se résume en l’implantation des parcs agro-industriels à caractère coopératif et commercial à travers le pays. La création et l’implantation de cette usine permettra à la RDC de réduire sensiblement le coût des aliments, produire les cultures de qualité mais également réduire la pauvreté et endiguer l’insécurité alimentaire.<br /><br />Rassurant, Jean Chrysostome Vahamwiti, Ministre de l’Agriculture, a indiqué que la production réalisée par cette firme sera vulgarisée par les agronomes congolais. Son ministère s’engage à accompagner le projet d’implantation de TRIOMF DRC. La RDC, a-t-il déclaré, représente un marché potentiel d’engrais.<br /><br />Pour sa part, la partie sud-africaine s’est dit honorée par cette opportunité, avant de saluer l’engagement pris par le Chef du Gouvernement et toute son équipe représentée par quatre membres, de concourir à la matérialisation de leur investissement.« Non seulement que cela va changer le secteur, mais le projet va apporter une révolution dans le secteur agricole. La RDC sera le premier pays de l’Afrique australe à se doter de cette technique après l’Afrique du Sud. Cette technologie va apporter des changements, de l’emploi et des richesses au pays », a expliqué Christo Grobler, CEO de  TRIOMF RSA.<br /><br />Les assurances de Matata<br /><br />«Au nom de l’Etat congolais, nous voudrons vous rassurer d’un engagement fort de l’ensemble de l’équipe gouvernementale, du Premier-ministre, et du Président de la République, qui a été informé de ce projet et, qui a donné sa bénédiction. Je crois que sa bénédiction vaut mieux que la nôtre. Parce que c’est lui le garant de la prospérité et de la gouvernance dans notre pays», a déclaré le Premier-ministre dans son mot de circonstance.    <br /><br />Convaincu de la pertinence de ce projet, il a émis le vœu de voir celui-ci se matérialiser dans un temps record. « L’agriculture reste la priorité des priorités…Ce projet est passionnant, car la demande en engrais est accrue», a-t-il lâché. Cette vision, a-t-il conclu, préside aux actions de relance agricole et, par ricochet, de réduction de la pauvreté exécutées par le Gouvernement rd-congolais.<br /><br />Laetitia Mbuyi<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
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Au tour de Kinshasa la Nation Politique Amélioration de la production agricole : RDC, Matata avalise la création de ‘’TRIOMF DRC’’

*Augustin Matata Ponyo, Chef du Gouvernement, a présidé, ce mardi 29 octobre 2013, à la Primature, la cérémonie de signature d’un protocol...

Mabunda Vs Babala : Les Femmes de Bumba interpellent Aubin Minaku !

October 30, 2013

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<a href="http://1.bp.blogspot.com/-gFVv6Utd4vo/UnGavhWxqMI/AAAAAAAABF8/7wwSDJagOTE/s1600/jeanine.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="227" src="http://1.bp.blogspot.com/-gFVv6Utd4vo/UnGavhWxqMI/AAAAAAAABF8/7wwSDJagOTE/s400/jeanine.JPG" width="400" /></a></div>
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*C’est loin de finir dans ce qu’il convient de qualifier de l’‘‘affaire Jeanine Mabunda contre Fidèle Babala’’. En effet,  après les réactions de Députés de l’Equateur, Chefs Coutumiers ainsi que des Femmes du Kivu, c’est le tour des Femmes du Territoire de Bumba de  prendre position pour leur porte-voix à la Chambre basse du Parlement et, en même temps, de fustiger le comportement du Député Fidèle Babala, élu de la Circonscription électorale de la Tshangu, à Kinshasa. Réunies au sein de la Division Provinciale du Genre et Associations Féminines du Territoire de Bumba, ces femmes ont peaufiné une pétition qu’elles déposent sur la table du Speaker de l’Assemblée nationale. Dans cette pétition rendue public hier dans la soirée, ces Femmes se disent très en colère contre l’Honorable Fidèle Babala. Bien plus, elles en appellent à toutes les instances compétentes, pour que soit mis fin, et définitivement, à l’atteinte de la dignité d’une femme.<br /><br />Réagissant dans l’affaire Fidèle Babala contre Jeanine Mabunda, les femmes du territoire de Bumba, réunies au sein de la Division Provinciale du Genre et Associations Féminines de Bumba ont signifié, à travers une pétition signée par une septantaine, leur mécontentement vis-à-vis du comportement de l’élu de la Tshangu. «Nous vous saisissons pour obtenir votre soutien et implication personnelle en vue de mettre un terme par des sanctions aux agissements et outrances sexistes répétés du Député Fidèle Babala à l’endroit des femmes élues de la Province de l’Equateur et particulièrement à l’endroit de la Députée honoraire Micheline BIE promue à la CENI et de l’Honorable Jeanine Mabunda LIOKO», ont-elles fait savoir. <br /><br />Rappelant la récente attitude du Parlement Français qui a eu à sanctionner sévèrement et rapidement un Député de l’UMP pour des faits similaires, ces femmes invitent aussi le Président de l’Assemblée Nationale à réagir et à prendre une décision pour y mettre fin.<br /><br />Et de soutenir que le mandat parlementaire ne peut servir ni de blanchir tous ceux qui violent les articles de la Constitution. <br /><br />Elles ont, à l’occasion rappelé le slogan «MWASI MPE MOTO » (la femme est aussi un être humain), leur mot d’ordre pendant les élections de novembre dernier qui a comme objectif, de relever l’importance de la femme congolaise et faire en sorte que la femme puisse être respectée et représentée dans toutes les institutions.<br /><br />Elles rappellent que l’Honorable Fidèle Babala avait violé publiquement les dispositions pertinentes de la Constitution et du Code pénal congolais du Livre II, dont les articles 14 et 16 de la Constitution qui veuillent respectivement à l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard de la femme et assure la protection et la promotion de droits de cette dernière. C’est en se basant sur le principe de la parité homme-femme et du Code pénal congolais du Livre II, dans ses articles 14 et 16 de la Constitution, lesquels articles luttent contre toute forme de discrimination à l’égard de la femme et assurent la protection et la promotion de droits de cette dernière que, ces femmes, regroupées dans cette Division se sont senties touchées dans leur vécu quotidien, vexées par les multiples violences institutionnelles répétées et impunies proférées au sein de certaines institutions publiques congolaises.<br /><br />Territoire de Bumba <br /><br />Parlant de ce territoire qui leur est cher, ces femmes ont souligné qu’il est plus oublié par les autorités. «Profitons pour signaler que pour le budget 2014, nous attendons encore plus et mieux non seulement pour notre territoire (réhabilitation des routes de dessertes agricoles, réfection du Port de Bumba, réhabilitation de l’aérodrome de Bumba, implantation des banques commerciales) mais aussi pour la Province et ne saurions donc accepter, par des attaques individuelles et provocations systématiques d’un Député de votre hémicycle, que le poids électoral de l’Equateur ou de notre Territoire (au travers de ses représentants légitimes) soit déconsidéré ou ridiculisé dans le silence de votre Institution », ont-elles dit. Avant de poursuivre que c’est grâce à l’Honorable Jeanine Mabunda et son collègue Basiala que cette partie de la RDC a bénéficié de plus d’attention et de plusieurs réalisations, parmi lesquelles, l’installation d’une antenne de télécommunication, d’une chaine de télévision, d’un stade sportif, de la réfection du pont Molua et de bien d’autres œuvres.<br /><br />Steve Ilunga

la Nation Politique Mabunda Vs Babala : Les Femmes de Bumba interpellent Aubin Minaku !

*C’est loin de finir dans ce qu’il convient de qualifier de l’‘‘affaire Jeanine Mabunda contre Fidèle Babala’’. En effet, après les réa...

En tournée aux Émirats Arabes Unis : L’américaine Ryhanna crée un scandale !

