BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Expulsions massives et inhumaines des ressortissants de la RDC par ses voisins

July 22, 2014

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La RDC, superficie 2.345.000 km 2, ±70.000.000 d’habitants; ressources naturelles incalculables, prise en tenaille par l’ANGOLA, superficie: 1.246. 700km 2, ±20.000.000 d’habitants: ressources principales: le diamant et le pétrole; et la République du Congo, superficie 342.000 Km2, ± 4.000.000 d’habitants, ressource principale : le pétrole.

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Le premier pays cité, un véritable réservoir des matières premières avec une main-d’œuvre potentielle abondante mais non utilisée. Revenu par tête d’habitant plus bas que celui de ses deux voisins. Conséquence : exode massif des héritiers du 30 juin 1960, qui ne trouvent pas leur compte dans la distribution du revenu national, aussi minime soit-il et qui s’en vont, à leur corps défendant, à la recherche du minimum vital qui leur est refusé chez eux!!!<br />
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Se trouvant en grand nombre en dehors des frontières nationales, s’offrant à tous les aléas d’une aventure malencontreuse, ils se prêtent à toutes sortes des prestations rétribuées.<br />
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Tenez : le correspondant Brazzavillois de R.F.I., de Pointe Noire, dit, au bulletin d’information du 19/7/2014 à 7H30’, que la plupart des ex-Zaïrois ( il ne leur reconnaît même pas la nationalité congolaise, le seul Congo étant le sien)qui exercent le métier de manutentionnaires et autres vendeurs au marché à ciel ouvert, ont demandé aux autorités de Brazzaville de leur accorder un délai de 3 mois afin de leur permettre de se préparer à quitter l’eldorado dans la dignité.<br />
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Il y a eu, dans le passé, plusieurs vagues d’expulsions des  « ex-zaïrois » !!! Chaque campagne a connu ses victimes; des femmes qui accouchent en pleine brousse, sans aide, avec tous les risques que cela comporte. La confiscation des biens des expulsés a fait le bonheur des saints de la rive droite du fleuve Congo.<br />
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Avant la pédagogie du Congo-Brazzaville, le ton avait été donné par le «pays frère et mai de  l’Angola. Une véritable tragédie nationale accueillie comme un fait divers par le pays d’origine des infortunés.<br />
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Certes, les arguments avancés par le pays « frère et ami» pour justifier ces expulsions, peuvent être valables ,dans la mesure où la conduite de nos compatriotes dans des pays d’accueil, selon ce qui nous revient de source crédible, n’est pas souvent défendable. Mais, qu’à cela ne tienne, lorsqu’il s’agit d’un pays frère et ami. Ce n’est pas de bonne guerre d’adopter des méthodes qui frisent l’humiliation à l’endroit de son frère, à travers le traitement inhumain infligé à son enfant, quand bien même celui-ci serait pris en flagrant délit.<br />
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S’agissant du père de l’enfant, il ne suffit pas, sauf inconscience, de se tirer à quatre épingles et rouler en limousine pour être grand, respectable et crédible.<br />
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On ne peut pas être grand, respectable et crédible en ne faisant rien ou en ne faisant que des petites choses. Les signes matériels de grandeur, du reste, c’est du vent, sont à la portée de qui veut et ne font pas du grand mais plutôt de l’ordinaire.<br />
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Lorsqu’on dit d’un enfant qu’il est mal élevé, il ne faut pas être philosophe pour comprendre à qui le message est adressé.<br />
<br />
« Le linge sale se lave en famille ». Un père qui condamne l’acte de son enfant en public avoue ipso facto l’échec de sa gestion de la famille. Il ne peut par conséquent pas compter parmi les grands et responsables pères de famille.<br />
<br />
On a beau parler de la modernité; celle-ci a besoin de l’avis des autres, en dehors de nos frontières, pour acquérir leur approbation. Sinon, c’est de l’autosatisfaction.<br />
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C’est l’amitié entre• les hommes qui fait la bonne société, sur une petite échelle. Et, sur la grande échelle, ce sont les Etats.<br />
<br />
L’amitié ne se réalise-t-elle pas au point de rencontre de l’expression des sentiments des deux protagonistes? Suffit-il de désigner quelqu’un comme ami pour qu’il le soit sans une manifestation similaire de l’autre partie? Sinon, il y a un naïf quelque part.<br />
<br />
Ne voyons-nous pas la France entière se mobiliser pour obtenir la libération d’un ressortissant, aventurier, soit-il, pris en otage dans un pays étranger, en passant au dernier plan toute autre considération?<br />
<br />
II est étonnant de constater que dans toute cette affaire, les honorables représentants du Peuple, à travers le gouvernement de la République, ne se sont pas levés pour condamner avec la dernière énergie, ces actes de mépris commis par ceux qu’ils appellent «frères et amis».<br />
<br />
En ce qui concerne plus particulièrement les relations entre les deux rives du fleuve Congo, il sied de rappeler que beaucoup d’événements que l’on croyait avoir abouti à l’avènement du respect mutuel, développaient le germe de ce que l’on vit aujourd’hui.<br />
<br />
Avant l’indépendance de la RDC, ce sont les entreprises établies à Léopoldville qui employaient des éléments originaires du Congo -Brazzaville. Les navettes fonctionnaient à plein régime pour emmener, un beau matin, les Brazzavillois à Léopoldville et les ramener le soir. La cause: Léopoldville offrait plus d’opportunités d’emplois que l’autre côté.<br />
<br />
Aujourd’hui Kinshasa, capitale de la RDC, elle-même considérée comme ventre mou de l’Afrique Centrale, en déclin, personne ne craint plus rien pour lui cracher à la figure.<br />
<br />
Est-ce que l’éléphant est rendu impuissant par un grain de sable dans son œil?<br />
<br />
Un mauvais absolu n’existe pas.<br />
<br />
Nous nous permettons d’appliquer cet’ adage à MOBUTU SESE SEKO; n’en déplaise aux extrémistes.<br />
<br />
En effet, dans les années 70, alors que le commerce était prospère entre les deux rives avec une balance favorable au Congo-Kinshasa, nous avions eu vent de la rumeur selon laquelle les Mamans congolaises qui traversaient pour raisons commerciales étaient appelées de l’autre côté». Assistance Technique»: comprenez prostituées. Ayant appris cela, le courroux de Mobutu n’avait pas tardé à se manifester. Les «cartes blanches» lues avec grandiloquence par MAVUNGU MALANDA MAMONGO ont fait taire les Editoriaux répliques frêles de la Radio Brazzaville, et la traversée à Brazzaville fut interdite aux kinoises. Ceci avait fait dire à l’éditorialiste-choc de la RTNC, que la guerre était finie, faute de combattant qui n’avait plus des cartouches.<br />
<br />
Bien que battue par le Congo Kinshasa lors du championnat d’Afrique des Nations organisé au Cameroun en 1972, l’équipe du Congo-Brazzaville l’emporta en finale, contre le Mali. A son retour à Brazzaville, la radio locale enflammait les foules avec le slogan issu d’un certain complexe: « Libataamelinguma », « le Canard a avalé le Boa ». Quel rapport y avait-il?<br />
<br />
En 1983, l’Equipe Nationale Zaïroise, les Léopards, va gagner à Brazzaville. Les Kinois qui avaient traversé avaient été passés à tabac, avec mort d’homme. Il s’en est suivi des représailles.<br />
<br />
Il a existé beaucoup de soubresauts dans les relations entre les deux Congos.<br />
<br />
Parce qu’il faut chercher des boucs émissaires ailleurs, les deux Gouvernements sont sommés par leurs peuples respectifs de trouver un modus vivendi durable étant donné que la politique actuelle et leurs tenants passeront, mais les deux peuples leur survivront.<br />
<br />
Lorsque dans la maison familiale il n’y a pas des chaises, les enfants vont, malgré eux, s’asseoir chez les voisins.<br />
<br />
Le Gouvernement congolais de Kinshasa se doit de créer des conditions du maintien à domicile de ses ressortissants car, il faut qu’on le sache, c’est lui le perdant au plus haut degré dans cette opération.<br />
<br />
Un père dont les enfants errent dans la Cité, c’est que son incapacité à faire de sa maison un lieu attrayant pour eux est indiscutable.<br />
<br />
Dans les relations entre les deux Congos, nous rappelons les convictions mortelles exprimées par l’artiste-musicien du Congo-Brazzaville, Franklin BUKAKA, assassiné en 1974, qui chantait l’unité du Grand Congo + le petit Congo = 1 Congo de Lumumba.<br />
<br />
Le célèbre compositeur-musicien de chez nous, Joseph KABASELE, alias KALE JEF, avait aussi chanté: Ebaleya Congo ezalilopango te ezali se nzela: « Le fleuve Congo n’est pas une clôture mais un boulevard »<br />
<br />
Que vive la fraternité entre les deux peuples congolais.<br />
<br />
Que vive l’Union Africaine.<br />
<br />
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<br />
Kinshasa, le 20 Juillet 2014<br />
<br />
Honoré KABENGELE MUZEMBA

