« Les Chefs des confessions religieuses étaient incapables de désigner un président de la CENI, alors qu’on critique les politiciens. Les pères spirituels ont raté leur chance. Cette tâche devrait au moins être réservée à la Société civile dans son ensemble », a-t-il fait savoir.
Et de poursuivre :
« Il y a sûrement des collègues qui vont préparer des propositions de lois pour mettre fin à cette sorte de dictature. Nous sommes un État laïc. Cependant, ils se sont donnés tous les galons alors que la République, ce ne sont pas seulement les confessions religieuses ».
Il estime par ailleurs que certains (confessions religieuses) ont quand-même reconnu leurs erreurs et ont confessé.
Rappelons que l’assemblée nationale a entériné, le jeudi 23 décembre dernier, les candidats aux postes vacants du bureau ainsi que de la plénière de la CENI réservés à l’opposition. Ce, après avoir déclaré recevable le rapport de la commission paritaire chargée du traitement des candidatures.
Bien-aimée Bosasele
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