Katumbi: «Un autre Congo est possible»

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkmo-NbywU8xFlD_2GLqtjUgLjlqLveTGkzxPn40DlLY2qZH0BIOumZenr0v7q-2kfR2VGQHWGy8FGibWGMQC_V-cwaWsDa4KSo5wx8qKGCPRrC0xqr_kRm_V06e4Xtj8SnykW38GP5WTi54rwx7nQT9yhmEM7Zw7-gMWMmScxYQ1eFzxL8adXP3PXsA=s988" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="988" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkmo-NbywU8xFlD_2GLqtjUgLjlqLveTGkzxPn40DlLY2qZH0BIOumZenr0v7q-2kfR2VGQHWGy8FGibWGMQC_V-cwaWsDa4KSo5wx8qKGCPRrC0xqr_kRm_V06e4Xtj8SnykW38GP5WTi54rwx7nQT9yhmEM7Zw7-gMWMmScxYQ1eFzxL8adXP3PXsA=s320" width="320" /></a></div>Il faudra compter avec Moïse Katumbi pour le rendez-vous de 2023. A Kisangani, la ville martyr ; le chairman de Ensemble pour la République a sonné la mobilisation. S’adressant hier mardi 21 décembre aux cadres de son parti, Moïse Katumbi leur demande de se mettre en ordre de bataille pour répondre aux attentes des Congolais qui, selon lui, ne croient plus dans les promesses des politiques. Katumbi a plutôt la foi en l’avènement d’un autre Congo. Il l’a dit à haute et intelligible voix. Et pour cela, il exhorte les majors du parti à ne pas se laisser distraire par les attaques politiques, mais plutôt s’employer à installer Ensemble pour la République partout. Par ailleurs, après Kisangani, Moïse Katumbi a également lancé officiellement les activités de sa formation politique à Buta, chef-lieu de la province du Bas-Uélé. Comme Kisangani, à Buta, Katumbi a parlé devant une foule compacte. DK <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />ADRESSE DU PRESIDENT MOISE KATUMBI AUX CADRES DU PARTI POUR LE DEUXIEME ANNIVERSAIRE DE ENSEMBLE POUR LA REPUBLIQUE – Kisangani, le 21 décembre 2021<br /><br /><br />Monsieur le Secrétaire Général,<br /><br />Mesdames et messieurs les députés et sénateurs,<br /><br />Chers frères, chers sœurs,<br /><br />Très chers compatriotes,<br /><br />Tout d’abord, je vous remercie d’avoir accepté de répondre à mon invitation et d’avoir fait le déplacement de Kisangani. Votre présence marque votre attachement à notre parti et elle me remplit de fierté.<br /><br />Hier, notre parti vient de souffler ses deux premières bougies ! Kisangani était au rendez-vous.<br /><br />ENSEMBLE est un parti de masse. Personne ne peut le contester. Je remercie la population qui s’est mobilisée une journée de semaine pour m’accueillir. Je félicite l’organisation qui a été à la hauteur.<br /><br />Dorénavant, chaque 20 décembre sera consacré à une journée de réflexion, d’évaluation et de prospective de notre parti.<br /><br />Deux années se sont donc écoulées. Nous avons déjà traversé bien des épreuves. Pour arriver là où nous sommes, plusieurs amis nous ont quittés. Des aînés et des sages ont été arrachés à notre affection. Je pense particulièrement à Charles Mwando et à Pierre Lumbi qui furent parmi les premiers à demander la création de notre grande force politique. Comme je l’ai rappelé hier, leur souvenir ainsi que celui de l’honorable Bienvenue Apalata et l’honorable Badiabale Aziza reste très présent dans nos cœurs. En leur mémoire, et pour tous ceux qui nous sont chers et qui nous ont quittés, je vous demande de bien vouloir observer une minute de silence.<br /><br />Mes chers frères et sœurs,<img src="https://i2.wp.com/www.forumdesas.net/wp-content/uploads/2021/12/devons.jpg?resize=657%2C460&ssl=1" /><br /><br />En 2015, le pays était au bord de l’éclatement. Certains voulaient changer la Constitution pour rester au pouvoir, d’autres exigeaient des élections dans les délais prescrits. A l’Est, le pays brûlait. Les groupes armés continuaient à massacrer sauvagement nos frères et nos sœurs. Le pays était en proie à la division. Avec nos aînés Charles, Pierre et Gabriel Kyungu qui nous ont quittés ainsi que plusieurs autres compagnons, nous avons accepté de tout perdre et abandonner nos fonctions pour nous mettre au service du peuple congolais qui réclamait l’alternance et le changement. Vous le savez, nous en avons payé le prix fort. Mais d’autres y ont laissé leur vie. Je pense ici à tous les martyrs qui se sont sacrifiés pour que nous puissions avoir des élections.<br /><br />Si on remonte plus loin dans l’histoire du pays, Kisangani a eu elle aussi depuis le premier jour de notre accession à l’indépendance, son lot de martyrs. Combien d’innocents sont tombés ici sous les balles des rébellions qui se sont succédées. Kisangani est le symbole que rien ne peut venir à bout de l’unité nationale.<br /><br />Kisangani est la meilleure illustration de la diversité dans notre pays. Kisangani est la ville la plus cosmopolite du Congo. Par sa situation géographique, elle est à la charnière de l’Est et de l’Ouest, au carrefour de toutes les cultures et de deux grandes langues nationales.<br /><br />Depuis les premières heures de notre indépendance, les Boyomais et les Boyomaises ont écrit de belles pages de notre récit national. Par leur courage et leur résilience, ils nous ont montrés qu’on doit se battre de tout son cœur, de toute son âme et de toutes ses forces contre ceux qui veulent la division et la balkanisation du pays. Leur combat est le meilleur témoignage que nous devons éviter le tribalisme et toute forme de stigmatisation. Le Congo appartient à tous les Congolais.