La réelle politique de "Douze", trouve sa diachronie dans le milieu musical congolais, précisément dans Wenge.Et puis, ce phénomène de "Douze", devient un comportement adopté par plusieurs orchestres congolais.Où, les cadres moins gradés, sont souvent utilisés pour "titiller", "provoquer", pendant un moment, les plus gradés, mais sans qu'ils soient inquiétés ou frappés par de sévères sanctions, pour la simple raison, ils bénéficient, en catimini, d'un soutien indéfectible de leurs chefs respectifs.


Parallélisme, comme pour dire qu'en Rdc, la loi du plus fort continue d'imposer ses germes, dans le milieu politique congolais. Peu à peu, le principe "d'État de droit" longtemps chanté, jadis, par la fille aînée de l'opposition, l'union pour la démocratie et le progrès social (Udps), perd de pédales.


Très visiblement, c'est le slogan "Douze" que l'on peut apercevoir sa racine plantée vulgairement, dans le clan musical "Wenge", qui bat son plein, dans la scène politique congolaise, en lieu et place "d'État de droit", un principe pourtant très vanté et chanté, au sein de l'Udps, dès sa création en 1982.








Est-ce, la politique de "Douze"? Mine de rien, cette question vaut son pesant d'or. Se référant, au manquement de respect que le député national, Charles Nawej, du front commun pour le Congo, de l'autorité morale, Joseph Kabila, avait imposé à la 1ère institution du pays, le president Félix Tshisekedi. Rappel, Charles Muyej, avait insinué que le président Félix Tshisekedi, avait signé "inconsciemment", les ordonnances nommant des mandataires à la tête de la Gécamines et de la SNCC, lors de la séance plénière de Vendredi 7 juin.Mais, ce dernier, n'a jamais été poursuivi juridiquement. N'eut été, qu'une clameur orientée de la base de l'Udps, accompagnée de quelques motards, appelés communément "Wewa", qui avaient lancé des menaces envers le député national, Charles Muyej .


Triste constat, sans réserve aucune, le régime actuel, déciderait d'ores et déjà, d'imposer leurs biceps à certains opposants, membres de Lamuka. Comme exemples: le député provincial, Mike Mukebayi et son assistant, Merlin VuVu, subissent la politique de deux poids deux mesures du pouvoir en place. Ils sont tous deux détenus à la prison centrale de Makala.Leurs dossiers sont fouinés, à une vitesse d'exécution irréfutable.


Pendant ce temps, le député national Charles Muyej, le protégé de Joseph Kabila, qui a doigté le président Félix Tshisekedi, vit paisiblement en toute liberté, et en bel air, sans inquiétude.Or, il n'aurait jamais échappé à une poursuite judiciaire, si seulement-ci, le principe d'État de droit, était respecté en Rdc.


Car, l'infraction d'offense au chef de l'État, est prévue par l'ordonnance-loi n' 300 du 16 décembre 1963, relative à la répression des offenses envers le chef de l'État.Bien qu'il n' y a aucun éclaircissement quant aux justifications à la base de ce texte.


Toutefois, les dispositions des textes législatifs antérieurs au décret-loi constitutionnel n'003 du 29 Mai 1997, relatif à l'organisation et à l'exercice du pouvoir, protègent l'institution président de la république, face à des faits, paroles, gestes ou menaces, les calomnies, les diffamations, les actes d'irrévérence, de manque d'égards, les grimaces, les imputations ou allégations de faits de nature à offenser le chef de l'État.


Il n'est jamais tard pour mieux faire. Le fils du lider maximo, Félix Tshisekedi, devra bien réajuster, et très vite sa politique menée durant ses premiers 9 mois.Car, l'actuel tableau politique, est dominé par le slogan "Douze", en lieu et place du principe d"État de droit". Ce phénomène crache linéairement sur la lutte de son défunt père biologique que politique, Étienne Tshisekedi.
Mike Ndenge Quaterback
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top