
« La police a d’abord chargé nos militants. Et c’est depuis maintenant 3 heures que nous sommes séquestrés par la police au siège du parti. Ils ne veulent pas que les gens accèdent au siège ni de sortir pour ceux qui sont à l’intérieur du siège. C’est très grave », déclare Delly Sesanga.
En effet, le président de l’ENVOL veut « sensibiliser la population sur le processus électoral ». Ensuite, réveiller l’opinion publique sur la « perspective du 31 décembre 2017 par rapport aux annonces du rassemblement ». Chose difficile pour lui suite à la présence des hommes en uniforme.
Par Dieumerci Matondo