BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Kinshasa : Botala place ba artistes comédiens bazuaka kisi chez Soule Ebengo (vidéo)

May 17, 2017

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Théâtres Congolais Kinshasa : Botala place ba artistes comédiens bazuaka kisi chez Soule Ebengo (vidéo)

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Kinshasa : La danseuse ,Cuise de poule, par de tout et de rien , affrontement na Carine Mokonzi (vidéo)

May 17, 2017

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Kinshasa : La danseuse ,Cuise de poule, par de tout et de rien , affrontement na Carine Mokonzi (vidéo)

Olive Lembe Kabila offre à Kinshasa les premières interventions chirurgicales à cœur ouvert ( Article + vidéo)

May 17, 2017

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIRSlIqHqPWhVVT3iYbkDrhGLzZ0Hn8nMsO3vsNZaelcbKo100BCGd61B73adFT1O_2oElfAtI_QJKTQu8P3ME0_3H3aS6ZhZ31mNs_Z25KJYoqvZClAzrKflACOqa1S8_WPeuhhXGneM/s1600/olievd+dhe.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIRSlIqHqPWhVVT3iYbkDrhGLzZ0Hn8nMsO3vsNZaelcbKo100BCGd61B73adFT1O_2oElfAtI_QJKTQu8P3ME0_3H3aS6ZhZ31mNs_Z25KJYoqvZClAzrKflACOqa1S8_WPeuhhXGneM/s400/olievd+dhe.jpg" width="400" /></a></div>
Les premières interventions chirurgicales à cœur ouvert à Kinshasa ont eu lieu le 15 et 16 mai 2017 au centre de chirurgie pédiatrique Maman Olive Lembe à la clinique Ngaliema.<br />
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Seize médecins et infirmiers de nationalité française et belge associés aux congolais ont réussi à arrêter momentanément les cœurs de deux patientes et les réanimer après avoir soigné une jeune fille et une femme d’une quarantaine d’âge.<br />
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="370" src="https://www.youtube.com/embed/a_tUcOXDLAk" width="580"></iframe><br />
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«Maintenant l’une comme l’autre sont définitivement guéries», a rassuré l’un des médecins.<br />
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Ces interventions chirurgicales à cœur ouvert ont été réalisées dans le cadre du projet «Congolais pour les enfants congolais», appuyé par la première dame de la RDC, Olive Lembe Kabila.<br />
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Olive Lembe Kabila offre à Kinshasa les premières interventions chirurgicales à cœur ouvert ( Article + vidéo)

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Les premières interventions chirurgicales à cœur ouvert à Kinshasa ont eu lieu le 15 et 16 mai 2017 au centre de chirurgie pédiatrique Mam...

JT RTVS1 du 17 mai 2017 - Evasion de Né Mwanda Nsemi : Lambert Mende fixe l 'opinion et Maman Olive asengi na politiciens ba yokana , mutu aza na baguette magique aza te ! (vidéo)

May 17, 2017

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JT RTVS1 du 17 mai 2017 - Evasion de Né Mwanda Nsemi : Lambert Mende fixe l 'opinion et Maman Olive asengi na politiciens ba yokana , m...

EYINDI: Lobeso Mpota et Limousine les Ex-musiciens de WERRASON ba frapper fort en pleine séance répétitive eyindaka mabe (VIDEO)

May 17, 2017

infos en vidéos Musique EYINDI: Lobeso Mpota et Limousine les Ex-musiciens de WERRASON ba frapper fort en pleine séance répétitive eyindaka mabe (VIDEO)

EYINDI: Lobeso Mpota et Limousine les Ex-musiciens de WERRASON ba frapper fort en pleine séance répétitive eyindaka mabe (VIDEO)

RDC : Qui est Ne Mwanda Nsemi évadé mercredi de Makala?

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjABts9uSVDfc9q_qyq9HG6yE9dzZqzx_s6veyf0qibBKSJhS-LmDzkniK4eApCM2C-muk9_df0K3MJJSMSpf8PRuVpCxrVV5vmYwTWt4xXnXRN_NHEq37UmGQqv7tlychn1035z6iXEcs/s1600/Snapshot_855.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="327" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjABts9uSVDfc9q_qyq9HG6yE9dzZqzx_s6veyf0qibBKSJhS-LmDzkniK4eApCM2C-muk9_df0K3MJJSMSpf8PRuVpCxrVV5vmYwTWt4xXnXRN_NHEq37UmGQqv7tlychn1035z6iXEcs/s400/Snapshot_855.jpeg" width="400" /></a>Ne Mwanda Nsemi est un élu national pour le Kongo Central – peuplé principalement par l’ethnie kongo – qui est aussi chef d’une secte politico-mystique. Pour comprendre ce qu’il représente, il faut retourner en arrière.<br />
Longtemps, ce furent les Bakongo, et non les Katangais, qui firent trembler les partisans de l’unité du Congo. C’est de leurs rangs que surgira la plus grande menace contre l’ordre colonial, le prophète Simon Kimbangu qui, dans un syncrétisme inspiré du christianisme, prêcha un réveil spirituel et politique et rappela à ses frères la grandeur passée du royaume Kongo qui, au XVIème siècle, échangeait des ambassadeurs avec le Portugal  et y envoyait étudier ses princes. La colonisation écartela les Bakongo entre le Congo belge, le Congo français et l’Angola. Dans ces deux derniers pays, ils font preuve d’un irrédentisme qui fait régulièrement trembler l’Etat central; aujourd’hui encore, le pasteur Ntoumi donne du fil à retordre à Brazzaville.<br />
Particularisme kongo<br />
Le particularisme kongo s’exprime généralement dans une veine politico-mystique, qu’ont également choisie, dans les années 90, le « roi Mizele Nsemi Bernard », qui lança plusieurs attaques contre le pouvoir de Kinshasa sous Mobutu et Kabila père, et, aujourd’hui, Ne Mwanda Nsemi. Tous deux revendiquent l’indépendance des provinces qui faisaient, en gros, partie de l’ancien royaume Kongo (Kongo–central, Kinshasa et l’ex-Bandundu, divisé, depuis 2015, en Kwango, Kwilu et Maï-Ndombe).<br />
Persuadés, comme nombre de Bakongo, d’être « plus civilisés » que les autres Congolais en raison de leur contact plus ancien avec les Européens, les dirigeants de la secte de Ne Mwanda Nsemi, Bundu dia Kongo, affirme que le sous-développement de leur région est dû au fait qu’ils sont dirigés par des « non-originaires » de leurs provinces depuis l’arrivée au pouvoir de Mobutu, en 1965; le rejet des « non-originaires » touche souvent à la xénophobie. Ils sont partisans d’une « confédération ou rien ». Ces idées sont celles d’une population kongo beaucoup plus large que les fidèles de Ne Mwanda Nsemi mais qui, « plus palabreuse que bagarreuse », récuse la violence utilisée par la secte.<br />
Magouille électorale et meurtre de Chebeya<br />
Cet usage de la violence s’est propagé dans la secte quand, en janvier 2007, Ne Mwanda Nsemi a apparemment été victime d’une « magouille » électorale, qui, corruption aidant, l’a privé du poste de vice-gouverneur de la province du Kongo-central (alors appelée Bas-Congo). Ses militants, armés de bâtons, avaient déclenché des troubles dans plusieurs localités; la répression par Kinshasa – à qui profitait la fraude électorale présumée –  fera 134 morts, selon  l’Onu, y compris des personnes désarmées et en prières.<br />
Un an plus tard, alors que la police détruit systématiquement les lieux de culte de Bundu dia Kongo, des affrontements entre la secte et les militants fera encore une centaine de morts; l’Onu dénoncera un usage « excessif » de la force et l’Union européenne demandera l’ouverture d’un dialogue entre l’Etat et la secte. Kinshasa préfère l’interdire, malgré les protestations des députés nationaux du Bas-Congo, et condamner, en 2008, 9 militants à mort et 9 autres à 20 ans de prison. Le 1er juin 2010, alors qu’il s’apprête à déposer une plainte pour crime contre l’humanité devant la Cour pénale internationale (CPI) pour ces massacres, Floribert Chebeya, président de l’ONG « La Voix des Sans Voix », est assassiné par la police congolaise à Kinshasa.<br />
Conflit interne<br />
En 2009, le parti Bundu dia Mayala est créé pour prendre le relai de Bundu dia Kongo – et interdit en mai 2011. En novembre 2011, Ne Mwanda Nsemi est à nouveau élu député national, avec Papy Matenzolo, sur la liste du parti Congo Pax. Matenzolo acceptera cependant, en décembre dernier, de devenir vice-ministre des Infrastructures dans l’éphémère gouvernement Badibanga (il a été repris dans le gouvernement Tshibala au même poste), ce qui amènera des heurts internes à la secte au Kongo-central début 2017. Ces heurts, qui ont fait au moins 8 morts, vaudront un mandat d’arrêt à Ne Mwanda Nsemi qui, après s’être brièvement rapproché du président Joseph Kabila, avait retourné sa veste et appelé, sur internet, à le « sortir de ce pays ». Les tentatives pour l’arrêter ont entraîné des affrontements armés en plein Kinshasa en février et ce n’est que le 3 mars qu’elles avaient abouti.<br />
Dix semaines plus tard, l’homme, que ses partisans assurent être doté de « pouvoirs mystiques », a recouvré la liberté. Pour combien de temps?<br />
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afrique.lalibre.be

Politique RDC : Qui est Ne Mwanda Nsemi évadé mercredi de Makala?

