La Démocratie Chrétienne (DC) d'Eugène Diomi Ndongala exprime tout son soutien au président national a.i. de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, Jean-Marc Kabund-A-Kabund, en ce qui concerne sa récente prise de position contraire à la cession, à des formations politiques tierces et non Alliées, du contrôle de la Primature et de la présidence de l’Assemblée Nationale.


Dans un communiqué publié ce vendredi 22 janvier 2021, ce parti constate qu' "à cause de sa position cohérente et politiquement justifiée, M. Kabund ferait l’objet d’une diabolisation imméritée qui cache mal le manque d’arguments solides des promoteurs de cette action de dénigrement contraire aux valeurs de la liberté d’expression".


La DC souligne que "la manœuvre politique à la base de l’Union sacrée de la nation a été soutenue et même anticipée par notre formation politique dans le mémorandum remis au président de la République, Son Excellence Monsieur Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, afin de lui permettre de donner application à son programme de reformes et de lutte contre les antivaleurs comme la corruption, l’affaiblissement de l’Etat de Droit et le développement économique".


Selon le bureau politique de la DC, il serait contradictoire de voir des personnalités ayant un "passé de rebelles" et de "conquête armée du pouvoir", revenir à la tête des institutions de la République, en ce moment si délicat de la reprise en main de l’appareil étatique par la nouvelle administration Tshisekediste.


Cela étant, la Démocratie Chrétienne dit soutenir le franc parler de Kabund, en ce qui concerne le rejet des ambitions démesurées des formations politiques qui conditionneraient leur participation à l’Union sacrée de la nation au contrôle de certains institutions nationales.


Ce parti estime que le rejet, de la part Jean-Marc Kabund, des conditionnalités posées par certaines formations politiques, ne donne pas lieu à une quelconque violation de la confidentialité desdites consultations en cours, d’autant plus que des représentants de ces formations politiques ont "violé", les premiers, la confidentialité de ces négociations, les dévoilant sur les antennes des radios à grande audience.


Pour Diomi Ndongala, il faudra que la nouvelle configuration institutionnelle privilégie les hommes et les formations politiques qui ont soutenu, avec cohérence, détermination et sans compromission, la vision historique du Tshisekedisme et son combat pour la démocratie et le progrès social.

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