*L’opinion ne comprend pas cette sortie du pays pour quelqu’un qui est à la disposition de la justice.

Cette sortie inattendue du territoire suscite beaucoup d’interrogations dans l’opinion. Certes comme tout citoyen, Omari est libre de tout mouvement. Il est libre d’aller et de venir. A partir du moment où il n’est qu’en liberté provisoire, on ne comprend pas comment il est sorti du pays. A moins que le dossier soit déclassé déjà. Et de l’avis de beaucoup d’observateurs, cette sortie sonne comme un affront à l’endroit de la justice congolaise. Les organes habilités de la justice se doivent d’informer le public sur cette sortie pour quelqu’un que la justice était en train d’entendre sur l’utilisation de fonds public.

On rappelle que le président de la Fécofa était interpellé le mardi 17 avril, avec trois autres dirigeants du sport congolais. Omari avait passé une nuit au Parquet général de Matete. Après un interrogatoire serré la nuit du 17 avril et toute la journée du mercredi 18 avril, le président de la Fécofa a bénéficié d’une liberté provisoire, pour des raisons de santé.
Le staff de la Fécofa est dans le collimateur du Parquet général de Matete depuis la dénonciation du conseiller spécial du président de la République en matière de lutte contre la corruption, Emmanuel Luzolo Bambi. A la base, l’affaire de détournement présumé d’un million de dollars américains, mis à charge du président de la Fécofa et du Secrétaire général aux Sports. Sans présager de la suite de cette affaire, Constant Omari bénéficie de la présomption d’innocence. Seules donc les conclusions de la justice pourront, soit le blanchir, soit le condamner. DK
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