Le cabinet de la ministre de l'économie dit constater "avec regret et amertume que des personnes manifestement malveillantes s'activent à mener des actions tendant à discréditer et à porter atteinte en la personne d'Acacia Bandubola Mbongo, en publiant des allégations mensongères sur les médias et des réseaux sociaux portant sur les prétendues rétro-commissions". 







Pour ce cabinet, les détracteurs de la ministre Bandubola Mbongo ont plutôt peur de sa côte de popularité politique à l'approche de la publication du gouvernement de l'Union sacrée de la Nation. 


"À l'approche de la publication de la liste du gouvernement Sama Lukonde, ces détracteurs ont peur de sa côte de popularité politique pour avoir conduit le ministère de l'économie nationale avec efficacité et fermeté par la maîtrise des prix sur le marché, par la stabilisation de prix des produits pétroliers à la pompe depuis près de deux ans et en assurant un approvisionnement régulier en produits de première nécessité sur toute l'étendue du territoire national, en dépit de la pandémie de Covid-19", lit-on dans ce communiqué signé par maître Guy Blaise Kitiki, coordonnateur de la Cellule de communication au cabinet de la ministre de l'économie.  


Par conséquent, le cabinet de la ministre de l'économie dit se "réserver le droit de traduire devant les instances judiciaires les auteurs de ces propos mensongers et diffamatoires pour imputation dommageable".


Quid de l'affaire 12 millions de dollars américains ? 


S'agissant de ce dossier relayé par certains médias congolais, le cabinet d'Acacia Bandubola fait savoir qu'à son arrivée, la ministre de l'économie a hérité d'une dette latente de 200 millions USD du secteur pétrolier.


En 6 mois soit de décembre 2019 à juin 2020, dit-il, la ministre de l'économie a su baisser cette dette de l'État auprès des pétroliers à hauteur de 75 millions USD, alors que "celle-ci a connu une accumulation haussière depuis 2015". 


La même source fait savoir qu'en cette période difficile caractérisée par la crise sanitaire due à la Covid-19, la Trésorerie des sociétés pétrolières se trouvait dans une impasse. 


Pour prévenir des éventuelles crises pétrolières, souligne-t-elle, l'initiative a été prise pour le paiement de 80 millions USD, "paiement effectué dans sa totalité par le ministère des finances et il n'est fait mention nulle part, d'une rétro-commission".


"Ainsi, une situation chaotique serait survenue dans l'approvisionnement des produits pétroliers sur toute l'étendue du territoire national, entraînant ainsi la grève et la fermeture des stations services. Toutefois, il est impérieux de relever avec force détails que, dans la même correspondance, il n'est fait mention nulle part, d'une soit-disant rétro-commission", renchérit le cabinet d'Acacia Bandubola.  


Il ajoute que depuis les démêlés du dossier 15 millions USD, la prétendue rétro-commission a été interdite. "Toute chose étant égale par ailleurs, les 12 millions ne sont pas à rechercher chez madame Acacia Bandubola", affirme-t-il. 


Et d'ajouter : "Quiconque aurait des informations contraires peut saisir l'Inspection Générale des Finances (IGF) ou la justice. Il est évident que ce sont des pièces maladroitement rafistolées dans des officines politiciens pour des besoins de positionnement dans le gouvernement du premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde".

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