Le contenu, choquant pour une partie de l’opinion publique, inclut des enregistrements d’au moins 400 vidéos, montrant Baltasar avec des partenaires aux statuts divers, mariées comme célibataires.
L’affaire, qualifiée de #BALTASAR sur les réseaux sociaux, a provoqué une vive polémique.
Les réactions s’enchaînent sur Twitter, Facebook et autres plateformes, où les internautes expriment des avis partagés, allant de l’indignation à la curiosité. Tandis que certains dénoncent une atteinte à la vie privée et aux valeurs sociales, d’autres appellent à une prise de responsabilité de la part de l’homme d’affaires, qui est par ailleurs une figure influente en Guinée Équatoriale.
La justice équato-guinéenne a rapidement réagi en ouvrant une enquête, dont les résultats sont très attendus. Les autorités cherchent à comprendre l’origine de cette fuite massive d’informations personnelles et à déterminer si des infractions ont été commises, notamment en ce qui concerne le consentement des personnes impliquées et la diffusion illégale de contenu intime.
En attendant les conclusions officielles, l’affaire #BALTASAR demeure un sujet brûlant dans les discussions en Afrique, illustrant une fois de plus les conséquences de l’usage des nouvelles technologies et des réseaux sociaux dans les affaires privées.