La Ville-Province de Kinshasa s’est réveillée sous une ambiance mi-figue mi-raisin après la clôture en queue de poison des discussions directes au Centre Interdiocésain. Outre la psychose des heurts signalés dans quelques coins de la capitale Rd Congolaise, les kinois ont dû faire face, naturellement, à la rareté des bus et autres automobiles sensés aider la population à se déplacer. Le mardi 28 mars 2017, en effet, dans des endroits comme le Grand Marché de Kinshasa, la périphérie de Limete, autres artères et lieux de commerce à Kin la belle, une tension entre les éléments de la police nationale congolaise et des combattants étaient perceptible.


 D’où, pour plusieurs personnes analysant cette situation, ceci impliquant cela, c’est cet état de chose qui a compliqué le transport car par crainte, bien de propriétaires des véhicules ont gardé leurs engins dans les maisons. Ne dit-on pas que prudence est mère de sureté ?


Cette situation était surtout observable aux environs de 8 heures, heure de Kinshasa. Ceux qui se sont confiés aux journalistes disent avoir constaté une crise totale du transport presque dans tous les arrêts de bus du grand marché dit Zando.


Quid de la raison ?


Les manifestations de colère enregistrées le mardi auraient plusieurs motivations à sa source. Entre autres, la crise économique qui met à mal les portefeuilles des congolais et engendre, de ce fait, une grogne sociale; l’impasse politique caractérisée par l’échec des discussions directes. C’est véritablement ce dernier point qui a été à l’origine des mouvements de colère. Pendant la fronde de mardi 28 mars, il a été demandé aux autorités du pays et aux acteurs politiques de vite trouver une solution sur la transition qui, absolument, devra aboutir aux élections. Car, si rien n’est fait, le pire est devant.
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