BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Vers des élections locales et provinciales combinées : Calendrier électoral, Samy Badibanga exige le consensus !

February 12, 2014

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<strong>C’est une idée-force qui, certainement, va pousser la CENI et la classe politique à enrichir davantage   la réflexion, au lieu  de s’engager, à l’aveuglette,  sur la voie des élections projetées, pour cette année 2014, en RD. </strong></h3>
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Congo et, qui, plus tard, susciteraient des vagues de contestations.   Tout récemment, en effet, Malumalu avait  promis de publier un  calendrier électoral, sur recommandation de l’Assemblée Nationale. Mais, pour être réaliste, il devrait, normalement, se prémunir de la caution morale des acteurs politiques  qui, naturellement, sont les plus intéressés aux joutes électorales. C’est dans ce contexte que Samy Badibanga Ntita, Président du Groupe Parlementaire Udps & Alliés, propose le consensus comme voie de sortie, pour l’adoption dudit calendrier électoral.  Ceci éviterait, à son avis,  des accrochages, ratés ou  boycotts inutiles.  Et,  surtout, le gaspillage du temps, dans des tiraillements sans fin, ni espoir d’un processus électoral crédible et  aux résultats acceptables par tous. Il l’a dit et répété hier, dans la soirée, au téléphone, en réponse à toute  une kyrielle  de préoccupations parmi celles qui, désormais, défrayent la chronique de  l’actualité en RD. Congo. Substantiellement, l’élu de Mont-Amba, se dit favorable à la tenue  des élections locales et provinciales combinées.     </strong><br />
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Premier groupe parlementaire de l’opposition parlementaire, l’UDPS et Alliés vient de donner de la voix sur le calendrier électoral tel qu’annoncé par le président de la CENI, l’abbé Apollinaire Muholongo Malumalu. A la suite  d’un entretien téléphonique, Samy Badibanga, a tenu à donner le point de vue des siens.</div>
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<strong>Controverse</strong></div>
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«Après la débâcle électorale de novembre 2011 et les graves divisions qu’elle a engendrées, seul l’esprit de consensus qui a prévalu au sein de la classe politique et du Parlement, a permis le vote de la nouvelle loi portant  Organisation et fonctionnement de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ainsi que la désignation, en juin 2013, de ses nouveaux animateurs», a ainsi commenté M. Samy Badibanga, en  affirmant, par ailleurs,   que depuis cette date, la vision  opérationnelle et la façon d’envisager la suite du processus électoral adoptées par le président de la CENI «soulèvent, paradoxalement,  une très vive controverse dans le pays et mettent à mal le consensus politique initial,  comme l’a parfaitement illustré le débat intervenu à l’Assemblée Nationale autour de la présentation,  par la CENI,  de la feuille de route du cycle électoral 2013-2016».</div>
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<strong>Devoir de mémoire</strong></div>
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Le Député élu de Kinshasa/Mont-Amba rappelle, en effet,  qu’en février 2006, à l’issue d’une transition de trois années soutenue par l’ensemble de la communauté internationale et après un referendum populaire, la RD.  Congo s’est dotée d’une nouvelle Constitution et a mis en place des institutions démocratiques. «Cette Constitution prévoit qu’à tous les niveaux, local, provincial et national, les citoyens congolais désignent, à travers des élections libres et transparentes, leurs  représentants  légitimes dans les institutions. Le texte est parfaitement clair et n’a nul besoin d’interprétations ou d’exégèses, surtout venant de personnes qui ont en charge sa stricte mise en œuvre»,  a déclaré substantiellement,  le président du groupe parlementaire UDPS et Alliés.</div>
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<strong>Goût d’inachevé</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
«Aujourd’hui, dans quelle situation se trouvent nos institutions ?», s’interroge-t-il, avant de répondre : «Du fait d’un cycle électoral incomplet et défaillant en 2011, la République ne dispose toujours pas de responsables élus au niveau local ; ceux qui sont en place au niveau provincial (Députés et Gouverneurs),   ont terminé leur mandat,  depuis plus de deux ans et ont perdu leur légitimité. Au niveau national, le mandat des sénateurs  étant, lui aussi, dépassé, la légitimité de la Chambre Haute s’en trouve, de facto, affectée».</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Selon lui, le nouveau cycle électoral 2013-2016 doit impérativement répondre à ces graves préoccupations.  C’est-à-dire, doter,  enfin,  les villes et les communes de responsables élus, redonner aussitôt que possible leur légitimité aux institutions qui l’ont perdue et respecter les échéances législatives et présidentielles de décembre 2016.  </div>
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<strong>Doigt pointé sur la CENI</strong></div>
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Samy Badibanga  accuse la CENI  de préparer  le tripatouillage du mode de scrutin des élections à venir<strong>. « Au lieu de se concentrer sur ses tâches prioritaires, la CENI et son président,  planchent sur des scenarii  où il est question, comme en 2010, de modification des modes de scrutin, qui passe nécessairement par la révision de certains articles de la Constitution, en l’occurrence,  l’article 197 de la Constitution qui stipule  que les élections provinciales s’organisent au suffrage universel direct</strong>. La CENI prétend, pour d’obscures raisons,  faire élire les Députés Provinciaux par un corps électoral restreint et priver le peuple congolais de l’acquis démocratique de 2006 incarné dans  l’élection des députés provinciaux au suffrage universel direct», se plaint-il.</div>
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<strong>Respect des principes républicains</strong></div>
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Le parlementaire congolais réaffirme son attachement aux principes républicains, et appelle les partenaires extérieurs à veiller au grain : «L’expérience montre qu’il ne peut y avoir  d’avancées  démocratiques durables,  sans un respect strict de la Constitution, des échéances électorales,  du nombre et de la durée de  mandats.  C’est la voie que la CENI doit suivre et la communauté internationale devrait conditionner son soutien au respect de ces principes».</div>
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<strong>Voie de sortie</strong></div>
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Comme à leur habitude, les parlementaires de l’UDPS et Alliés proposent leurs solutions concrètes. «Concrètement, nous sommes donc tenus  d’organiser quatre scrutins universels directs avant la fin de l’année 2016. Des regroupements de scrutins paraissent indispensables», <strong>Ils proposent donc, que les élections locales et provinciales soient organisées ensemble, au début de l’année 2015 ou fin 2014. Cela permettra,  d’une part,  l’économie des ressources administratives, financières et logistiques et,  d’autre part,  le règlement du dysfonctionnement institutionnel majeur que nous vivons. C’est aussi primordial dans la perspective des scrutins d’enjeu national qui devront se tenir au plus tard,  en novembre 2016. Il souligne également, qu’un tel calendrier nous laisse largement le temps d’organiser l’élection indirect des Sénateurs et des Gouverneurs avant novembre 2015 et tout ceci sans modification de la constitution », fait-il  observer</strong>.</div>
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<strong>Préalables</strong></div>
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L’homme d’Etat congolais insiste également sur «la révision et la fiabilisation du fichier électoral» qui, à l’en croire, conditionnent la réussite de l’ensemble du processus devront être engagées au plus tôt et menées conjointement aux autres préparatifs des scrutins.  «La bonne conduite de cette opération préalable permettra au processus de disposer d’une liste des électeurs actualisée comprenant les omis ainsi que les électeurs réorientés <strong>mais aussi les citoyens ayant accédé a la majorité depuis la tenue des dernières élections et qui ne figurent donc pas sur  les listes actuelles». </strong></div>
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M. Samy Badibanga, comme le groupe parlementaire UDPS et Alliés, reste convaincu que l’exercice de remise à jour de ces données de base doit s’étendre jusqu’à la cartographie opérationnelle des sites de vote des entités de base, des groupements ainsi que des démembrements de la CENI. Ce qui, selon eux, permettra d’améliorer sensiblement la qualité de l’offre électorale en RD. Congo  et de faciliter <strong>la convocation unique de l’électorat,  pour des élections combinées. </strong></div>
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<strong>LPM</strong></div>
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C’est une idée-force qui, certainement, va pousser la CENI et la classe politique à enrichir davantage la réflexion, au lieu de s’enga...