<br /><br />C’est bien le meilleur endroit pour faire la lecture de la situation que traverse notre pays et nous accorder sur la place et le rôle que notre parti doit jouer pour que le sang de nos martyrs n’ait pas été versé en vain.<br /><br />Chers frères et sœurs,<br /><br />La situation du pays n’est pas bonne. Mais ce n’est pas une raison pour baisser les bras. A mes yeux, la résignation est tout aussi inacceptable que la trahison. Face à l’adversité nous devons au contraire nous serrer les coudes. Bien qu’étant critiques sur tous les aspects où la gouvernance est défaillante, nous ne devons pas ajouter de l’instabilité politique quand nos armées combattent à l’Est et que le front des ennemis du pays semble reculer. Nous devons laisser une chance à la paix et au développement.<br /><br />A mesure que le temps passe et que les échéances approchent, nous devons également nous mettre en ordre de bataille pour répondre aux attentes de nos compatriotes. Inutile de nous perdre dans des querelles stériles et des débats sans lendemains. Je vous demande de ne pas céder aux provocations.<br /><br />Nous devons avoir la culture du fair-play avec les autres partis. Les attaques politiques ne doivent pas nous distraire et nous écarter de notre mission. En 2022, nous devons installer le parti partout à travers le pays. Nous devons nous préparer aux prochaines confrontations électorales.<br /><br />Chers frères et sœurs,<br /><br />Cette année 2022 sera celle de l’implantation et de la mobilisation générale. Je salue les efforts qui ont été faits pour que les structures du parti soient mises en place. Des nominations ont été faites. Chaque fédération est désormais en ordre de marche. Il vous appartient d’aller aujourd’hui de villages en villages, de communes en communes, de quartiers en quartiers, de maisons en maisons pour ratisser large et convaincre nos compatriotes d’adhérer à notre parti.<br /><br />Nous devons mettre un terme à la longue pratique du découragement et de la résignation qui a gagné une grande partie de nos compatriotes. Beaucoup ne croit plus dans les promesses des politiciens. Il faut donc faire du porte à porte convaincre nos compatriotes de s’engager à nos côtés.<br /><br />Nous devons chercher la confiance de nos concitoyens. Non par des discours et des promesses mais en étant sur le terrain aux côtés de la population. Personne ne viendra faire notre bonheur à notre place. Le Congo deviendra ce que nous en ferons ensemble.<br /><br />Chers frères et sœurs,<br /><br />Au cours de cette année, je vous demande de réaffirmer nos valeurs auprès de tous ceux et de toutes celles qui croient comme nous que le changement est possible.<br /><br />Nous devons établir un vrai pacte de confiance entre nous et la population. Pour y arriver, nous devons être exemplaires et devenir des humbles ouvriers du peuple. Nous devons être des modèles. Notre peuple a besoin de retrouver confiance en ses dirigeants.<br /><br />L’implantation du parti doit s’accélérer, j’en appelle à tous les comités fédéraux dont les cadres ont été nommés afin que, conformément à nos statuts, chacun d’eux se mette au travail.<br /><br />Tous les responsables de fédération doivent mettre la main à la pâte. On n’installe pas un parti en restant dans les bureaux. Il faut circuler, parler, témoigner pour encourager les adhésions. Vous devez veiller à l’animation de vos permanences. Je le rappelle, les échéances se précisent. Chaque fédération doit se mettre au travail.<br /><br />La Jeunesse de Ensemble pour la République et la Dynamique des Femmes pour le Changement doivent également s’activer et multiplier les rencontres, les carrefours et les forums. Je les félicite pour les premières initiatives prises en vue de renforcer leurs capacités et leurs aptitudes personnelles. C’est ici le lieu de rappeler que notre frère Jacky Ndala est toujours en prison. Il passera cette fin d’année injustement privé de liberté. Je l’ai visité et lui renouvelle ici tout mon soutien.<br /><br />Notre commission Électorale Permanente doit elle aussi se mettre à pied d’œuvre. Elle devra s’appuyer sur des outils modernes et efficaces pour que nous soyons au rendez-vous de 2023.<br /><br />Je demande au Secrétaire Général d’être à l’écoute de tout le monde. Dans un parti politique, nous devons savoir avancer ensemble. Même le plus modeste, même le plus petit doit être écouté. Tous les membres doivent participer activement à la vie du parti.<br /><br />Au cours de cette année, nous devrons recruter, former, mobiliser et faire rayonner notre parti. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C’est la raison pour laquelle j’ai demandé au Secrétaire Général de parachever au premier trimestre les mises en place afin que nous soyons en ordre de bataille. Par ailleurs, j’ai assigné à mon Directeur de Cabinet la tâche d’animer la cellule d’implantation du parti dont la mission consistera à sillonner le pays et me dresser l’état de lieux du fonctionnement des organes du parti et de nos structures opérationnelles.<br /><br />Si nous voulons être la plus grande formation politique du pays, il n’y a plus de temps à perdre.<br /><br />Un autre Congo est possible!<br /><br />Construisons-le ensemble !<br /><br />Monsieur le Secrétaire Général,<br /><br />Mesdames et messieurs les députés et sénateurs,<br /><br />Chers frères, chers sœurs,<br /><br />Mes très chers compatriotes,<br /><br />fourumdesas.net<p> </p>