October 30, 2013

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<a href="http://1.bp.blogspot.com/-d5bp_zOKbHg/UnGaBtfGOQI/AAAAAAAABF0/6eFHr51_Sg8/s1600/0_xposure_rihanna-1-14-1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="http://1.bp.blogspot.com/-d5bp_zOKbHg/UnGaBtfGOQI/AAAAAAAABF0/6eFHr51_Sg8/s400/0_xposure_rihanna-1-14-1.jpg" width="338" /></a></div>
En tournée au Moyen-Orient, la chanteuse américaine originaire de la Barbade, Rihanna, multiplie les provocations. D'abord aux Émirats arabes unis, puis en Israël. Who's next ?<br /><br />Madonna en 1989, Rihanna en 2013. Pour avoir mimé des ébats avec un Jésus noir et dansé en nuisette au milieu de crucifix en feu, la reine de la pop s'était attirée les foudres du Vatican. Aujourd'hui, c'est la jeune chanteuse américaine née en 1988 à la Barbade qui alimente la controverse. Le 19 octobre dernier, quelques heures avant un concert à <a href="http://www.jeuneafrique.com/tags/1781/">Abou Dhabi</a> dans le cadre de sa tournée "Diamonds World Tour", Rihanna s’est rendue à la mosquée Cheikh-Zayed, la plus grande des Émirats arabes unis, pour une séance photo.<br /><br />Que serait Rihanna sans provocations ?<br /><br />Vêtue d'un pantalon et d'un capuchon noirs, vernis écarlate sur les ongles et rouge éclatant sur des lèvres pulpeuses, elle pose au milieu de l'esplanade, allongée sur le rebord d'un bassin ou devant un groupe de femmes en tenues traditionnelles. Sacrilège ! Le sang des responsables de la mosquée ne fait qu'un tour : ils procèdent à l'expulsion de la scandaleuse. "La chanteuse a effectué une visite privée, sans se faire connaître et sans coordination préalable avec l'administration", a révélé le site officiel de l'édifice religieux. Publiés sur son compte Instagram "Badgalriri" ("Riri la mauvaise fille"), les clichés déclenchent une polémique sur les réseaux sociaux, dont l'artiste est une utilisatrice assidue. Certains prennent sa défense, soulignant la sobriété des photos ; d'autres les jugent offensantes eu égard au statut sacré de la mosquée.<br /><br />Mais Rihanna ne fait pas parler d'elle qu'aux Émirats. Lors d'un concert donné le 22 octobre à Tel-Aviv, elle modifie les paroles de l'une de ses chansons pour prononcer le mot "Palestine" - sans mentionner à aucun moment le nom ‘‘d'Israël’’... Certes, mais que serait-elle sans ses provocations ? La jeune femme a souvent défrayé la chronique pour son langage fleuri, ses photos en petite tenue, ses vidéos de défonce à l'alcool ou à l'herbe et certaines de ses chansons au contenu sexuel explicite.<br /><br />En 2011, rappelle-t-on, son clip « Man Down », dans lequel elle abat un homme d'une balle dans la tête, avait même été censuré aux États-Unis.<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>JDL</strong></div>

Musique En tournée aux Émirats Arabes Unis : L’américaine Ryhanna crée un scandale !

En tournée au Moyen-Orient, la chanteuse américaine originaire de la Barbade, Rihanna, multiplie les provocations. D'abord aux Émira...

CAN U-23 en RDC : Constant Omari inspecte les sites retenus

October 30, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-wzrc_hrnFR4/UnGZSOlwoFI/AAAAAAAABFk/SEiEHzwVcDw/s1600/omari.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="322" src="http://4.bp.blogspot.com/-wzrc_hrnFR4/UnGZSOlwoFI/AAAAAAAABFk/SEiEHzwVcDw/s400/omari.JPG" width="400" /></a></div>
<br /><br />*La Confédération africaine de football (Caf), a attribué à la RDC, depuis le 22 septembre dernier, l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations de moins de 23 ans, version masculine, en 2015.<br /><br />Dans une conférence de presse animée hier, mardi 29 octobre 2013, à la maison du football congolais, à Kinshasa, Constant Omari Selemani a annoncé qu’il va entamer, dès ce mercredi 30 octobre, une tournée d’inspection des sites retenus pour abriter cet événement, en compagnie d’une entreprise chinoise spécialisée dans ce domaine afin de dresser un état des besoins à transmettre au Gouvernement.<br /><br />Le président de la Fécofa a profité de ce face-à-face  avec la presse sportive de Kinshasa, le tout premier depuis sa réélection au mois de mai dernier à Kindu, pour passer en revue, sans tabou, tous les sujets d’actualité qui font débat dans les milieux du football congolais.<br /><br />D’entrée de jeu, Constant Omari a indiqué que l’objectif pour le Gouvernement congolais c’est d’organiser la CAN 2019. Mais, d’après les règlements de la Caf, dit-il, pour organiser une compétition phare, il faut tout d’abord organiser une compétition intermédiaire, qui est une compétition de football d’âge. «Le Gouvernement est déterminé à organiser le championnat d’Afrique de moins 23 ans, pour démontrer à la Caf que nous sommes capables. Le comité d’organisation mis en place par le Ministre en charge des Sports est déjà opérationnel»n a-t-il soutenu.<br /><br />Concernant le Championnat d’Afrique des Nations CHAN/RSA 2014, Constant Omari a d’bord félicité cette équipe et son staff technique pour une troisième qualification consécutive, avec à la clef, un titre en mains. Il a indiqué que l’équipe sera bien préparée.<br /><br />Elle va bientôt quitter le pays pour Polokwane, en Afrique du Sud, et y restera jusqu’au démarrage de la compétition. Santos Muntubile et ses poulains vont s’acclimater pendant un certain nombre de jours pour se mettre à niveau. D’ailleurs, poursuit-il, le coordonnateur des équipes nationales, Théobale Binamungu, y était déjà pour la réservation des chambres d’hôtels et autres formalités.<br /><br />A quand le nouvel entraineur ?<br /><br />A propos d’un nouvel entraineur des Léopards devant remplacer Claude Le Roy, dont le contrat a été résilié à l’amiable depuis le mois de juin dernier, Constant Omari dit que la Fecofa n’est pas pressée d’engager un nouvel entraineur, étant donné qu’il n y a pas une échéance majeure qui pointe à l’horizon. Le plus important pour le moment, a-t-il dit, c’est le travail qui se fait en amont, consistant à définir la politique générale du football congolais. C’est donc sur base de ce travail que le profil d’un nouvel entraineur sera dégagé, avant de lancer l’appel aux candidatures. Ici, Constant Omari souligne que les dix meilleures candidatures qui retiendront l’attention de la Fecofa, seront soumises chacune à l’épreuve de l’interview, avant finalement de trouver le successeur de Claude Le Roy.<br /><br />Parlant de la Ligue nationale de football, le président de la Fecofa a salué le coup d’envoi du championnat intervenu le dimanche 27 octobre dernier à travers le pays, avec une formule, dit-il, voulue par les clubs eux-mêmes. Tout en reconnaissant que cette formule ne donne pas la possibilité aux équipes de jouer plusieurs matches durant la saison, Constant Omari a garanti que les choses pourront évoluer dans les prochaines éditions.<br /><br />Qu’en est-il du dossier Lupopo ?<br /><br />C’est ici, en tout cas, qu’il y a eu beaucoup de questions de la part des journalistes sportifs qui voulaient avoir des plus amples détails sur le sort de Lupopo, qui tient à sa décision de ne pas pendre part à la 19ème édition de la Linafoot. Constant Omari : « si Lupopo ne prend pas part au championnat, il sera suspendu pendant deux ans de toutes compétitions, et à la troisième année, il sera relégué à la troisième division du championnat de l’Entente urbaine de football de Lubumbashi ». Pourquoi et sur base de quel règlement et quel article une telle décision peut-être prise ? La question lui a été certainement posée dans la salle, et Constant Omari a répondu que sur base des règlements qui régissent la pratique du football en RDC : « une équipe qui n’est pas en compétition toute la saison, est déclarée inactive. Elle devient comme une équipe qui n’existe pas. Et quant on veut revenir, on recommence au début».<br /><br />Parlant de la crise au sein de Motema Pembe, une crise de leadership qui a trop duré, et qui devient à ce jour, très inquiétante pour l’avenir de cette équipe, l’orateur a révélé qu’«Il y a toujours beaucoup de contradictions  entre les dirigeants de cette équipe. Le souhait de la Fecofa c’est de voir Dcmp trouver lui-même une solution. Sinon, la Fecofa, dans le cadre de ses prérogatives, conformément aux textes, va agir pour remettre de l’ordre. Nous continuons, jusque-là, à observer la sagesse».<br /><br />De la Lifkin <br /><br />Pour ce qui concerne la Ligue de football de Kinshasa (Lifkin), qui se plaint de sa difficulté de pouvoir organiser son championnat au stade Tata Raphaël et stade des Martyrs, Constant Omari a dit qu’il tiendra une séance de travail avec la Lifkin et les gestionnaires de ces stades qui appartiennent logiquement à l’Etat, afin de trouver un terrain d’entente. Toutefois, Constant Omari a laissé entendre qu’avant de planter la pelouse synthétique dans ces deux stades, un contrat avait été signé afin de privilégier d’abord les activités sportives pendant une période de 20 ans.<br /><br />Le dossier en rapport avec la disparition des athlètes congolais aux 7ème Jeux de la Francophonie, n’a pas été oublié du fait qu’il y avait parmi les disparus, un footballeur, en la personne de Vivien Mayele. « La Fecofa ne favorise pas l’immigration clandestine. Nous avons saisi la Fifa pour que toutes les Fédérations du monde n’engagent pas ce joueur. C’est ce que nous avons fait avec Guelord Kinkela, il y a 8 ans», conclu le Patron de Fécofa.<br /><br />Guy Elongo<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

Sport CAN U-23 en RDC : Constant Omari inspecte les sites retenus

*La Confédération africaine de football (Caf), a attribué à la RDC, depuis le 22 septembre dernier, l’organisation de la Coupe d’Afrique d...

Lubumbashi sous la fusillade d\'un commando non identifie !