Le direct

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La RDC, superficie 2.345.000 km 2, ±70.000.000 d’habitants; ressources naturelles incalculables, prise en tenaille par l’ANGOLA, super...

Processus électoral 2014-2016 : CENI : le problème n’est pas financier

July 22, 2014

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Selon les explications fournies à la représentation nationale, le vote des députés provinciaux au « suffrage universel direct » était plus coûteux que le « suffrage indirect ».

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 Ensuite, l’option du « suffrage universel direct » pour les élections législatives provinciales allait avoir, comme autre conséquence, le renvoi des élections législatives nationales et présidentielle au-delà de l’année 2016, considérée pourtant par le législateur comme délai butoir.</div>
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Compte tenu des budgets nationaux encore modestes, oscillant autour de huit milliards de dollars américains l’an, l’argumentaire développé par la CENI paraissait pertinente. Le bon sens commandait que le pays ne compromette pas ses chances de développement à travers des élections financièrement suicidaires pour le Trésor public.<br />
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Mais, à la lumière du débat qui bat actuellement son plein autour de la révision constitutionnelle, il appert au fil des jours que le problème de la CENI n’est pas financier. Et pour cause ? Dans le camp de la Majorité Présidentielle, l’idée de l’organisation d’un référendum populaire en vue de la révision de la Constitution, même dans ses articles dits « verrouillés », fait sérieusement du chemin. Tout le monde sait désormais qu’après les alertes données à cet effet par du menu fretin, deux « poids lourds » de la famille politique du Chef de l’Etat, à savoir Aubin Minaku, président de l’Assemblée Nationale, et Richard Muyej, ministre de l’Intérieur, ont clamé à haute voix que le sort de la Constitution du 18 février 2006 dépendait en définitive de la volonté du souverain primaire congolais. Autrement dit, si le peuple congolais le veut, cette loi fondamentale peut être revue de fond en comble, selon les réalités du moment.<br />
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Un référendum aussi coûteux qu’une élection présidentielle<br />
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Après les dernières sorties médiatiques de Minaku et Muyej, le débat sur la révision constitutionnelle a considérablement évolué. Mais les observateurs notent qu’un référendum populaire coûte autant qu’une élection présidentielle. Les deux scrutins couvrant l’ensemble du territoire national, leur organisation suppose la mobilisation d’un budget identique pour les opérations préélectorales et électorales : achat et transport des kits électoraux, campagne de sensibilisation de l’électorat, identification et enrôlement des électeurs, aménagement des bureaux de vote et de dépouillement, frais de fabrication des urnes et d’impression des bureaux de vote, primes des agents électoraux, etc.<br />
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Bref, il y a autant de millions de dollars à engloutir dans un référendum que dans une élection présidentielle. S’il est établi que le Trésor public congolais est en mesure de faire face à la facture d’organisation d’une consultation populaire dénommée référendum, en vue de la révision de la Constitution, il devrait logiquement être capable de supporter le poids financier d’une élection présidentielle. Il est bon de souligner que dans l’un et l’autre cas, la CENI est appelée à appliquer, de manière automatique, le « suffrage universel direct ». Par conséquent, l’obstacle financier lié au choix de ce mode de scrutin n’existe pas.<br />
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Non aux paraboles !<br />
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A partir des propos entendus d’Aubin Minaku et de Richard Muyej, la leçon à tirer du débat autour de la révision constitutionnelle est que l’heure a sonné pour dire la vérité aux Congolais. Ceux-ci devraient clairement savoir que la Constitution du 18 juin 2006 ne compte plus d’articles «verrouillés», car un référendum populaire peut faire sauter, à tout moment, le présumé «verrou». L’époque où Jésus s’exprimait en paraboles est largement révolu.<br />
<br />
Mais si l’option à lever en définitive est d’amender la Constitution, il est à souhaiter que les «pro» et «anti» révision puissent disposer de mêmes armes pour des campagnes d’explication, auprès des masses populaires, de leur adhésion à la démarche ou de leur refus. L’ouverture équitable de l’espace politique à tous les courants d’opinions, à travers des meetings, matinées politiques, séminaires d’information, débats radios télévisés et autres articles de presse, serait le meilleur gage de la liberté laissée à chaque Congolais de se prononcer en connaissance de cause.<br />
<br />
Il ne serait pas normal, comme on l’a déjà vécu dans le passé lors de l’élection présidentielle de 2011, de la « Caravane de la paix » ou de la pétition contre l’Abbé Malumalu, que des leaders politiques ou d’opinions soient bloqués à Kinshasa ou dans des chefs-lieux de provinces, incapables de porter aux compatriotes du Congo profond les messages de leur opposition à toute révision des articles «intangibles » de la Constitution. Si les gouverneurs de provinces, les maires des villes, les bourgmestres des communes, les administrateurs des territoires, les chefs des secteurs, les services spéciaux se mettent à « tirer sur tout ce qui bouge » contre la révision, l’on pourrait s’interroger sur le contenu réel de la démocratie en République Démocratique du Congo.<br />
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Kimp</div>
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Comédie politique : Mobutu Light surprend les Belges à leur fête nationale le 21 Juillet 2014 ( vidéo)

July 22, 2014

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Ferre Gola et Celeo Scram Live à Moanda 2014 Suivez !

July 21, 2014

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Afrique du Sud: 20 Congolais jugés à Pretoria

July 21, 2014

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En Afrique du Sud, le procès de 20 Congolais présentés comme des rebelles s’ouvre ce lundi 21 juillet à Pretoria. Ces hommes seraient tous membre de l’UNR, l’Union des nationalistes pour le renouveau. </h3>
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Arrêtés l’an dernier après une longue opération d’infiltration de la police sud-africaine, ces hommes sont accusés d’avoir préparé un coup d’Etat contre Kinshasa. La justice sud-africaine dit détenir de nombreuses preuves de leur projet pour renverser Joseph Kabila. Leurs proches parlent eux d’une machination montée de toutes pièces par la police sud-africaine et Kinshasa.</div>
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Les 20 rebelles congolais présumés comparaissent lundi devant la Haute cour de justice de Pretoria, 17 mois après leur arrestation. Selon l’accusation, une liste de personnes à abattre a été retrouvée dans l’ordinateur de l’un des accusés. Le nom de Joseph Kabila y figure, ainsi que ceux d’autres dirigeants congolais. </div>
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L’arrestation de ces « complotistes » présumés a été rendue possible grâce à l’infiltration d’une taupe de la police sud-africaine. Pendant six mois, les rencontres du groupe ont été filmées et de nombreux mails échangés. Le policier infiltré se serait même fait remettre une liste de matériel et d’armes que les rebelles présumés cherchaient à obtenir. <br />
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Un complice présumé toujours recherché <br />
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Au terme de cette enquête, 19 Congolais ont été interpellés en février 2013.  <br />
Etienne Kabila, présenté comme l’un des chefs de l’opération est à son tour arrêté quelques jours plus tard alors qu’un 21e complice présumé est toujours recherché. Le procès devrait durer près de six semaines. Les 20 accusés risquent de lourdes peines de prison et l’extradition. <br />
<br />
Source : Rfi.fr <br />
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la Nation les Combattants et l'Echos de la Diaspora Afrique du Sud: 20 Congolais jugés à Pretoria

En Afrique du Sud, le procès de 20 Congolais présentés comme des rebelles s’ouvre ce lundi 21 juillet à Pretoria. Ces hommes seraient tous...