Politique Katumbi: «Un autre Congo est possible»

Il faudra compter avec Moïse Katumbi pour le rendez-vous de 2023. A Kisangani, la ville martyr ; le chairman de Ensemble pour la République ...

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Kinshasa : La Maison communale de la Gombe publie désormais les programmations de mariages sur Facebook

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgxqeIquzceacz5RvjjX5R01i-2_ab4ddUZyqp-gELweL24xjyzEEKTTEdXPue96p3gdY4RZj5AHebVFoKdv0db4ryrafNgQl86PI_SpDRSb0r7pAlfNu2tzj1nQHULeDbn6ZHF5xvfT9JdqH2etGK5LmjyjMUhRbVxBKKCB1_lFm2gfdQvRlJzeIDV-Q=s797" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="597" data-original-width="797" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgxqeIquzceacz5RvjjX5R01i-2_ab4ddUZyqp-gELweL24xjyzEEKTTEdXPue96p3gdY4RZj5AHebVFoKdv0db4ryrafNgQl86PI_SpDRSb0r7pAlfNu2tzj1nQHULeDbn6ZHF5xvfT9JdqH2etGK5LmjyjMUhRbVxBKKCB1_lFm2gfdQvRlJzeIDV-Q=s320" width="320" /></a></div> Justine Kitubu Kamanda, maire de la Maison communale de la Gombe, vient de publier ce mardi 21 décembre 2021 la création d’une page Facebook qui sera désormais réservée pour les programmations de la célébration solennelle de mariage civil.<br /><br />Il s’agit d’une nouvelle innovation pour les futurs mariés. Leurs noms seront mis en ligne par la mairie de commune de la Gombe. Une initiative qui semble réjouir plusieurs internautes.<div><br />Il y a actuellement 39 couples qui sont enregistrés et programmés comme on peut le voir sur la page Facebook de la maison communale de la Gombe.<br /><br /><br /><b>Hervé Kabwatila</b></div>

Société Kinshasa : La Maison communale de la Gombe publie désormais les programmations de mariages sur Facebook

Justine Kitubu Kamanda, maire de la Maison communale de la Gombe, vient de publier ce mardi 21 décembre 2021 la création d’une page Faceboo...

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Kinshasa : des membres du CLC dispersés par la police

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEieNzTU7ICkJxA-l5Zw9UQz6JmwffRRb4b9HrwoVQqyaS_cl0jvLxMTxx62975MJCl8S8l4GfFHFCFYGDABV2hcZa_99201LZR7jNVXE9-BRIZkjdQr9MBJtVNWcvz-OYWNu-D4wXDybb-Y1O9duwLILZsZgsvHyonJBAspLOefXCODX1_ZAXOMHdtxOw=s927" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="610" data-original-width="927" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEieNzTU7ICkJxA-l5Zw9UQz6JmwffRRb4b9HrwoVQqyaS_cl0jvLxMTxx62975MJCl8S8l4GfFHFCFYGDABV2hcZa_99201LZR7jNVXE9-BRIZkjdQr9MBJtVNWcvz-OYWNu-D4wXDybb-Y1O9duwLILZsZgsvHyonJBAspLOefXCODX1_ZAXOMHdtxOw=s320" width="320" /></a></div>La police a dispersé ce jeudi 22 décembre une trentaine de membres du Comité laïc de coordination (CLC) alors qu’ils se regroupés au rond-point Sakombi pour manifester en vue d’exiger la fin de la taxe RAM (Registre sur les appareils mobiles) et la dépolitisation de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). <br /><br />Cette manifestation a été interdite par le gouverneur de Kinshasa qui a demandé à la police de faire respecter cette décision. <p> actualite.cd</p>

Politique Kinshasa : des membres du CLC dispersés par la police

La police a dispersé ce jeudi 22 décembre une trentaine de membres du Comité laïc de coordination (CLC) alors qu’ils se regroupés au rond-po...

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RDC : Patrick Muyaya appelle la population à éviter les extrêmes dans ses rapports avec l'armée et la police

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYlz_bSIqsYl2trNeMfuDcSTE1JARpCpaZr_p0lt3UXN8bITm41F2syDVD7w_ffyGT67EqLXJMyfMMLT9BYmpiLN-nwgXkUZC_AhtmrUYe8nSSQNtUtBMeIkCv8lr5NWQlfTZhDpqxw2MdiMkRQiyNJPy4hQyU4E8_3AAEhEBAU14uzrhugB90_qNwVg=s1183" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="641" data-original-width="1183" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYlz_bSIqsYl2trNeMfuDcSTE1JARpCpaZr_p0lt3UXN8bITm41F2syDVD7w_ffyGT67EqLXJMyfMMLT9BYmpiLN-nwgXkUZC_AhtmrUYe8nSSQNtUtBMeIkCv8lr5NWQlfTZhDpqxw2MdiMkRQiyNJPy4hQyU4E8_3AAEhEBAU14uzrhugB90_qNwVg=s320" width="320" /></a></div>Les relations de cohabitation entre population congolaise et les Forces Armées Congolaises ne cessent de se dégrader au fil des jours. Prenant la parole, Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement congolais exhorte la population congolaise d’éviter d’aller dans les extrêmes. Le ministre invite la population à soutenir les Forces Armées Congolaises et d’éviter de sombrer dans la peur sans cause.<br />Pour la bouche du gouvernement Sama Lukonde, l’État congolais s’est déjà investi à l’amélioration du rapport existant entre les FARDC et la population. Pour que les vaillants soldats réussissent leurs activités, le soutien de la population est un impératif absolu et l’élagage d’une généralisation ambigue plus que nécessaire.<br /><br />« Il faut éviter de faire une généralisation et de monter la peur dans la population au contact avec la police. Notre armée et notre police méritent notre soutien et nous travaillons à améliorer le rapport avec la population», peut-on lire sur son compte Twitter. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il sied de noter que les fakes news et la désinformation ont été pour beaucoup dans l’activité ville morte organisée à Goma, activité ayant conduit à des pertes en vies humaines dans la journée du lundi 20 décembre dernier.<br /><br />Pour le gouvernement, il est plus que nécessaire de limiter la prolifération de l’espace médiatique congolais par les fakes news et les rumeurs sans vérifications afin d’assurer la sécurité de la population congolaise. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> L’exemple de Goma avec la rumeur sur « la venue des policiers rwandais sur le sol congolais» devrait interpeller les fouteurs de troubles.<br /><b><br />Gaël Hombo/acturdc.com</b><p><b> </b></p>

Société RDC : Patrick Muyaya appelle la population à éviter les extrêmes dans ses rapports avec l'armée et la police

Les relations de cohabitation entre population congolaise et les Forces Armées Congolaises ne cessent de se dégrader au fil des jours. Prena...