MINISTERE DE L’AGRICULTURE LA CONTRIBUTION AU DÉVELOPPEMENT AGRICOLE CONGOLAIS AU CENTRE DES ENTRETIENS !

February 12, 2014

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Le secteur agricole fait la convoitise de bon nombre d’investisseurs et des organisations non gouvernementales (Ong) tant nationales qu’internationales. Hier mardi 11 février, une ong de droit congolais opérant au Katanga, une Ong italienne et congolaise ainsi que la Banque africaine de développement (BAD) ont franchi le portillon du ministère de l’Agriculture et du développement rural. Toutes ces rencontres visent à contribuer, donner un plus à l’agriculture congolaise.</h3>
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<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
Selon la délégation de la Banque africaine de développement, la rencontre avec le ministre consistait à analyser comment améliorer la durabilité des projets et même imaginer d’autres en milieu rural en vue d’augmenter le niveau de la population. A ce titre, la BAD s’est réjouie de constater que le gouvernement demeure sur la bonne voie en matière de l’amélioration du niveau de vies de la population et en particulier en investissant dans le secteur agricole.<br />
De son côté, le représentant d’une ong de droit congolais opérant au Nord-Katanga a présenté au ministre son projet dénommé " Mazau ". Lequel transforme et commercialise les vivres de familles paysannes du Nord- Katanga. Cette ONG soutient les revenus du projet et investit dans les communautés intégrales du projet, fait-elle savoir.<br />
S’agissant de la production, elle a souligné que la première année, elle a acheminé 180 tonnes de Padi à Kalemie décortiqué qu’elle a versé sur le marché local. Le Nord-Katanga, affirme-t-elle, produit au moins 1000 tonnes de Padi et elle voudrait se lancer dans la production afin que la province du Katanga puisse produire plus et gagner le marché qui, pour le moment, est totalement asiatique, zambien ou encore tanzanien. Cette ong a fait part au ministre que chaque année la ville de Kalemie importe plus de 2400 tonnes de riz blanc provenant de la Tanzanie.<br />
Outre les deux délégations, la dernière à avoir rencontré le ministre Jean-Chrysostome Vahamwiti est celle des ongs italiennes et congolaises. Il s’agit de Centre d’Orientation éducative (COE), Amici Dei Bambini (Amis des enfants) (ABIBI), Forum coopérative technologie (FCT), CongoSkill (Asbl) (Formation et encadrement des enfants de la rue et des filles mères). Leur but est d’aider non seulement les filles mères, les enfants de la rue mais aussi les mamans maraîchères qui font l’agriculture aux environs de la ville de Kinshasa.<br />
Les représentants de ces Ong ont indiqué que leur problème est d’aider à améliorer la manière de travailler en important la technologie, la méthodologie de travail et aussi les instruments pouvant les aider à évoluer. La plupart de ces mamans maraîchères se trouvent sont au niveau de N’Djili -Brasserie. C’est pourquoi, l’apport du Gouvernement pour réhabiliter la route qui va de N’Djili -Brasserie vers CECOMAF est très nécessaire. Car, ces mamans qui produisent dans cette partie éprouvent beaucoup de difficultés pour évacuer leurs marchandises suite à la détérioration de cette route. Pour ces ONG, le Gouvernement se préoccupe plus des maraichères des communes de la N’Sele et de Maluku, mais oublie celles de CECOMAF.<br />
Suite à ces préoccupations des Ong du secteur, le ministre a souligné que la réhabilitation de la route CECOMAF est prévue dans le budget 2014. " Dans les jours qui viennent ce tronçons sera une priorité ", a-t-il conclu. Alfred LUKAMBIL</div>
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Economie MINISTERE DE L’AGRICULTURE LA CONTRIBUTION AU DÉVELOPPEMENT AGRICOLE CONGOLAIS AU CENTRE DES ENTRETIENS !

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Le Code de bonne conduite attaqué :La CENI escamotée, le CDPS dénonce le déséquilibre !