Kin live 18 juillet 2014: Un militaire arrêté pour meurtre, assassinat et extorsion ( vidéo)

July 21, 2014

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Au tour de Kinshasa Justice Kin live 18 juillet 2014: Un militaire arrêté pour meurtre, assassinat et extorsion ( vidéo)

Kin live 18 juillet 2014: Un militaire arrêté pour meurtre, assassinat et extorsion ( vidéo)

COMMUNIQUE OFFICIEL N°011/2014 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE (Commissariat Général de la diaspora congolaise – CoGéDia-RDC)

July 21, 2014

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Objet : La realpolitik doit être au centre des préoccupations de membres de la diaspora politique congolaise pour combattre la tyrannie du régime de Kinshasa, du soi-disant Joseph Kabila.

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 La Diaspora congolaise d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe et d’Océanie à travers le Commissariat Général de la diaspora congolaise (CoGéDia-RDC) se réunit en session extraordinaire en date du 20 juillet 2014 en vidéoconférence afin de lancer un vibrant appel à l’unisson pour les femmes et hommes politiques de la diaspora en vue de vaincre la tyrannie de Kinshasa. Le CoGéDia-RDC rappelle à tous ; que l’heure est grave ! La lutte pour instaurer la démocratie et un état de droits en République démocratique du Congo est en péril au niveau de la diaspora suite à une certaine catégorie de membres de ladite diaspora qui s’improvisent politiciennes et politiciens par l’absence des concerts des artistes congolais à l’occident. La tyrannie de Kinshasa est entrée dans une phase de suicide politique. Elle est déterminée à opérer un coup d’état politique constitutionnel en passant outre les avertissements de leurs parrains d’hier (USA). Le CoGéDia-RDC constate avec un grand regret, la distraction qui s’installe au niveau des opportunistes de la diaspora congolaise, soi-disant politiciens. Arrêtez avec vos polémiques stériles et du mauvais goût : Apareco – Udps, Vital Kamerhe = Rwandais, Félix Tshisekedi = traitre ou collabo, etc. La distraction n’est plus permise pendant cette période. La diaspora congolaise, la vraie opposition politique (UDPS d’Etienne Tshisekedi, Unc de Vital Kamerhe, ECiDé de Martin Fayulu et CDER de Jean-Lucien BUSSA) et la société civile de la cause juste doivent instaurer une union sacrée afin de faire échec au plan machiavélique de la tyrannie de Kinshasa. Une alliance politique est maintenant obligatoire pour travailler en synergie. Le sens de la culture politique et la realpolitik doivent nous pousser à matérialiser à toute urgence cette union sacrée. Le CoGéDia-RDC demande comme d’autres forces politiques, le retrait des membres mandataires de l’opposition politique à la Commission électorale nationale indépendant. Pour les opportunistes de la diaspora, ne jamais confondre : - Silence et ignorance ; - Calme et acceptation ; - Gentillesse et faiblesse ; - Injure et message.<br />
<br />
Qui vivra, verra.<br />
<br />
Fait à Paris, le 20/07/2014<br />
<a href="https://www.facebook.com/guillaume.purbuarnzimnziam" target="_blank">Guillaume PURBUAR NZIM-NZIAM Porte-parole</a>

Le direct

COMMUNIQUE OFFICIEL N°011/2014 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE (Commissariat Général de la diaspora congolaise – CoGéDia-RDC)

la Nation les Combattants et l'Echos de la Diaspora Politique COMMUNIQUE OFFICIEL N°011/2014 DE LA DIASPORA CONGOLAISE D’AFRIQUE, D’AMERIQUE, D’ASIE, D’EUROPE ET D’OCEANIE (Commissariat Général de la diaspora congolaise – CoGéDia-RDC)

Objet : La realpolitik doit être au centre des préoccupations de membres de la diaspora politique congolaise pour combattre la tyrannie du ...

REVISION CONSTITUTIONNELLE * CE PARTI SE PLE COURANT DES DÉMOCRATES RÉNOVATEURS DE JEAN-LUCIEN BUSSA DIT NON PROPOSE DE PRÉSENTER SON...

July 21, 2014

<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<i><strong> Ce parti se propose de présenter son candidat à la présidentielle de 2016</strong></i></div>
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong>Parce que la révision constitutionnelle est une véritable menace qui pèse sur la RD Congo, le Courant des démocrates rénovateurs (CDER) s’inscrit en faux contre toute initiative allant dans le sens de modifier le mandat du Président de la République. C’est ce qui ressort de l’adresse du député Jean-Lucien Bussa, président national du CDER du samedi 19 juillet 2014 à l’occasion de la sortie officielle de son parti politique.</strong></div>
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong><br /></strong></div>
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong><br /></strong></div>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgPM3_U5B8bGUdwjjvcqqX7rdXYpA3y5p6FjmlRUjk4A3v5oR5bBMA6RZjMZrDlEuZ6sZJU212w3cXBAAjg3kXZl4hah9X5C3k2jlllqkMtzDc7y-w6Le5KBereZxloMU-EJuSqh8tHWY/s1600/arton1603.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="343" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgPM3_U5B8bGUdwjjvcqqX7rdXYpA3y5p6FjmlRUjk4A3v5oR5bBMA6RZjMZrDlEuZ6sZJU212w3cXBAAjg3kXZl4hah9X5C3k2jlllqkMtzDc7y-w6Le5KBereZxloMU-EJuSqh8tHWY/s1600/arton1603.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
<strong><br /></strong></div>
<strong style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;"></strong><br />
<div style="font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 12px; line-height: 18px;">
" La tentative de révision constitutionnelle, la publication d’un calendrier électoral tordu et la restriction des droits reconnus aux Congolais de choisir directement ses représentants sont des cas des menaces qui se dressent sur le chemin de l’alternance politique en RD Congo ", a déclaré le président national du CDER. Cet ancien fidèle de Jean-Pierre Bemba a saisi cette occasion pour rappeler à l’attention de la Majorité que l’enjeu majeur de l’exercice du pouvoir ne consiste pas à marquer et à repérer les dispositions constitutionnelles à réviser pour rester longtemps aux commandes. Mais, il consiste plutôt à améliorer le vécu quotidien des populations congolaises qui ont droit à une vie meilleure.<br />
Le Courant des démocrates rénovateurs, a-t-il souligné, estime que la Constitution de la République qui n’a que huit ans de vie, ne peut pas subir des modifications intempestives au risque de fragiliser la jeune démocratie. « Surtout que certaines de ses dispositions comme l’installation de vingt-six provinces, l’éclatement de la Cour suprême de justice en trois ordres de juridiction ne sont pas encore d’application. " Il est donc impérieux que les uns et les autres se conforment à la légalité", a insisté Jean-Lucien Bussa.<br />
Le Courant des démocrates rénovateurs exige de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) l’organisation en priorité des élections des députés provinciaux, des gouverneurs de province et des sénateurs. Ceci, souhaite-t-on, pour mettre définitivement un terme à la crise de légitimité. A la même CENI, le CDER exige aussi la publication d’un calendrier complet incluant l’élection présidentielle de 2016. Cette jeune formation politique s’oppose farouchement à toute initiative visant à restreindre ou confisquer les droits fondamentaux des citoyens reconnus par la Constitution, en l’occurrence, le droit de choisir directement ses représentants.<br />
Dans son message, l’élu de Budjala a essayé de peindre le tableau sombre de la société congolaise. La pauvreté, le manque d’emploi, le fossé entre les dirigeants politiques et le peuple en matière de redistribution du revenu, le problème de justice, modicité des salaires, tout a été passé au peigne fin. Pour lui, la solution repose sur la restauration de la dignité du peuple congolais que le CDER se donne comme ambition.<br />
Selon Jean-Lucien Bussa, le terme macro-économique chanté tous les jours par le Gouvernement de la République n’a pas de sens dans la mesure où le social du peuple congolais reste insignifiant. Pour réaliser ses différentes ambitions notamment apporter des solutions aux problèmes que connaît présentement le peuple congolais, le CDER n’a d’autres solutions que de solliciter le suffrage du peuple. Voilà pourquoi il se propose de présenter les candidats à tous les niveaux des élections, y compris l’élection présidentielle de 2016.<br />
La grande salle comme la cours de la paroisse Notre Dame de Fatima a refusé du monde samedi dernier. Parce que les Kinois membres de ce parti politique cher à Jean-Lucien Bussa étaient venus très nombreux pour soutenir leur formation politique et leur leader. A l’extérieur comme à l’intérieur de la paroisse, les banderoles de toutes les fédérations provinciales ainsi que celles des quatre districts de la ville de Kinshasa étaient bien perceptibles.	<strong>Dorian KISIMBA</strong></div>
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Le direct