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Entérinement de nouveaux membres de la Ceni: la plénière renvoyée à une date ultérieure

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgOopSTxA0XZlJVN-EqdNkGhnM6JQgwFqOBF7VopZtGxuvxqyzs7M4eyfFexuGnHIU9yHF1m7bLL160WWRuymPuRSrREooTJRmIAPtTO7xJbmxcvuFAkNicJP09p6OIlyROfn0iqTUR2gz1M7xkI46h9b4lU6my-AUV1_VL6PcGZhXtF-Pekwt-OzxW_w=s1342" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="830" data-original-width="1342" height="198" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgOopSTxA0XZlJVN-EqdNkGhnM6JQgwFqOBF7VopZtGxuvxqyzs7M4eyfFexuGnHIU9yHF1m7bLL160WWRuymPuRSrREooTJRmIAPtTO7xJbmxcvuFAkNicJP09p6OIlyROfn0iqTUR2gz1M7xkI46h9b4lU6my-AUV1_VL6PcGZhXtF-Pekwt-OzxW_w=s320" width="320" /></a></div>Initialement prévue ce mercredi 22 décembre 2021, la plénière consacrée à l’entérinement de nouveaux membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) par l'Assemblée nationale vient d’être reportée à une date ultérieure, à en croire le communiqué du rapporteur du bureau de cette chambre basse du Parlement, Lubi Lembi.<br /><br />Dans ce document, ledit bureau ne donne pas les détails sur la date exacte de l’audition du rapport que fournira le président de la commission paritaire mixte chargée de traiter les dossiers des candidats dont les postes sont réservés à l’opposition.<br /><br />Il sera question du candidat deuxième vice-président de la Ceni, d’un questeur et d’un membre de la plénière.<br /><br />Les trois postes divisent déjà le Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila dont une frange a déposé deux listes. Celle de l'ex Pprd (parti du peuple pour la reconstruction et le développement) Didi Manara, et celle de Constant Mutamba de la dissidence du Fcc. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <div><br /></div><div><br /></div><div> Des sources renseignent que plusieurs membres de cette même famille politique ont aussi déposé leurs listes en catimini.<br />LM<br />congo-press.com (MCP)<p> </p></div>

Politique Entérinement de nouveaux membres de la Ceni: la plénière renvoyée à une date ultérieure

Initialement prévue ce mercredi 22 décembre 2021, la plénière consacrée à l’entérinement de nouveaux membres de la Commission électorale nat...

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Affaire Olivier Mpunga : la thèse du suicide ne tient pas la route