February 12, 2014

<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><em>Un partenaire important impliqué dans la bonne marche et le déroulement des élections</em></strong><strong><em>, </em></strong><strong><em>à savoir</em></strong><strong><em> :</em></strong><strong><em> la CENI est escamoté</em></strong><strong><em>e</em></strong><strong><em> dans </em></strong><strong><em>l</em></strong><strong><em>e code de bonne conduite</em></strong><strong><em> signé, le samedi 8 février 2014, au Palais du Peuple. Ce qui </em></strong><strong><em>introduit un déséquilibre qui ne rassure pas.<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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<strong><em><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHVh1MIHz9apVXCJk4gXq_FsipMMSx-sJYp0AEqNZHwG3sUQ2aQ_KXll4BgOuh6SKIunYn2coGFINorZ65E3ncYooluPoyhL-H741dCsE3FqBda33nP85YjSyzqmV2samqIrTSwgj2Q2g/s1600/apollinnairemalumalu.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHVh1MIHz9apVXCJk4gXq_FsipMMSx-sJYp0AEqNZHwG3sUQ2aQ_KXll4BgOuh6SKIunYn2coGFINorZ65E3ncYooluPoyhL-H741dCsE3FqBda33nP85YjSyzqmV2samqIrTSwgj2Q2g/s1600/apollinnairemalumalu.jpg" width="305" /></a></em></strong></div>
<strong><em>Ce constat est du CDPS, une formation politique de l’opposition qui pense que les parties prenantes aux élections sont les partis et regroupements politiques ainsi que les candidats indépendants, d’une part, et le pouvoir organisateur, c’est-à-dire, la CENI, d’autre part. En conséquence, les premiers cités ne peuvent, seuls, signer le Code de Bonne Conduite. La CENI doit également  engager sa signature, au bas de  ce document,  sinon,  il y aura  un déséquilibre en termes d’engagement. D’autant plus que l’expérience des scrutins passées, 2006 et 2011, indique-t-on au CDPS de François-Xavier Beltchika, révèle beaucoup de faiblesses qui, du reste, furent  préjudiciables  à la paix sociale. Bref, pour le CDPS, i</em></strong><strong><em>l appert que la bonne fin du processus électoral et des opérations électorales se trouve davantage garantie par le code de bonne conduite engageant les deux parties, impliquées </em></strong><strong><em>à</em></strong><strong><em> cette fin</em></strong><strong><em>, à savoir :</em></strong><strong><em> la C</em></strong><strong><em>ENI </em></strong><strong><em>et les Partis </em></strong><strong><em>et </em></strong><strong><em>Regroupements Politiques </em></strong><strong><em>ainsi que </em></strong><strong><em>les Candidats aux élections. </em></strong><strong><em>D’où, la proposition du changement de l’appellation de ce code qui devra être renommé : ‘‘Code de bonne conduite de la Commission  électorale nationale indépendante, des partis politiques, des regroupements politiques et des candidats aux élections en République démocratique du Congo’’. A titre illustratif, la CENI, fait-on observer, </em></strong><strong><em>devrait s’engager à ne pas avoir et ne pas afficher des attitudes jugées partiales</em></strong><strong><em> à l’égard de </em></strong><strong><em> certains partis</em></strong><strong><em> et re</em></strong><strong><em>groupements politiques et candidats indépendants, </em></strong><strong><em>embellies, entre autres, par </em></strong><strong><em>le placement des bureaux de vote proches dans les fiefs</em></strong><strong><em> de </em></strong><strong><em> certains candidats, et très éloignés, par</em></strong><strong><em> dizaines de </em></strong><strong><em> Kms, pour d’autres ; la non prévision des copies des PV dans les bureaux de vote en nombre suffisant des témoins,  tout en exigeant du candidat d’exhiber une copie de PV du bureau de vote pour étayer la preuve de sa contestation ;</em></strong> <strong><em>l</em></strong><strong><em>’empêchement de </em></strong><strong><em> certains témoins des candidats d’assister aux travaux de dépouillement et de compilation des résultats ;  l’</em></strong><strong><em>improvisation et la création de</em></strong><strong><em> certains bureaux de vote</em></strong><strong><em>, </em></strong><strong><em> le jour même du scrutin</em></strong><strong><em>.</em></strong><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><em>Découvrez, ci-après, les observations du CDPS en rapport avec le Code de bonne conduite des partis politiques. </em></strong> </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<br /></div>
<div align="center" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px;">
<strong>OBSERVATIONS DU CONGRES DES DEMOCRATES POUR LE PROGRES SOCIAL  ‘’ CDPS ‘’  SUR LE CODE DE BONNE CONDUITE DES PARTIS POLITIQUES, DES REGROUPEMENTS POLITIQUES ET DES CANDIDATS AUX ELECTIONS EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU <u>CONGO</u></strong></div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li><strong>Observation générale :</strong></li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Le code de bonne conduite dont il est question concerne le domaine électoral.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Les deux parties intéressées,spécialement impliquéesdans la bonne fin et du processus électoral et du déroulement desopérations des élections sont : la Commission Electorale Nationale Indépendante, représentant le pouvoir public, d’un côté, et les Partis Politiques, les Regroupements Politiques et les Candidats aux diverses élections, représentants les intérêts privés et partisans, de l’autre.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Les deux groupes sont régies et par la constitution et par les lois de la République Démocratique du Congo. La loi N° 10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la Commission Electorale Nationale Indépendante, spécialement en son article 25, alinéa 2, point 12, pour le premier groupe ;et la loi N° 004/002 du 15 mars 2004, spécialement les articles 2, alinéa 2 ; et 5, alinéa 2 pour le deuxième groupe.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Ils sont donc engagés, tous les deux,dans le déroulementdu processus électoral et des opérations des élections en RDC, en vue d’assurer une compétition électorale démocratique, républicaine, libre, transparente, équitable, crédible et ouverte à tous sur la base d’équité qui débouche à la préservation de la cohésion et de la paix sociale.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Pour atteindre cet objectif, les droits et devoirs des toutes les parties concernées et impliquées doivent convergerversl’esprit, les principes et les valeurs ci-dessus rappelés. Faute de quoi,l’inadéquation des actions ou du comportement d’un des partenaires au processus compromettra la bonne marche de l’ensemble.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Un partenaire important impliqué dans la bonne marche et le déroulement des élections ; à savoir la CENI est escamoté dans ce code de bonne conduite et introduit un déséquilibre qui ne rassure pas. Et pourtant, son engagement, en ce qui lui revient,autour des principes et valeurs prés-rappelés, renforcerait le climat de confiance nécessaire entre l’ensemble des partenaires impliqués dans le processus, et assoirait son ascendance morale consentie de contrôle et d’encadrement del’autre partie, rassurée par cet engagement de la CENI, et ses agents à travers elle,d’éviterles défauts qui ont contribué à la perturbation des élections passées et à la mise en mal de la paix et de la cohésion sociale.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
La CENI devrait s’engagerà ne pas avoir et ne pas afficherdes attitudes, jugées partiales, à l’égard des certains partis politiques, groupements politiqueset candidats indépendants, illustrées notamment par :</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
- 1) le placement des bureaux de vote proches dans les fiefs des certains candidats, et très éloignés, par dizaines des Kms, pour d’autres ;</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
- 2) la non prévision des copies des PV dans les bureaux de vote en nombre suffisant des témoins,tout en exigeant du candidat d’exhiber une copie de PV du bureau de vote pour étayer la preuve de sa contestation ;</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
-3) l’empêchement des certains témoins des candidats d’assister aux travaux de dépouillement et de compilation des résultats ;</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
- 4) l’improvisation et la création des certains bureaux de vote le jour même du scrutin ;</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
- 5) le non affichage dans le délai prescrit des listes des électeurs devant les bureaux de votes, etc..</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
L’engagement de la CENI donnerait un contenu au droit reconnu aux partis politiques, regroupements politiques et candidats indépendants de dénoncer les obstacles à la bonne marche impliquant la responsabilité de la CENI, à travers les manquements de ses agents,sans que la CENI ne se réfugie derrière les dispositions conservatoires et des sanctions du chapitre III du présent code pour justifier son attitude ou son comportement.De même, l’engagement des partis politiques, groupements politiques et candidats indépendants donne un contenu au droit reconnu à la CENI de contraindre ceux-cià respecter leur engagement. </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Il appert donc que la bonne fin du processus électoral et des opérations électorales se trouve davantage garantie par le code de bonne conduite engageantles deux parties, impliquées dans cette fin : la Commission Electorale Nationale Indépendante et les Partis Politiques, les Regroupements Politiques et les Candidats aux élections. L’engagement, par contre, d’une seule des parties, en l’occurrence, la dernière citée, simême elle s’avère nécessaire, elle n’est pas suffisante.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Le passé récent doit nous servir de leçons.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
C’est pourquoi,  prenant en compte ce qui précède, nous réitérons  quelques amendements suivants  formulés, pourl’essentiel, dans notre note du 07 janvier  2014.</div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="2"><strong>Sur le Fond :</strong></li>
</ol>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: lower-roman; text-align: justify;">
<li>Le Titre du Code deviendrait : CODE DE BONNE CONDUITE<em>DE  LACOMMISSION  ELECTORALE NATIONALE INDEPENDANTE</em>, DES PARTIS POLITIQUES, DES REGROUPEMENTS POLITIQUES ET DES CANDIDATS AUX ELECTIONS EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO.</li>
</ol>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="3">Au Préambule : Intégrant l’esprit du fond</li>
</ol>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: lower-roman; text-align: justify;">
<li>1<sup>ère</sup> paragraphe, 1<sup>ère</sup> ligne après Nous soussignés, introduire l’incise : <em>la Commission Electorale Nationale Indépendante..</em></li>
<li>A l’avant dernier paragraphe du préambule 1<sup>ère</sup> ligne, après fondements d’une compétition, introduire l’ajout  ‘’républicaine’’</li>
</ol>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: upper-roman; text-align: justify;">
<li value="4">Quelques Amendements dans le corps du document :</li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 1.1<sup>er</sup> paragraphe, 1<sup>ère</sup> ligne, après le présent code s’applique, introduire l’incise : <em>la Commission Electorale Nationale Indépendante,</em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 3.1<sup>ère</sup>ligne, commencer la phrase par l’ajout des termes :<em> la Commission Electorale Nationale Indépendante,</em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 4.3<sup>ème</sup>paragraphe, 2<sup>ème</sup> ligne, après aux médias privés, terminer par l’ajout, <em>et au temps d’antenne.</em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 6.1<sup>ère</sup> ligne, débuter l’article par l’ajout de l’incise <em>: la Commission Electorale Nationale Indépendante.</em></div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: square; text-align: justify;">
<li> </li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 11. 1<sup>ère</sup> ligne idem qu’à l’art. 9 ci-dessus.</div>
<ul style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; list-style-type: square; text-align: justify;">
<li> </li>
</ul>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 17.1<sup>ère</sup> ligne commencer l’article par l’ajout : <em>la Commission Electorale Nationale Indépendante ;</em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 17.3<sup>ème</sup> ligne, après diffuser le présent code, introduire l’ajout : auprès de <em>ses agents</em> pour l’une et de leurs candidats, mandataires, membres sympathisantspour les autres, et à le faire respecter.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 19.1<sup>ère</sup> ligne, introduire l’ajout : <em>la Commission Electorale Nationale Indépendante</em>au début de l’article.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
Art. 20.2<sup>ème</sup> ligne, commencer celle-ci par l’ajout : <em>la Commission Electorale Nationale Indépendante,  </em></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<ol style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<li value=""> </li>
</ol>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 54pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 90pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 90pt; text-align: justify;">
Kinshasa le 04 Février 2014</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 90pt; text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 90pt; text-align: justify;">
<strong><em>LE Président National</em></strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong><em>                       François-Xavier BELTCHIKA - KALUBYE</em></strong></div>
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la Nation Le Code de bonne conduite attaqué :La CENI escamotée, le CDPS dénonce le déséquilibre !