October 30, 2013

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<a href="http://1.bp.blogspot.com/-V8o7j6TSgfM/UnGX1yod-WI/AAAAAAAABFU/Exj2LwyvOt0/s1600/lumbashi.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://1.bp.blogspot.com/-V8o7j6TSgfM/UnGX1yod-WI/AAAAAAAABFU/Exj2LwyvOt0/s400/lumbashi.JPG" width="400" /></a></div>
<br /><br />Que cachent ces manœuvres? Les services de sécurité seraient-ils  débordés? Il est devenu coutume qu'on observe, chaque matin, un cadavre joncher les artères de la capitale cuprifère. Les victimes sont tuées par balles ou, elles sont simplement égorgées ou  étranglées. Ce phénomène inexplicable a tellement pris de l'ampleur  que la population ne sait plus  à quel saint se vouer.<br /><br />La nuit de mardi 29 octobre 2013 a été perturbée par des tirs nourris aux armes légères et lourdes. Ces crépitements des balles ont été entendus,  depuis 3 heures jusqu’au plus petit  matin,  dans la commune Kampemba. Aux dernières nouvelles, l'attaque aurait eu comme cible le dépôt d'armes de guerre au niveau de CHEMAF/Kigoma par des individus non autrement identifiés. Si, d'aucuns ont soutenu la thèse d'une tentative de dépouiller le dépôt d'armes automatiques au quartier Kabetsha,  dans la communune Kampemba, d'autres ont cru, pourtant,  que ces affrontements ont eu lieu,  non loin du camp militaire préfabriqué au Bel Air. Mais,  pour bon nombre, il ne s'agit ni d'une simple attaque armée,  ni d'une tentative de dévaliser un dépôt de médicaments ou de marchandises non périssables mais plutôt,  d'un acte isolé commis par une bande de voyous. Pourtant, de plus en plus clair, on s'est rendu compte qu'il s'agirait d'une simple attaque. Les assaillants auraient d'abord opéré au dépôt d'armes de guerres sur Usoke, en  prolongeant  non loin de Cafrigel,  avant  d'échouer au dépôt d'un opérateur économique en vue dans la ville aux environs de l'entreprise SEP. C'est là que certains auraient été stoppés net et même arrêtés. Mais,  dans ce flou artistique, d'autres voix se sont élevées pour soutenir que ces coups de feux nocturnes ne proviendraient pas du camp militaire préfabriqué,<br /><br />moins encore de l'aéroport international de la Luano, comme c'est souvent le cas, mais plutôt  de Kimbembe, de Bongonga ou d'un pillage évité des structures économiques. Il  a fallu beaucoup de temps pour que la version du gouvernement provincial apaise un peu les esprits. Selon M. Juvénal Kitungwa, Ministre provincial de l'intérieur, des hommes armés ont attaqué un dépôt des munitions dans le quartier industriel et l'attaque a été menée par des indépendantistes Bakata Katanga. Le porte-parole de l'armée aurait aussi confirmé cette attaque contre la garde commise au dépôt et il y aurait eu des morts. On se souviendra d'ailleurs que des éléments Maï-Maï avaient investi la ville de Lubumbashi,  le 23 mars dernier,  sans trop d'efforts.  Déjà, une forte présence militaire dans certains quartiers a été visible aux premières heures de la journée de ce mardi 29 octobre 2013.<br /><br />En fait, serait-ce toute une malédiction qui frappe la ville de Lubumbashi? C'est comme si la capitale cuprifère était poursuivie par un signe indien. Chaque fois que le gouvernement provincial fait un effort pour apporter de l'eau au moulin, des actes d'incivisme sont commis et découragent. Donc, ces coups de feu d'armes automatiques à Lubumbashi connaissent plusieurs épisodes. Le vendredi 25 octobre 2013,  vers 15 heures locales, la ville a été le théâtre des tirs nourris à l'arme légère en plein quartier commercial. Un militaire en divagation avait semé la panique depuis le grand magasin Hyper Psaro et n' a été maîtrisé qu'au niveau du Palais de Justice ( sur  une distance d'au moins deux kilomètres). Ce spectacle désolant a laissé des victimes blessées et des  personnes ayant perdu la vie. Dans tous  les  cas, l'insécurité bat son plein et les causes  sont multiples. Elles sont d'ordre politique,  social et économique. La pression démographique de ce dernier moment est en déphasage avec les infrastructures vétustes datant de l'époque coloniale. L'urbanisation de la ville est devenue un casse-tête et toute la population vit de la débrouillardise. Conséquences, plusieurs bandes armées opèrent pour assurer la survie quotidienne de leurs familles. Or, il faut aux citoyens un sens de bien public et plus d'éthique. L'expérience montre d'ailleurs que tous ces groupuscules de malfrats, qui terrorisent la ville, sont entretenus et protégés. Une politique cohérente de sécurisation de Lubumbashi s'impose. Sinon, l'avenir proche risque d'être catastrophique.<br /><br />Jean-Marie Yamukabo

$Lubumbashi sous la fusillade d\'un commando non identifie !$

la Nation Lubumbashi sous la fusillade d\'un commando non identifie !

Que cachent ces manœuvres? Les services de sécurité seraient-ils débordés? Il est devenu coutume qu'on observe, chaque matin, un cada...

Le message de Joseph Kabila à la Nation du 30 oct 2013 (Victoire de FARDC Face aux M23)

October 30, 2013

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Le message de Joseph Kabila à la Nation du 30 oct 2013 (Victoire de FARDC Face aux M23)

COMMUNIQUE OFFICIEL N°05/2013 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE Le deuxième Congrès international de la diaspora congolaise sera consacré à la signature du traité de la diaspora congolaise et la création du COMMISSARIAT DE LA DIASPORA CONGOLAISE.

October 30, 2013

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<a href="http://2.bp.blogspot.com/-z4psrACJYos/UnFpaK6KXhI/AAAAAAAABE0/yWxJj-DWsMU/s1600/1379005_689721054373501_790450355_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="http://2.bp.blogspot.com/-z4psrACJYos/UnFpaK6KXhI/AAAAAAAABE0/yWxJj-DWsMU/s400/1379005_689721054373501_790450355_n.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: 'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif; font-size: 11px; line-height: 14px; white-space: pre-wrap;">COMMUNIQUE OFFICIEL N°05/2013
DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE

ANNONCE ET INVITATION

IIème CONGRES INTERNATIONAL DE LA DIASPORA CONGOLAISE

Date : Du 6 au 8 décembre 2013
Lieu : Auberges de jeunesse de Liège
2 rue Georges Simenon
4020 Liège (Belgique)

Le deuxième Congrès international de la diaspora congolaise sera consacré à la signature du traité de la diaspora congolaise et la création du

COMMISSARIAT DE LA DIASPORA CONGOLAISE.

L'invitation est lancée à tous les fils et toutes les filles de la nation congolaise vivant à l'étranger.

Notre objectif primordial vise l’unification et la mise en synergie de toutes les communautés congolaises de la diaspora pour qu’elles parlent et agissent d’une seule voix dans les combats intellectuels et politiques pour la consolidation de la démocratie et de l’État de droit au Congo.

Le respect de la diversité plurielle de la diaspora est de mise, mais la volonté d'agir ensemble pour la paix, le bien-être social et l'État de droit en R.D. Congo est une urgence politique de premier plan. D'où la nécessité d'une fédération des forces vives de la diaspora congolaise sous la nouvelle structure internationale à créer à Liège: COMMISSARIAT DE LA DIASPORA CONGOLAISE.

Il est à noter que les enregistrements en ligne ont déjà commencé pour les participants. Que toute personne qui veut faire une présentation magistrale sur sa vision ou la vision de son organisation sur les enjeux sociopolitiques et le devenir de la RDC puisse nous contacter le plus vite possible pour l’insertion de son intervention dans le programme en pleine élaboration.

Pour le Comité d’organisation :

Belgique : Kantal Ntalaja - Téléphone: +32 498 41 09 44
France : Guillaume Purbuar Nzim-Nziam - Téléphone: +33 6 11 95 82 22
Royaume-Uni : Victor Ilunga - Téléphone: +44 7985 533 910
Canada et U.S.A. : Jean-Richard Baka - Téléphone: +1 613 796 5373
Francis N'Soki - Téléphone : +1 613 875 0843

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COMMUNIQUE OFFICIEL N°05/2013 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE Le deuxième Congrès international de la diaspora congolaise sera consacré à la signature du traité de la diaspora congolaise et la création du COMMISSARIAT DE LA DIASPORA CONGOLAISE.

la Nation Politique COMMUNIQUE OFFICIEL N°05/2013 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE Le deuxième Congrès international de la diaspora congolaise sera consacré à la signature du traité de la diaspora congolaise et la création du COMMISSARIAT DE LA DIASPORA CONGOLAISE.

COMMUNIQUE OFFICIEL N°05/2013 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE ANNONCE ET INVITATION IIème...