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjBcSI6NXy1pHUI8majrfv8X99mu2nbGx-4Mmz50ciDbvHdQfh-QfAcvoF1ChJl82bEiClQg0X3uALlV8yyNe_H7Qs4Ee50mYgFLryClEHbIGlUXYFnuccKSaBDHfASfe8p4tijXJ3cYGiIFP1f2H8MaqP_rhoi5rCwC4QWJS6vcf4LSSWArW4T3Zy5kw=s991" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="991" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjBcSI6NXy1pHUI8majrfv8X99mu2nbGx-4Mmz50ciDbvHdQfh-QfAcvoF1ChJl82bEiClQg0X3uALlV8yyNe_H7Qs4Ee50mYgFLryClEHbIGlUXYFnuccKSaBDHfASfe8p4tijXJ3cYGiIFP1f2H8MaqP_rhoi5rCwC4QWJS6vcf4LSSWArW4T3Zy5kw=s320" width="320" /></a></div>Le procès en flagrance sur la torture ayant entrainé la mort d’Olivier Mpunga Tshimanga poursuit son cours normal ce mercredi devant la Cour Militaire de Kinshasa. Pour ce qui est de la deuxième audience, elle s’est focalisée sur l’audition des renseignants, le Général Awashango Vital, Directeur national des renseignements généraux de la Police nationale congolaise, du Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo, Chef de département des renseignements généraux ainsi que le Commissaire supérieur adjoint Nseya chargé de réception des courriers ainsi que la poursuite de l’audition des prévenus.<br /><br /> Après leur audition, une constance s’est dégagée. Acheminé physiquement par Ikamba le soir du 16 décembre au sein des installations des services spéciaux de la police, la plainte contre Olivier Mpunga Tshimanga n’ a été déposée que le vendredi 17 décembre 2021 après 8 heures du matin par l’OPJ Crispin Nzita à la réception. Et pendant l’enregistrement de ladite plainte, le suspect contre qui l’on avait retenu la prévention de vol simple avait déjà trouvé la mort. Phénomène qui a suscité l’attention particulière du ministère public. Voulant en savoir plus, l’organe de la loi ainsi que la Cour ont noté de la part de l’OPJ Crispin Nzita que cet enregistrement d’une plainte contre un mort n’était fait que par formalité administrative. Pour ce qui est du rapport fait par la police scientifique et lu par l’organe de la loi, il ne s’agit pas d’un suicide, mais ce serait une mort provoquée par la torture. Car, aucune trace du suicide n’était relevée. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> La victime avait sa langue normale et n’avait pas des matières fécale dans ses vêtements.<br /><br /> Autre chose qui a suscité une grande curiosité a été le fait que le procès-verbal d’audition d’Olivier Mpunga n’a pas été signé non seulement par le prévenu mais également par l’OPJ instructeur. Selon ce dernier, l’absence de sa signature était due au fait qu’il faisait déjà presque minuit. Comme le dossier devrait se poursuivre le lendemain, il envisageait d’apposer sa signature à la fin de la procédure. Mais déjà, son nom, qui y est mentionné, est une preuve qui crédibilise ce procès-verbal. Autre absence inquiétante : c’est le billet d’écrou qui accompagnait l’incarcération d’Olivier Mpunga dans l’amigo. A cette question, l’OPJ Crispin Nzita a rejeté la balle au chef de poste de l’amigo. Selon lui, le chef de poste, encore introuvable en ce moment, ne pouvait pas recevoir et placer un détenu dans l’amigo sans document. Ce chef de poste reste la personne la mieux indiquée pour dire où se trouverait le billet d’écrou.<br /><br />Le colonel Mupepe<br /><br />n’a pas exécuté de<br /><br />sa hiérarchie<br /><br /> Alors qu’il avait reçu l’ordre de la part de son chef, le Général Awashango Vital, directeur national des renseignant généraux de la Police nationale congolaise d’acheminer tous les suspects devant le magistrat, le Commissaire supérieur principal Mupepe a laissé partir en homme libre Ikamba, auteur de la plainte contre Olivier Mpunga, le receleur, etc. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Ce qui laisse croire qu’il n’avait pas respecté l’ordre a confirmé à la Cour le Général Awashango lors de sa déposition. Selon lui, c’est le vendredi 17 décembre vers 7 heures qu’il était informé, par téléphone, par le Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo, chef de département de renseignements généraux d’un cas de mort dans un des amigos. Et que la personne serait morte par pendaison. Et, c’est comme ça que des consignes précises étaient données au commissaire supérieur Mupepe en sa qualité de chef des opérations. Malheureusement, il a laissé partir certains suspects, bien qu’ils étaient en ce moment là avec lui dans son bureau.<br /><br /> Aidant la Cour militaire à retracer la scène macabre, le Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo ,chef de département de renseignements généraux a confirmé que c’est le vendredi 17 décembre vers 6h15, à son arrivée au bureau, qu’il était informé par le chef de poste. Pendant ce temps, l’OPJ Nzita était dans son bureau. Aussitôt, l’information était donnée à Mupepe en sa qualité de chef des opérations ainsi qu’au Général Awashango. Jetant un coup d’œil sur le rapport de permanence aucune allusion n’était faite à la mort de Olivier a-t-il fait savoir. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /> Quant au major Nseya, chargé de la réception des courriers, il a confirmé que c’est le 17 décembre qu’il avait reçu l’OPJ Nzita pour l’enregistrement de la plainte aux environs de 7h30. Comme observation, il avait mentionné «mort au cachot». A la question de l’organe de la loi tendant à connaitre le nombre des policiers qu’il avait trouvé à son entrée au service, le major Nseya a confirmé qu’il n’y avait personne.<br /><br /> Au regard des dépositions des renseignants et ses prévenus, il saute aux yeux que la thèse du suicide ne tient pas la route. La Cour militaire attend le rapport d’autopsie pour connaître la cause exact du décès d’Olivier Mpunga.<br /><br />ves Kadima<p> </p>

Justice Société Affaire Olivier Mpunga : la thèse du suicide ne tient pas la route

Le procès en flagrance sur la torture ayant entrainé la mort d’Olivier Mpunga Tshimanga poursuit son cours normal ce mercredi devant la Cour...

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les gardes du corps qui ont tiré sur la fille de feu docteur Wangata, sont ceux du président congolais Denis Sassou Ngouesso et non de Denise Nyakeru

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgCSW-GYSgxENmB6mrHheRw9maqlspUdPBmFdHHZK3VYbW9B3CGczbzJB1KBKiy72H-PFKImbkzG7EEbidewFiamEa-O5sFSx_v1ejmQ_T9l1DtF9mjU-6PWK3lZzSqhdHB3qxdTglvoxar5MSSpplvKxLNc1F7MN_85_EqvQU393lUJQQsuOXwFqz0cg=s842" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="739" data-original-width="842" height="281" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgCSW-GYSgxENmB6mrHheRw9maqlspUdPBmFdHHZK3VYbW9B3CGczbzJB1KBKiy72H-PFKImbkzG7EEbidewFiamEa-O5sFSx_v1ejmQ_T9l1DtF9mjU-6PWK3lZzSqhdHB3qxdTglvoxar5MSSpplvKxLNc1F7MN_85_EqvQU393lUJQQsuOXwFqz0cg=s320" width="320" /></a></div> La photo d’une dame défigurée qui a reçu des balles des militaires d’un cortège qu’elle suivait la nuit du 12 décembre dernier à 1 heure du matin, est virale sur les réseaux sociaux. Les détracteurs de Félix Tshisekedi ont vite attribué cette bavure aux gardes du corps de son épouse, Denise Nyakeru Tshisekedi.<br /><br />Les commentaires virulents et critiques exacerbées s’en sont suivis pour condamner cette bavure et charger l’épouse de Félix Tshisekedi et mettre en cause l’Etat de droit que prône son mari. Mêmes certains médias en ligne en quête du sensationnel et sans aucune notion de vérification, qui relayent les réseaux sociaux au lieu que ces derniers les relayent, ont raconté des salades. <br /><br />Après vérification, revérification et plusieurs recoupements, les gardes du corps qui ont tiré sur la fille de feu docteur Wangata, sont ceux du président congolais Denis Sassou Ngouesso en séjour privé à Kinshasa pour un cas de deuil.<br /><br />Ces gardes du corps qui ont constaté l’intrusion d’un véhicule non autrement identifié qui le suivait nuitamment auraient tenté à plusieurs reprises par de mouvement d’intimidation de véhicules de la suite pour les dissuader, sans succès. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> A l’entrée de la concession où devait finir la course du cortège et après avoir baissé la vitre de leur véhicule, les gardes vont sommer la conductrice en lingala : « Oza nani, oza nani », entendez : « qui es-tu ? Qui es-tu ? ». Mais la fille Wangata avait les vitres de son véhicule montées et fonçait pendant que le dernier véhicule de la suite tentait de la stopper en heurtant d’ailleurs un militaire descendu du véhicule pour la raisonner.<br /><br />Pensant que la vie du Président Sassou était en danger, les militaires de l’escorte ont alors par radio informé leur collègue de la suite, du passage en force de la jeune dame. C’est ainsi qu’arrivé à la dernière barrière, d’autres véhicules vont s’interposer pour l’obliger à descendre de son véhicule. C’est après son envolée verbale contre les militaires que les coups de feu partiront, la blessant à la cuisse gauche et à la mâchoire inférieure. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Attitude non exagérée de cette garde au vue du comportement de l’intruse. <br /><br />Et les informations parvenues au média en ligne font état de la prise en charge totale des soins médicaux à la Clinique Ngaliema de la victime par le président Sassou Ngouesso. Son état se serait stabilisé et son évacuation vers l’étranger est déjà envisagée. <img src="" /><br /><br />Ce qui est arrivé à Claudia Wangata qui lorsqu’elle prend un verre, perd souvent toute lucidité selon les témoignages de ses proches, est très déplorable, mais moralité pour tous les usagers de la route : on ne suit jamais un cortège d’une autorité. Ça s’apparente à un attentat. Même dans les pays de vieille démocratie, c’est la règle de sécurité. <br /><br />Les détracteurs de Fatshi et son épouse n’ont qu’à se repentir s’ils en auront le courage.<br /><br />scooprdc.net