Un partenaire important impliqué dans la bonne marche et le déroulement des élections , à savoir : la CENI est escamoté e dans l e cod...

Les Combattants fixent l'opinion sur le conclave du 14,15/02/2014 et la marche du 16/02 ( vidéo)

February 12, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOisX2EHwYPJKlJmLSFPAZJfoeZnqRQ75YgC54u8CBkgVYFKDIuZ5UBPlHLo8yq_V-qaLm5PRz3W2Wi4ObHqME_W_QNIcHv1PYzMdGOjYF7_FoirAyAEHennSOqRt9X4hPmjHsovCTqPw/s1600/Snapshot_28.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
</div>
<h3>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOisX2EHwYPJKlJmLSFPAZJfoeZnqRQ75YgC54u8CBkgVYFKDIuZ5UBPlHLo8yq_V-qaLm5PRz3W2Wi4ObHqME_W_QNIcHv1PYzMdGOjYF7_FoirAyAEHennSOqRt9X4hPmjHsovCTqPw/s1600/Snapshot_28.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="226" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOisX2EHwYPJKlJmLSFPAZJfoeZnqRQ75YgC54u8CBkgVYFKDIuZ5UBPlHLo8yq_V-qaLm5PRz3W2Wi4ObHqME_W_QNIcHv1PYzMdGOjYF7_FoirAyAEHennSOqRt9X4hPmjHsovCTqPw/s1600/Snapshot_28.jpg" width="400" /></a><span style="font-size: large;">Les Combattants fixent l'opinion sur le conclave du 14,15/02/2014 et la marche du 16/02 ( vidéo)</span></h3>
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la Nation Les Combattants fixent l'opinion sur le conclave du 14,15/02/2014 et la marche du 16/02 ( vidéo)

Les Combattants fixent l'opinion sur le conclave du 14,15/02/2014 et la marche du 16/02 ( vidéo)

NORD-KIVU : 2000 ENFANTS SONT SORTIS DES GROUPES ARMÉS EN 2013

February 12, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’utilisation d’enfants soldats célébrée le 12 février de chaque année, l’Unicef a publié lundi 10 février 2014 un rapport sur la situation des enfants soldats dans la province du Nord-Kivu. Ce rapport fait état de deux mille enfants sortis des groupes armés en 2013 dans cette province menacée par des forces négatives pendant que des milliers d’autres restent encore sous l’emprise des milices.</span></h3>
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<br />
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<div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div>
<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiE9IDypRyeLLaCnkYHhqMCwspZhKK5umegtVZg4p4ujQMS16XztgmEjIZwkvNtksjqZu88ptoJOEBdK-ke8ZOaG8z_mCi7xt3vHW-kKNoWiyqX8zHe8p6i7KOhvRO6rVPwAwMM1LrcPSM/s1600/Snapshot_26.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiE9IDypRyeLLaCnkYHhqMCwspZhKK5umegtVZg4p4ujQMS16XztgmEjIZwkvNtksjqZu88ptoJOEBdK-ke8ZOaG8z_mCi7xt3vHW-kKNoWiyqX8zHe8p6i7KOhvRO6rVPwAwMM1LrcPSM/s1600/Snapshot_26.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="230" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiE9IDypRyeLLaCnkYHhqMCwspZhKK5umegtVZg4p4ujQMS16XztgmEjIZwkvNtksjqZu88ptoJOEBdK-ke8ZOaG8z_mCi7xt3vHW-kKNoWiyqX8zHe8p6i7KOhvRO6rVPwAwMM1LrcPSM/s1600/Snapshot_26.jpg" width="400" /></a></div>
L’Unicef qui est une des agences du système des Nations-Unies, estime que seule l’instauration de la paix mettra totalement fin à l’enrôlement des enfants dans les groupes armés. <br />
<br />
<div>
<br /></div>
<div>
L’expert en protection de l’enfant à l’Unicef pour la zone Est de la RD Congo, qui a présenté ce rapport a indiqué que pendant le mois de janvier dernier, cent douze enfants dont vingt filles ont quitté leurs rangs pour rejoindre le centre de transit de désarmement et réinsertion de Bweremana. L’Unicef demande donc que tous les acteurs impliqués dans la lutte contre l’enrôlement des enfants dans les groupes armés poursuivent leurs efforts pour s’assurer que les droits de tous les enfants sont respectés.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
L’expert en protection de l’enfant à l’Unicef a reconnu que les actions menées dans ce cadre n’ont pas toutes été parfaites. Il estime cependant que la fin de la situation d’enrôlement des enfants dans les groupes armés dépend impérativement du retour de la paix dans l’Est de la RD Congo. Pour lui, le vrai changement dont aspire la population ne peut venir qu’avec le retour véritable et définitif de la paix qui est au-delà même du mandat de l’Unicef.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Selon cette Agence du système des Nations Unies, les activités de démobilisation et de désintégration des enfants associés aux forces armées sont d’une grande importance pour la consolidation et la restauration de la paix dans la province du Nord-Kivu et à travers le pays. DK</div>
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la Nation NORD-KIVU : 2000 ENFANTS SONT SORTIS DES GROUPES ARMÉS EN 2013

A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’utilisation d’enfants soldats célébrée le 12 février de chaque année, l’Unicef a publ...