Panique à Barumbu : un immeuble sur le point de s’écrouler

October 29, 2013

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<a href="http://2.bp.blogspot.com/-QS3HgDvJ610/UnBOk9kNI8I/AAAAAAAABDU/Za3xFFFfDtg/s1600/batiment_kinshasa-300x2611.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="348" src="http://2.bp.blogspot.com/-QS3HgDvJ610/UnBOk9kNI8I/AAAAAAAABDU/Za3xFFFfDtg/s400/batiment_kinshasa-300x2611.png" width="400" /></a></div>
C’était le sauve-qui-peut dans la soirée du dimanche 27 octobre 2013 au quartier Bon Marché, dans la commune de Barumbu. Et pour cause ? Les riverains des avenues Progrès et Kabasele (ex-Flambeau) ont entendu des bruits suspects et senti des secousses dont l’origine était difficile à déterminer.<br /><br />Les spéculations allaient dans tous les sens. Par curiosité, les riverains ont cherché à savoir ce qui se passait. D’où, nombre d’entre eux ont pris leur courage à deux mains pour se livrer à une rapide inspection du secteur, en prenant la direction du lieu d’où provenait ce qui ressemblait à des craquements. Et, ce travail d’investigation n’a pas tardé à donner des résultats.<br /><br />Pendant que la foule convergeait vers un immeuble inachevé sis au croisement Progrès-Kabasele, non loin du cybercafé Djaffar, finalement identifié comme le lieu du danger, les surveillants dudit bâtiment prenaient la direction contraire, en s’éloignant à grandes enjambées. Sur leur passage, ils lâchaient la terrible nouvelle : des matériaux utilisés pour la construction étaient en train de tomber comme des feuilles mortes. Par ailleurs, les fissures des colonnes et plateformes ne faisaient que s’élargir, annonçait l’écroulement de l’immeuble à plus ou moins brève échéance. On laisse entendre que les fissures étaient visibles sur l’ensemble de l’architecture depuis plusieurs semaines et leur vue donnait la chair de poule aux voisins et passants.<br /><br />L’alerte ayant sans doute atteint des autorités communales, urbaines et nationales, une unité de la police n’a pas tardé à se déployer sur les lieux.<br /><br />Compte tenu du danger d’écroulement du bâtiment qui planait sur elles, plusieurs familles de l’avenue Progrès 257, ont préféré passer la nuit du dimanche 27 au lundi 28 octobre à la belle étoile, pour leur sécurité.  Dans la journée du lundi 28 octobre, la première autorité nationale à se pointer sur le site était Thérèse Bafanga Atosa, Secrétaire générale ad intérim au ministère de l’Urbanisme  et Habitat.<br /><br />Elle a constaté que l’immeuble de tous les dangers comporte trois niveaux et se trouve en phase de finissage. Selon les gens du coin, son propriétaire serait un nommé Martin, non autrement identifié, résidant dans le même quartier et magistrat de son état.<br /><br />Après avoir rapidement évalué la situation, la Secrétaire générale à l’Urbanisme et Habitat a pris, comme première mesure conservatoire, de sécuriser les riverains environnante en   leur demandant d’évacuer purement et simplement leurs maisons.<br /><br />« Nous faisons notre travail mais les Congolais ne veulent pas contacter les services attitrés pour leur demander leur expertise. Ils causent du tord inutilement au pays en général et à la population en particulier», a-t-elle déclaré en substance.<br /><br />Au moment où elle se trouvait au quartier Bon Marché, une commission spécialisée se réunissait à la demande du gouvernement, pour voir dans quelle mesure procéder urgemment à la démolition de cette bâtisse afin de limiter les dégâts matériels et d’épargner des vies humaines.<br /><br />En visitant les lieux, le constat malheureux à faire est que le maître d’ouvrage s’était servi du mur de la clôture (de la façade gauche et de derrière) pour en faire sa fondation.<br /><br />Selon les voisins, cette parcelle abritait l’église ACK et un garage de nettoyage des véhicules. La construction de cette bâtisse a commencé il y a quelques mois. Le voisin le plus exposé  est celui de l’avenue Progrès 257/bis, un certain Franco Mubamba. Ici, les propriétaires comme les locataires ont évacué leurs biens de la résidence, puisque le mur qui les sépare  de l’immeuble à problèmes ne rassure pas. Et, dans la matinée le mur commençait à tomber petit à petit en morceux dans cette parcelle. Ces familles lancent un s.o.s puisqu’elles sont sans abri.<br /><br />Dans cette même matinée, les fissures de l’immeuble se sont ouvertes davantage. Cela a entrainé l’écroulement de quelques blocs de ciment qui ont servi à l’érection de la façade  située du côté du tunnel communément appelé « Flambeau petit ». Il faudrait noter que le propriétaire, plusieurs fois interpellés par l’administration municipale et urbaine, a toujours fait la sourde oreille.<br /><br />Dorcas NSOMUE

Au tour de Kinshasa Panique à Barumbu : un immeuble sur le point de s’écrouler

C’était le sauve-qui-peut dans la soirée du dimanche 27 octobre 2013 au quartier Bon Marché, dans la commune de Barumbu. Et pour cause ? L...

CSJ : Diomi Ndongala fête la Noël et Bonne année en prison

October 29, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-2-dwJSj9VS0/UnBNLI_i1RI/AAAAAAAABDI/i5mJKWACOgU/s1600/diomi+ndongala+1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="301" src="http://4.bp.blogspot.com/-2-dwJSj9VS0/UnBNLI_i1RI/AAAAAAAABDI/i5mJKWACOgU/s400/diomi+ndongala+1.jpg" width="400" /></a></div>
<br /><br />La libération d’Eugene Diomi Ndongala, Président du parti politique Démocratie Chrétienne , paraissait aller de soi au terme des Concertations nationales initiées par le Président Joseph Kabila. Pour s’assurer qu’il en serait ainsi, le Forum avait pris une résolution qui reprenait formellement les noms des prisonniers politiques dont les Concertateurs attendaient la relaxation en vue d’atteindre l’objectif de décrispation politique qui entourait cette rencontre politique.<br /><br />Mais voilà ! A la publication de l’ordonnance portant mesures de grâce, tout le monde s’est rendu compte que celle-ci était tellement cadrée qu’elle excluait de la liste les personnes pour lesquelles la résolution avait été adoptée. Eugène Diomi Ndongala reste donc en prison ou son sort dépend maintenant de la Cour Suprême de Justice qui est appelée à le juger.<br /><br />Hier lundi 28 octobre, Diomi et ses avocats se sont retrouvés dans la salle d’audience de la CSJ où ils espéraient recevoir de meilleures nouvelles. Mais en fait de nouvelles, la partie Diomi a entendu la Cour renvoyer la prochaine audience au 10 février 2014 ! En clair, le Président de la DC va «fêter» Noël et Bonana 2014 en prison ! On imagine la désolation de sa famille, des proches et des militants de son parti.<br /><br /> Comment en est-on arrivé la ?<br /><br /> A l’audience du lundi 28 octobre, les avocats des prévenus Diomi et Consorts ont soulevé une question d’ordre public relative a l’irrégularité de la saisine à l’égard de leur client Nsoni Nzau, Ils ont fait remarquer à la Cour que l’article 4 du Code de procédure civile n’a pas été respecté. Cet article indique que l’exploit  est signifié au prévenu en sa résidence, et à défaut de la résidence, le greffier se transporte à a commune. Mais dans le cas d’espèce, il n’y a aucun rapport dans le dossier qui atteste que le bourgmestre avait reçu l’exploit. Étant donné que la formalité n’a pas été accomplie, ils ont demandé aux juges des céans d’appliquer le bon droit.<br /><br /> Rappel<br /><br />Pour rappel, Diomi Ndongala est jusqu’à ce jour aux arrêts à la prison Centrale de Makala. Le député national délesté de son immunité et invalidé, a été arrêté pour la première fois le 26 juin 2012 au motif qu’il aurait commis un viol sur deux jeunes-filles présentées comme des enfants d’une même famille.  Et quelques mois après son arrestation,  la police s’était rendue au siège de son parti. Et le 27 juin, il aurait été enlevé pour réapparaître à la veille du Sommet de la Francophonie, le 12 octobre 2012. Et le 8 avril, il sera repris par la police jusqu’au jour d’aujourd’hui.<br /><br />On note que la Cour Suprême de Justice avait pris un arrêt assignant  Diomi Ndongala à la résidence surveillée mais le Parquet Général de la République l’a placé à la Prison Centrale de Makala, sous prétexte que sa fuite est à craindre. Son état de santé ne cesse de se détériorer au jour le jour  suite à la privation des soins médicaux adéquats dont il est victime de la part des autorités congolaises, ont dit ses avocats après l’audience.<br /><br /> Lors de son enlèvement suivi de sa détention au secret, la victime aurait été soumise à la torture et aux traitements cruels, inhumains et dégradants en vue de lui arracher des aveux, ont-ils ajouté.<br /><br />A la sortie de l’audience, l’épouse du prévenu Eugène Diomi Ndongala n’avait pas manqué d’exprimer son inquiétude par rapport à l’état de santé de son mari. Elle a qualifié ce comportement d’une affaire politique visant à réduire au silence son mari.<br /><br />Murka

Justice Politique CSJ : Diomi Ndongala fête la Noël et Bonne année en prison

La libération d’Eugene Diomi Ndongala, Président du parti politique Démocratie Chrétienne , paraissait aller de soi au terme des Concertat...

Où est passé le plan d’urbanisation de Kinshasa ?

