Il y a trois ans, jour pour jour, des milliers des congolais se rendaient aux urnes pour remplir leur droit et devoir civique, après deux ans de glissement.




La présidentielle, couplée aux législatives, était organisée, pour la première fois, avec la machine à voter.

Au sortir du bureau de vote, si Ramazani Shadary, candidat FCC avait déclaré être Président de la République dès le soir du vote, Fayulu lui, parlait de la « fin de la dictature, la fin de l’arbitraire, la fin du système AFDL (…), nous allons gérer ce pays comme les nations développées », déclarait-il.

Sans savoir qu’il succéderait à Kabila, Félix Tshisekedi déclarait, lui, que « ces élections se sont déroulées dans de très mauvaises conditions ».

 Le souverain primaire satisfait ?

Trois ans près avoir rempli son droit et son devoir civique, en l’absence des élections mi-mandat comme sous d’autres cieux, il est difficile de dire si le souverain primaire est satisfait ou pas de son vote.

Toutefois, au regard de la grogne sociale constaté ça et là, la crise et le manque de changement en terme de l’amélioration des conditions de vie, il n’est pas faux que d’affirmer que les attentes de la population face au pouvoir sont grandes.

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