Selon les sources sur place, c’est la femme de ce chef de groupement a été dénoncé par son épouse avec qui il n’était plus en bonne compagnie suite aux malentendus. Cette autorité coutumière a été déférée devant l’autorité provinciale.
Les mêmes sources affirment que la maison du chef servait de lieu des réunions régulières avec les chefs miliciens de la FPIC, dont un certain Kakani était son voisin avec qui il partage le mur mitoyen, allégation que le chef de groupement lui-même a affirmé devant l’autorité provinciale.
L’ACP confirme que l’autorité provinciale a remis l’accusé à la justice militaire pour poursuivre ses enquêtes.
Jean-Robert Djema/L’INTERVIEW.CD