October 29, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-cPTlU-5oAbA/UnBMtx9GanI/AAAAAAAABC8/PihiC3IukoY/s1600/kinshasafrancophonie1-300x187.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="248" src="http://4.bp.blogspot.com/-cPTlU-5oAbA/UnBMtx9GanI/AAAAAAAABC8/PihiC3IukoY/s400/kinshasafrancophonie1-300x187.jpg" width="400" /></a></div>
<br /><br />La ville de Kinshasa n’est pas le fruit d’une génération spontanée, comme pourrait le faire croire l’anarchie foncière qui la caractérise ces dernières années. Il existe un plan d’urbanisation de la capitale ficelé et exécuté à l’époque coloniale puis actualisée mais mis en veilleuse voici des décennies par les autorités tant urbaines que nationales. Selon ce document que l’on dit disponible dans les archives du ministère de l’Urbanisme et Habitat, l’aménagement de la ville devrait obéir à un schéma alternant bâtiments, espaces verts, routes asphaltées, canalisations, réseaux de desserte en eau et électricité, marchés, supermarchés, centres médicaux, écoles, établissements d’enseignement supérieur, terrains de sports, etc.<br /><br />Si la banlieue de Kinshasa est laissée à la merci des chefs coutumiers qui vendent des terrains comme des cacahuètes, sans tenir compte de la moindre norme d’urbanisation, les communes urbanisées ne sont pas moins prises d’assaut par des investisseurs immobiliers qui ne respectent plus rien.<br /><br />Depuis un certain temps, Congolais et expatriés résidant dans la capitale semblent piqués par la mouche des constructions en hauteur. Pourtant, la carte urbaine signale clairement des zones marécageuses à Lingwala, Barumbu, Kinshasa, Kalamu, Ngiri-Ngiri, Limete/Debonhomme, Limete/Marais, ou sablonneuses à Lemba, Mombele, Kingabwa… où les maisons ne devraient pas s’élever en hauteur. Sous la colonisation belge, des communes telles Lemba, Matete, Bandalungwa et des cités comme Kauka, Matonge comportaient des quartiers dotés de mêmes types de maisons, soit toutes basses, soit d’un niveau, et exceptionnellement deux niveaux.<br /><br /> On ne pouvait pas rencontrer, dans les citées résidentielles, un immeuble de quatre ou cinq étages au milieu d’une constellation de maisons basses. Aujourd’hui, les constructions anarchiques ne se comptent plus.<br /><br />En 2009, un immeuble de quatre niveaux s’était affaissé à Barumbu, causant mort d’hommes et des dégâts matériels importants. Des autorités urbaines et nationales saisies du dossier avaient promis de procéder au contrôle des immeubles à plusieurs niveaux afin de s’assurer si leurs propriétaires s’étaient conformés à la réglementation en matière de lotissement et de construction. Une fois l’émotion passée, le dossier était clos, pour être rouvert le 14 octobre 2013, après l’écroulement de Clody’s Center, un immeuble de six étages, au quartier Basoko, dans la commune de Ngaliema.<br /><br />Une nouvelle menace de contrôle des immeubles à plusieurs niveaux était brandie, avant que le dossier soit de nouveau clos. Mais, comme la nature est têtue, elle vient de rappeler à tous ceux qui voulaient classer sans suite le dossier de l’immeuble du quartier Basoko qu’il y a réellement péril en la demeure. Cette fois, la menace d’écroulement d’un énième immeuble à Barumbu vient de troubler davantage les esprits. D’aucuns se demandent s’il existe une volonté affirmée de mettre fin à l’anarchie foncière et immobilière à Kinshasa. Pourquoi les propriétaires des immeubles qui s’écroulent comme des châteaux de cartes à Kinshasa ne sont-ils pas déférés devant la justice, jugés publiquement en procédure de flagrance et condamnés lourdement à des peines d’emprisonnement et des dommages-intérêts ? Il s’agit des «Kuluna» en cravate qui ne méritent aucune compassion. Qu’attend-on pour mettre effectivement en branle une commission spéciale chargée de l’identification des immeubles non-conformes aux normes en vue de leur démolition ? Combien de morts faut-il pour remettre de l’ordre dans le secteur foncier et immobilier ?<br /><br />KIMP

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La ville de Kinshasa n’est pas le fruit d’une génération spontanée, comme pourrait le faire croire l’anarchie foncière qui la caractérise ...

Trop, c’est trop: Jacob Zuma invite le M23 à déposer les armes !

October 29, 2013

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<a href="http://4.bp.blogspot.com/-mPQc7gdQGdc/UnBLSTpFrmI/AAAAAAAABCs/mnJkfrz3TBo/s1600/jacob-zuma.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="http://4.bp.blogspot.com/-mPQc7gdQGdc/UnBLSTpFrmI/AAAAAAAABCs/mnJkfrz3TBo/s400/jacob-zuma.jpg" width="400" /></a></div>
*Kinshasa et Pretoria baignent dans des relations hautement privilégiées depuis plusieurs décennies. Ce  mardi 29 octobre, le Président Sud-africain, Jacob Zuma l’a vivement  démontré,  au Palais du peuple,  devant les Députés et Sénateurs réunis, pour la circonstance,  en séance académique. Il a également  salué l’offensive menée durant 4 jours par les forces armées congolaises appuyées par la Brigade d’intervention de la Monusco, pour le rétablissement de la paix et la restauration de l’autorité de l’Etat dans la partie occupée par les rebelles. « Trop,  c’est trop», a-t-il tonné, avant de marteler que «le temps pour la paix, c’est maintenant !». Puis, l’homme a mis en garde ceux qui défieraient les efforts de la Communauté internationale,  en insécurisant l’Est du territoire congolais. Sur  la même lancée, il a, en outre,  interpellé les groupes armés locaux et étrangers qui saperaient les acquis de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, pour des intérêts égoïstes. Ainsi, a-t-il reconnu du côté de la RDC le ferme engagement de ce pays pour le respect des engagements souscrits dans cet accord de paix signé le 24 février 2013, par 11 Chefs d’Etat africains. Voilà pourquoi,  pense-t-il,  tous les pays signataires de cet acte d’engagement suivront l’exemple de la RDC. Dans le volet économique, juste après sa descente de la South African Air Force, M. Jacob Zuma  avait eu un tête-à-tête avec son homologue congolais, Joseph Kabila. Entretien au cours duquel les deux personnalités ont discuté de l’accord du grand Inga III. Peu après, à Fleuve Congo Hôtel, un accord a été signé dans la salle de l’indépendance entre le Ministre de l’Energie Sud- africain, Martins et son homologue congolais, Bruno Kapandji de l’Energie et Ressources hydrauliques.<br /><br />Des grands projets sur l’énergie propre sont en perspective  entre les deux pays. Activant une coopération sud-sud, les deux Etats membres de la SADC ont finalisé hier, mardi 29 octobre 2013, un accord sur la réalisation de ce projet de la construction d’un barrage hydroélectrique de grande envergure. Ce contrat prévoit l’achat par l’Afrique du Sud de 2. 500 Mégawatt (MW), soit la moitié de la production du Grand Inga III qui est estimée à 4800 Mégawatt (MW).<br /><br />Pour exécuter cette œuvre gigantesque, le coût pourrait aller jusqu’à 8,5 milliards de dollars américains d’après le gouvernement congolais. S’il faut y adjoindre des frais connexes, la barre de dépenses serait placée autour de 12,5 milliards de dollars Us. Et, les travaux débuteront en octobre 2015 et leur fin pourrait intervenir en 2020 ou 2021, selon  des estimations techniques.<br /><br />Des amitiés de longues dates…<br /><br />Hormis la signature de ce contrat sur la production de l’énergie, ces deux pays de la SADC partagent,  depuis des lustres, des liens  de fraternité. Raison pour laquelle, le Président Zuma  n’a pas manqué de s’appesantir sur la situation sécuritaire que traverse actuellement la RDC. Après le coup de fil du Président français, François Hollande, pour féliciter le Chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, au sujet du succès militaire obtenu par les FARDC, Jacob Zuma, lui aussi, n’a pas manqué d’en faire mention.<br /><br />«La misère ne peut plus jamais continuer et ne sera plus jamais toléré», a insisté Zuma. Ce langage de détermination se traduit également par les actions du gouvernement sud-africain en faveur du Congo-Kinshasa. L’on se souvient non seulement du cadre de discussions que le pays de Madiba a offert,  lors du dialogue de Sun City, mais aussi de la médiation que ce pays a assuré au cours de ces pourparlers entre congolais. Et, depuis, Pretoria finance, aide et même  déploie des troupes aux côtés de la RDC. La dernière en date, c’est le déploiement de plus de 1500 hommes pour constituer la Brigade d’intervention de la Monusco qui combat aux côtés des forces loyalistes congolaises dans les territoires occupés par les groupes armés, notamment le tristement célèbre mouvement du 23 mars (M23) dont la dissolution est plus qu’imminente aujourd’hui. Au-delà de ce soutien en effectifs, Pretoria ne s’est pas arrêté là. Son gouvernement a également promis d’envoyer 3 hélicoptères de combat,  pour épauler la RD. Congo au front militaire.<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>La Pros. </strong></div>
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*Kinshasa et Pretoria baignent dans des relations hautement privilégiées depuis plusieurs décennies. Ce mardi 29 octobre, le Président Su...

