Et pour Ève Bazaïba qui s'est meme rendu à la prison centrale de Makala samedi, les figures connues de l'opposition et les activistes de droits de l'homme doivent être libérer.
Alors que le temps passe et que l'écheance constitutionnelle de la tenue de la présidentielle approche, Ève Bazaïba renvoie la responsabilité au gouvernement et au chef de l'État. « Que chacun de nous respecte la constitution ».
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