Ne Mwanda Nsemi est un élu national pour le Kongo Central – peuplé principalement par l’ethnie kongo – qui est aussi chef d’une secte politi...

RDC : Moïse Katumbi et Raphaël Katebe Katoto, frères ennemis

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC3m3tOiLsd3PruojLORP_7Hm-hsYf5ymod1Jd2dlXhfTS0_-bTEM4hAToSi16vroGhOA_9rJn1X3ogkPbeMWfyovqfqKuHtJT2Ni88FDNqrttEChxovNSx9Rg7-P91Aqdc7T52p9Lv2k/s1600/Snapshot_850.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhC3m3tOiLsd3PruojLORP_7Hm-hsYf5ymod1Jd2dlXhfTS0_-bTEM4hAToSi16vroGhOA_9rJn1X3ogkPbeMWfyovqfqKuHtJT2Ni88FDNqrttEChxovNSx9Rg7-P91Aqdc7T52p9Lv2k/s400/Snapshot_850.jpeg" width="400" /></a>L’un est radicalement opposé à tout accord avec le pouvoir, l’autre est prêt à négocier. Le dialogue est donc rompu entre Moïse Katumbi et son frère et ex-mentor, Raphaël Katebe Katoto. Dernier épisode en date d’une saga politico-familiale tumultueuse en République démocratique du Congo.<br />
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Le costume est ajusté, la diction mal assurée, le cadre bucolique. Mais l’allocution filmée de Moïse Katumbi diffusée début avril a des accents révolutionnaires inhabituels chez lui. Depuis son exil, évoquant la « dictature illégitime » du président Joseph Kabila, qu’il accuse de « trahison », l’opposant congolais appelle ses compatriotes à la « résistance ». Afin de maximiser sa portée, la vidéo a été réalisée en français, en swahili et en lingala. « Nous sommes 80 millions. Si nous sommes pacifiques et déterminés, la victoire est certaine », y prophétise Moïse Katumbi.<br />
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Rupture<br />
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Au lendemain de ce coup de semonce, pourtant, les artères des grandes villes restent calmes. Manifestement, malgré les accents gaulliens de son appel à la résistance, l’homme d’affaires autrefois proche du régime n’a pas provoqué l’électrochoc annoncé. Rien de très étonnant, dans ce vaste pays aux multiples fractures.<br />
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Moïse ne parle plus à son frère Raphaël Katebe Katoto depuis plusieurs semaines afin de ne pas avoir à lui faire des reproches<br />
Ce qui est plus surprenant, c’est que cette déclaration a été désavouée jusque dans sa propre famille. Ces dernières semaines, son frère aîné, Raphaël Katebe Katoto, se pose en effet en vieux sage, jouant ouvertement la carte de l’apaisement avec le chef de l’État. Âgé de 72 ans, cet homme longtemps exilé, qui n’avait pas de mots assez durs contre Joseph Kabila il y a encore deux mois, applaudit désormais à la nomination de Bruno Tshibala au poste de Premier ministre, à contre-courant d’une large frange de l’opposition, qui y voit un coup de force. Katebe est même allé jusqu’à participer aux consultations visant à la formation du dernier gouvernement.<br />
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Pour son retour au pays, le 21 février, l’ancien opposant n’a pas recherché la discrétion : c’est à bord d’un jet privé de location que Katebe a royalement débarqué à Kinshasa. Un passage à l’ennemi ? « Entre Moïse et son frère, c’est la rupture », analyse un membre éminent du « G7 », la coalition katumbiste. « Moïse ne lui parle plus depuis plusieurs semaines afin de ne pas avoir à lui faire des reproches », confirme un membre de l’entourage du premier. Devant les médias, l’ancien gouverneur du Katanga se refuse également à tout commentaire.<br />
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Comme un père <br />
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Bien qu’ils aient la même intonation de voix, la parenté entre les deux hommes ne saute pas aux yeux. Élancé et athlétique, Moïse Katumbi arbore un style décontracté, quand son aîné, plutôt râblé, est le plus souvent tiré à quatre épingles. Le lien qui unit les deux demi-frères n’en est pas moins étroit.<br />
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Ils ont scellé une sorte de pacte. Katebe financerait les études de Moïse, après quoi ce dernier travaillerait pour ses entreprises.<br />
« Katebe est comme un père de substitution pour Moïse, c’est pratiquement lui qui l’a élevé », explique une source proche de la famille. L’un comme l’autre sont nés à Kashobwe, à un jet de pierre de la Zambie. Par leurs mères respectives, tous deux sont catholiques et d’origine bemba. Leur père, Nissim Soriano, était lui un Grec de confession juive qui avait fui le nazisme dans cette région du sud-ouest de l’ex-Congo belge.<br />
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Lorsqu’un cancer emporte celui-ci, au début des années 1970, Moïse Katumbi n’a que 9 ans. Raphaël Katebe Katoto, de vingt ans son aîné, le recueille alors ainsi que ses sœurs. Tous logent un temps dans un immeuble de Lubumbashi confisqué à une famille grecque, « zaïrianisation » oblige. Mais après son mariage, Katebe place le cadet et ses sœurs dans un internat bénédictin, dont Moïse sera le plus jeune pensionnaire. « Ils ont scellé une sorte de pacte, assure la même source. Katebe financerait les études de Moïse, après quoi ce dernier travaillerait pour ses entreprises. »<br />
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Popularité<br />
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Celles-ci sont alors florissantes. Bien en cour dans le Zaïre de Mobutu, Katebe a obtenu le monopole de l’approvisionnement des cantines de la Gécamines, entreprise publique et vache à lait du régime. Il les fournit notamment grâce à ses pêcheries industrielles sur les lacs Moero et Tanganyika. En parallèle, le puissant homme d’affaires se lance dans l’import-export, notamment de denrées alimentaires, et réinvestit une partie de ses gains dans le prestigieux club de football de Lubumbashi, le Tout-Puissant Mazembe, avec lequel il remporte, en 1980, la Coupe d’Afrique des clubs champions.<br />
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Sa popularité est alors considérable. « Les habitants ont eux-mêmes protégé les biens de Katebe contre l’armée de Mobutu pendant les pillages des années 1991-1993 », se souvient le journaliste Paul Kaboba, directeur du Rassembleur, à Lubumbashi. Avec cette habile combinaison de foot et de bunga (farine de maïs), transposition katangaise du panem et circenses romain, Katebe semble avoir déniché la recette du succès.<br />
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Moïse, de l’ombre à la rébellion<br />
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Au début des années 1990, Moïse n’est encore qu’un benjamin qui grandit dans l’ombre de son aîné, se préparant à marcher sur ses traces. Il vient d’obtenir ses premiers marchés – de la fourniture de vivres également – auprès de l’Église catholique, qu’il approvisionne grâce aux pêcheries cédées par son frère sur le lac Moero.<br />
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Sur l’autre rive, la Zambie est alors présidée par Frederick Chiluba, lui aussi bemba, dont il devient très proche. C’est donc tout naturellement qu’il y trouve refuge, tandis que débute le lent déclin du régime Mobutu. Là, Moïse Katumbi fonde le groupe Chani, dont les activités vont de l’extraction d’émeraude à l’import-export.<br />
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Il approvisionnera un temps l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), la rébellion conduite par Laurent-Désiré Kabila, qui s’empare de Kinshasa en mai 1997, chassant Mobutu du pouvoir. Mais, devenu président, le Mzee s’abstient de lui payer son dû. Déçu, Moïse demeure en Zambie.<br />
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C’est là qu’il se marie une première fois. Est-ce avec une nièce de Chiluba, comme le prétend une rumeur insistante ? L’évocation de cette union est aujourd’hui taboue dans son entourage, où Carine – son épouse actuelle, burundaise – joue un rôle central. Selon ses proches, c’est en tout cas Moïse qui présentera Katebe à Chiluba.<br />
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Comme tant d’autres hommes d’affaires, son aîné pâtit alors des derniers soubresauts du mobutisme. À Lusaka, il se refera une santé financière dans des activités parfois situées à la limite de la légalité – même si les procédures parfois engagées contre lui n’ont, affirme-t-il, jamais donné lieu à condamnation.<br />
