La Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) dément ce mercredi 11 octobre au cours de la conférence hebdomadaire à Kinshasa le lien entre la recrudescence des attaques des groupes armés dans certains coins du pays et le départ annoncé de quelques casques bleus. Accusée par plusieurs observateurs nationaux d’être des instigateurs des violences pour justifier son maintien dans la mission dans les localités où elle est est censée se retirer, la porte-parole a.i. de ma mission onusienne parle d’une grave accusation et qualifié ces allégations de “spéculation san fondement”. «Il s’agit là des accusations graves. Tout lien entre la recrudescence des attaques et le départ de la Monusco n’est qu’une spéculation sans fondement », a dit Florence Marchal, porte-parole intérimaire de la Monusco. Fabienne Pompey a également rappelé que le mandat de la Monusco est de protéger des civils, ajoutant que la mission de l’Onu n’a pas vocation de rester indéfiniment en RDC.
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