SAM TSHINTU RÉCIDIVE ET INTERDIT JB MPIANA DE JOUER AU ZENITH DE PARIS.LE 21 DECEMBRE 2013

October 29, 2013

Au tour de Kinshasa la Nation Musique SAM TSHINTU RÉCIDIVE ET INTERDIT JB MPIANA DE JOUER AU ZENITH DE PARIS.LE 21 DECEMBRE 2013

Gouvernement de cohésion nationale : Les FAC/Opposition réclament la Primature pour l’Opposition !

October 29, 2013

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<a href="http://3.bp.blogspot.com/-jNV6Z9K5ACw/Um-8aMU-26I/AAAAAAAABBs/mzV7IKiWueU/s1600/fac1.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="http://3.bp.blogspot.com/-jNV6Z9K5ACw/Um-8aMU-26I/AAAAAAAABBs/mzV7IKiWueU/s400/fac1.JPG" width="400" /></a></div>
En réaction au dernier discours de Joseph Kabila sur l’état de la Nation, les FAC/Opposition réclament que le Premier du Gouvernement de cohésion nationale, qui sera formé bientôt, soit issu de l’Opposition politique qui a participé aux Concertations Nationales. C’était au cours d’une déclaration que cette plateforme a faite, le  vendredi 25 octobre 2013, à son siège, dans la commune de Kinshasa. Cependant, dans un autre registre, les Fac/Opposition estiment que l’ordonnance portant grâce présidentielle n’a pas rencontré les attentes des Concertateurs quant à la libération de tous les détenus politiques et d’opinion.<br /><br />Ci-dessous, l’entièreté de la déclaration de cette plateforme. <br /><br /> <br /><br />OPPOSITION POLITIQUE CONGOLAISE<br /><br />Forces Acquises au Changement/Opposition<br /><br />(FAC/Opposition)<br /><br />Mesdames et Messieurs de la presse,<br /><br />Les FAC/Opposition ont pris acte de la volonté exprimée par le Président Kabila de matérialiser les recommandations des Concertations Nationales en vue de baliser l’avenir de notre pays.<br /><br />Néanmoins, le discours du Président Kabila, devant le Congrès, appelle, de la part des FAC/Opposition, les observations suivantes :<br />En dépit du fait que le Président de la République avait, dans sa réaction du 5 octobre 2013 aux recommandations des Concertations Nationales, soutenu avoir entendu et compris les préoccupations exprimées par les Délégués aux Concertations Nationales, les Fac/Opposition constatent avec amertume que la dernière ordonnance portant grâce présidentielle prise par le Président de la République en vue de consolider la cohésion nationale, n’a cependant pas rencontré les attentes des Concertateurs visant la libération de tous les détenus politiques et d’opinion.<br />S’agissant en particulier de la problématique des institutions qui sont fin mandat, en l’occurrence,  le Sénat, les Assemblées provinciales et les Exécutifs provinciaux, les FAC/Opposition, fer de lance de l’opposition responsable et républicaine, se basant sur la volonté du Président de la République de mettre sur pied un gouvernement de cohésion nationale, soutiennent que cette volonté prônée par le Président de la République demeure une symphonie inachevée aussi longtemps que le principe d’ouverture destiné à consolider ladite cohésion nationale n’est pas étendu aussi bien au Sénat, aux Assemblées Provinciales, aux Exécutifs provinciaux  qu’à la petite territoriale. Cette petite territoriale dont la gestion est totalement entre les mains de la seule famille politique du Chef de l’Etat alors que les élections n’ont jamais été organisées à ce niveau-là.<br /><br />Par ailleurs, il y a lieu de relever que cette démarche d’ouverture constitue pour les FAC/Opposition, la seule voie idoine de sortie de la crise de légitimité qui mine actuellement les institutions.<br /><br />Les FAC/Opposition ont noté la volonté du Chef de l’Etat de créer un monitoring chargé des questions de corruption, de détournements ainsi que d’enrichissements illicites, mais elles tiennent à attirer l’attention particulière de l’opinion sur le fait que le Conseiller spécial du Chef de l’Etat en la matière ne doit ni se substituer au pouvoir judiciaire,  ni porter atteinte aux principes constitutionnels de la  séparation des pouvoirs.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la presse,<br /><br />Au regard de ce qui précède, les FAC/Opposition exhortent le gouvernement de cohésion nationale à s’investir résolument pour :<br />gagner la guerre à l’Est afin d’éviter la balkanisation de notre cher et beau pays, la R.D. Congo et parallèlement,  mettre un terme à l’affairisme des officiers généraux, supérieurs et subalternes des FARDC ;<br />Rétablir l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire national ;<br />Œuvrer pour la consolidation de la cohésion nationale.<br /><br /> Mesdames et Messieurs de la presse,<br /><br />Voilà pourquoi, les FAC/Opposition soutiennent que le Premier de ce gouvernement de cohésion nationale puisse  provenir de l’Opposition politique issue des Concertations Nationales.<br /><br />Mesdames et Messieurs de la presse,<br /><br />Le peuple congolais réuni en Concertations Nationales ayant souscrit au pacte de républicain, notamment en son principe de gestion consensuelle de la République, fonde l’espoir de voir le Président de la République répondre aux espérances suscitées par son discours.<br /><br />Pour les Forces Acquises au Changement/Opposition<br /><br />Le Rapporteur Général adjoint<br /><br />Oscar Lugendo Lula<br /><br />Le Modérateur<br /><br />Jean-Pierre Lisanga Bonganga

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En réaction au dernier discours de Joseph Kabila sur l’état de la Nation, les FAC/Opposition réclament que le Premier du Gouvernement de c...

L'Onu condamne l'assassinat d'un casque bleu tanzanien

October 29, 2013

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<a href="http://3.bp.blogspot.com/-Nn1K36PdIzU/Um-X7RWmugI/AAAAAAAABBU/gZ6lk4abeos/s1600/militaire-blesse.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="305" src="http://3.bp.blogspot.com/-Nn1K36PdIzU/Um-X7RWmugI/AAAAAAAABBU/gZ6lk4abeos/s400/militaire-blesse.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Le Secrétaire général Ban Ki-moon a fermement condamné  l'assassinat par les rebelles du M23 d'un Casque bleu de l'ONU dans l'Est de la RDC, réitérant l'engagement continu de l'Organisation à prendre " toutes les mesures nécessaires " pour protéger les civils dans le pays.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Dans une déclaration rendue publique, le porte-parole du  chef de l'ONU a condamné " dans les termes les plus vigoureux " l'assassinat d'un Casque bleu tanzanien, tué par des tirs du Mouvement du 23 mars dans l'Est de la RDC.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
L'incident s'est produit alors que la MONUSCO soutenait une action militaire menée par les FARDC pour protéger les civils se trouvant sur l'axe Kiwanj-Rutshuru, à 25 kilomètres au nord de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
" Le Secrétaire général présente ses sincères condoléances et sa sympathie à la famille de la victime, ainsi qu'au gouvernement de la République-Unie de Tanzanie ", indique la déclaration.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Ban, poursuit le porte-parole, réaffirme la détermination de l'Organisation à prendre toutes les mesures nécessaires, conformément à la résolution 2098 (2013) du Conseil de sécurité, pour protéger les civils dans l'est de la RDC.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Par cette résolution, adoptée fin mars, le Conseil avait approuvé la création d'une brigade d'intervention au sein de la MONUSCO, chargée de mener des opérations ciblées en vue de " neutraliser et désarmer " le M23, parmi d'autres groupes armés opérant dans l'est de la RDC.<br />L'incident d'aujourd'hui fait suite à une recrudescence des violences dans la région ces derniers jours.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Vendredi, le porte-parole du Secrétaire général, Martin Nesirky, avait déclaré aux journalistes à New York que la MONUSCO était en " état d'alerte " suite à des échauffourées le matin même entre forces gouvernementales congolaises et combattants du M23.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
Des tirs de mortiers et de mitrailleuse avaient été échangés près de Kibumba, à 15 kilomètres au nord de Goma. Dans une déclaration commune, le Représentant spécial du Secrétaire général pour la RDC, Martin Kobler, et l' Envoyée spéciale  de Ban Ki-Moon pour la région des Grands Lacs, Mary Robinson, avaient exprimé leur préoccupation devant la poursuite des violences dans l'est de la RDC, exhortant toutes les parties à faire preuve d'un " maximum de retenue " et à reprendre les pourparlers de paix dans la capitale ougandaise, Kampala, pourparlers suspendus lundi dernier.</div>
<div style="background-color: white; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 12px; line-height: 20px; text-align: justify;">
L'an dernier, des affrontements avaient secoué sporadiquement la région, culminant avec la brève occupation de Goma par le M23 en novembre 2012. Les combats avaient alors déplacé plus de 100.000 personnes, aggravant la crise humanitaire en cours dans l'est, où se trouvent 6,4 millions de personnes ayant besoin d'une aide alimentaire d'urgence, dont 2,6 millions de déplacés.</div>

la Nation L'Onu condamne l'assassinat d'un casque bleu tanzanien

Le Secrétaire général Ban Ki-moon a fermement condamné l'assassinat par les rebelles du M23 d'un Casque bleu de l'ONU dans l...