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Aventure<br />
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À mesure que la stature des deux hommes s’équilibre surgissent les premiers désaccords. Au cours de la deuxième guerre du Congo, qui débute en 1998, Katebe rejoint la branche politique du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD), une rébellion soutenue par le Rwanda. Il s’installe un temps à Goma et sera l’artisan d’une improbable alliance entre ce mouvement et l’opposant – pacifiste – Étienne Tshisekedi.<br />
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En 2002, alors que des négociations s’engagent à Sun City, en Afrique du Sud, pour mettre fin au conflit, il tente de peser face au chef rebelle Jean-Pierre Bemba et au jeune président Joseph Kabila, qui a succédé à son père quelques mois plus tôt. Il se porte même candidat au poste de président de la transition. En vain.<br />
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Katumbi, lui, a refusé de le suivre dans cette aventure. À cette époque, à l’inverse, le benjamin se rapproche de Kabila fils par l’intermédiaire de l’éminence grise de ce dernier, Augustin Katumba Mwanke, à l’époque gouverneur du Katanga. « [Il] poursuivait l’État pour des règlements de dettes à lui légitimement dues, écrit Katumba dans son autobiographie publiée à titre posthume. Il avait […] bloqué, par le biais de saisies judiciaires, des embarcations congolaises. Je lui proposai un arrangement : revenir au pays et lever les saisies. En contrepartie, je m’engageai à lui faciliter la restitution de ses droits. Il accepta. »<br />
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Katebe considère que Moïse lui doit tout, et que c’est à lui que doit revenir le premier rôle.<br />
De retour au pays, en 2003, Moïse Katumbi fonde la Mining Company Katanga (MCK), qui prospère dans la sous-traitance du secteur minier. Il se lance corps et âme derrière Joseph Kabila et, en 2006, succède à Katumba Mwanke au très stratégique gouvernorat du Katanga. Ce sont ses années fastes : le Tout-Puissant Mazembe – qu’il a repris en 1997 – vole de victoire en victoire, la production de cuivre de la province se redresse, et le gouverneur Katumbi distribue à la volée des billets de 100 dollars, tout en déversant du maïs à bas coût, importé de Zambie, dans ses « magasins du peuple ».<br />
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Reprenant à son compte la combinaison « foot et bunga », il atteint une cote de popularité qui relègue celle de Katebe au rang de lointain souvenir. « L’aîné n’a pas apprécié que son cadet lui dame le pion, assure un proche de la famille. Katebe considère que Moïse lui doit tout, et que c’est à lui que doit revenir le premier rôle. »<br />
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Rien de bon ne viendra jamais de Kabila<br />
Il tente alors un dernier coup en se rapprochant du chef rebelle tutsi congolais Laurent Nkunda, au bénéfice de qui il transfère une centaine de milliers de dollars. Une opération qui vaudra à tous les membres de la famille – Katumbi compris – de voir leurs comptes en banque gelés par la Belgique.<br />
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Les relations entre Moïse Katumbi et Joseph Kabila commencent cependant à s’assombrir. Le décès de leur ami commun, Katumba Mwanke, en 2012, contribuera à creuser le fossé qui les sépare. Katumbi tente néanmoins de rapprocher son frère et le président congolais. Il organise notamment une rencontre à Kinshasa, sans grand résultat. « Rien de bon ne viendra jamais de Kabila », bougonne alors Katebe, qui se retire dans son domaine belge, près de Bruges.<br />
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Ce n’est qu’après la rupture définitive entre Moïse Katumbi et Joseph Kabila, en 2015, que les deux frères se réconcilient à nouveau politiquement. Moïse se rend compte qu’il ne sera jamais le dauphin du président, celui-ci n’ayant pas l’intention de se retirer de la scène. « Ça y est ? Tu as enfin compris ! » lui lance Katebe.<br />
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Ce dernier organise alors une entrevue entre son cadet et Étienne Tshisekedi, dont il est resté proche – ces deux vétérans de la politique congolaise passent alors le plus clair de leur temps en Belgique. La relation ainsi nouée sera la colonne vertébrale d’une nouvelle coalition : le Rassemblement de l’opposition, officiellement lancé à Genval, en Belgique, en juin 2016.<br />
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Retournement<br />
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Le 31 décembre, au terme de longues négociations avec le pouvoir, cette plateforme consent au maintien provisoire au pouvoir de Joseph Kabila, dont le dernier mandat constitutionnel vient de s’achever sans qu’une élection n’ait pu être organisée pour désigner son successeur. En échange, elle obtient de désigner le Premier ministre de transition.<br />
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Une perspective à l’origine d’une nouvelle brouille entre les deux frères : Katebe – surestimant sans doute sa popularité – vise le poste, alors que Moïse soutient contre lui Félix Tshisekedi, le fils d’Étienne. Déjà brinquebalant, l’attelage fraternel se fracasse lorsque survient la mort du patriarche de l’opposition, le 1er février 2017. Katebe perd son rôle central au sein de l’alliance. Ses relations avec son rival, Félix, sont si exécrables qu’il renonce même à assister aux obsèques de son vieil ami, à Bruxelles.<br />
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C’est le moment que choisit Katebe pour effectuer son grand retour à Kinshasa. Pour y négocier un poste au gouvernement ? « Il a besoin de se refaire une santé financière, assure un allié de Katumbi. Sa fortune a fondu, et c’est Moïse qui subvenait à ses besoins ces dernières années. » Mais à Kinshasa, il pourrait tout aussi bien se montrer utile pour tenter de négocier le retour de son frère.<br />
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Après tout, Katebe, qui n’en est plus à un retournement près, est au centre de l’affaire qui maintient celui-ci en exil. C’est en effet l’héritier grec Emmanouil Stoupis qui a fait condamner Moïse Katumbi à trois ans de prison pour la « spoliation » de l’immeuble ayant jadis appartenu à sa famille. Or c’est Katebe qui en avait fait l’acquisition dans les années 1970.<br />
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Dans cette affaire, Moïse, qui juge cette condamnation politique, avait remis son sort entre les mains de la médiation des évêques. Mais début avril, les prélats ont finalement jeté l’éponge. « Il faudra bien trouver d’autres canaux de négociation, analyse une source diplomatique européenne. Et malgré les désaccords en son sein, cette famille est bien plus soudée qu’il n’y paraît. »Du Rassemblement au « démembrement »<br />
Le président congolais Joseph Kabila a de nouveau surpris son monde en nommant à la primature, le 7 avril, Bruno Tshibala, revenant sur l’accord signé avec l’opposition. Fidèle parmi les fidèles de feu Étienne Tshisekedi, aux côtés de qui il militait depuis le début des années 1980, cet avocat de 61 ans, originaire du Kasaï-Oriental, n’aurait sans doute jamais accepté cette proposition si son mentor avait été encore en vie.<br />
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D’autant que son CV gouvernemental – il n’a été qu’une seule fois ministre, en 1992, pendant moins de deux mois – rend peu probable sa capacité à faire office de contrepoids face au président.<br />
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Mais cette nomination révèle surtout l’état de division d’une opposition où la présidence débauche sans difficultés. Après Samy Badibanga et Vital Kamerhe, fin 2016, le chef de l’État a également attiré dans son orbite Raphaël Katebe Katoto et Joseph Olenghankoy. Même si le tandem Félix Tshisekedi-Moïse Katumbi (et ses alliés du « G7 ») tient toujours bon, ces ralliements, outre qu’ils affaiblissent encore l’opposition, jettent le discrédit sur l’ensemble de la classe politique congolaise.<br />
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J.A