LE DERNIER VERROU AYANT SAUTE HIER AVEC LA PROMULGATION DE LA LOI D’AMNISTIE LE GOUVERNEMENT DE COHÉSION NATIONALE DÉSORMAIS IMMINENT

February 12, 2014

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<span style="font-size: large;">Apparemment, l’attente ne sera plus aussi longue qu’elle l’a été jusque-là. Les Congolais peuvent désormais espérer connaître le Gouvernement de cohésion nationale qu’ils attendent depuis plus de trois mois dans quelques heures, jours ou semaines. Car, le dernier verrou a sauté hier soir avec la promulgation, par le président de la République, de la loi d’amnistie votée au Parlement toutes chambres confondues. Car, ce sont principalement la loi des finances 2014 et la loi d’amnistie qui constituaient les derniers verrous avant la nomination d’un Premier ministre chef du Gouvernement ou de l’ensemble du Gouvernement de cohésion nationale en RD Congo.</span>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Surtout que, contrairement à la règle de jeu respectée jusque-là consistant en ce que la Majorité présidentielle, c’est-à-dire les vainqueurs de dernières législatives, constitue le Gouvernement, cette fois-ci, quelques opposants et des membres de la Société civile feront également partie de l’équipe gouvernementale au nom de la cohésion nationale décidée par les Concertations nationales en 2013. </div>
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Une particularité inattendue au début de la législature, mais dictée par le souci de faire bloc contre les partisans de la balkanisation de la RDC. Même s’il a fallu s’armer moralement de patience avant de voir ce vœu se dessiner sur le terrain. L’attente a vraiment été longue.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Alors que d’aucuns pensaient que les choses iraient plus vite, personne ne se doutait, après l’annonce faite par le chef de l’Etat devant le Parlement réuni en Congrès le mercredi 23 octobre 2013, que le Gouvernement Matata devait présenter et défendre le projet de loi des finances tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat. Surtout que des rumeurs avaient fait état de la démission du Premier ministre Augustin Matata Ponyo Mapon au lendemain de l’adresse du Raïs au Palais du peuple. Encore que, comme pour confirmer que son Gouvernement expédiait les affaires courantes, le Premier ministre avait adressé une note circulaire à tous les ministres ainsi que cela se fait généralement dans ce genre de situation.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Et lorsque la session extraordinaire du Parlement, allant du 04 janvier au 04 février 2014, fut convoquée pour statuer sur le projet de loi des finances, tout indiquait que le Gouvernement ne serait pas connu avant que députés et sénateurs n’en finissent avec deux matières qui constituaient l’ordre du jour de cette session : loi des finances et loi d’amnistie. La première loi ayant été promulguée un peu plus tôt, il ne restait que la stratégique loi d’amnistie pour faits insurrectionnels, faits de guerre et infractions politiques. C’est finalement hier soir que le président de la République s’est débarrassé de cette loi qui semblait constituer le dernier verrou. </div>
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<br /></div>
<div>
Désormais, plus rien ne s’oppose à la nomination ou à la reconduction du Premier ministre ou encore de l’ensemble du Gouvernement. Car, en principe, c’est le Premier ministre qui devrait d’abord être connu avant que ne s’ouvrent les éternelles consultations pour que soient connus les membres du Gouvernement. A moins que les tractations aient déjà lieu en coulisses pour que le président de la République nomme directement l’ensemble de l’équipe. Car, lorsqu’on passe d’un Exécutif découlant des résultats des élections à une structure ouverte à l’Opposition et à la Société civile où tous sont candidats, il n’est pas facile de monter un Gouvernement mettant tout le monde d’accord.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Ce qui semble être connu d’avance, c’est qu’il ne s’agira nullement d’un Gouvernement d’union nationale où la Primature revient à l’Opposition et une bonne partie des postes. Mais, plutôt d’un Gouvernement élargi aux autres composantes (Opposition politique et Société civile). Donc, le Premier ministre proviendra de la Majorité présidentielle, ce ne sont que quelques postes qui seront réservés à d’autres partenaires au nom de la cohésion nationale décidée par les Concertations nationales. C’est dire la marge de manœuvre de l’Opposition politique est très limitée en termes d’exigences pour se tailler la part du lion. Loin de là et toute tentative est vaine.</div>
<div>
C’est en prévision de cette réalité que certaines formations politiques qui exigeaient la tenue d’un dialogue politique sans tabou et non verrouillé à l’avance n’avaient pas pris part aux Concertations nationales. Celles qui y avaient participé s’attendaient à s’attribuer le beau rôle en comptant sur des promesses du départ. Aujourd’hui, certains partis commencent à emboucher la trompette de l’unité des opposants en mettant même le cap sur les enjeux de 2016 parce qu’apparemment, les choses ne se déroulent pas comme ils l’entendaient. Tout n’est donc que question de garanties pour passer aux premières loges. Sinon, on revient vite aux bons sentiments d’opposants. M. M.<br />
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LE DERNIER VERROU AYANT SAUTE HIER AVEC LA PROMULGATION DE LA LOI D’AMNISTIE LE GOUVERNEMENT DE COHÉSION NATIONALE DÉSORMAIS IMMINENT

la Nation LE DERNIER VERROU AYANT SAUTE HIER AVEC LA PROMULGATION DE LA LOI D’AMNISTIE LE GOUVERNEMENT DE COHÉSION NATIONALE DÉSORMAIS IMMINENT

Apparemment, l’attente ne sera plus aussi longue qu’elle l’a été jusque-là. Les Congolais peuvent désormais espérer connaître le Gouverneme...

Striptease à Kinshasa pour survivre et étudier…

February 11, 2014

<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Des témoignages désolants des jeunes filles interpellées par la Police nationale, diffusés par les médias le week end dernier et hier lundi 10 février 2014, ont révélé à l’opinion congolaise la face cachée d’un phénomène qui étend ses tentacules dans la capitale : le striptease. Egalement appelé effeuillage, il désigne une forme de spectacle érotique particulièrement apprécié dans les boîtes de nuit. Il consiste, pour une personne, à se débarrasser lentement et sensuellement de ses vêtements au fur et à mesure de la danse pour finir dévêtue, voire totalement nue. Pratique presque méconnue dans la capitale, il y a quelques années, le striptease a pris de l’ampleur dans plusieurs quartiers (huppés ou non) de la capitale, en commençant par Gombe, Bon Marché, Bandal, Kinshasa, Matonge, Ngiri-Ngiri, Mont-Ngafula, etc. </b></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQTKCwqtWH1wAre_6nYN1iOIukJ_O9_L4_hZqAqz0E2khRG8BXw9F2lf2l2eBlJhFve_t_DG3SpoVzn8oC7gUsW-5VVVyH5S-lP2BC77PajdUZ325cheHLhTSTRRmY6mv9Q2qmJ1WwnV4/s1600/instantan%C3%A9_008.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQTKCwqtWH1wAre_6nYN1iOIukJ_O9_L4_hZqAqz0E2khRG8BXw9F2lf2l2eBlJhFve_t_DG3SpoVzn8oC7gUsW-5VVVyH5S-lP2BC77PajdUZ325cheHLhTSTRRmY6mv9Q2qmJ1WwnV4/s1600/instantan%C3%A9_008.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQTKCwqtWH1wAre_6nYN1iOIukJ_O9_L4_hZqAqz0E2khRG8BXw9F2lf2l2eBlJhFve_t_DG3SpoVzn8oC7gUsW-5VVVyH5S-lP2BC77PajdUZ325cheHLhTSTRRmY6mv9Q2qmJ1WwnV4/s1600/instantan%C3%A9_008.jpg" width="400" /></a></b></div>
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Informée de la présence des filles mineures parmi ses pratiquantes surprises au night-club la Quita à Gombe, la ministre du Genre, de la Famille et de l’Enfant, Geneviève Inagosi, a fait une descente à l’Inspection provinciale de la Police nationale, afin d’exprimer son indignation et sa colère face à cette forme de « chosification de la femme en plein 21ème siècle ! »</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
A en croire les témoignages livrés par les stripteaseuses elles-mêmes, cette activité leur permet de survivre, de supporter leurs parents et de payer les frais académiques, certaines étant même étudiantes.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Au regard de ces propos, il importe maintenant à la société congolaise et surtout aux décideurs politiques de poser la vraie question afin d’arreter la progression de ce fléau. Pourquoi ce dénudement volontaire en public ? Toute proportion gardée, la réponse est essentiellement liée de la MISERE. Cette principale raison doit être combattue et éradiquée afin de stopper efficacement dans la société congolaise cette pratique, sous quelques prétextes que ce soit ! Même si Léopold Sédar Senghor aimait évoquer la femme noire nue, uniquement vêtue de sa «couleur qui est vie», le corps, faudrait-il insister et le rappeler, ne s’expose guère dans nos cités africaines. Naturistes, passez votre chemin! La nudité suscite toujours scandale sur le continent.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
A la misère, il faut ajouter le chômage, le libertinage, l’absence de la police des mœurs, le mutisme des activistes des droits de l’homme et leurs pairs des mouvements associatifs, le relâchement des mœurs, la montée des antivaleurs, etc.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
            Bien entendu, il serait faux de croire que les pratiques contraires aux bonnes mœurs sont choses nouvelles chez nous. Sinon, la police des mœurs n’aurait pas existé depuis l’époque coloniale dans notre pays.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
            En tout état de cause, combattre la misère est la meilleure thérapie pour freiner l’expansion de ce que la ministre Inagosi a nommé, avec raison d’ailleurs, « chosification de la femme ». Concrètement, la lutte contre la corruption et la paie régulière et correcte des parents et des employés, protégeront mieux nos mœurs, et videront tout prétexte à nos sœurs versées dans le commerce de leurs charmes pour vaincre les vicissitudes de la vie.</div>
<div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19.559999465942383px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Tshieke Bukasa</b></div>
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Au tour de Kinshasa Education Striptease à Kinshasa pour survivre et étudier…

