Plus d’une personne s’interroge sur la razzia de Félix Tshisekedi.

Peut-on s’accorder que le « chantre » de l’État de droit a fait volte-face face ?

Après l’élection du bureau définitif du sénat dirigé désormais par Modeste Bahati, et toute son équipe composée de l’honorable BADIBANGA Samy, SANGUMA Mossai, KANYIMBU Michel, BUL’ANG’SUNG Nathalie, AGITO Carole, KIDIMA IDA, les révélations francansantes tauradent les esprits des congolais.

D’après une source généralement bien informée, les billets de banque auraient circulés aux couloirs de la chambre haute du Parlement, afin de convaincre les sénateurs à voter pour le ticket de l’Union sacrée.

Le nouveau bureau du sénat est soupsonné d’avoir fait circuler sous table, des enveloppes lourdes en billets verts.

Ce n’est plus un secret. En 2019, le vote des sénateurs était aussi sur fond d’accusations de corruption.

C’est alors que le Chef de l’État, Félix Tshisekedi avait pris la décision de suspendre l’installation de ses sénateurs, en promettant des poursuites judiciaires pour « débusquer » les élus corrompus.

Des « grands électeurs », députés provinciaux de l’UDPS étaient accusés d’avoir vendu leur voix aux candidats de l’ex-président Joseph Kabila, qui aujourd’hui n’a plus la majorité parlementaire après la rupture de la coalition FCC/CACH.

Félix Tshisekedi avait finalement levé la mesure suspendant l’installation du nouveau sénat, après s’être satisfait du rapport préliminaire d’enquête sur les allégations de corruption de grands électeurs, selon un communiqué de la présidence qui a été lu à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC).

Après son installation dans le fauteuil présidentiel, le 24 janvier 2019, Félix Tshisekedi issu du parti Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) avait promis d’ériger un État de droit en République Démocratique du Congo, mais Jusque-là, la situation reste inchangée.
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