REVISION CONSTITUTIONNELLE * CE PARTI SE PLE COURANT DES DÉMOCRATES RÉNOVATEURS DE JEAN-LUCIEN BUSSA DIT NON PROPOSE DE PRÉSENTER SON...

Politique REVISION CONSTITUTIONNELLE * CE PARTI SE PLE COURANT DES DÉMOCRATES RÉNOVATEURS DE JEAN-LUCIEN BUSSA DIT NON PROPOSE DE PRÉSENTER SON...

Ce parti se propose de présenter son candidat à la présidentielle de 2016 Parce que la révision constitutionnelle est une véritable mena...

Sektion Musique du 20 Juillet 2014 Avec ya Naty Lokole . Musique week end - actualité musicale (vidéo)

July 20, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKIyGaCfH2Ma44SPuXvssDjrhYB4P1-3s5E3ziil30s1rvR8gM0YK__n13FEAS_DawWzEw1wXNqKBXVJR-FLTbcXrUsJVtcKBuOBefQf6uIJ9UIkf1MGR3Sts_wdfSwNCx0jhCmaKtt9s/s1600/sektion.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Sektion Musique du 20 Juillet 2014 Avec ya Naty Lokole . Musique week end - actualité musicale (vidéo)

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Sektion Musique du 20 Juillet 2014 Avec ya Naty Lokole . Musique week end - actualité musicale (vidéo)

Cristiano Ronaldo : « ma mère voulait m’avorter. Maintenant, c’est moi qui fais vivre la famille »

July 20, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjAzS3Nd5vtXQICtKccInkUhYfINjeyHQQl61400i02p75U9HfZ4rh2HurMqC_94luIjt_YFz-zfxFQI9_ePjiOjmQIUMdMhP8LM9ZibR2iDxKjZJiRNnYcTOYr99C3lJ8XWBDLx2Jm7x-X-Go2mV5ek5P7swMMTKY2kJYmpQLu7CRGaMkDR08TttAvXEc52z5xypl7Ibmb9qLyF96vCbgf-wMVT6AWmf0WkrN-piWDWkcQzs_ZMxfA4nXrL_M=" rel="image_src" width="400"></link>
<span style="color: black; font-size: 14pt;">Celui qui se bat régulièrement contre Lionel Messi pour avoir le titre de meilleur footballeur du monde avec a failli ne jamais exister. C’est ce qu’ont appris avec étonnement les fans de Cristiano Ronaldo en lisant l’autobiographie publiée par sa mère Dolores Alveiro, Mère Courage.</span></h3>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjAzS3Nd5vtXQICtKccInkUhYfINjeyHQQl61400i02p75U9HfZ4rh2HurMqC_94luIjt_YFz-zfxFQI9_ePjiOjmQIUMdMhP8LM9ZibR2iDxKjZJiRNnYcTOYr99C3lJ8XWBDLx2Jm7x-X-Go2mV5ek5P7swMMTKY2kJYmpQLu7CRGaMkDR08TttAvXEc52z5xypl7Ibmb9qLyF96vCbgf-wMVT6AWmf0WkrN-piWDWkcQzs_ZMxfA4nXrL_M=" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img alt="Dolores-Aveiro-y-sus-hijas-Kat_54399144841_54115221154_600_396" border="0" class="size-full wp-image-151 aligncenter" height="264" src="http://international.hot243.com/wp-content/uploads/2014/07/Dolores-Aveiro-y-sus-hijas-Kat_54399144841_54115221154_600_396.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="color: black; font-size: 14pt;">Quand j’étais enceinte de lui, je voulais avorter, a-t-elle confié au journal portuguais Jornal de Noticias. Parce qu’à l’époque, j’avais 30 ans et déjà trois enfants, Hugo, Elma et Katia. Mais le médecin n’a pas accepté ma demande. »</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;">Elle ne s’est pourtant pas arrêtée là, et a déclaré avoir bu de grandes quantités de bière brune afin de se débarrasser de sa grossesse…sans succès. Quelques mois plus tard naissait bien le petit Cristiano, un soir de février 1985. L’histoire allait se charger du reste.</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;"></span><br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_2Feeum_US8DTKOqkmdpLZ0R54Vi3FDtSzxy8UXXhX6pI4BfIhtEmnlZuXEGxSfKjwgO4PJ4gW8HPlZ8rgnBuezDHZTe1wjnlfQ4x1fpeWPW_Hl7thMlNE1vDyZVrTg48srs3sJXMwk8/s1600/Snapshot_26~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_2Feeum_US8DTKOqkmdpLZ0R54Vi3FDtSzxy8UXXhX6pI4BfIhtEmnlZuXEGxSfKjwgO4PJ4gW8HPlZ8rgnBuezDHZTe1wjnlfQ4x1fpeWPW_Hl7thMlNE1vDyZVrTg48srs3sJXMwk8/s1600/Snapshot_26~1.jpg" width="400" /></a><span style="color: black; font-size: 14pt;">Cristiano Ronaldo, au courant de la situation, n’a de son côté pas hésité à ironiser autour de l’anecdote. « Cristiano m’a dit en plaisantant :</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;">Maman, tu voulais avorter et maintenant, c’est moi qui fais vivre la famille’’»,</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;">a ajouté la mère de l’international portugais, Ballon d’Or à deux reprises et vainqueur de nombreux titres avec les clubs de Manchester United et du Real de Madrid. Quand on sait que le salaire du champion avoisine les 20 millions d’euros net annuel, on imagine que Dolores doit regretter d’avoir tout fait pour ne pas donner vie au célèbre footballeur!</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;"><br /></span>
<span style="color: black; font-size: 14pt;"><br /></span>
<span style="color: black; font-size: 14pt;"><br /></span>
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<span style="color: black; font-size: 14pt;">Sans rancune, Cristiano Ronaldo n’a quant à lui pas hésité à confier à sa mère la garde de son fils né en 2010, Cristiano Junior.</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;">Il m’a demandé de l’aider et de lui donner le même amour que pour lui et ses frères. »,</span><br />
<span style="color: black; font-size: 14pt;">a ajouté Dolores Alveiro. Décidément chez les Ronaldo, quand on aime, on compte…sur les autres !</span><br />
<strong>Par Celeb</strong>

Monde Cristiano Ronaldo : « ma mère voulait m’avorter. Maintenant, c’est moi qui fais vivre la famille »

Celui qui se bat régulièrement contre Lionel Messi pour avoir le titre de meilleur footballeur du monde avec a failli ne jamais exister. C...