Politique RDC : Moïse Katumbi et Raphaël Katebe Katoto, frères ennemis

L’un est radicalement opposé à tout accord avec le pouvoir, l’autre est prêt à négocier. Le dialogue est donc rompu entre Moïse Katumbi et s...

Trois journalistes de TV5 tabassés par des policiers à Kinshasa : « Ils nous ont aspergé de l’urine » – Témoignage

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiR3TkUEdjXAR5-eu7_zp8mtwfROsNmgzebsRPhxQ3-ChkwRq-WVosVEQnUE72VlNS7GUqyx6CmxE0XBKpz3rwOUMUXCPAuSv5O_1YRqZZCGINhLy4lJFnlScfPuj8B2Qxm_ScRbI8PR74/s1600/Snapshot_846.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="231" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiR3TkUEdjXAR5-eu7_zp8mtwfROsNmgzebsRPhxQ3-ChkwRq-WVosVEQnUE72VlNS7GUqyx6CmxE0XBKpz3rwOUMUXCPAuSv5O_1YRqZZCGINhLy4lJFnlScfPuj8B2Qxm_ScRbI8PR74/s400/Snapshot_846.jpeg" width="400" /></a>Francine Mukoko, Blaise Basomboli et Baudry Mata, tous journalistes à TV5, ont été passés à tabac aux alentours de la Prison de Makala par des policiers en tenue civile alors qu’ils se renseignaient auprès des policiers trouvés sur place sur des autorisations nécessaires à prendre pour recueillir des images illustrant ce complexe carcéral.<br />
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« Ils nous ont ravi trois téléphones, un ordinateur portable, de l’argent, des modems. Baudry et moi avons été roués des coups, jetés à terre, insulté. Ils nous ont même aspergé de l’urine. Il m’ont pris même mon anneau de mariage, » a dit à ACTUALITE.CD, le journaliste Blaise Basomboli.<br />
Les trois journalistes ont été conduits à la légion PIR (Police d’intervention rapide) avant d’être relâchés. Leurs matériels ne leur ont pas été rendus.<br />
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Les trois journalistes travaillaient sur l’évasion qui a eu lieu tôt le matin de ce mercredi 17 mai 2017 à la Prison centrale de Makala, à Kinshasa.<br />
actualite.cd

Justice Politique Trois journalistes de TV5 tabassés par des policiers à Kinshasa : « Ils nous ont aspergé de l’urine » – Témoignage

Francine Mukoko, Blaise Basomboli et Baudry Mata, tous journalistes à TV5, ont été passés à tabac aux alentours de la Prison de Makala par d...

Evasion à Makala: La police annonce des arrestations dans différentes communes de Kinshasa

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh069Bm_AsaUugFfkUUNKEb9IU-I4kztJo8hkrR5_WjTWWxGBxk_FNnrpRWQ3TLaHRMPU5yyC4t2v1l0V8F0Yiea1oKE-kn4NVjc0_FbyhLSecB3378c0OP-IAwqbYB3nh_zSJFeWYahwA/s1600/Snapshot_845.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh069Bm_AsaUugFfkUUNKEb9IU-I4kztJo8hkrR5_WjTWWxGBxk_FNnrpRWQ3TLaHRMPU5yyC4t2v1l0V8F0Yiea1oKE-kn4NVjc0_FbyhLSecB3378c0OP-IAwqbYB3nh_zSJFeWYahwA/s400/Snapshot_845.jpeg" width="400" /></a>Le porte-parole de la police Ezéchiel Mwanamputu annonce l’arrestation de certains évadés de la prison centrale de Makala ce mercredi 17 mai 2017.<br />
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« Nos forces sont en alerte partout dans la ville de Kinshasa dans les différentes communes. A l’heure actuelle, plusieurs prisonniers qui étaient en fuite ont été récupérés et les opérations sont toujours en cours, » a dit à ACTUALITE.CD à 16 heures 30 le porte-parole de la police.<br />
<br />
Le Colonel Mwanamputu ajoute que la police et les autres services de sécurité font le ratissage au niveau de la prison de Makala, mais aussi le dénombrement pour vérifier l’effectif des prisonniers restés et déterminer le nombre de ceux qui ont fui.<br />
<br />
Des coups de feu ont été entendus jusqu’à 7 heures locales aux environs de la prison centrale de Makala de laquelle une cinquantaine de prisonniers s’est évadée . Aucun bilan n’est encore communiqué.<br />
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Image d’archives<br />
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Stanys Bujakera

Justice Politique Evasion à Makala: La police annonce des arrestations dans différentes communes de Kinshasa

Le porte-parole de la police Ezéchiel Mwanamputu annonce l’arrestation de certains évadés de la prison centrale de Makala ce mercredi 17 mai...

“Pour nous, nous savons que notre client se trouve toujours à Makala” (Avocat de Ne Mwanda Nsemi)

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAcOn5LTFhfKblQvjWDPwR2rE49sIGdVBIiZkWmg43qpko7QWyA4PWZp0PIP-Wtvgc_QAnAluREpo-oLqENbuu60IKZpvuDmhIkJIqyG25lYhDwwRr7roVwD_mn06FlhT8UAG9mgclm4/s1600/Snapshot_805.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="397" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvAcOn5LTFhfKblQvjWDPwR2rE49sIGdVBIiZkWmg43qpko7QWyA4PWZp0PIP-Wtvgc_QAnAluREpo-oLqENbuu60IKZpvuDmhIkJIqyG25lYhDwwRr7roVwD_mn06FlhT8UAG9mgclm4/s400/Snapshot_805.jpeg" width="400" /></a>Maître Akanda Ngwiziani, avocat de Ne Mwanda Nsemi, affirme n’est pas être à mesure d’infirmer ou de confirmer l’évasion de son client. D’après son témoignage, le chef spirituel de Bundu Dia Mayala se trouvait encore en prison hier.<br />
<br />
« Pour nous, notre client est toujours à Makala. Hier, je l’avais rencontré à 14 heures toujours à la prison de Makala. Mais c’est ce matin que nous apprenons par la voie des ondes qu’il y a eu une attaque à la prison. Ce matin, je ne pouvais pas y aller. Je ne pouvais pas me permettre d’aller voir mon client, » a t-il dit à ACTUALITE.CD.<br />
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Des coups de feu retentissaient jusqu’à 7 heures locales aux environs de la prison centrale de Makala, Kinshasa, après évasion d’une cinquantaine de prisonniers tôt ce matin.<br />
<br />
Le porte-parole du gouvernement a dit à ACTUALITE.CD que cette opération était menée par les adeptes de Ne Mwanda Nsemi. Du côté du mouvement politico-religieux Mbundu Dia Mayala (BDM) on évoque “une mascarade et un montage de mauvais goût”.<br />
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Stanys Bujakera

Politique “Pour nous, nous savons que notre client se trouve toujours à Makala” (Avocat de Ne Mwanda Nsemi)

Maître Akanda Ngwiziani, avocat de Ne Mwanda Nsemi, affirme n’est pas être à mesure d’infirmer ou de confirmer l’évasion de son client. D’ap...

« Plusieurs prisonniers dangereux et auteurs de crimes crapuleux se sont évadés », dit la PNC

May 17, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEic9SRwtzEQe2lzAmh9GSeKgOB0g7D5-Mo810TnuTkyFXNc7S87Th2dOVmPxVWEXm7OY26ityu188vAvStvbWy8O9_sKgUWvu1bZzvOWso4K-wfnmIHpCjLhNWphtiFkc_GMUcoYsA7tZ8/s1600/Snapshot_844.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEic9SRwtzEQe2lzAmh9GSeKgOB0g7D5-Mo810TnuTkyFXNc7S87Th2dOVmPxVWEXm7OY26ityu188vAvStvbWy8O9_sKgUWvu1bZzvOWso4K-wfnmIHpCjLhNWphtiFkc_GMUcoYsA7tZ8/s400/Snapshot_844.jpeg" width="400" /></a></div>
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La Police nationale congolaise (PNC) annonce l’évasion de plusieurs « prisonniers dangereux et auteurs de crimes crapuleux » le matin de ce mercredi 17 mai 2017 de la Prison de Makala. Aucun chiffre n’a cependant était fourni.<br />
<br />
« Quant au bilan de ces événements, la gestion de l’ex-prison centrale de Makala étant de la compétence du ministère de la justice et garde de sceaux, nous avons la nette assurance qu’une communication en termes de bilan partiel sera donnée. La police n’a pour tâche que de traquer les évadés pour leur retour en prison, » dit le Colonel Pierrot Mwanamputu, porte-parole de la PNC.<br />
Pour la Police, les auteurs de cette évasion sont connus.<br />
<br />
« La police nationale congolaise porte à la connaissance de la population kinoise qu’aux environs de 4hrs30′ de ce mercredi 17 mai 2017, les adeptes et insurgés du mouvement politico-religieux Bundu dia Mayala ont attaqué le centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa, d’où ils ont organisé l’évasion de M. Zacharie Badiengila dit Ne Muanda N’Semi, à sa suite plusieurs prisonniers dangereux et auteurs de crimes crapuleux se sont volatilisés dans la nature, » dit un communiqué officiel de la PNC. Contacté par ACTUALITE.CD, Bundu Dia Mayala parle d’une mascarade et d’un montage honteux.<br />
<br />
La PNC sollicite l’implication de la population kinoise pour traquer les évadés.<br />
<br />
« A cet effet, un appel à collaboration est lancé à l’endroit des valeureux kinois et kinoises pour dénoncer tous ces criminels et évadés qui se cacheraient dans les différents quartiers de la ville Province de Kinshasa et à signaler de leur présence aux forces de l’ordre et de sécurité. La Police Nationale compte énormément sur la collaboration de la population pour éviter la recrudescence de la criminalité dans les prochains jours,» dit le communiqué de la PNC.<br />
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Photo Pascal Mulegwa/ACTUALITE.CD

Politique « Plusieurs prisonniers dangereux et auteurs de crimes crapuleux se sont évadés », dit la PNC

La Police nationale congolaise (PNC) annonce l’évasion de plusieurs « prisonniers dangereux et auteurs de crimes crapuleux » le matin de...

