Alors que Tribunal avait déjà délibéré et s'appretait à prononcer sa décision, Kalev à envoyé en urgence son agent non autrement identifié pour le Président du Tribunal a qui il a dit que l'Administrateur général est oppose à la libération de Moise Moni Della car c'est son détenu et que vous ne pouvez pas le faire sans son accord préalable.


L'envoye de Kalev ajoutera, si vous le faites vous allez tous perdre vos postes.

C'est sur ces entrefaites que le Président du tribunal a du rappeler la composition qui voulait prononcer dans son bureau. En présence de l'envoye de Kalev, le Président du tribunal va leur demander de ne pas prononcer et de refaire la décision dans le sens de maintenir Moise Moni Della en prison. Se sentant profondément humiliés, les juges ont tenté sans succès de convaincre l'envoye de Kalev ainsi que leur chef qu'ils ne pouvaient pas changer la décision car en âme et conscience la détention de Moise Moni Della est arbitraire depuis 25 jours et qu'ils doivent le libérer.


Mais comme la raison du plus fort est toujours là meilleure, le Président du Tribunal les a menaces d'obeir s'ils ne veulent pas subir la rigueur de la sanction.

Et les juges ont quitté le bureau ainsi que le greffier et sont rentrés chacun chez lui refusant même de rédiger une autre décision.





C'est pour dire que les opposants Moise Moni Della, Jean Claude Muyambo, Diomi Ndongala, Bruno Tshibala...sont de prisonniers personnels de Kalev et Kabila et la Justice est tout simplement utilisée pour légaliser leur détention. Ils ne pourront quitter la prison que le jour que Kabila seul ou Kalev le voudra.
C-NEWS
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