Des témoignages désolants des jeunes filles interpellées par la Police nationale, diffusés par les médias le week end dernier et hier lundi...

Affaire Onusumba : la face cachée de la fille aux multiples identités dévoilée !

February 11, 2014

<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
</div>
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<b>Deux  ans après sa condamnation à 12 mois de prison ferme par la Cour Suprême de Justice pour violence sexuelle à l’endroit d’une demoiselle dénommée Owale Mireille, le député national Adolphe Onusumba a initié une procédure en révision du procès qui l’avait condamné, conformément à la loi.</b></h3>
<b><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1Z7ZiB1MyhYOBguBs5RaRAkBsebPb4fR6QnpIZmezWEWWJKBAW9mfKw4jJOBog9IhLuJk_q_iXVJu1XUNFH05-78zeDcf8am2c6fAYaKT8sov1rI9Nj-ihckeLheiSbDEh8TS0aWi9ZU/s1600/aaadolp.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="317" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1Z7ZiB1MyhYOBguBs5RaRAkBsebPb4fR6QnpIZmezWEWWJKBAW9mfKw4jJOBog9IhLuJk_q_iXVJu1XUNFH05-78zeDcf8am2c6fAYaKT8sov1rI9Nj-ihckeLheiSbDEh8TS0aWi9ZU/s1600/aaadolp.jpg" width="400" /></a></div>
Il a estimé qu’il y avait certains éléments nouveaux qu’il n’avait pas pu produire le jour de sa condamnation, notamment les textos amoureux que la victime continuait de lui envoyer, même durant son incarcération, les preuves de détention par la fille de plusieurs passeports, etc.</b><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Au cours de l’audience d’hier lundi 10 février 2014, les avocats de la victime, ainsi que la jeune fille ont demandé la comparution volontaire du député national  Onusumba. Avec arrogance, la jeune fille a même lancé à la partie adverse : « Ce n’est pas avec les avocats que j’ai couchés ! Je veux que lui-même vienne ici ! »</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
En guise de réponse, les avocats de l’ancien ministre de la Défense ont invité les juges à se méfier des déclarations d’une personne ayant plusieurs identités à ce jour. « D’ailleurs, elle ne reconnaît ni ses propres messages, ni son propre numéro de téléphone, etc. Alors qu’elle affirmait être du territoire de Lodja à deux reprises, aujourd’hui elle dit être de Katakokombe. Dans ses trois passeports (belge, sénégalais et congolais), on retrouve 3 identités différentes avec le même visage sur les photos. Qui êtes-vous exactement ? Owale Mireille ? Fanta ? » l’ont-ils questionné. Avant de renchérir sur la multiplicité  de différents âges inscrits dans les passeports de la fille : née à la fois en 1974, 1993 et 1995 !</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Pour répondre à cette requête de la victime et confronter les parties, la Cour a renvoyé l’affaire à la semaine prochaine, au lundi 17 février 2014.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
A propos de Mireille Owale, rappelons-le, cette fille présumée victime «d’abus de faiblesses» de la part d’Adolphe Onusumba a été incarcérée à Kinshasa après sa descente d’avion à l’aéroport de N’Djili à la veille du nouvel an 2013. Cette dernière revenait de Casablanca (ville du Maroc) où elle avait été  surprise avec trois passeports, dont l’un portant le nom de Fanta d’origine sénégalaise.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Ses avocats, ainsi que les membres de sa famille avaient, au cours d’une conférence de presse organisée le samedi 5 janvier 2013, fait une mise au point tendant à dissocier l’affaire d’une cabale politique. Me Armand Lokeka, avocat de la fille, s’étonnait du fait que le parti cher à Onusumba, l’Union des Congolais pour le Progrès, ait inscrit le refoulement de sa cliente comme ordre du jour d’une conférence de presse. « Un parti politique ne peut pas convoquer la presse pour parler d’un individu en lieu et place des questions touchant la gestion du pays». Promettant de saisir la justice dans les prochains jours, Me Armand Lokeka  regrette que ce parti politique tienne «des propos tendant à porter atteinte à l’image de ma cliente. Le secrétaire général de cette organisation politique est purement sorti du cadre de la mission reconnue à son organisation», a dit Me Armand Lokeka.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Pour rappel, à l’issue du procès, le 17 décembre 2012, l’arrêt de la Cour Suprême de Justice avait condamné le député national Adolphe Onusumba à 12 mois de prison ferme et à 100.000 dollars américains d’amende pour viol.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
La réaction est intevenue quelques jours après que le secrétaire général du parti d’Onusumba a demandé aux autorités compétentes de réviser l’arrêt de la Cour après le refoulement de Casablanca(Maroc) de la fameuse victime.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
Le Procureur général de la République avait requis 20 ans de prison et 100 000 francs congolais (108 dollars américains) d’amende contre le député national Adolphe Onusumba, au terme de son réquisitoire.</div>
<div align="right" style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, serif; font-size: 12px; line-height: 19px; margin-bottom: 20px; margin-top: 10px; padding: 0px; text-align: justify;">
<b>Tshieke Bukasa</b></div><script async src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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Deux ans après sa condamnation à 12 mois de prison ferme par la Cour Suprême de Justice pour violence sexuelle à l’endroit d’une demo...

La Police criminelle en crise d’effectifs !