RDC : Toujours pas de procès pour un ancien ministre détenu à Makala en état d’agonie.

July 20, 2014

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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiunThfGBmYV6xIT-5SKmLzbn9BUDkIsX6LXhuXBPwWW-kOW9tZX72dywzy9klKPMQ7t50eA1QjJakr4h4U2JRyojNAi-tzhrCIm63n93whpGemY6tJhiWBBO2eJRTEEwL3XUxOSBNYA_k/s1600/Snapshot_24~1.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
 Le Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa (CPRK),   mieux connu par le nom prison  centrale de Makala, cette abîme de la capitale congolaise supposée être un lieu de détention est bien pire que l’enfer; le calvaire de ceux qui y croupissent est pire que le supplice infernal. La toute dernière victime du traitement inhumain réservé au détenus de cette prison est en fait…un ancien ministre provinciale du Bas-Congo.

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiunThfGBmYV6xIT-5SKmLzbn9BUDkIsX6LXhuXBPwWW-kOW9tZX72dywzy9klKPMQ7t50eA1QjJakr4h4U2JRyojNAi-tzhrCIm63n93whpGemY6tJhiWBBO2eJRTEEwL3XUxOSBNYA_k/s1600/Snapshot_24~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="216" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiunThfGBmYV6xIT-5SKmLzbn9BUDkIsX6LXhuXBPwWW-kOW9tZX72dywzy9klKPMQ7t50eA1QjJakr4h4U2JRyojNAi-tzhrCIm63n93whpGemY6tJhiWBBO2eJRTEEwL3XUxOSBNYA_k/s1600/Snapshot_24~1.jpg" width="400" /></a><br />
<br />
<br />
En détention depuis près d’une année, l’ancien ministre de l’Agriculture dans le gouvernement provincial du Bas-Congo, Mr Raymond Nsumbu Badika Lukau vit un quotidien ponctué d’une peine inimaginable. Un coup d’oeil sur les dernières images de l’ancien ministre justifierait mieux que mille mots cette affirmation.<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhM5g0mDxsfRFcE2SqXghvFNLbvufM-qSv1zvyfIRgOxQSX2V5-7HHAw_ZknTMBPdP8fxE5P86cYgPyH2trvOgu9pzhnkNvr0-k4lXQWYu9DhsYYF2-Y8fwFNZ7fJgvTiDGl11o_VcE-C4/s1600/Snapshot_25~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="270" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhM5g0mDxsfRFcE2SqXghvFNLbvufM-qSv1zvyfIRgOxQSX2V5-7HHAw_ZknTMBPdP8fxE5P86cYgPyH2trvOgu9pzhnkNvr0-k4lXQWYu9DhsYYF2-Y8fwFNZ7fJgvTiDGl11o_VcE-C4/s1600/Snapshot_25~1.jpg" width="400" /></a></div>
Sur ces photos, envoyées à la rédaction de The Voice of Congo par une source proche de Nsumbu, ce dernier semble avoir perdu tout ce qu’il avait pu amasser comme chair depuis sa naissance. Réduit donc à une fine couche de peau perchant sur des os, Mr Sumbu serait très facilement confondu à un squelette vivant.<br />
En effet, selon les mêmes sources citées plus-hauts, Mr Nsumbu serait en proie à un cancer de l’estomac qui vraisemblablement est à un niveau avancé de la métastase, le cas ayant été diagnostiqué avant  même que Nsumbu ne devienne ministre.<br />
Dire que le cas est alarmant serait en fait sous-estimer la situation. Son état de santé est plus qu’alarmant, suscitant ainsi de l’indignation face à la passivité des autorités locales.<br />
Pourquoi son dossier n’est pas accéléré vue la précarité de sa santé? Pourquoi un ancien haut-fonctionnaire de l’État serait-il laissé périr de la sorte? Là sont des questions qui viennent à l’esprit après avoir vu les récentes images de Mr Nsumbu. Infliger une telle souffrance, même à un animal, ressortirait plus de l’injustice que d’une tentative de faire prévaloir la justice.<br />
De plus, en juin dernier, à Banza-Ngungu, une marche de colère pour exiger la libération immédiate et sans condition de  Nsumbu avait été rapidement dispersée  par des agents de l’ordre.<br />
Les manifestants se disaient indignés par la santé du concerné qui se dégradait  du jour au lendemain et demandait ainsi l’accélération du procès de ministre honoraire.<br />
Pour rappel, en octobre 2013, le gouverneur du Bas-Congo Jacques Mbadu avait révoqué Raymond Nsumbu de ses fonctions de ministre provincial de l’Agriculture, Pêche, Pisciculture, Elevage et Développement rural  pour une infraction pas autrement identifiée que “fautes  graves commises dans l’exercice de ses fonctions”.<br />
Il en ressortira que le gouverneur Mbadu accusait Nsumbu d’avoir détourné de l’argent destiné à une campagne agricole financée par le gouvernement nationale.<br />
Après une enquête lancée par le parlement provinciale, Mr Nsumbu fut mis aux arrêts en décembre 2013 par un inspecteur du parquet général de la République de Gombe, Kinshasa.<br />
Depuis lors, le dit procès, qui est toujours à son étape embryonnique, ne fait que s’enliser.<br />
<br />
<h3>
 Eric Bokula

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Au tour de Kinshasa Politique RDC : Toujours pas de procès pour un ancien ministre détenu à Makala en état d’agonie.

Le Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa (CPRK), mieux connu par le nom prison centrale de Makala, cette abîme de la capital...