Politique Société les gardes du corps qui ont tiré sur la fille de feu docteur Wangata, sont ceux du président congolais Denis Sassou Ngouesso et non de Denise Nyakeru

 La photo d’une dame défigurée qui a reçu des balles des militaires d’un cortège qu’elle suivait la nuit du 12 décembre dernier à 1 heure du...

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Le Potentiel : « Annoncé ce week-end à Mbuji-Mayi : Félix Tshisekedi va palper les défis sociaux du Grand Kasaï »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi7zW_1DYTPRc3n_Knlm7eyysctjBzBK9VY2fyebrWHg6lXXNw0IJ1zY9wR-IniwWn-q-Hip5cE-AuZ_sTmh7iacHD-MZLhbXS4DQpOtSi5dcgr3-9LIHQUMkaRk4dJiP4VgX8we7f0AlqY6gdfHZESTlJmRKe12gLa9wDtRK-WMbPzE7SmtmRADZ0d5Q=s960" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="641" data-original-width="960" height="214" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEi7zW_1DYTPRc3n_Knlm7eyysctjBzBK9VY2fyebrWHg6lXXNw0IJ1zY9wR-IniwWn-q-Hip5cE-AuZ_sTmh7iacHD-MZLhbXS4DQpOtSi5dcgr3-9LIHQUMkaRk4dJiP4VgX8we7f0AlqY6gdfHZESTlJmRKe12gLa9wDtRK-WMbPzE7SmtmRADZ0d5Q=s320" width="320" /></a></div> Revue de presse du mercredi 22 décembre 2021<br /><br />C’est dans un décor de la pauvreté criante dans la région du Grand Kasaï que le président de la République, Félix Tshisekedi, est attendu pour la toute première fois depuis son accession à la magistrature suprême dans sa province d’origine, le Kasaï-Oriental, rapporte Le Potentiel.<br /><br />Sauf changement, il devra y rester pour passer Noël sur le sol de ses aïeux, indique le tabloïd.<br /><br />Cependant, argumente le média, le Grand-Kasaï dans son ensemble et, particulièrement la province du Kasaï Oriental, fait face à plusieurs défis sociaux tels que l’eau potable qui manque encore aux robinets et l’électricité qui est une denrée rare dans la province.<br /><br />« Le Grand Kasaï prépare l'accueil de Félix Tshisekedi », titre pour sa part La Tempête des tropiques.<br /><br />Selon le journal, au cours du Conseil provincial de sécurité tenu mardi 21 décembre, le maire adjoint de la Ville de Mbuji-Mayi a annoncé l'arrivée du couple présidentiel le vendredi 24 décembre au chef-lieu de la province du Kasaï Oriental.<br /><br />Cette réunion, à l'absence de Mme le gouverneur intérimaire et du maire principal de la capitale mondiale du diamant, a été convoquée dans le cadre des préparatifs de l'accueil du Président de la République dans cette partie du pays, explique le quotidien. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le bureau de la CENI affichera complet ce mercredi<br /><br />Dans un autre registre, les journaux kinois évoquent l’achèvement du processus de désignation des membres du bureau de la CENI.<br /><br />L’Assemblée nationale sera en plénière ce mercredi 22 décembre. Au cours de ces travaux, explique le communiqué officiel signé par le rapporteur de la Chambre basse du Parlement, les députés vont auditionner le rapport de la commission paritaire sur la Commission électorale nationale indépendante -CENI- avant d’entériner le reste de la liste des candidats, renseigne Africa News.<br /><br />En réalité, note le tabloïd, c’est aujourd’hui que la plénière connaitra les noms des députés FCC qui ont décidé de prendre part à la CENI en foulant aux pieds le mot d’ordre de leur famille politique. C’est aussi aujourd’hui que les postes réservés à l’Opposition restés vides jusque-là seront comblés, conclut Africa News.<br /><br />Au soir de ce mercredi 22 décembre, annonce Le Potentiel, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) va afficher complet. En tout état de cause, c'est ce mercredi 22 décembre que les élus nationaux vont auditionner le rapport de la commission paritaire sur la Commission électorale nationale indépendante, détaille le trihebdomadaire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Trois postes réservés à l’Opposition CENI : confusion totale autour de la désignation des candidats », titre La Prospérité.<br /><br />Raymond Tshibanda, le président du Comité de crise, avait annoncé que le FCC n’alignera aucun candidat, ni ne désignera aucun de ses membres pour intégrer le Bureau de la CENI, rappelle le quotidien. Il avançait, comme raison, l’absence de consensus et la politisation de la CENI.<br /><br />Peu de jours seulement après, Didi Manara, accusé de trahison, déchu et radié du PPRD, a poussé son outrecuidance jusqu’au paroxysme, en déposant, de façon unilatérale, une liste de candidats dont certains récusent, d’ailleurs, leur désignation à l’incognito, explique le journal.<p></p>