Procès Diomi : l'audience renvoyée au 10 février 2014

October 29, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-5dMmxybEvW0/Um-Wlz_yVRI/AAAAAAAABBA/XWd8b6djKGw/s1600/diomi+ndongala+1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="http://2.bp.blogspot.com/-5dMmxybEvW0/Um-Wlz_yVRI/AAAAAAAABBA/XWd8b6djKGw/s400/diomi+ndongala+1.jpg" width="400" /></a></div>
L'audience tenue hier lundi 28 octobre 2013 à la Cour suprême de justice sur le procès Diomi, a été renvoyée au 10 février 2014. Pour cause, l'absence d'un témoin qui devait confirmer ou infirmer les faits reprochés au député de la Démocratie chrétienne (DC), détenu depuis six mois au Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa (CPRK).<br /><br />Au cas où ce témoin ne se présentait pas à la prochaine audience, estiment les avocats du détenu, on pourrait accorder la liberté provisoire à leur client qui, surtout, a besoin d'accéder aux soins médicaux pour son état de santé physique qui ne fait que se détériorer. D'ailleurs, Eugène Diomi Ndongala est apparu très faible à l'audience d'hier, aux côtés de son épouse.<br /><br />Il faut rappeler qu'il y a de cela six mois, la Cour suprême de justice avait accordé, par trois décrets, l'assignation à résidence de ce prisonnier politique. Mais le procureur général de la République n'a pas, jusqu'à ce jour, exécuté cette disposition, pour des raisons que l'opinion tant nationale qu'internationale ignore.<br /><br />Entre-temps, ce prisonnier reste encore au CPRK. D'aucuns pensaient qu'il bénéficierait de la liberté provisoire tel que recommandé dans les conclusions de la Thématique Gouvernance aux concertations nationales tenues du 7 septembre au 5 octobre 2013 au Palais du peuple à Kinshasa.<br /><br />Aucune action n'a été entreprise dans ce sens. Joseph Kabila a signé un décret dans la même logique, mais les bénéficiaires sont des personnes autres que celles citées dans le rapport des concertations. <br />

Justice Procès Diomi : l'audience renvoyée au 10 février 2014

L'audience tenue hier lundi 28 octobre 2013 à la Cour suprême de justice sur le procès Diomi, a été renvoyée au 10 février 2014. Pour ...

Linafoot / Kayoyo : " Le DCMP ne nous a pas saisi de sa situation "

October 29, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-V7ogazPB7gg/Ukdv8H25WYI/AAAAAAAAAIU/7IgLu0NDqss/s1600/football-gif-007.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="http://1.bp.blogspot.com/-V7ogazPB7gg/Ukdv8H25WYI/AAAAAAAAAIU/7IgLu0NDqss/s400/football-gif-007.gif" width="400" /></a></div>
<h1 class="componentheading" style="background-color: white; border-bottom-color: rgb(221, 221, 221); border-bottom-style: solid; border-width: 0px 0px 10px; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 24px; margin: 0px 0px 12px; padding: 0px 0px 8px; text-transform: uppercase;">
<br /></h1>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
<strong style="border: 0px; line-height: 1.3em; margin: 0px; padding: 0px;">Le Daring Club Motema Pembe de Kinshasa a-t-il informé le comité de gestion de la Ligue nationale de football de la suspension " légale ou illégale " de son président du comité de direction, Jean Max Mayaka ? Cette question a été posée au président de la Linafoot, Simon Kayoyo, au cours de la conférence de presse de cette entité sportive tenue le vendredi 25 octobre 2013 à Africana. </strong></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
 <span style="border: 0px; line-height: 1.3em; margin: 0px; padding: 0px;">Le président Kayoyo a déclaré à la presse que le DC Motema Pembe de la capitale congolaise n'a pas saisi la Linafoot suite à une situation confuse qui prévaut au sein de son équipe. En effet, le comité de direction du DCMP élu depuis le 11 août 2013 à Bibua dans la commune de Nsele est en crise depuis la suspension préventive du président Mayaka de la coordination. Le suspendu avait rejeté cette décision en la qualifiant d'illégale parce que non soutenue par le texte régissant le club tout en suspendant à son tour le secrétaire général. Depuis lors une confusion totale règne au sein de cette grande famille vert et blanc. </span></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
Les questions que les analystes se posent sont celles de savoir pourquoi le comité dont Vidye Tshimanga Tshipamba est présenté intérimaire n'a-t-il pas saisi la Linafoot pour l'informer ? La suspension de Mayaka est-elle légale ou illégale ? Le fait de garder silence ne va-t-il pas coûter cher au club vert et blanc ?</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
En dehors du DCMP, le président Kayoyo de la Linafoot a également parlé du FC Saint Eloi Lupopo de Lubumbashi qui conditionne sa participation au championnat de la Division 1. Il a indiqué que son comité travaille en fonction des textes. " Nous allons constater si Lupopo jouera ou pas son match de la première journée de mercredi 30 octobre 2013 contre le CS Don Bosco de la ville cuprifère au stade Kibasa Maliba ", a-t-il souligné. </div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
Simon Kayoyo a aussi parlé de réalisations de son comité de gestion (Championnat en deux groupes, organisation du tirage au sort pour répartir les 16 clubs dans les deux poules, élaboration d'un règlement,…), de l'organisation du championnat (Respect de règlement et des textes, homologation des résultats, respect du calendrier), L'engagement des clubs (respect des droits de participation) et sponsoring (Vodacom est le seul sponsor du championnat). </div>
<div style="background-color: white; border: 0px; color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px; padding: 0px; text-align: justify;">
<strong style="border: 0px; margin: 0px; padding: 0px;">Jerry Kalemo  </strong></div>

Sport Linafoot / Kayoyo : " Le DCMP ne nous a pas saisi de sa situation "

Le Daring Club Motema Pembe de Kinshasa a-t-il informé le comité de gestion de la Ligue nationale de football de la suspension " l...

Kinshasa, les bonnes nouvelles du front changent la donne… politique

October 29, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-UXLMQjbGT1E/Um9Q3MpcznI/AAAAAAAABAk/d3uCeilpLfE/s1600/Concertations..JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="291" src="http://2.bp.blogspot.com/-UXLMQjbGT1E/Um9Q3MpcznI/AAAAAAAABAk/d3uCeilpLfE/s400/Concertations..JPG" width="400" /></a></div>
La contre-offensive foudroyante des FARDC va influer sur les manœuvres politiques post-Concertations.<br /><br />Au Nord-Kivu, les choses vont vite. Très vite même. La contre-attaque réussie des FARDC, assortie du retour dans le giron national de plusieurs localités et cités, ne sera pas sans conséquence sur les équilibres politiques post-Concertations nationales. <br /><br />     C'est   la divine surprise ! La énième bravade du M23 aura été sans doute la provocation  de trop. En réaction à ce pied de nez, les FARDC ont plus que riposté. Elles ont poursuivi les forces négatives jusque dans leur "sanctuaire". Des places fortes comme Kibumba, Kiwanja et Rutshuru centre sont tombées. Ou plus exactement ont été libérées. Un vrai succès  militaire. Un début  de victoire de la RDC contre ses ennemis qui ont fait le pari de la balkanisation du pays.<br /><br />UNE AMBIANCE DETENDUE AU CONSEIL DES MINISTRES<br /><br />     L'onde de choc de ce haut fait d'arme - au propre comme au figuré-  a déjà atteint Kinshasa. La rue  jubile. Le pays officiel se félicite de ce coup de maître de l'Armée congolaise.  Des  échanges d'amabilités au premier degré se sont invités, hier, dans les différents  cénacles du pouvoir. Même le très redouté- par certains- Conseil des ministres se serait déroulé dans une ambiance détendue. De quoi mettre du baume au cœur de Matata Ponyo et de son équipe. Pas seulement.<br /><br />     Tel ce bon vin qu'on sert à la fin, la success story en cours dans les montagnes du Kivu tombe comme un fruit inespéré dans l'escarcelle du Pouvoir rd congolais et par ricochet dans celle du… Gouvernement Matata.  Plus qu'une simple aubaine, il s'agit de ce coup de théâtre heureux  dont l'espace politico-diplomatique n'est pas exempt. Bien au contraire.<br /><br />L’EXEMPLE SYRIEN<br /><br />     Début septembre 2013, la Syrie de Bachar Al Assad  était à deux doigts de frappes occidentales. L'armada américaine n'attendait que le feu vert de la Maison-Blanche pour larguer son déluge de feu. En dernière minute, l'autre grand de ce monde, la Russie, a sorti l'ultime joker de son chapeau : contrôle de l'arsenal chimique de Damas.   Et du coup, la menace militaire qui était imminente s'est estompée !<br /><br />     Sous le soleil de plomb kinois, la percée inattendue des FARDC bouscule quelque peu l'agenda post-Concertations nationales. Certains diraient même qu'un pan important de résolutions de la grand-messe politique du Palais du peuple se voit vidé d'une partie de sa substance.<br /><br />     Ces assises avaient été, en effet,  organisées pour essentiellement renforcer la cohésion nationale face au danger de balkanisation du pays. Et le Gouvernement issu des entrailles de ce forum devrait avoir entre autres pour mission de reconquérir les territoires sous occupation des forces négatives au premier rang desquelles le M23.<br /><br />     Voilà que  les FARDC sont en passe de régler la question sans attendre la mise sur pied de l'ordre post- concertations. Cette nouvelle donne ne peut pas ne pas influer sur la suite des événements politiques dans le microcosme kinois.  La politique étant une affaire de séquences sur fond de rapports de force,  les données sur lesquelles se concoctait le  nouveau modus vivendi politique ne sont donc plus exactement les mêmes !<br /><br />UN BONUS  POUR L’EQUIPE MATATA<br /><br />     Si l'ouverture est toujours un impératif pour faire bloc face à la menace existentielle sur le pays, son ampleur ne saurait, cependant, rester la même. Les FARDC ayant fait bouger les lignes avant l'avènement du Gouvernement dont précisément la mission était celle-là. Ironie de l'agenda ? Coup de pouce du destin ? Simple coïncidence ? Toujours est-il que c'est à  un Gouvernement en quasi affaires courantes que revient la palme de reconquête des territoires occupés. Matata Ponyo ainsi que ceux de ses ministres méritants peuvent boire du petit lait.<br /><br />            Certes, Joseph Kabila a déjà achevé de faire la démonstration que ses voies sont insondables. Nul autre que lui ne sait la carte qu'il va abattre pour la très convoitée Primature. Mais, nul doute que les bonnes nouvelles du front peuvent apparaître comme un bonus à l'actif du Gouvernement Matata.  Dans la course à la Primature, les jeux sont ouverts. Très ouverts. Et à l'instar de la contre-attaque surprise des FARDC, un coup de théâtre, avenue Roi Baudouin,  n'est pas exclu.         José NAWEJ