Sommet USA-Afrique : la vision d’Obama

July 20, 2014

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Washington, la capitale fédérale américaine abrite, du 4 au 6 août 2014, le premier Sommet USA-Afrique qui devrait réunir le président Barack Obama avec une cinquantaine de Chefs d’Etat et de gouvernement du continent africain. </h3>
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D’ores et déjà, trois présidents africains ont été déclarés indésirables : Robert Mugabe du Zimbabwe, Omar El Béchir du Soudan et Issayas Afeweshi de l’Erythrée. Le thème général de cette méga-rencontre est très significatif : « Investir dans la prochaine génération ».</div>
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Premier du genre dans l’histoire des Etats-Unis  et de l’Afrique, ce sommet vise le renforcement des relations bilatérales entre les deux parties, notamment dans les domaines politiques, diplomatiques, économiques, commerciaux, sécuritaires et culturels. A ce propos, Barack Obama déclare : « Je ne vois pas les pays et les peuples d’Afrique comme un monde à part. Je vois l’Afrique comme une partie fondamentale de notre monde interconnecté, les partenaires avec l’Amérique au nom de l’avenir, que nous souhaitons pour tous nos enfants. Ce partenariat doit se fonder sur la responsabilité mutuelle et le respect mutuel ».<br />
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A en croire Linda Thomas Greenfield, Vice-Secrétaire d’Etat en charge de l’Afrique, le président américain n’a prévu de tête-à-tête avec aucun de ses invités. Mais, il a pris l’engagement de participer aux trois réunions thématiques inscrites au programme, sur trois jours. Il est demandé à chacun des chefs d’Etat invité de livrer des messages très courts. Le locataire de la maison blanche, a-t-elle fait savoir, est de booster les investissements américains en Afrique et de souligner clairement l’engagement de l’Amérique à la sécurité des Etats africains, à la promotion de la démocratie et des droits de l’homme, mais aussi de la culture. Bref, il est question que Barack Obama et ses hôtes discutent franchement des voies et moyens de stimuler la croissance et de créer un environnement sain pour la prochaine génération d’Africains.<br />
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04 août 2014 : Forum de la Société Civile<br />
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Après la cérémonie protocolaire, il est prévu un « Forum de la Société Civile » dans la matinée du 04 août 2014. Celui-ci est destiné aux délégués des gouvernements des USA et d’Afrique, des Sociétés civiles africaine et américaine, de la diaspora africaine et des responsables des secteurs privés. Tout ce beau monde sera éclaté en petits groupes thématiques, appelés à échanger autour de sujets divers considérés comme des défis de notre temps, à savoir l’entreprenariat social, l’innovation civique, le développement, la gouvernance, le commerce, l’investissement, l’emploi, la paix, la prospérité, la santé, la sécurité alimentaire, le changement climatique, la protection de l’environnement, etc.<br />
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Le même jour, les responsables africains et américains du commerce se pencheront sur les perspectives d’avenir de l’AGOA (African Growth and Opportunity), afin d’actualiser sa législation. Cette rencontre vise à démontrer le souci des USA de promouvoir une croissance économique et un développement durables en Afrique.<br />
<br />
Dans l’après-midi, une réception sera donnée au Capital Hill par les responsables des Commissions des Affaires Etrangères du Sénat et de la Chambre des Représentants<br />
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05 août 2014 : Forum des Affaires USA-Afrique<br />
<br />
Le département américain du Commerce et Bloomberg Philantropies co-organiseront le premier Forum américano-africain, une journée consacrée au renforcement des relations commerciales et financières entre les Etats-Unis d’Amérique et l’Afrique. Le président Obama y participera en compagnie du Secrétaire Pritzker, du maire Bloomberg ainsi que de plusieurs hauts fonctionnaires américains. Programmé au Mandarin Oriental, à Washington, ce forum vise à examiner de nouvelles pistes susceptibles de stimuler davantage les échanges commerciaux entre l’Afrique et les USA, les possibilités d’emploi, les investissements. Un accent particulier sera mis sur le soutien américain au secteur privé africain dans  les domaines des finances, des investissements, des infrastructures, de l’énergie, de l’agriculture, de l’information et de la communication, etc.<br />
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Les dirigeants africains pourraient mettre à profit ce forum pour de nouer de fructueux contacts avec les chefs d’entreprises des USA, en vue de leur proposer des opportunités d’investissement en Afrique.<br />
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On annonce, dans la soirée de ce 5 août, un dîner que le couple Obama offrira aux Chefs d’Etat et de gouvernement africains ainsi qu’aux invités triés sur le volet, à la Maison Blanche.<br />
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06 août 2014 : trois séances au sommet<br />
<br />
Les dirigeants africains et le président Obama auront trois séances axées sur les questions d’intérêt commun. La première portera sur les voies et moyens d’investir dans l’avenir de l’Afrique. Il s’agira en fait d’approfondir les questions de développement durable, de croissance économique, de commerce et d’investissement en Afrique.<br />
<br />
La seconde séance se déroulera sous la forme d’un déjeuner de travail entre le président américain et ses décideurs politiques africains. L’un et les autres auront à partager leurs préoccupations communes au sujet de la paix et de la sécurité, mais aussi à réfléchir sur les solutions durables à apporter aux conflits régionaux et au terrorisme transnational.<br />
<br />
La dernière séance devrait permettre aux participants d’examiner les défis à relever, aux plans de la sécurité, de la démocratie, de la gouvernance, des flux financiers illicites, des menaces terroristes transnationales, pour permettre à la prochaine génération d’Africains de vivre dans une Afrique meilleure que celle d’aujourd’hui.<br />
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Kimp</div>
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Monde Sommet USA-Afrique : la vision d’Obama

Washington, la capitale fédérale américaine abrite, du 4 au 6 août 2014, le premier Sommet USA-Afrique qui devrait réunir le président Bara...

FDLR : des apatrides ?

July 20, 2014

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<i>En RDC, depuis le génocide rwandais de 1994, les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) se sont constituées en forces négatives, non seulement pour le Rwanda, leur pays d’origine, mais surtout,  pour la République Démocratique du Congo, pays d’accueil. </i></h3>
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Pendant presque vingt ans, ils donnent du fil à retordre à la fois à l’armée et à la population congolaise dans le Nord et Sud-Kivu, à travers leurs actes qui se caractérisent par le pillage des ressources minières pour s’alimenter en armes et munitions, exactions et tueries des civils et militaires congolais…<br />
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Par ailleurs, toutes les tentatives visant à les désarmer, les cantonner et les retourner dans leur pays se sont révélées vaines. Et, même l’appel du Président rwandais, Paul Kagame, de les voir retourner au bercail sans armes,  est resté inaudible. Bien au contraire, en quête de la réorganisation pour reconquérir le pouvoir au Rwanda, ils se sont déployés dans des vastes périmètres forestiers à l’intérieur du Congo pour recruter, de force, des  jeunes et enfants. Mais, quoi qu’il en soit, ils doivent retourner chez eux. L’option militaire combinée FARDC-MONUSCO de les traquer par la puissance de feu a conduit quelques- uns d’entre eux, à se rendre aux forces loyalistes congolaises. Dans quel but ? C’est là, semble-t-il, la lancinante question. Faut-il les caserner au Congo et pendant combien de temps ? Doivent-ils être reconduits au Rwanda et dans quelle condition ? Voilà que des bruits, en sens divers, font état de leur cantonnement dans un lieu de transit appelé « Centre Technique de Bataillon » à Kisangani, en Province Orientale. L’information a même été confirmée par le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général de l’ONU chargé des opérations dans l’Est de la RDC, le Général Abdallah Wafi. Pour ce dernier, la démarche aurait requis le quitus   du Gouvernement congolais. Or, la cantonnement des Fdlr annoncé pour Irebu, dans la province de l’Equateur,  avait été rejeté catégoriquement par les Députés nationaux et provinciaux de cette partie du pays. Aujourd’hui que l’option est levée pour Kisangani, c’est le caucus des Députés de cette province qui oppose un autre refus catégorique. C’est qui ressort de la déclaration du 14 juillet 2014 des élus de Kisangani. Ces derniers ont évoqué des raisons liées à la sécurité. Question. Que va faire le Gouvernement ? Héberger à Kisangani les 1400 soldats FDRL et près de 4200 de leurs dépendants  contre la volonté des représentants du peuple? Quelles seront les conséquences de cette décision  dans le chef des autochtones ? N’est-ce pas là attiser le feu, alors que la tension est volatile à l’approche des élections locales ? Est-ce que la communauté internationale ne peut-elle pas épargner les congolais de cette présence gênante des FDLR,  en faisant pression sur Kagame pour qu’il ouvre son espace politique ? N’y a-t-il pas moyen d’organiser un dialogue rwando-rwandais, autant qu’on l’a fait pour la RDC avec Sun City, pour vider l’épineuse question qui divise ce peuple ? Alors, si rien n’est fait dans ce sens, l’on va se retrouver avec un peuple rejeté au Nord, au Sud, à l'Est et à l'Ouest du Congo, au Rwanda y compris parce que c'est le cas, et l’on ne sait où encore. Au finish, peuple rwandais, les FDLR vont devenir des apatrides, parce que rejetés partout.</div>
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la Nation Politique FDLR : des apatrides ?