Politique Province Société Le Potentiel : « Annoncé ce week-end à Mbuji-Mayi : Félix Tshisekedi va palper les défis sociaux du Grand Kasaï »

Revue de presse du mercredi 22 décembre 2021 C’est dans un décor de la pauvreté criante dans la région du Grand Kasaï que le président de l...

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FATSHI REJETTE LA COOPERATION MILITAIRE AVEC LE RWANDA. CHARLES MICHEL TOURNE LE DOS A KAGAME . PATIENT MWANA AKOLI DU 22/12/2021 🔵🟡🔴 ( VIDEO )

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🔴 PRESIDENT RENE : MOISE KATUMBI SE MOQUE DE LA POPULATION DE KISANGANI DANS L ' AFFAIRE RAM. 🔵🟡🔴 ( VIDEO )

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🔴BAVURES POLICIERES EN RDC : ASELO PROUVE SON INCOMPETENCE . KASONGO ET AMOULI DOIVENT PARTIR.🔵🟡🔴 ( VIDEO )

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Union Sacrée : Ensemble et MLC, partenaires politiques ou alliés rivaux de Fatshi ?(Tribune de Honoré Mvula)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkVSPvgtxEx4pBL352tgZOm3ixpxE60qszgWZp6CErjsEPwBQd3ljZkONEXGjY40rivZkNllQS2VsPPBKR32Mjf0b5-PR2nlMrU0Dsov97jqT38PNFL18Ovu7T-eCBTEcYssVgItlfPkVosEmqqJAvItrFuML3kT4akN98TtmLau9XoJJhQdi6Ju5CnA=s992" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="992" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgkVSPvgtxEx4pBL352tgZOm3ixpxE60qszgWZp6CErjsEPwBQd3ljZkONEXGjY40rivZkNllQS2VsPPBKR32Mjf0b5-PR2nlMrU0Dsov97jqT38PNFL18Ovu7T-eCBTEcYssVgItlfPkVosEmqqJAvItrFuML3kT4akN98TtmLau9XoJJhQdi6Ju5CnA=s320" width="320" /></a></div>Quand Ensemble et MLC vont en campagne électorale avec leurs ministres<br /><br />Comme on ne cesse de le dire, lorsque vous êtes dans une Union, il faut toujours faire attention aux intentions des autres pour ne pas servir de prétentions ou des tensions. <br /><br />En tout cas, dans l'union sacrée plusieurs partenaires politiques du président y sont venus pour se taper une santé financière et mieux préparer les élections de 2023.<br /><br />En effet, les ministres de Ensemble pour la République ont en date du 20 décembre, abandonné leurs charges habituelles, utilisé les fonds de l'Etat pour se rendre à un meeting à Kisangani dans lequel, le gouvernement a été fortement attaqué.<br /><br /><b>Où serait passé le devoir de réserve ?</b><br /><br /><b>N'est-ce pas que la constitution interdit aux membres du gouvernement de ne pas prendre part active aux activités politiques ?</b><br /><br />En tout cas, tout laisse à penser que certains partenaires ne sont pas sérieux. Ils organisent déjà des campagnes électorales. Le président de la République est appelé à doubler des vigilances. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />C'est aussi pour moi l'occasion d'appeler à l'union des forces politiques et sociales qui soutiennent sincèrement la vision de son Excellence, Monsieur le Président de la République. <br /><b><br />Honoré Mvula<br />Président des Forces Patriotes</b><p> </p>

Politique Union Sacrée : Ensemble et MLC, partenaires politiques ou alliés rivaux de Fatshi ?(Tribune de Honoré Mvula)

Quand Ensemble et MLC vont en campagne électorale avec leurs ministres Comme on ne cesse de le dire, lorsque vous êtes dans une Union, il fa...