Réunion de haut-niveau au sujet de la situation en RDC aux Etats-Unis

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmBvhTUOHil44P2m1QRojlJSRv_Jw3L5vck7jYafbjLUZ4iadgT5Zk-Ly1GM055rcY9L6oz7CS_dd5YIBrxqXHh_rw9hcVW6kjpdgfqyaOietL4hNc-8Pr_cKpjCpwtzS_eJJ56ayxIGM/s1600/Snapshot_842.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="218" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmBvhTUOHil44P2m1QRojlJSRv_Jw3L5vck7jYafbjLUZ4iadgT5Zk-Ly1GM055rcY9L6oz7CS_dd5YIBrxqXHh_rw9hcVW6kjpdgfqyaOietL4hNc-8Pr_cKpjCpwtzS_eJJ56ayxIGM/s400/Snapshot_842.jpeg" width="400" /></a>Washington, la capitale administratives des Etats-Unis a accueilli une réunion importante du Groupe de contact international sur les Grands Lacs le lundi, organisée par le Département d’Etat américain.La réunion a été consacrée à l’analyse de la situation politique en République démocratique du Congo<br />
(RDC) et au Burundi, rapporte des sources concordantes. Selon nos confrères d’Angop, aucun représentant des autorités congolaises n’a pris part à cette « réunion », qui a connu également la participation des envoyés spéciaux dans les Grands Lacs des États-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne et en Belgique.<br />
<br />
La liste des participants comprend également les Pays-Bas, la Suède, le Danemark, les envoyés de<br />
Nations Unies, Union européenne, l’Union africaine et l’Organisation internationale de la Francophonie.<br />
<br />
L’Angola est le seul l’Etat africain invité à assister à cette réunion « La participation de l’Angola à cette réunion de haut niveau sur la RDC et le Burundi, permettra mieux comprendre la pensée de la nouvelle direction politique des États-Unis, en Europe et Nations Unies », renseigne le média angolais, qui cite des notes du ministère des Affaires étrangères de son pays.<br />
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POLITICO.CD

Politique Réunion de haut-niveau au sujet de la situation en RDC aux Etats-Unis

Washington, la capitale administratives des Etats-Unis a accueilli une réunion importante du Groupe de contact international sur les Grands ...

Alexis Thambwe sur l ' évasion de Né Mwanda Nsemi : « Cette attaque a occasionné plusieurs décès tant du côté des prisonniers que des gardiens.»

May 17, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZu9iQJV_qrOG8IY442ZPTXsHEXmKgw3g7cL-nxGMB9dbZWmdUlcqQWo1EYDDsjd7KmAptS_GZaEppU-goGrXqGpsD48p0JKnQZpTAIUXq65mKYrvdXsoq24Je5nfdV8E-gIyVmva0Arg/s1600/Snapshot_957.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="258" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhZu9iQJV_qrOG8IY442ZPTXsHEXmKgw3g7cL-nxGMB9dbZWmdUlcqQWo1EYDDsjd7KmAptS_GZaEppU-goGrXqGpsD48p0JKnQZpTAIUXq65mKYrvdXsoq24Je5nfdV8E-gIyVmva0Arg/s400/Snapshot_957.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba accuse les adeptes du député Ne Muanda Nsemi d’avoir organisé ce mercredi 17 mai à la prison centrale de Mkala, son évasion. Par la même occasion, indique le ministre de la Justice, plusieurs détenus se sont aussi évadés.</span><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">«</span><em style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Les miliciens de Ne Muanda Nsemi ont organisé une attaque de la prison. Plusieurs parmi eux avaient des armes de guerre et ils ont réussi à faire évader Ne Muanda Nsemi  et plusieurs  prisonniers. Il y a eu un échange  des tirs avec la police qui est commise à la surveillance de la prison. Plusieurs prisonniers sont dans la nature</em><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">», explique Alexis Thambwe Mwamba.</span><br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/4dauJMUstyw" width="480"></iframe><br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Le ministre de la justice ajoute que cette attaque a occasionné plusieurs décès tant du côté des prisonniers que des gardiens. Mais il s’abstient d’avancer des chiffres pour ne « pas obstruer l’enquête », argumente-t-il. Entretien.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi: Alexis Thambwe Muamba, Bonjour. Des tirs ont été entendus ce matin à la prison centrale de Makala. Qu’est ce qui s’est passé concrètement?<br style="box-sizing: border-box;" /> </strong><br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Les miliciens de Ne Muanda Nsemi ont organisé une attaque de la prison. Plusieurs parmi eux avaient des armes de guerre et ils ont réussi à faire évader Ne Muanda Nsemi  et plusieurs  prisonniers. Il y a eu un échange des tirs avec la police qui est commise à la surveillance de la prison. Plusieurs prisonniers sont dans la nature.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : Et quel bilan avez-vous enregistré de cette évasion ?</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Pour des raisons d’enquête, je ne donnerai pas des chiffres. Mais il y a plusieurs évadés. Les services aussi bien de renseignement que la police sont en train de faire le travail. L’alerte a été lancée à travers la ville et les routes environnantes. Les services travaillent.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : L’avocat de Ne Muana Nsemi rejette la possibilité pour son client de s’échapper de la prison et estime que c’est un montage du gouvernement congolais. Comment réagissez-vous ?</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Vous savez, c’est  un farfelu. Parce que s’il va aujourd’hui à la prison de Makala, il se rendra compte que son client est bel et bien parti. C’est un avocat certainement irresponsable, peut-être même militant et qui agit contrairement aux règles de déontologie de notre métier, puisque moi-même je suis avocat.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : Comment expliquer, M. le ministre, qu’une telle évasion ait lieu alors que la prison centrale de Makala est l’une des prisons les plus sécurisées de la RDC ?</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba  : Nous sommes en train de faire une enquête et tous les services sont mobilisés. Pour des raisons d’enquête, je ne ferai pas une autre déclaration pour le moment. Mais je peux vous assurer pour le moment que Ne Muanda Nsemi  est effectivement en fuite. Ce sont ses miliciens, et nous avons des preuves matérielles pour affirmer ce que je suis en train de dire. On a eu des victimes parmi les gardiens, il y a aussi des victimes du côté des miliciens et du côté des prisonniers. Mais tous les services sont en place et nous sommes sûrs que nous allons les récupérer.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : Certaines rumeurs attribuent cette attaque aux éléments de Kamuina Nsapu qui ont organisé cette évasion. Avez-vous des preuves qui attestent que ce sont des adeptes de Bundu Dia Mayala, en dehors du fait que Ne Muanda Nsemi se soit évadé ?</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Des déclarations s’agissant des implications de Kamuina Nsapu, ce sont des bêtises. Nous avons des preuves et des éléments que je ne peux pas donner pour ne pas gêner l’enquête. Mais je vous confirme que ce sont des adeptes de Ne Muanda Nsemi qui sont allés en prison, qui l’ont fait sortir, qui ont fait sortir d’autres prisonniers en nombre important. Tous les services sont sur l’enquête. Je ne donnerai pas plus de détails.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : Vous venez d’une réunion de sécurité pour statuer sur cette situation. Quelles dispositions avez-vous prises quand à ce ?</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Quand on vient d’une réunion de sécurité, ce n’est pas pour donner des détails à un journaliste.</span><br />
<br />
<strong style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">Radio Okapi : M. le ministre je vous remercie.</strong><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Alexis Thambwe Muamba : Merci et bon après-midi.</span><br />
<br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">Propos recueillis par Michel Kifinda Ngoy.</span>

Alexis Thambwe sur l ' évasion de Né Mwanda Nsemi : « Cette attaque a occasionné plusieurs décès tant du côté des prisonniers que des gardiens.»