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B-One show du 19 juillet 2014 avec les congolais et congolaises de la diaspora. suivez

July 19, 2014

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B-One show du 19 juillet 2014 avec les congolais et congolaises de la diaspora

Théatres Congolais B-One show du 19 juillet 2014 avec les congolais et congolaises de la diaspora. suivez

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Grande édition du journal télévisé de la télé démocratique RTVS1 du 19 juillet 2014. Suivez

July 19, 2014

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Grande édition du journal télévisé de la télé démocratique  RTVS1 du 19 juillet 2014. Suivez

le JT de la RTVS1 Grande édition du journal télévisé de la télé démocratique RTVS1 du 19 juillet 2014. Suivez

Grande édition du journal télévisé de la télé démocratique RTVS1 du 19 juillet 2014. Suivez

Affaire Hymne National de la RDC : Le droit d’auteur revient aux ‘’Pères Jésuites de l’Afrique Centrale’’, dixit la lettre de ‘’P

July 19, 2014

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<i>*Dans sa lettre  en manuscrit en langue latine, datée du  20 mars 1968, le Père Boka, Auteur de  deux hymnes nationaux de la RD. Congo,  légua  ses œuvres aux Pères Jésuites de l’Afrique Centrale (PAC). Et ce, d’autant plus qu’il était de cette organisation jusqu’à sa mort.</i></h3>
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<br />
 A ce titre, il a émis  les vœux de pauvreté, d’obéissance et de chasteté autant qu’au renoncement à tout droit individuel,  en son propre bénéfice. Cette confirmation a été dévoilée au cours d’un point  de presse organisé,  le samedi 19 juillet dernier, à la Curie Provinciale  des Pères Jésuites, située  le long de l’avenue Père  Boka,  à la Gombe. Et,  pour cause ?  Tirer une sonnette d’alarme sur des réclamations, à tort ou  raison,  de la famille de  Père Boka,  d’une somme de 7 millions USD au Gouvernement en place, en guise de  paiement de  droit d’Auteur. A cet effet, Me Willy Wenga, Avocat Conseil de l’ASBL Père de la Compagnie de Jésus au Congo, a déclaré que sur base de cette lettre, la Congrégation légataire jugera,  le moment opportun,  en toute citoyenneté et respect dû aux institutions, de la quotité desdites redevances et des modalités de leur éventuel  recouvrement.<br />
<br />
Il faut signaler,  en outre, que la congrégation des Pères Jésuites  fait toujours un geste en faveur de la famille biologique, en cas de décès d’un des leurs.<br />
<br />
Lisez,  in extenso, l’intégralité de ce communiqué de presse émis par l’Avocat-Conseil de l’ASBL Père de la compagnie de Jésus au Congo.<br />
<br />
<br />
<br />
Association des Pères de la Compagnie de Jésus au Congo<br />
<br />
« ACE/SJ » Asbl<br />
<br />
Association confessionnelle sans but lucratif<br />
<br />
République Démocratique du Congo<br />
<br />
09, avenue Père Boka, Commune de la Gombe<br />
<br />
Communiqué de Presse n°001/ACE-SJ/Avocat/2014<br />
<br />
« Les droits d’auteurs sur l’œuvre d’esprit l’Hymne national « la Congolaise », appartiennent exclusivement, de par la volonté de l’auteur, à l’Association des Pères de la Compagnie de Jésus, Province Afrique Centrale (PAC), actuel ACE<br />
<br />
Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs,<br />
<br />
Distingués Invités,<br />
<br />
Chers Amis de la Presse,<br />
<br />
L’ASBL « Pères de la Compagnie de Jésus au Congo », dont je suis le Conseil officiel et connue sous l’appellation confessionnelle de la Congrégation des Pères Jésuites, à laquelle a appartenu toute sa vie, le Feu et respectueux R.P Boka SJ, informée avec surprise par la voie de la presse, d’une lettre-sommation adressée par la famille biologique du père Boka à son Excellence Monsieur le Premier Ministre et ayant pour objet et contenu, la sommation faite au Gouvernement de régulariser dans les quinze jours en faveur de la famille requérante, les redevances et droits d’auteurs dus à l’acquisition et à l’exécution de l’hymne national,  m’a chargé,  en ma qualité de son Avocat-Conseil,  de porter à votre intention et à travers vous, à la Haute Hiérarchie du pays et à l’opinion tant nationale  qu’internationale,  les précisions ci-après,  pour dissiper toute confusion que la lettre,  ci-dessus évoquée,  a semée.<br />
<br />
D’entrée de jeu, l’ASBL des Pères de la Compagnie de Jésus au Congo, n’entend pas verser,  ici,  dans la polémique au sujet de droit d’auteur sur l’hymne national, mais en réaction à la lettre sus-vantée, elle tient à porter à la connaissance de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, au Premier Ministre, Chef du Gouvernement, à leurs Excellences Mesdames  et Messieurs les Ministres de la Justice et droits Humains, de Jeunesse, Sport, Loisir , Culture et Arts, Délégués aux Finances et à travers vous,  l’opinion tant nationale qu’internationale, que le Feu Père Boka fut Prêtre de la Congrégation des Jésuites, Province d’Afrique Centrale (PAC) et a incorporé définitivement celle-ci jusqu’à sa mort par ses derniers vœux de pauvreté, d’obéissance et de chasteté emportant ainsi renoncement à tout droit individuel en son propre bénéfice.<br />
<br />
Pour votre gouverne, le Père Boka Di Londi, l’auteur de nos deux hymnes nationaux, l’ancien et l’actuel, a émis ses derniers vœux à Mayidi, dans l’actuel diocèse de Kisantu, le 20 mars 1968, et à cette occasion, il a renoncé par une déclaration écrite de sa propre main, en latin, à tout droit ou bien personnel, toute acquisition de quelques droits que ce soit, fruit de ses travaux physiques ou intellectuels de toute nature que ce soit devant appartenir désormais à la compagnie de Jésus, province d’Afrique Centrale  de la Compagnie de Jésus.<br />
<br />
Cette déclaration faite lors de l’émission des derniers vœux étant un document religieux  très interne contenant ses déclarations sur autres matières, je ne saurai pas,  ici,  vous le produire.<br />
<br />
Cependant, s’agissant de ses droits d’auteur sur notre hymne national, sa volonté exprimée lors de ses derniers vœux émis en latin à Mayidi, à propos de ses droits d’auteur sur l’hymne national, est sans équivoque en ces termes :<br />
<br />
« Si quid de proprietate hymni nationalis congolensis acquiratur, hoc in favore P.A.C destino »<br />
<br />
En traduisant ceci en français, pour ce qui est de mes droits d’auteur sur l’hymne national, qu’il soit donné en faveur de la PAC (Province Jésuite d’Afrique Centrale) ».  Vous avez donc la réponse sur la personne morale ou physique à qui le père a légué ses droits d’auteur et qui est en droit de les  revendiquer.<br />
<br />
Donc, sur base de cette dernière volonté du défunt, surtout qu’une fois entré dans la famille des jésuites, par les vœux de pauvreté, ce dernier n’a plus de patrimoine personnel car tout devient commun, il est donc infondé,  pour la famille biologique que nous aimons beaucoup comme celle du nôtre, et qui était au courant du parcours religieux et des vœux,  ci-dessus rappelés,  de réclamer une quelconque redevance au titre de droit d’auteur qui lui reviendrait.<br />
<br />
Pour l’ASBL des Pères de la compagnie de Jésus, il reste indiscutable,  d’une part,  que le Gouvernement Congolais devra allouer par ses organismes spécialisés, des redevances sur les droits d’auteur en faveur du Père Boka pour la composition de notre cher hymne national et,  d’autre part, il est aussi vrai que ces droits reviendraient à sa congrégation légataire qui jugera,  le moment opportun,  en toute citoyenneté et respect dû aux institutions, à l’hymne et à la  mémoire de notre défunt Père, de la quotité desdites redevances et des modalités de leur  recouvrement. Il ne sera pas malvenu que le Gouvernement  prenne l’initiative de  les  payer à l’ASBL.<br />
<br />
Pour les Pères de la Compagnie de Jésus au Congo, et à la lumière de ce qui est dit,  ci-dessus, aucune autre personne n’a le droit de réclamer au Gouvernement quoi que ce soit à quelque titre que ce soit,  sous peine de s’exposer aux  poursuites,  pour tentative de recouvrement de l’indu.<br />
<br />
Restant reconnaissant pour les efforts fournis pour répondre à notre invitation et pour l’attention nous accordée, je vous remercie.<br />
<br />
Pour l’ASBL « Pères de la Compagnie de Jésus au Congo »<br />
<br />
Son Conseil,<br />
<br />
Me Willy Wenga Ilombe<br />
<br />
Avocat

Le direct

la Nation Musique Affaire Hymne National de la RDC : Le droit d’auteur revient aux ‘’Pères Jésuites de l’Afrique Centrale’’, dixit la lettre de ‘’P

*Dans sa lettre en manuscrit en langue latine, datée du 20 mars 1968, le Père Boka, Auteur de deux hymnes nationaux de la RD. Congo, lé...

