Pour les anciens acteurs de l’opposition, Moïse Katumbi chercherait, au moyen d’un procédé, emprunté par mimétisme à l’Occident et dont il contrôlerait le fonctionnement, à déshabiller et détrôner Etienne Tshisekedi, candidat naturel de l’opposition. Réagissant à cette proposition de primaire, Clément Kanku, président du Mouvement pour le Renouveau, s’est insurgé contre ceux qu’il qualifie de « nouveaux adhérents à l’opposition politique qui, grâce à leurs moyens financiers colossaux, entendent dicter ce que l’opposition doit faire.

C’est assez osé, avait-il poursuivi, à juste titre, que cette idée de primaire dans l’opposition vienne de quelqu’un qui a travaillé dans la Majorité présidentielle et qui doit d’abord rendre compte de sa gestion ».

 Pour autant, il ne va sans dire que l’opposition, élargie avec l’adhésion de G7, menuiserait ses chances de gagner la prochaine élection présidentielle si elle partait dispersée. Elle a donc, stratégiquement, intérêt à se regrouper autour d’un candidat commun.
LAVERNIR

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