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JT CONGO WEB DU 17 MAI 2017 : Spéciale évasion de Né Mwanda Nsemi à la prison de Makala (vidéo)

May 17, 2017

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Nice Day : Koffi Olomide abimisi vérité pourquoi azui danseuse Ya mado ya Fabregas na Koffi central , apport ya KIRIKOU na Nyataquance et alobeli vie familiale na ye (vidéo)

May 17, 2017

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Attaque du CPRK: des officiers de Bemba et des condamnés de LD Kabila en fuite

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOJAi_9YQuVaZPTyxAfSqN11yI4lNV_bB7xtTlfBC-fApCmcW5ffn2qycRYmQyXij1hN0MOeyWKPJvLyrgoSbNLI8B_4cO9znks_E_uNpLm-yvwwXtHanTtgQv3AuARJCEkbKyYj-clRE/s1600/Snapshot_840.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOJAi_9YQuVaZPTyxAfSqN11yI4lNV_bB7xtTlfBC-fApCmcW5ffn2qycRYmQyXij1hN0MOeyWKPJvLyrgoSbNLI8B_4cO9znks_E_uNpLm-yvwwXtHanTtgQv3AuARJCEkbKyYj-clRE/s400/Snapshot_840.jpeg" width="400" /></a>Si des cas « emblématiques » comme Eddy Kapend ou encore Frank Diongo restent en prison, d’autres ont pu s’enfuir. Le point sSelon des sources concordantes, personne du pavillon 1, où sont logés les prisonniers « importants », n’a pu s’évadé, à l’exception de Ne Muanda Nsemi. « Il a d’abord refusé de fuir et puis les détenus ont commencé à piller ses biens et ses hommes l’ont amené« , renseigne une source pénitentiaire à POLITICO.CD.<br />
<br />
Le nombre d’évadés se chiffre par centaines. Le pavillon 9, où sont gardées les femmes, n’a plus qu’une dizaine de détenues alors que le nombre habituel dépassait les 250. La partie supérieure du pavillon 10 qui avait 560 personnes est presque vide.<br />
<br />
Une partie du pavillon 11 qui avait près de 500 détenus en a perdu les trois quarts. Concernant les prisonniers politiques, on peut citer SILVA qui est dans le dossier assassinat de Mzee et qui dirigeait l’orchestre des prisonniers parmi les fuyards. L’ancien colonel Eddie Kapend a vu sa cellule du pavillon 1 complètement pillée par les évadés pendant leur fuite, mais il est encore à Makala.<br />
<br />
<br />
<br />
Tous les autres prisonniers politiques des pavillons 1 et 8 sont encore là dont: Firmin Yangambi, Éric Kikunda, Franck Diongo…<br />
<br />
Cependant, il y a des dizaines de fuites parmi les officiers et les militaires fidèles à Jean-Pierre Bemba, dont la plupart étaient dans les pavillons aux portails cassés.  Le généraux Jérôme Kakwavu et Germain Katanga, ainsi que Thomas Lubanga sont dans leurs cellules.  Quant à Diomi Ndongala et Jean-Claude Muyambo, ils sont à l’hôpital.<br />
<br />
Plusieurs assaillants ont été tués par la police et l’armée qui ont à présent bouclé le périmètre de la prison. Aucun bilan officiel n’est encore communiqué.ur la situation. <br />
<br />
POLITICO.CD

Justice Politique Société Attaque du CPRK: des officiers de Bemba et des condamnés de LD Kabila en fuite

Si des cas « emblématiques » comme Eddy Kapend ou encore Frank Diongo restent en prison, d’autres ont pu s’enfuir. Le point sSelon des sourc...

Ndeko Eliezer en danger: Boyoka makambu ekomeli ndeko na biso Eliezer Ntambwe (VIDEO)

May 17, 2017

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Ndeko Eliezer en danger: Boyoka makambu ekomeli ndeko na biso Eliezer Ntambwe (VIDEO)

Kin-kiey Mulumba: «J’ai décidé moi-même d’annoncer le départ de Mobutu du pouvoir» ( Article+vidéo)

May 17, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL-wvl7tzpOPO4lr461LpW_YUMEcTgIcROVXzUHgJS19VaimhyegHg5Nh4SLn2-noXXYMmMpzGckIH9UEqLuyEpKfYM-EAIeaE7OkdRSE08SfLcl1mFp4za4TOuuGDDuHKZU_4MfYer60/s1600/Snapshot_993.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="308" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL-wvl7tzpOPO4lr461LpW_YUMEcTgIcROVXzUHgJS19VaimhyegHg5Nh4SLn2-noXXYMmMpzGckIH9UEqLuyEpKfYM-EAIeaE7OkdRSE08SfLcl1mFp4za4TOuuGDDuHKZU_4MfYer60/s400/Snapshot_993.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;">La vidéo est l’une des plus diffusées de la fin du règne du Maréchal Mobutu. La scène se déroule le 16 mai 2017. On y voit le porte-parole du gouvernement, Kin-kiey Mulumba, s’avancer vers des micros lire le compte-rendu du conseil de ministres, annonçant le départ de Kinshasa du président Mobutu. </span><br />
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;"><br />
</span> <span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif; font-size: 14px;"><br />
</span> <br />
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Ce que peu de gens savent est que ce conseil de ministres n’a jamais eu lieu. Et le compte-rendu, un texte intégralement imaginé par son auteur Kin-kiey Mulumba sur demande du Premier ministre d’alors, le général Likulia.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
M. Kin-kiey Mulumba nous l’a révélé en mars dernier quand nous lui avons demandé de nous raconter les derniers moments du Maréchal Mobutu.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<br /></div>
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<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Le dernier « conseil de ministres »</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
C’est par un « ami » que Kin-kiey Mulumba a appris le départ du président Mobutu de la ville de Kinshasa pour Gbadolité le 16 mai 2017.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
« Un ami Ilondo, ADGA à la SONAS, m’appelle et me dit : ‘’Est-ce que tu sais que le président est en train de partir à l’aéroport. Il quitte la ville.’’ Je lui dit : ‘’Non. Non. Tu racontes des histoires.’’ », relate celui qui était alors le porte-parole du gouvernement.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
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<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Ce jeudi 16 mai 1997, un conseil des ministres doit se tenir. Kin-kiey Mulumba s’y rend mais ne trouve ni le Premier ministre ni les généraux membres du gouvernement.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
En fait, les généraux Likulia (Premier ministre) et Mahele (ministre de la Défense) sont à l’aéroport de N’djili où le président prend son avion pour quitter la ville de Kinshasa et se rendre à Gbadolité.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
A son retour à la Primature, le général Likulia demande à Kin-kiey Mulumba de rédiger le compte-rendu de ce conseil de ministres qui n’a pas eu lieu.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
« Les généraux reviennent de l’aéroport. Le général Likulia, Premier ministre, nous salue et dit : ‘’La séance est levée’’. Il me dit : ‘’M. le ministre faites un compte-rendu’’. Je lui dit: ‘’Quel compte-rendu ? Il n’y pas eu de conseil de ministres. Je fais faire un compte-rendu de quoi ?’’ Il me dit : ‘’Vous êtes intelligent. Vous allez trouver les mots qu’il faut. Je vous prie de faire un compte-rendu et je vous attends à la maison.’’ »</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
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<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
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<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Dans ce compte-rendu intégralement sorti de sa tête, Kin-kiey annonce le départ de Mobutu du pouvoir. Après l’avoir lu au Premier ministre, le porte-parole du gouvernement lira le texte devant de nombreux journalistes à la Primature.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<strong style="box-sizing: border-box;">Le dernier porte-parole</strong></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Brillant journaliste, Kin-kiey Mulumba est donc le porte-parole du dernier gouvernement du régime Mobutu.  </div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Cette équipe gouvernementale est formée par le général Likulia Bolongo nommé le 9 avril 1997, après une révocation expresse d’Etienne Tshisekedi.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Initialement, le général Likulia veut nommer à ce poste Nzanga Mobutu, l’un des fils du président. Ce dernier refuse le poste et demande que son « ami » Kin-kiey soit nommé.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
« Quand Mobutu décide de nommer Lukulia Premier ministre, Likulia propose à Nzanga d’occuper le poste de porte-parole du gouvernement. Nzanga lui dit : ‘’Attendez. Vous ne savez pas qu’il y a mieux que ça dans ce pays. Si vous cherchez un homme de communication. Il n’y en a pas deux’’ », relate l’ancien ministre.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Nommé porte-parole du gouvernement, Kin-kiey Mulumba ne prêtera jamais serment comme la plupart des ministres de ce gouvernement d’ailleurs. Il faut dire qu’à ce moment-là le président Mobutu n’est pas au mieux. Malade, il se rend souvent en Europe pour se faire soigner.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
A en croire le dernier directeur de cabinet de Mobutu, Vunduawe te Pemako, le président « n’a pratiquement plus travaillé » entre son retour à Kinshasa en provenance de Nice en mars et son départ du pouvoir le 16 mai 1997. </div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
« Pendant son dernier séjour à Kinshasa, à partir du 21 mars jusqu’au 16 mai 1997, date de son départ définitif de la capitale pour Gbadolite, Mobutu n’a pratiquement plus travaillé. On s’efforçait de masquer ses carences par des manœuvres de sérail, notamment par des audiences brèves, médiatisées par la presse présidentielle », relate le professeur Vunduawe dans son livre « Dans l’ombre du Léopard ».</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Le président Mobutu ne va présider aucun conseil de ministres de ce gouvernement.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<strong style="box-sizing: border-box;">« Mes amis me l’ont reproché »</strong></div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Quand on lui demande pourquoi il avait accepté un poste dans ce dernier gouvernement alors que le régime Mobutu s’effondrait, Kin-kiey répond que c’est par « nationalisme ». </div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
« C’est vrai que beaucoup de mes amis me l’ont toujours reproché. Mais, c’est ça le nationalisme. On ne regarde pas ses intérêts. J’ai toujours voulu être là pour aider à la solution. Je n’avais rien fait pour être nommé ministre. C’est Nzanga qui m’a surpris. Mon nom, je l’ai entendu à la radio », explique-t-il.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Le 17 mai, Kin-kiey va quitter le pays comme beaucoup des dignitaires du régime Mobutu.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Vers midi, il se rend à la résidence de l’ambassadeur de l’Allemagne où il trouve notamment Vunduawe te Pemako, dernier directeur de cabinet du président Mobutu.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
C’est à bord d’une pirogue que Kin-kiey Mulumba, Tshimbombo Mukuna et Vunduawe te Pemako traversent le fleuve Zaïre pour se rendre à Brazzaville.</div>
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/7jJNEUdyGXY" width="480"></iframe><br />
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
«Le soir même, j’ai pris mon avion pour Paris. A l’aéroport, j’ai vu Kongolo [fils du président Mobutu] avec d’autres militaires zaïrois assis par terre. Il a couru vers moi pour me dire que ce n’était pas lui qui avait tué le général Mahele», confie Kin-kiey Mulumba.</div>
<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;">
Le lendemain, les rebelles de l’AFDL avec de nombreux enfants dans leurs rangs entre dans Kinshasa sans aucune résistance de l’armée loyaliste. C’est la fin d’une marche victorieuse de près de sept mois de l’Est à l’Ouest du Zaïre, aussitôt rebaptisé République démocratique du Congo par Laurent-Desire Kabila qui se proclame en même temps Président de la République à partir de la ville de Lubumbashi. Les trente-deux ans de règne du Marechal Mobutu prennent ainsi fin.</div>
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infos en vidéos Politique Kin-kiey Mulumba: «J’ai décidé moi-même d’annoncer le départ de Mobutu du pouvoir» ( Article+vidéo)

