Les congolais sont renseignés que l’IGF ne naît pas avec l’actuel pouvoir. Elle a toujours existé, sauf qu’elle n’a jamais été un instrument au service des politiques.





Le premier scandale connu de tous qui devrait l’intéresser au plus haut point, c’est la fameuse vaste blague du programme de 100 jours. Silence radio

Nous observons tous les mois des dépassements budgétaires incroyables à la présidence de la république, silence radio

Le train de vie des institutions avec l’actuel régime dépasse toute norme compréhensible : silence radio

Des marchés publics importants sont confiés à des entreprises nouvellement créées, sans aucune base qui peut les justifier, silence radio

Sur la gestion des fonds de la Covid, silence radio

Sur les scandales de corruption avouée par des élus du peuple eux-mêmes à la presse, silence radio

Et que dire sur l’affaire des 500 Jeeps ?

La liste des sujets qui devraient les intéresser avant toute chose est très longue. Faute de s’y intéresser, les congolais ont une idée claire sur leurs missions.


Quel sera le travail de l’IGF après la passation de pouvoir du 23 janvier 2024?


Sa première mission sera d’abord d’enquêter sur les dépassements budgétaires à la présidence. Ensuite elle jettera son oeil sur les marchés publics, principalement dans le secteur du bâtiment. Enfin, elle fera une enquête en interne pour évaluer le niveau de la politisation des actuels dirigeants de cet appareil de l’État.


Impensable que les conclusions de l’IGF soient présentées comme ayant force d’autorité de la chose jugée


La décision prise au conseil des ministres sur les mandataires publics est une honte. Pire, un scandale qui devrait conduire les magistrats dans la rue. C’est du moins ce que nous aurions observé sous d’autres cieux.


La notion de la présomption d’innocence est bafouée sous leurs nez

L’IGF les supplante, ses rapports sont présentés sous forme de jugement, alors qu’aucune enquête n’aurait été diligentée de leur part pour confirmer ou infirmer les faits allégués. Cette situation inquiète l’avenir de notre démocratie.

Pour les congolais, le vote sanction est le seul remède


Quand ils seront devant les urnes le 25 octobre 2023, qu’ils se rappellent de quelques faits pour sanctionner l’actuel pouvoir. Cinq ans de gâchis avec l’actuel pouvoir et ils auront raison de l’effacer définitivement de leurs mémoires.

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