Révélation faite par certains membres de ce service qui sont attribués au média en ligne scooprdc.
« Depuis deux ans que nous sommes dans la Cellule de la presse présidentielle, nous n'avons jamais touché à une quelconque prime à part nos salaires. Mais nous avons été surpris de voir ce lundi 12 juillet 2021 le directeur Eric Nyindu remettre à chacun de nous une somme d'argent qui peut nous permettre d'acheter du crédit de téléphone et accomplir un autre besoin lié à notre service », a déclarer cette source cité par ce site d'information.
Selon la même source, « cet argent leur destiné sortait depuis deux ans, mais prenait une autre destination « .
« C'est Jean-Pierre Wafuana, ancien directeur de la communication présidentielle qui aurait conseillé à l'actuel directeur de la communication et presse, service fusionné, de ne pas se salir dans ce dossier où ses prédécesseurs se servaient sur le dos de leurs subalternes. Donc, pour ces membres de la cellule de la presse présidentielle, Eric Nyindu leur a révélé un secret de détournement » rapporte le site.
Toujours selon la source de Scooprdc, « l'ancienne direction de presse présidentielle, recevait fréquemment des frais de fonctionnement. Et dans cette enveloppe, il était prévu une quotité aux agents pour leur permettre de mettre du crédit et même leur faciliter le déplacement mais leur argent, était partagé entre l'ancien directeur Abraham Luakabuanga et ses deux adjoints, Giscard Kusema et Paul Diakese «
Ces membres de la presse présidentielle, sessent du fait que les voyages avec le chef de l'État qui étaient la « chasse-garde du personnel directeur, sont devenus accessibles rotativement à tous tel que l'a déclaré le nouveau directeur de la communication et de la presse , Eric Nyindu « , renchérit le site.
Conjoint par CAS-INFO , Abraham Luakabwanga,
« Mon droit de réponse arrive », at-il écrit brièvement à CAS-INFO .
Par ailleurs, tous les efforts fournis pour avoir Giscard Kusema, se sont avérés vains.
Ces révélations sur ce détournement présumé sont faites alors que l'inspection générale des finances est en plein service de contrôle à la présidence de la République.
Par Siméon Isako