February 11, 2014

<i><b>Les criminels qui jadis, craignaient toute intervention policière, parce qu’elle se terminait souvent par accrochages meurtriers, opèrent aujourd’hui à Kinshasa, de plus en plus en plein jour et chose étonnante, à visage découvert. L’insuffisance des effectifs et la carence des moyens de locomotion  de la police expliqueraient cet état de choses. Quand une agence de transfert des fonds est braquée, note un observateur, l’appel à la détresse lancé à temps, l’arrivée des policiers est toujours attendue deux ou plusieurs heures plus tard. Et cela au moment où les malfrats se sont déjà évanouis dans la nature. Pour la plupart des personnes agressées, rarement les policiers surprennent les bandits sur le lieu des faits. Ils ne viennent que pour constater les dégâts et entendre les victimes et les témoins des faits.</b></i><br />
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Les rares cas où la police a surpris les malfaiteurs en flagrant délit, c’est quand un membre de la bande a trahi son groupe.<br />
<br />
La police de proximité sur qui reposaient tous les espoirs, ne semble pas prompte à répondre aux attentes de la population. On lui reproche de s’occuper plus des querelles entre bailleurs et locataires, des conflits de ménage, des bagarres entre voisins  et de surveiller des parkings. D’ailleurs, pour éradiquer le phénomène Kuluna, on a du faire recours à une unité spéciale baptisée «  opération Likofi ».<br />
<br />
Avec la montée de l’insécurité à Kinshasa, et avec des sous-commissariats et postes de police des containers affichant des effectifs insuffisants, des commissariats ne disposant que d’une seule jeep utilisée par le commandant, la lutte contre le banditisme risque d’avoir encore de longs jours devant elle.  C’est pourquoi bon nombre d’observateurs préconisent un mécanisme d’intervention policière, capable de répondre avec rapidité aux appels de détresse des victimes d’agressions de malfaiteurs, et de donner la réplique qu’il faut aux bandits.<br />
<br />
S’il est vrai que la répartition de quatre communes dans un district a permis une répartition des zones opérationnelles d’intervention. L’intervention  arrive toujours en retard, à cause des difficultés des effectifs de policiers à rassembler des jeeps disponibles et en bon état.<br />
<br />
Ainsi une jeep qui quitte à 10 H, l’état-major du district du Mont Amba à Matete pour intervenir à Matadi Kibala, ne pourrait parvenir sur le lieu que deux ou trois heures plus tard. Il faut multiplier les capacités d’intervention par trois, quatre et plus, en multipliant les postes de police d’intervention destinés à ce genre de missions.<br />
<br />
Le Bataillon PIC dégraissé de ses effectifs : un problème sérieux<br />
<br />
La grande unité de la police provinciale spécialisée dans la traque des malfaiteurs et qui a fait ses preuves, est le Bataillon de la police d’investigations criminelles du camp Lufungula. Grâce à ses limiers, la police a pu appréhender des cambrioleurs des coffres-forts de quelques sociétés de la place. Rappelons que cette unité avait mis la main sur les voleurs des coffres-forts du ministère des TP et AT, d’une Cellule du ministère des Finances, du Cabinet des Finances, du Conseil de l’Ordre des médecins sur avenue de l’Enseignement à Kasa-Vubu, les braqueurs de l’Université catholique du Congo, des agences de transfert des fonds de Solidaire, de Soficom, des Amis fidèles de Kintambo, Western Union de l’avenue Huileries et STC.<br />
<br />
Ce n’est pas tout. Des jeeps Prado des coopérants chinois, des Toyota Rav 4 et des Mercedes Benz 190 de particuliers, volées par des malfaiteurs, ont pu être retrouvées et restituées à leurs propriétaires. Si ces derniers ont félicité la police, c’est parce qu’ils ne s’imaginaient pas que ces engins allaient  être récupérés dans une ville où le commerce de pièces de rechange démontées sur des véhicules volés, est en plein essor. Si les clients affluent, les fournisseurs sont à l’affût. Ce négoce alimente un grand réseau de voleurs de véhicules, des commissionnaires et de revendeurs des pièces détachées d’origine délictueuse.<br />
<br />
Aujourd’hui, les voleurs des motos sont mis hors d’état de nuire, même si quelques malfaiteurs ont échappé à la traque des policiers.<br />
<br />
Mais voilà qu’au moment où il y a recrudescence de la criminalité à Kinshasa, nous apprenons que le commissaire divisionnaire adjoint Kanyama a décidé de réduire les effectifs du Bataillon de la police d’investigations criminelles. Il l’a fait au cours d’une parade qu’il a présidée hier lundi 10 février 2014, au camp Lufungula. La mesure surprend quand on sait que cette unité a besoin d’effectifs de techniciens pour mieux lutter contre le banditisme urbain. Outre les OPJ chargés d’interroger les suspects et autres prévenus, il faut des enquêteurs qui doivent descendre sur le terrain pour traquer les malfaiteurs, rechercher les pièces à conviction et tenter de reconstituer les crimes perpétrés. On se rappellera que quand l’insécurité était localisée dans une partie de la ville, le Bataillon de la police d’investigations criminelles concentrait ses effectifs dans ce secteur jusqu’au jour où les bandits étaient appréhendés dans leurs fiefs.<br />
<br />
A la Prison centrale de Makala, on laisse entendre que la nouvelle de la réduction des effectifs de la Police criminelle a été accueillie avec beaucoup de soulagement par des  voleurs à main armée en détention préventive ou des condamnés pour braquages. Et cela n’est pas de nature à renforcer la lutte contre la criminalité, mais plutôt à redonner des ailes à la pègre qui n’attendait que ça.<br />
<br />
Connaissant les faiblesses de notre police dépourvue d’effectifs adéquats  et des moyens logistiques appropriés, les malfaiteurs vont profiter de cette occasion pour reconstituer des bandes et se déployer dans toute la ville de Kinshasa. Les prochains jours risquent donc d’être sombres sur le plan de la sécurité de personnes et de leurs biens. Il y a lieu qu’on revoie cette mesure en débarrassant cette unité des éléments ripoux, mais qu’on la renforce avec des spécialistes de la criminalité qui ont déjà fait leurs preuves.<br />
<br />
J.R.T.</div>
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Au tour de Kinshasa la Nation La Police criminelle en crise d’effectifs !

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Révision constitutionnelle : Batumona dit NON à Malumalu !