La vidéo est l’une des plus diffusées de la fin du règne du Maréchal Mobutu. La scène se déroule le 16 mai 2017. On y voit le porte-paro...

TOKOMI WAPI? BA NANI BA BUKI PRISON PONA NE MWANDA NSEMI AKIMA (A PEU PRES 3200 PRISONNIERS) BA KIMI ? (VIDÉO)

May 17, 2017

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Politique TOKOMI WAPI? BA NANI BA BUKI PRISON PONA NE MWANDA NSEMI AKIMA (A PEU PRES 3200 PRISONNIERS) BA KIMI ? (VIDÉO)

TOKOMI WAPI? BA NANI BA BUKI PRISON PONA NE MWANDA NSEMI AKIMA (A PEU PRES 3200 PRISONNIERS) BA KIMI ? (VIDÉO)

Evasion à Makala: la Fondation Bill Clinton signale une cinquantaine de morts

May 17, 2017

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNgrT1HC0DsJUoKB8zjZIUjbiYwsPE1kcySsYteJ6sNB0EG8hZIEQMrveDyCanJ2Mi-1w1uC5OCchxkKxTpO4ioZ5RTaK5pnYDX96-C8HYfWrjgijHh5jJxthuSrT5aS8GxxZH0v03opQ/s1600/Snapshot_975.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="296" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNgrT1HC0DsJUoKB8zjZIUjbiYwsPE1kcySsYteJ6sNB0EG8hZIEQMrveDyCanJ2Mi-1w1uC5OCchxkKxTpO4ioZ5RTaK5pnYDX96-C8HYfWrjgijHh5jJxthuSrT5aS8GxxZH0v03opQ/s400/Snapshot_975.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-bottom: 10px;">
La Fondation Bill Clinton affirme avoir recensé une cinquantaine de morts mercredi 17 mai à la suite de l’évasion survenue à la prison centrale de Makala, à Kinshasa. <br />
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Selon elle, environ six cents détenus se sont évadés de cette maison carcérale. Parmi les évadés, elle cite le chef spirituel du mouvement politico-religieux Bundu dia Mayala (BDM), Ne Muanda Nsemi. Les autorités de Kinshasa parlent d’une cinquantaine d’évadés et mettent en cause les adeptes de cette secte.<br />
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/gmCDvf1LI_Q" width="640"></iframe><br />
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Le député Ne Muanda Nsemi avait été arrêté en mars dernier à Kinshasa. Il est notamment poursuivi pour outrage au chef de l’Etat et incitation à la violence. <br />
<br />
Son avocat dément toute implication du mouvement politico-religieux dans cette évasion de Makala. Il prévient qu’il tiendrait le gouvernement comme responsable de tout ce qui pourrait arriver à son client<span style="color: #333333; font-family: "droid sans" , sans-serif;"><span style="background-color: white; font-size: 14px;">.</span></span></div>

Justice Politique sécurité Evasion à Makala: la Fondation Bill Clinton signale une cinquantaine de morts

La Fondation Bill Clinton affirme avoir recensé une cinquantaine de morts mercredi 17 mai à la suite de l’évasion survenue à la prison ce...

Attaque du CPRK: aucun prisonnier politique ne s’est enfui

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSWWg1yMAjovHrkncE9TaDZXbFFkmRIx_DuKTk_Cd7ZzIw9OOoPSNUkiaZwoc9k2pGJJAwLcug7vggy9X4DWzuXgaMYTWs2jaanWi7qyD59dBi0PQDopPxlnsaW-hWzhQFruD8JGEEHzk/s1600/Snapshot_830.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSWWg1yMAjovHrkncE9TaDZXbFFkmRIx_DuKTk_Cd7ZzIw9OOoPSNUkiaZwoc9k2pGJJAwLcug7vggy9X4DWzuXgaMYTWs2jaanWi7qyD59dBi0PQDopPxlnsaW-hWzhQFruD8JGEEHzk/s400/Snapshot_830.jpeg" width="400" /></a>Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo s’est réveillée sous les tirs d’armes légères. L’armée et la police sont déployées dans les rues, à la recherche des prisonniers.<br />
<br />
Tôt vers 03h du matin, des dizaines d’assaillants ont attaqué le Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK), plus connu sous le nom de la prison de Makala, à l’Ouest de la ville. Ils ont pu libérer leur chef, Ne Muanda Nsemi, leader de la secte mistyco-réligieux Bundu dia Kongo.<br />
<br />
Selon le ministre de la Justice, aucun prisonnier politique ne s’est évadé en dehors de Ne Muande Nsemi. « L’alerte a été lancée, ainsi que le signalement des personnes qui se sont évadées. Pour le moment le Directeur de prison est en train de faire le tour des différents pavillons pour savoir exactement qui sont sortis à première vue, les prisonniers emblématiques, en dehors de Ne Muanda Nsemi sont toujours dans le Centre« , explique Alexis Thambwe, ministre congolais de la Justice.<br />
<br />
Frank Diongo, Eugène Diomi, Jean-Claude Muyambo sont donc toujours à la disposition des autorités pénitentiaires.<br />
politico.cd

Politique Attaque du CPRK: aucun prisonnier politique ne s’est enfui

Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo s’est réveillée sous les tirs d’armes légères. L’armée et la police sont déploy...

« Tous les prisonniers emblématiques, en dehors de Ne Mwanda, sont dans leurs cellules »

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKd0usjgD7o_TrBU35v4643SFfNjuE-mr5X8uPyoMjvj3vf9GaQf2X9bpWLN7X57nXIbvd5LUWF5RBNmhSPzhFRFTLljwBBR0-dxFA9rt23akEW70cIDSz92NeZhu0ZCLRPSa4xD1nxUY/s1600/Snapshot_811.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKd0usjgD7o_TrBU35v4643SFfNjuE-mr5X8uPyoMjvj3vf9GaQf2X9bpWLN7X57nXIbvd5LUWF5RBNmhSPzhFRFTLljwBBR0-dxFA9rt23akEW70cIDSz92NeZhu0ZCLRPSa4xD1nxUY/s400/Snapshot_811.jpeg" width="400" /></a>Le ministre de l’intérieur vient de visiter la prison de Makala. Emmanuel Shadari annonce une réunion du conseil de sécurité dans les prochains instants pour évaluer la situation. Les autorités congolaises sont mobilisées après l’attaque dont a fait l’objet la prison centrale de Kinshasa ce mercredi aux petites heures du matin.<br />
<br />
Selon le ministre de la justice, une cinquantaine de détenus parmi lesquels le chef spirituel de Bundu dia Kongo Ne Mwanda Nsemi se sont évadés. Une version confirmée par une personne qui se présente comme un ex prisonnier de Makala interrogée par Top Congo Fm.<br />
<br />
Thambwe Mwamba rassure par ailleurs qu’en dehors de Ne Mwanda Nsemi, le reste des prisonniers « emblématiques » sont dans leurs cellules.<br />
<br />
En effet, hors-mi Ne Mwanda Nsemi, la prison de Makala regorge plusieurs prisonniers politiques et militaires. Les plus connus sont le député Franck Diongo, le bâtonnier Jean Claude Muyambo ou encore le groupe du Colonel Eddy Kapend, condamné à la suite de l’assassinant de Laurent Désiré Kabila.<br />
<br />
Hasard du calendrier, cette attaque intervient le jour d’anniversaire de l’entrée des troupes de l’ancien chef de l’État à Kinshasa.<br />
<br />
cas-info.ca

Politique « Tous les prisonniers emblématiques, en dehors de Ne Mwanda, sont dans leurs cellules »

Le ministre de l’intérieur vient de visiter la prison de Makala. Emmanuel Shadari annonce une réunion du conseil de sécurité dans les procha...