Au tour de Kinshasa la Nation Politique Kinshasa, les bonnes nouvelles du front changent la donne… politique

La contre-offensive foudroyante des FARDC va influer sur les manœuvres politiques post-Concertations. Au Nord-Kivu, les choses vont vite. ...

Menacée de « frappes chirurgicales sur Kinshasa » : la RD Congo doit-elle craindre le Rwanda ?

October 28, 2013

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-QtDoU4V86cU/Um65vhXtJFI/AAAAAAAAA_8/Npy8BE2USfY/s1600/Snapshot_6.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="285" src="http://3.bp.blogspot.com/-QtDoU4V86cU/Um65vhXtJFI/AAAAAAAAA_8/Npy8BE2USfY/s400/Snapshot_6.jpg" width="400" /></a></div>
Depuis le dernier week-end, les bonnes nouvelles ne font que s’accumuler sur le front de l’Est. Conformément à leurs attentes, des millions de Congolais sont tout heureux d’apprendre que leur armée a réussi à déloger les rebelles du M23 de Kibumba (environ 20 kilomètres de Goma) et Kiwanja (à plus ou moins 70 kilomètres du chef-lieu du Nord-Kivu). Ces victoires militaires sont lourdes de symbolique, car elles sonnent le glas d’une rébellion qui campait dans ces deux localités depuis les mois de novembre et mai 2012. Elles confirment par ailleurs la bonne tenue des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) face à l’ennemi et son principal parrain, à savoir le Rwanda. La perte de Kibumba et Kiwanja par le colonel ou général Sultani Makenga et ses combattants se veut aussi la preuve de la modification sensible du rapport des forces sur le champ de bataille, où l’armée régulière, qui se confinait jusque-là dans la défensive, est passée à l’offensive. En principe, la peur doit avoir changé de camp.<br /><br /> Attitude bizarre du Rwanda<br /><br /> Alors que l’armée régulière congolaise est en train de pousser, dans ses derniers retranchements, une force négative que la communauté internationale invite à se saborder voici des mois, on enregistre une attitude bizarre de la part du Rwanda. En effet, par la voix de son ambassadeur aux Nations Unies, le régime de Kigali a clamé haut et fort que la RDC ferait l’objet de « frappes chirurgicales » si une seule bombe tombait en territoire rwandais. Pareille menace rappelle, à beaucoup, celle brandie et exécutée en son temps par les USA de George Bush (père) contre l’Irak de Saddam Hussein, peu avant la guerre du Golfe.<br /><br />Un ton aussi hautain ne peut pas étonner pour un pays qui se prend, depuis plusieurs années, pour le « gendarme » de l’Afrique Centrale et des Grands Lacs, région où son armée croit tout écraser sur son passage. Pour un Etat qui bénéficie d’un siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité des Nations de janvier 2013 à janvier 2015, au nom de l’Afrique, le bon sens aurait dû lui commander de militer pour la coexistence pacifique entre Etats, l’amitié et la fraternité entre les peuples.<br /><br />         Il est bien dommage que le Rwanda ait adopté, dans une situation où les soldats congolais défendent l’intégrité territoriale de leur patrie, un ton belliqueux qui rappelle à tous les Congolais, de mauvais souvenirs. La question à se poser, à cet effet, est de savoir si la RDC doit encore avoir peur du Rwanda. Après avoir perdu plus de 8 millions de ses citoyens dans des guerres directes instrumentalisées par le pays de Paul Kagame et leurs effets collatéraux, le Congo n’aurait objectivement, une raison de le craindre.<br /><br />         Qu’est-ce qui peut encore faire plus mal aux Congolais orphelins des millions de leurs parents et condamnés à affecter l’essentiel de leurs ressources nationales dans des « efforts de guerre » à répétition depuis 1996 ? Les « frappes chirurgicales » annoncées par le Rwanda seraient-elles plus meurtrières que tous les héros de l’ombre emportés dans l’au-delà, des ressources naturelles pillées depuis 16 ans par des mouvements rebelles, de l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo), au Mouvement du 23 Mars 2009, en passant par le RCD (Rassemblement Congolais pour la Démocratie) et le CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple) ?<br /><br />Etre prêts à relever le défi ?<br /><br /> Les velléités belliqueuses du Rwanda étant archiconnues, ceux qui gouvernent la République Démocratique du Congo et gèrent son armée devraient désormais être prêts à relever le défi d’une nouvelle agression. Car l’annonce de « frappes chirurgicales » contre la RDC doit être considérée comme une insulte et un mépris que rien n’autorise.<br /><br />Les observateurs pensent que ce pays cherche un prétexte pour entrer officiellement en guerre, de manière à tirer du pétrin le M23, qui broie du noir sur le front de l’Est. On sait que d’habitude, Kigali se contente d’aider ce mouvement rebelle à distance, avec des troupes et des armes lourdes. Mais, compte tenu du dispositif de surveillance de l’espace aérien congolais mis en place par la Monusco (Mission des Nations Unies pour la Stabilisation au Congo) et la Brigade d’intervention, il est fort gêné de se livrer à sa tricherie habituelle.<br /><br />C’est aux Congolais de se montrer vigilants et de parer à tout coup fourré, d’autant que la « déclaration de guerre » du Rwanda a été faite devant témoins, au siège même des Nations Unies.<br /><br /> Etant donné la guerre est activement préparée de l’autre côté de la frontière, la RDC n’a d’autre alternative que de faire autant. Le vent de la guerre étant en train de souffler en faveur du camp congolais, c’est le moment ou jamais de se faire respecter des maîtres de Kigali.<div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Kimp</b></div>

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Depuis le dernier week-end, les bonnes nouvelles ne font que s’accumuler sur le front de l’Est. Conformément à leurs attentes, des million...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Enfin Étienne Tshisekedi parle ( Discours d'Étienne Tshisekedi du 31 oct 2014 )

Britney Spears, l'arme secrète contre les pirates somaliens

Tshisekedi parle ce jeudi

M23 : Kabila confirme la chute !

Agissons immédiatement et résolument pour mettre fin à la violence sexuelle en RDC

Représentativité de la femme : Udps, la Ligue de femmes pessimiste face au discours de Kabila

Amélioration de la production agricole : RDC, Matata avalise la création de ‘’TRIOMF DRC’’

Mabunda Vs Babala : Les Femmes de Bumba interpellent Aubin Minaku !

En tournée aux Émirats Arabes Unis : L’américaine Ryhanna crée un scandale !

CAN U-23 en RDC : Constant Omari inspecte les sites retenus

Lubumbashi sous la fusillade d\'un commando non identifie !

Le message de Joseph Kabila à la Nation du 30 oct 2013 (Victoire de FARDC Face aux M23)

Panique à Barumbu : un immeuble sur le point de s’écrouler

CSJ : Diomi Ndongala fête la Noël et Bonne année en prison

Où est passé le plan d’urbanisation de Kinshasa ?

Trop, c’est trop: Jacob Zuma invite le M23 à déposer les armes !

SAM TSHINTU RÉCIDIVE ET INTERDIT JB MPIANA DE JOUER AU ZENITH DE PARIS.LE 21 DECEMBRE 2013

Gouvernement de cohésion nationale : Les FAC/Opposition réclament la Primature pour l’Opposition !

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Procès Diomi : l'audience renvoyée au 10 février 2014

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