Adolphe Muzito ne fait pas du tout confiance au régime de Félix Tshisekedi.

Dans sa tribune publiée le samedi 20 février , le leader de la coalition d’opposition LAMUKA demande aux hommes au pouvoir à engager d’urgence des réformes institutionnelles dans un cadre consensuel et paritaire.

glisser ou non ? Depuis quelques mois, le verbe et son substantif, « glissement », ont fait une entrée fracassante dans le vocabulaire des Congolais. Les deux mots sont désormais sur toutes les lèvres.

Ainsi pour ne pas rater le coche en 2023, le Premier Ministre honoraire  » demande au pouvoir de prendre toutes les dispositions pour lancer le processus électoral dès le début du mois de mars 2021 pour la convocation des discussions entre parties prenantes, afin de ne pas se donner le prétexte de reporter les prochaines élections ».

La course des politiciens pour les postes telle entretenue est de nature à faire oublier l’essentiel pour se consacrer au positionnement politique.

« La recomposition des partis politiques et/ou regroupements politiques illustre la versatilité des « élus » de la République et met en exergue leur avidité, comme moteur principal de leur engagement politique », a-t-il diagnostiqué.

Un soutien politique en trompe-l’oeil ?

Pour comprendre la faible confiance dont pâtit actuellement le Président de la République , il faut se souvenir que son élection en 2018 reposait sur une base sociale particulièrement réduite.

Mais en ce moment , Félix Tshisekedi tout comme le gouvernement Sama Lukonde d’Union Sacrée (en formation) pour former le gouvernement d’Union Sacrée , arrivent à susciter une confiance aussi importante au sein de la population que ce que l’on peut constater quelques mois en arrière.

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