L’incertain candidat à la course aux fonctions suprêmes de la République, l’ex gouverneur le plus proche de Joseph Kabila, -l’illégal et l’illégitime président de la République- a fait déplacer trois cents (300) personnes en Afrique du Sud, pour mettre en place une plateforme politique en marge des élections du 23 décembre. Des élections auxquelles Moïse Katumbi Chapwe ne pourrait peut-être pas y prendre part. N’empêche. La plateforme a été créée. Les adhérents ont signé tour à tour la Charte fondatrice de «Ensemble», la nouvelle force pro-Katumbi. Cependant, ce sont les mêmes figures qui rodent autour de Katumbi qui ont pointé présentes à ce rendez-vous. Les quelques invités surprises comme les ex UNC Sam Bokolombe, Claudel Lubaya ; l’ancien député Martin Mukonkole et autres ne sont que des poids mouches, suivistes et vagabonds politiques de la scène politique rd-congolaise. Ce qui fait réfléchir Katumbi deux fois. «Ce n’est pas assez grand cette plateforme», aurait fait remarquer Katumbi à l’un de ses plus proches en privée. Puis aurait-il martelé : «la plateforme est faible». D’ajouter par la suite : «nous devons la consolider, avant de se déverser dans les jours à venir dans un grand regroupement politique pour être en mesure de concourir efficacement aux élections». «Avec ces gens, il nous sera difficile de remporter la présidence de la République», aurait-il conclu. Par ailleurs, Katumbi le sait très bien qu’outre quelques fondateurs du G7 et de l’Alternance pour la République, A.R, tous les autres l’ont rallié pour raison pécuniaire ; mais malheureusement l’incertain candidat n’a plus grand-chose à donner. Certains de ses invités se sont plaints quelques heures avant de gagner l’Afrique du Sud, de la modique somme de 1.500 dollars Usd envoyée à chacun notamment pour le billet et le séjour. En effet, ceux qui prétendent soutenir Katumbi le font pour l’argent en réalité. Rien de conviction encore moins d’idéologique. Katumbi le sait parfaitement. La clôture des assises katumbiste en Afrique du Sud intervient cet après-midi, avec la présentation du projet de société du candidat. L’opinion attend découvrir les axes prioritaires de ce fameux projet. L’on craint que ce projet ne soit encore un plagiat. Déjà que les partisans de «Ensemble» ont tenté au débat des travaux de s’attribuer malhonnêtement «Force du Changement», nom d’une plateforme existante et appartenant à un autre candidat, Noel Tshiani.

C-News
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top