Noël Tshiani, ancien candidat malheureux à l’élection présidentielle de décembre 2018, qui rend un hommage mérité à l’Inspection Générale des Finances et son Chef, Jules Alingete Key, pour le travail abattu pour démasquer les crimes économiques commis par ce qu’il qualifie des « kulunas en cravate » contre le peuple congolais, invite cette institution attachée à la Présidence de la République à élargir le champ de recherche et fouiner partout.





Il y’a de signaler que le tout premier procès lié aux rapports dressés par l’Inspection générale des finances (IGF) avait eu lieu le 5 mars 2021 à la prison centrale de Makala.


C’était un procès relatif aux présumés détournements des fonds destinés à la gratuité de l’enseignement instaurée par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, ayant conduit à la condamnation de l’inspecteur général de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), et du directeur de Service de contrôle de la paie des enseignants (Secope).


Actuellement, l’ancien premier ministre sous Joseph Kabila, est poursuivi par la justice pour détournements des fonds alloués au projet Bukanga Lonzo.


L’homme à la gravate rouge dénonce le rapport de l’IGF » truffé » selon lui de mensonges.


Les attributions de l’inspection générale des finances


L’Inspection générale des finances dispose d’une compétence générale en matière de contrôle des finances et des biens publics.


À ce titre, elle vérifie et contrôle toutes les opérations financières de l’État, des entités administratives décentralisées, des établissements publics et organismes paraétatiques ainsi que des organismes ou entreprises de toute nature bénéficiant du concours financier de l’État, des entités administratives décentralisées et des établissements publics ou organismes paraétatiques sous une forme de participation en capital, de subvention, de prêt, d’avance ou de garantie.


L’Inspection générale des finances, en tant que service d’audit supérieur du gouvernement, peut procéder à toute mission de contre-vérification, au second degré, de toutes les situations douanières, fiscales ou parafiscales des contribuables ou redevables d’impôts, droits, taxes ou redevances, soit en cas de découverte d’une fraude lors de l’exécution normale d’une mission de contrôle ou de vérification, soit sur réquisition des autorités politiques et administratives, soit sur réquisition des autorités judiciaires, soit, enfin, sur dénonciation des tiers.

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