RDC : Ne Muanda Nsemi, le chef de la secte Bundu Dia Kongo, s’évade de la prison de Makala

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinebCv3yMiLR6Hru-xDrIucvIYhi9hHbS-BHnNDxXnj4b1YiS93JqJ3wrkxWxb9ZtPzo8Sar6vhKzOZPSBWjapEEX1wNlNPwruXylwXA7XJ9S8TylwzL7rfZAjksd2gSblArZF-_XziUs/s1600/Snapshot_805.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="397" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEinebCv3yMiLR6Hru-xDrIucvIYhi9hHbS-BHnNDxXnj4b1YiS93JqJ3wrkxWxb9ZtPzo8Sar6vhKzOZPSBWjapEEX1wNlNPwruXylwXA7XJ9S8TylwzL7rfZAjksd2gSblArZF-_XziUs/s400/Snapshot_805.jpeg" width="400" /></a>Dans la nuit, une attaque contre la prison de Makala, la plus grande de Kinshasa, a permis l'évasion de Ne Muanda Nsemi, le chef de la secte politico-religieuse Bundu Dia Kongo (BDK) et de dizaines d'autres prisonniers, selon le ministre de la Justice congolais, Alexis Thambwe Mwamba.<br />
<br />
La prison de Makala, à Selembao, au sud de Kinshasa, a été attaquée dans la nuit du 16 au 17 mai. L’information a été confirmée ce matin sur les ondes de la radio Top Congo par le ministre de la Justice.<br />
<br />
Selon Alexis Thambwe Mwamba, les partisans de Ne Muanda Nsemi, le leader de la secte Bundu Dia Kongo (BDK), seraient à l’origine de cette attaque qui a permis de faire évader leur chef, ainsi que des dizaines d’autres détenus parmi ses soutiens.<br />
<br />
Pour le moment, la situation est sous contrôle, les forces de police sont à l’intérieur.<br />
« Des miliciens de Ne Muanda Nsemi ont attaqué avec des armes de guerre la prison [de Makala] cette nuit, a plus précisément déclaré le ministre. J’attends les précisions quant à l’heure. Ils ont réussi à faire évader Ne Muanda Nsemi et plusieurs dizaines de prisonniers parmi lesquels plusieurs de ses adeptes. Pour le moment, la situation est sous contrôle, les forces de police sont à l’intérieur. »<br />
<br />
Toujours d’après le ministre, les auteurs de l’attaque auraient grièvement blessé le chef des opérations de la police à l’intérieur de la prison, lequel a pu être évacué. Ils auraient également incendié le bureau du directeur et son véhicule.<br />
<br />
Un recensement des prisonniers en cours<br />
<br />
Dans la foulée de l’évasion, l’alerte a été lancée avec le signalement des prisonniers évadés. Un recensement est en cours pour identifier les fugitifs mais selon le ministre de la Justice congolais, « à première vue, les prisonniers emblématiques, à l’exception de Ne Muanda Nsemi, sont toujours dans le centre pénitentiaire. »<br />
<br />
Plus grande prison de Kinshasa avec un effectif estimé à près de 7 000 personnes en 2015, Makala abritait jusqu’ici le député Ne Muanda Nsemi, dont la secte politico-religieuse BDK avait appelé à l’insurrection en République démocratique du Congo contre le président Joseph Kabila.<br />
<br />
Début mars dernier, le député s’était rendu à la police avec son épouse après des accrochages avec les forces de l’ordre aux abords de son domicile.<br />
<br />
Jeuneafrique.com

Politique RDC : Ne Muanda Nsemi, le chef de la secte Bundu Dia Kongo, s’évade de la prison de Makala

Dans la nuit, une attaque contre la prison de Makala, la plus grande de Kinshasa, a permis l'évasion de Ne Muanda Nsemi, le chef de la s...

Evasion à Makala : le BDM évoque une mascarade et un montage de mauvais goût

May 17, 2017

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimTDJAOH5t8bs5MbyVYJSJyPuWM4f63i-QgU0mP_qBro-lR_vXPsveuh5mnKHs7Ld-xh-kzZDIrMx4Pr0JCRxZbBwy89ujugCz1Ulh7LoPtGIRYZvTmf5lgM9Bs9mOzZ0vXJ5a0e-MbH8/s1600/Snapshot_778.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="271" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimTDJAOH5t8bs5MbyVYJSJyPuWM4f63i-QgU0mP_qBro-lR_vXPsveuh5mnKHs7Ld-xh-kzZDIrMx4Pr0JCRxZbBwy89ujugCz1Ulh7LoPtGIRYZvTmf5lgM9Bs9mOzZ0vXJ5a0e-MbH8/s400/Snapshot_778.jpeg" width="400" /></a>Keta Dia Keta, un des communicateurs du mouvement politico-religieuse Mbundu Dia Mayala (BDM) ne confirme pas encore l’évasion de leur leader Ne Mwanda Nsemi de la prison de Makala et qualifie la position du gouvernement de véritable mascarade et d’un montage de mauvais goût.<br />
<br />
Dans une interview accordée ce 17 mai à ACTUALITE.CD, Keta Dia Keta affirme que les adeptes de Ne Mwande Nsemi ne connaissent pas où se trouve en ce moment leur chef.<br />
<br />
Comment expliquez-vous la situation qui est intervenue à la prison de Makala ?<br />
<br />
Je dirai d’emblée que c’est une mascarade. Ce sont des choses qui ne sont pas vérifiables et qu’on veut mettre sur notre dos. Nous ne savons pas ce qui se passe, nous sommes en train de chercher toute l’information pour vous fixer au moment opportun. Pour l’instant nous n’avons pas accès à la prison pour savoir ce qui se passe réellement. Cela est une mascarade pour chercher à mettre sur le dos de “Kaka” (Ne Mwanda) les histoires qui ne sont même pas incommensurables.<br />
<br />
Où se trouve en ce moment Ne Mwanda Nsemi ?<br />
<br />
Nous sommes en train de chercher. Vous serez fixés une fois pour toute après. Nous cherchons et nous osons croire que si l’on ne le retrouve pas, là nous allons faire une déclaration officielle.<br />
<br />
Se trouve-t-il dans la prison de Makala ?<br />
<br />
Personne n’accède à la prison. Nous allons chercher à localiser pour savoir s’il est là ou pas. Mais dire que nos «Makese» (adeptes) sont allés là, ce n’était pas dans nos projets.<br />
<br />
Ce n’était pas dans votre programme d’attaquer la prison ?<br />
<br />
Jamais, jamais ! D’ailleurs hier nous avons fait des déclarations. Nous sommes dans une procédure juridique. Aujourd’hui c’est la commémoration de l’entrée de l’AFDL. Donc tout est politique. C’est un montage de mauvais goût.<br />
<br />
Un montage du gouvernement ou des services de sécurité?<br />
<br />
Tout dépend. C’est mi figue mi raisin<br />
<br />
Comment vous vous organisez par rapport à cette situation ?<br />
<br />
Nous sommes en train de chercher pour savoir ce qui s’est passé réellement. Parce qu’une personne de son rang ne peut pas s’évader. S’il fallait le faire, c’est peut être quand il était chez lui. Mais il est arrivé à Makala et vous apprenez qu’il s’est évadé ? C’est un montage puéril. Ne Mwanda Nsemi n’est plus national, il est devenu international. Il ne peut pas faire des histoires comme ça.<br />
<br />
Il y a-t-il un bilan par rapport aux présumés adeptes qui auraient attaqué la prison ?<br />
<br />
C’est un montage. La vérité finira par triompher. D’ici là vous serez fixés.<br />
<br />
Vous êtes entrés en contact avec les autorités ?<br />
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Les avocats sont chargés de négocier. Prenez votre mal en patience. Demain on donnera la suite.<br />
<br />
Interview réalisée par Stanys Bujakera

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May 17, 2017

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