RDC : des pressions policières sur Patricia Diomi /Christophe RIGAUD – Afrikarabia

July 19, 2014

L’épouse de l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala affirme être l’objet de filatures par les autorités congolaises depuis une semaine.<br />
« Mon engagement dérange » affirme Patricia Diomi. Depuis le 16 juillet, le femme de l’opposant politique Eugène Diomi Ndongala, estime être victime de pressions policières sur son lieu de travail, à Kinshasa. <br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWfnR89zUdFBPXGShrzjyU-Y-whWI4jEAr-dmNv-E-Kw_a0gpN14PqOC1MRDlbhMPLDbrzfdQDQsGrZ-8VjxUaUhPnaIQfQiaUeqOBJxKzFktI-j-GLU4L9ZYINy6Z1wlpg7zSyZUeI7Y/s1600/Patricia-Diomi.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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<div>
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; text-align: justify;"><br /></span></div>
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<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; text-align: justify;"><br /></span></div>
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<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; text-align: justify;">Joint par téléphone, Patricia Diomi raconte que par trois fois, des personnes se sont rendues à son lieu de travail , dans le quartier de la Gombe, pour savoir si elle était sur place. Deux hommes, sortis d’une jeep de la police judiciaire ont questionné les personnes qui se trouvaient devant le bâtiment. « </span><em style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">Le lendemain, le 17 juillet, c’est vers 8 heures qu’une autre voiture de police ont posé les mêmes questions aux sentinelles</em><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; text-align: justify;"> » raconte Patricia Diomi. « </span><em style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">A 21 heures trois personnes en civils ont de nouveau demandé à la sentinelle si j’étais présente sur place. Le garde a répondu que je n’étais pas là et qu’il ne savait pas où j’habitais… et les choses se sont arrêtées là </em><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; text-align: justify;">».</span></div>
<div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">« Prisonnier personnel de Joseph Kabila »</strong></em></div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
L’affaire Diomi Ndongala est un rocambolesque feuilleton judiciaire qui agite la classe politique congolaise depuis juin 2012. A cette date, ses proches annoncent son enlèvement par les services de sécurité. L’opposant au régime du président Joseph Kabila était alors en première ligne pour dénoncer les irrégularités des élections générales de novembre 2011.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<br /></div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
 Selon Kinshasa, Diomi Ndongala n’a pas été arrêté, mais se cacherait « pour échapper à la justice qui l’accuse de viol sur deux mineures », ce que récuse le patron de la Démocratie Chrétienne (DC). Diomi Ndongala réapparaît, comme par miracle, 4 mois plus tard à la veille de la venue de François Hollande pour le Sommet de la Francophonie de Kinshasa. Mais le feuilleton ne s’arrête pas là. En janvier 2013, l’Assemblée nationale lève son immunité parlementaire. Diomi Ndongala est déchu de son mandat de député et la justice l’accuse également de « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">tentative de déstabilisation</em> » . Ses proches dénoncent un procès politique et Diomi Ndongala s’estime être « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">le prisonnier personnel de Joseph Kabila</em> » qui chercherait à le faire taire. Le chef de la Démocratie Chrétienne est arrêté le 8 avril 2013 et séjourne encore aujourd’hui à la prison de Makala de Kinshasa (<a href="http://afrikarabia.com/wordpress/diomi-ndongala-une-affaire-detat-2/" sl-processed="1" style="background: transparent; border: 0px; color: #007989; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;" target="_blank">voir notre article</a>).</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">« Ils cherchent à toucher ma famille »</strong></em></div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Pour sa femme, ces pressions policières répétées «<em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"> ne sont pas le fruit du hasard</em> ». « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Je participe activement à la libération de mon mari. J’ai des contacts diplomatiques, avec des hommes politiques ici à Kinshasa ou à l’étranger et c’est certainement cela qui dérange.</em></div>
<blockquote style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; clear: both; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; font-style: italic; line-height: 13px; margin: 20px 0px; outline: 0px; padding: 20px 20px 10px 45px; quotes: none; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<div style="background: transparent; border: 0px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">C’est une manière de toucher mon mari directement</em> » nous confie-t-elle depuis Kinshasa. « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Ces filatures, toutes ces pressions, c’est une manière de faire des investigations pour savoir s’ils peuvent trouver quelque chose à me reprocher. On me dit que le pouvoir cherche à toucher ma propre famille… alors, ils cherchent dans cette direction</em> ».</strong></div>
</blockquote>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">« Comme la femme de Paul Mwilambwe</strong></em> »</div>
<blockquote style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; clear: both; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; font-style: italic; line-height: 13px; margin: 20px 0px; outline: 0px; padding: 20px 20px 10px 45px; quotes: none; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<div style="background: transparent; border: 0px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Patricia Diomi reconnaît que la pression s’est accrue depuis la déclaration des « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Forces politiques sociales</em> » (un vaste rassemblement regroupant les principaux partis d’opposition, ndlr) qui demandaient la libération des prisonniers politiques. « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">La libération de mon mari est désormais devenue une revendication politique de toute l’opposition et le symbole de la résistance au pouvoir en place</em> » explique Patricia Diomi. L’épouse du leader de la Démocratie Chrétienne met en parallèle ce qui lui arrive avec le cas de la femme de Paul Mwilambwe, qui a échappé de justesse à une tentative d’enlèvement au Katanga (<a href="http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-qui-veut-intimider-paul-mwilambwe/" sl-processed="1" style="background: transparent; border: 0px; color: #007989; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;" target="_blank">voir notre article</a>). <strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">«<em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"> C’est une manière mafieuse de faire pression sur son mari</em> »</strong> qui doit témoigner au Sénégal sur l’affaire Chebeya, estime Patricia Diomi. Paul Mwilambwe est le principal témoin de l’assassinat de Floribert Chebeya et de son chauffeur en juin 2010. L’ancien policier accuse le général John Numbi d’être le commanditaire de ce double assassinat.</div>
</blockquote>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Malgré les pressions, Patricia Diomi reste déterminée. <strong style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">« <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Ils peuvent en vouloir à ma personne, mais je poursuivrai ce combat jusqu’à la libération de mon mari</em> ».</strong> Dans un communiqué, l’association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) s’insurge contre les méthodes des autorités congolaises. « <em style="background: transparent; border: 0px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Même au cas où il existerait un dossier judiciaire à charge, la police ne peut pas procéder de cette façon pour la faire comparaître, d’autant plus qu’elle n’a jamais reçu de convocation</em> ». L’association demande au Procureur Général de la République d’ouvrir une enquête sur ces faits et souhaite que des mesures soient prises pour garantir la sécurité de Patricia Diomi.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; color: #333333; font-family: Georgia, Times, serif; font-size: 13px; line-height: 1.8em; margin-bottom: 15px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Christophe RIGAUD – Afrikarabia</div>
</div>
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