Comment un homme politique de la trempe de Pius Mwabilu peut offrir une plateforme à une fille légère sans scrupule, sans bagage intellectuel, rompu dans l'art de tourner en ridicule le journalisme en RDC ?
Comment peut-on récompenser une fille qui n'hésite pas à filmer les morts dénudés dans leur linceul à la morgue, juste pour faire un buzz sur la toile !
La première émission de cette fille de joie n'a laissé planer aucun doute sur la suite. Une émission terre à terre destinée à des cerveaux ramollis qui n’apprécient que la vision des popotins bien rebondis qui s'y trémoussent pendant deux longues heures. Comment convaincre la jeunesse Congolaise de l'utilité de faire des études pour réussir dans la vie !!
Mettez vous, cher honorable Pius Mwabilu, à la place des étudiants en journalisme de l'Ifasic et autres instituts spécialisés dans la formation des journalistes, lorsqu'ils constatent que vous engagez des personnes incompétentes, insolentes, immatures et sans éducations, dans votre entreprise.
Voici un extrait du code de déontologie et d’éthique du journaliste congolais. Nous, journalistes congolais, réunis en Congrès National de la Presse du 1er au 5 mars 2004, avons adopté le présent code qui recense les droits et les devoirs du journaliste congolais. A - les devoirs des journalistes Un bon journaliste doit :
Article 1er oeuvrer en tout temps en faveur de la liberté dans la collecte, le traitement et la diffusion des informations, opinions, commentaires et critiques ; cette liberté étant indissociable du droit du public à être informé et à recevoir et émettre librement des opinions ;
Article 2 Faire preuve, dans ses tâches quotidiennes, d’équité, d’exactitude, d’honnêteté, du sens de responsabilité, d’indépendance et de décence dans la relation des faits liés aux individus et à la société ;
Article 3 Traiter tous les problèmes sans parti pris et présenter honnêtement les sujets soulevant controverse ; Article 4 Prendre l'entière responsabilité de tout texte (écrit ou parlé) publié sous sa signature (ou sa voix), ou avec son consentement, ou sous un pseudonyme personnel
Article 5 : Bannir l’injure, la diffamation, la médisance, la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des frais, le mensonge, l’incitation à la haine (religieuse, ethnique, tribale, régionale ou raciale) ainsi que l’apologie de toute valeur négative dans la pratique quotidienne de son métier ;
Article 6 : Rechercher à tout instant le triomphe de la vérité, par une relation exacte, honnête, fidèle et loyale des faits dûment avérés et vérifiés et des informations obtenus sans chantage et sans surprendre la bonne foi de quiconque.
Nous vous épargnons la lecture des autres articles de ce code de déontologie car nous savons que les 6 articles que nous vous avons proposés ne sont pas respectés par Carine Mokonzi et ne les seront jamais. Visiblement, la bassesse a de l'avenir en RDC, encouragée, de surcroît, par les élus du peuple. C'est dommage.
La première émission de cette fille de joie n'a laissé planer aucun doute sur la suite. Une émission terre à terre destinée à des cerveaux ramollis qui n’apprécient que la vision des popotins bien rebondis qui s'y trémoussent pendant deux longues heures. Comment convaincre la jeunesse Congolaise de l'utilité de faire des études pour réussir dans la vie !!
Mettez vous, cher honorable Pius Mwabilu, à la place des étudiants en journalisme de l'Ifasic et autres instituts spécialisés dans la formation des journalistes, lorsqu'ils constatent que vous engagez des personnes incompétentes, insolentes, immatures et sans éducations, dans votre entreprise.
Voici un extrait du code de déontologie et d’éthique du journaliste congolais. Nous, journalistes congolais, réunis en Congrès National de la Presse du 1er au 5 mars 2004, avons adopté le présent code qui recense les droits et les devoirs du journaliste congolais. A - les devoirs des journalistes Un bon journaliste doit :
Article 1er oeuvrer en tout temps en faveur de la liberté dans la collecte, le traitement et la diffusion des informations, opinions, commentaires et critiques ; cette liberté étant indissociable du droit du public à être informé et à recevoir et émettre librement des opinions ;
Article 2 Faire preuve, dans ses tâches quotidiennes, d’équité, d’exactitude, d’honnêteté, du sens de responsabilité, d’indépendance et de décence dans la relation des faits liés aux individus et à la société ;
Article 3 Traiter tous les problèmes sans parti pris et présenter honnêtement les sujets soulevant controverse ; Article 4 Prendre l'entière responsabilité de tout texte (écrit ou parlé) publié sous sa signature (ou sa voix), ou avec son consentement, ou sous un pseudonyme personnel
Article 5 : Bannir l’injure, la diffamation, la médisance, la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des frais, le mensonge, l’incitation à la haine (religieuse, ethnique, tribale, régionale ou raciale) ainsi que l’apologie de toute valeur négative dans la pratique quotidienne de son métier ;
Article 6 : Rechercher à tout instant le triomphe de la vérité, par une relation exacte, honnête, fidèle et loyale des faits dûment avérés et vérifiés et des informations obtenus sans chantage et sans surprendre la bonne foi de quiconque.
Nous vous épargnons la lecture des autres articles de ce code de déontologie car nous savons que les 6 articles que nous vous avons proposés ne sont pas respectés par Carine Mokonzi et ne les seront jamais. Visiblement, la bassesse a de l'avenir en RDC, encouragée, de surcroît, par les élus du peuple. C'est dommage.