February 11, 2014

Les activités actuelles de la CENI donnent la nette impression qu’on veut favoriser un pouvoir oligarchique au mépris de l’opinion majoritaire’’, a déclaré Laurent Batumona, Autorité Morale du MSC, le samedi dernier, devant plus de 700 cadres et militants du parti, réunis à l’occasion de la traditionnelle cérémonie d’échange de vœux. Témoins de l’événement, JP Lisanga Bonganga et José Makila. Pour Batumona Laurent, le président de la CENI, bien que contesté par l’Opposition politique et une grande frange de notre peuple, s’entête à provoquer des situations qui détruisent,  à coup sûr, la cohésion nationale
<br />
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. C’est pourquoi, le MSC rejette toutes tentatives de révision de la constitution tendant à introduire le suffrage universel indirect des Députés provinciaux. Par ailleurs, le MSC informe l’opinion nationale et internationale que l’année 2014 devait commencer par des efforts pour l’application des recommandations des concertations nationales. Ainsi,   soutient-il   qu’avec la fin de la guerre contre le M23 et la poursuite de la pacification de l’Est à la faveur de la cohésion nationale retrouvée, la RDC s’investira toujours dans la recherche des pistes pour l’amélioration du vécu quotidien des  congolais.<br />
<br />
Plus de 700 personnes ont pris d’assaut, le samedi 8 février 2014, l’hôtel Gracius de la Commune de Kalamu,  pour assister à la cérémonie d’échange de vœux organisée par le Président du Mouvement de Solidarité pour le Changement, l’Honorable Laurent Batumona. Avec eux, plusieurs personnalités politiques des institutions comme de l’opposition qui ont, également,  rehaussé de leur présence cette manifestation. On a noté la présence, entre autres, de Jean-Pierre Lisanga Bonganga, Coordonnateur de l’Opposition politique congolaise et l’Honorable José Makila, autorité morale de l’ATD.<br />
<br />
Laurent Batumona a saisi cette opportunité pour lancer un message d’encouragement et de remerciement aux vaillants combattants des Fardc pour avoir bouté hors de frontières nationales,  le M23.<br />
<br />
Récapitulant les activités du Parti en 2013, avec la modération de M. Ngana, ci-devant Secrétaire Général du Parti, Laurent Batumona a évoqué la participation du MSC au Conclave politique de l’Opposition, sous la présidence de M. Léon Kengo wa Dondo, à l’issue duquel les Concertations nationales ont été convoquées. Le MSC, a-t-il précisé, avait aligné trois délégués, à savoir : les Honorables Laurent Batumona, Matadi Nenga et le SG Prof. Lemba.<br />
<br />
Son Parti, a-t-il révélé, est affilié à NDI à travers son interfédéral représenté par Belbine et Rose Mianda.<br />
<br />
Face à la CENI<br />
<br />
Le MSC, à en croire son leader, est solidaire avec la prise de position de son Coordonnateur, JP Lisanga Bonganga en rapport avec la CENI.<br />
<br />
L’Autorité morale du MSC a tenu à souligner que sa formation politique, au sein de l’opposition, est plus proche, mieux alignée aux opinions exprimées par Léon Kengo wa Dondo ; José Makila, le président de son  Groupe parlementaire ainsi que Lisanga Bonganga, Coordonateur de l’opposition, qui, tous, ont été témoins des capacités de mobilisation du MSC.<br />
<br />
Elections<br />
<br />
L’année 2014 est considérée au MSC comme une année pour préparer les élections, avec l’objectif de  quadriller la ville de Kinshasa. D’où, la subdivision de la ville-province en 30 fédérations et plus de 150 sections.<br />
<br />
A quand l’application des recommandations des concertations nationales ?<br />
<br />
C’était, également, l’occasion pour ‘‘Diatabawu’’ de réclamer l’application des résolutions des Concertations Nationales. Depuis, le 23 octobre 2013, le Président de la République avait tenu un discours fortement applaudi. Mais, aujourd’hui, plus de trois mois après, qu’en est-il exactement ? S’est-il interrogé, sur un ton laissant transparaitre l’inquiétude.<br />
<br />
Le Gouvernement interpellé !<br />
<br />
Abordant quelques actions en dépit de la situation économique de 2013 telle qu’affichée par le Gouvernement, le Président du MSC a estimé qu’elle n’a pas résolu les problèmes sociaux. C’est ainsi qu’il a recommandé au gouvernement de stopper le détournement des deniers publics.<br />
<br />
La sempiternelle problématique de manque d’eau et de délestage n’a pas été oubliée.<br />
<br />
Concernant le transport, l’Honorable Batumona encourage l’exécutif national à  procéder à l’augmentation du nombre de bus Transco afin d’écarter progressivement les fameux 207. Il a plaidé, en outre, pour le balisage des routes de la ville de Kinshasa par des signaux lumineux. Il a fustigé, enfin,  la hausse des prix des denrées alimentaires à cause des taxes provinciales au  Kasaï Oriental et dans le Bandundu.<br />
<br />
La Pros. <br />
<br />
<br />
<br />
DECLARATION POLITIQUE A L’OCCASION DE L’ECHANGE DE VŒUX<br />
Motivation de la déclaration<br />
<br />
Cette déclaration politique porte sur la fin de la guerre contre le M23 et sur les activités de la CENI.<br />
<br />
Lors des précédentes déclarations politiques, le MSC avait recommandé la tenue du dialogue politique en guise des solutions à la crise politique engendrée par la contestation des résultats du scrutin de 2011. Il fallait organiser un dialogue national. Ce dernier serait dirigé par le président de l’Assemblée nationale et celui du Sénat.<br />
<br />
Dans toutes nos déclarations, le MSC avait insisté sur la nécessité de restaurer la cohésion nationale. La tenue des concertations nationales auxquelles le MSC avait participé activement avait abouti à plusieurs recommandations qui tardent à être mises en application.<br />
<br />
Aujourd’hui, devant le décor planté  par la CENI pour favoriser des fraudes lors des prochaines élections, quoi de plus normal que le MSC rende publique sa position pour éviter que le pays ne s’enfonce dans un nouveau cycle de violence. Cette vocation de prévenir des troubles sociaux est conforme à sa devise qui est : «solidarité, travail et changement».<br />
<br />
II. Sur la fin de la guerre contre le M23<br />
<br />
Le MSC félicite le Président de la République, les FARDC, la brigade d’intervention, les pays africains qui ont donné des contingents, l’ONU par l’intermédiaire de la Monusco et tous les peuples congolais pour la victoire de la République Démocratique du Congo contre le M23. Les engagements souscrits par la République Démocratique du Congo à Addis-Abeba et repris dans la déclaration de Nairobi démontrent que notre pays doit entamer un processus courageux de sa reconstruction. Les cadres et les militants du MSC sont plus que déterminés à y contribuer.<br />
<br />
En effet, la victoire sur le M23 est la victoire du peuple congolais par son refus de la balkanisation. Notre Parti tient à souligner l’importance de la conscience de préserver son unité. Nous constatons avec joie que le refus de la partition de notre pays est toujours aigu chez tous nos citoyens. C’est pourquoi, nous félicitons la montée de cette conscience nationaliste surtout chez les jeunes.<br />
<br />
En ce qui concerne les activités des autres groupes armés à l’Est, le MSC exige la mise en place rapide du gouvernement de cohésion nationale pour s’atteler à la tâche de la pacification de tout le territoire national et à celle de l’instauration de l’autorité de l’Etat sur l’ensemble de notre territoire national. Ces deux conditions sont susceptibles de donner au peuple de services sociaux de base auxquels il a droit.   Pour éviter ces lacunes, la République démocratique du Congo doit engager des réformes de ses services de sécurités pour la promotion des objectifs de la réconciliation nationale, de la tolérance et de la démocratisation en passant par la construction des infrastructures, la fourniture de services sociaux de base et la promotion du social qui font gravement défaut aujourd’hui.<br />
<br />
III. DES ACTIVITES DE LA CENI<br />
<br />
Les concertations nationales avaient formulé des recommandations pour que les prochaines élections n’engendrent pas des sentiments d’exclusion et permettent une expression libre et transparente des aspirations de notre peuple.<br />
<br />
Les activités actuelles de la CENI donnent la nette impression qu’on veut favoriser un pouvoir oligarchique au mépris de l’opinion majoritaire.<br />
<br />
Le président de la CENI bien que contesté par l’Opposition politique et grande frange de notre peuple s’entête à provoquer des situations qui détruisent à coup sûr la cohésion nationale. C’est pourquoi, notre parti rejette toutes tentatives de révision de la constitution tendant à introduire le suffrage universel indirect des députés provinciaux.<br />
<br />
IV. CONCLUSION<br />
<br />
Le MSC informe l’opinion nationale et internationale que l’année 2014 devait commencer par des efforts pour l’application des recommandations des concertations nationales. Avec la fin de la guerre contre le M23 et la poursuite de la pacification de l’Est à la faveur de la cohésion nationale retrouvée, notre pays parti s’investira toujours dans la recherche des pistes pour l’amélioration du vécu quotidien de congolais.<br />
<br />
Que vive la République Démocratique du Congo, que vive le MSC, je vous remercie.<br />
<br />
Fait à Kinshasa, le 08 février 2014<br />
<br />
Pour le MSC<br />
<br />
Le Président National<br />
<br />
Hon. Laurent BATUMONA<br />
<br />
Le Vice-Président national<br />
<br />
Hon. MATADI NENGA GAMANDA <br />
<br />
Le secrétaire général<br />
<br />
Prof. LEMBA Robert   <span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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