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« Jacky Ndala est injustement privé de liberté », dénonce Katumbi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjHRgYcrNA9HtqqO6wg4gU0JTK5lDlUQAvp5aR4dtlRM6y4qBrYCdVdpMlRm2U7cexmQgzHVeNakKTT4KuHhvbU9VkVC1jY_Oug4vs94PsDxcOs3v1ZFckNezVA9-enVzbG9zQuysIMRfkJi3R9N9o4iSHx1QqP7P90vwb6VVr15GBQtGonABchvdXjLg=s1182" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="649" data-original-width="1182" height="176" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjHRgYcrNA9HtqqO6wg4gU0JTK5lDlUQAvp5aR4dtlRM6y4qBrYCdVdpMlRm2U7cexmQgzHVeNakKTT4KuHhvbU9VkVC1jY_Oug4vs94PsDxcOs3v1ZFckNezVA9-enVzbG9zQuysIMRfkJi3R9N9o4iSHx1QqP7P90vwb6VVr15GBQtGonABchvdXjLg=s320" width="320" /></a></div> Moïse Katumbi renouvelle son soutien total au coordonnateur national de la jeunesse de son parti, incarcéré à la prison centrale de Makala.<br /><br />Jacky Ndala, un des généraux d’Ensemble pour la République a été condamné à vingt deux mois de prison pour « incitation à la désobéissance civile ». Katumbi qui avait accepté de tout perdre sous le régime Kabila afin de mener le combat du respect de la Constitution et de l’instauration de l’Etat de droit condamne fermement l’injustice dont est victime le cadre de sa formation politique.<br /><br />« C’est ici le lieu de rappeler que notre ami, frère, fils, Jacky Ndala est toujours en prison. Il passera cette fin d’année injustement privé de liberté. Il ne va pas fêter avec sa famille. Je l’ai visité et lui renouvelle ici tout mon soutien total », a-t-il dit. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Face à ce genre de violation des libertés fondamentales, Katumbi pense qu’il faut « mettre un terme à la longue pratique de découragement et de la résignation qui a gagné une partie de nos compatriotes ».<br /><br />Il a, à cette occasion, rendu hommage à tous ceux qui sont morts avant même que le parti ne puisse remporter la victoire finale. Il s’agit notamment des Charles Mwando Nsimba, Pierre Lumbi, Bienvenu Apalata, Gabriel Kyungu Wa Kumwanza et Badiabale Aziza.<br /><b>Reagan Ndota<br />OURAGAN </b><p></p>

Politique « Jacky Ndala est injustement privé de liberté », dénonce Katumbi

Moïse Katumbi renouvelle son soutien total au coordonnateur national de la jeunesse de son parti, incarcéré à la prison centrale de Makala....

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Soupçonné de détournement, Nicolas Kazadi traduit en justice

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBBpYhuD6Ozm2xK5ZfelmKCYTdDBSv_YVZ9fccj4A5lv7V5IBJbL2cAga8_4N1KkrKvlz5LNdI8CkxyGeRZDryB35IPsSQzIe7jg1YgQbow4XhWYW_gBnd6XeS98_3IW-6wg9TDstE8121VMKfpjed-813o8Bxl525jDWB-9RfRZgmPLXO_JjmpVfrlA=s994" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="657" data-original-width="994" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgBBpYhuD6Ozm2xK5ZfelmKCYTdDBSv_YVZ9fccj4A5lv7V5IBJbL2cAga8_4N1KkrKvlz5LNdI8CkxyGeRZDryB35IPsSQzIe7jg1YgQbow4XhWYW_gBnd6XeS98_3IW-6wg9TDstE8121VMKfpjed-813o8Bxl525jDWB-9RfRZgmPLXO_JjmpVfrlA=s320" width="320" /></a></div>Les anciens membres du gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba viennent de saisir la justice contre le Ministre National des finances du gouvernement Sama Lukonde, Nicolas Kazadi, soupçonné d’avoir détourné leurs indemnités de sortie.<br /><br />Cette plainte signée par Me Djef Kanku Malu, l’un des conseils du collectif a été déposée lundi 20 décembre 2021, auprès du Procureur Général près la Cour de Cassation.<br /><br />«Les membres des anciens cabinets ministériels vous saisissent pour le comportement infractionnel de détournement en charge du ministre des finances Monsieur Nicolas Kazadi. », lit-on dans cette plainte.<br /><br />Selon eux, après la cessation des fonctions dans les cabinets ministériels au lendemain de la publication du Gouvernement Sama Lukonde, le Gouvernement démissionnaire avait pris l’engagement de payer leurs indemnités de sortie. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ces membres disent subir d’énormes préjudices moraux et matériels au regard de la situation précaire dans laquelle ils se trouvent après avoir servi la République loyalement et fidèlement, tout en sollicitant des poursuites appropriées contre le ministre des finances Nicolas Kazadi.<br /><br />Il faut signaler que cela fait presque une année déjà que le gouvernement Ilunkamba a été destitué à la suite d’une motion de censure initiée par les députés pro Tshisekedi.<br /><br />Par Ivan Honoré<p style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Merriweather; font-size: 18px; line-height: 1.6 !important; margin: 0px auto 26px; overflow-wrap: break-word;"><br /></p><p> </p>

Justice Soupçonné de détournement, Nicolas Kazadi traduit en justice

Les anciens membres du gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba viennent de saisir la justice contre le Ministre National des finances du gou...

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Urgent : Fin de suspense, Moïse Katumbi reste dans l’Union sacrée de Tshisekedi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhplLjNN06_-SgmSlHcjqQkojDc6qAmJ0Vk45U6nyFkAfT-rkHQb74xwQB3AQ1Up5gg6hgeBIuF5AnQ6c4XxAvX782pNOyVAFzhCXIRFYfpmdoCXi3dYCV2LUkywW8Xf7NppN5MkE3-jJKb1FPDtWNHojx2mFYWfGY6oE_mERChUD1roiY37WxKeIbC-g=s1075" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="750" data-original-width="1075" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhplLjNN06_-SgmSlHcjqQkojDc6qAmJ0Vk45U6nyFkAfT-rkHQb74xwQB3AQ1Up5gg6hgeBIuF5AnQ6c4XxAvX782pNOyVAFzhCXIRFYfpmdoCXi3dYCV2LUkywW8Xf7NppN5MkE3-jJKb1FPDtWNHojx2mFYWfGY6oE_mERChUD1roiY37WxKeIbC-g=s320" width="320" /></a></div><br />Le pouvoir, dit-on, est comme une drogue : quand on y a goûté, il est terriblement dur de s’en passer.<br /><br />Moïse Katumbi ne quittera pas l’Union sacrée de Tshisekedi. L’ancien gouverneur de l’ex Province du Katanga y reste tout en refusant de cautionner les « bêtises » de la nouvelle vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi.<br /><br />« Je suis à l’Union Sacrée pour aider le pays à se développer. Je ne suis pas là pour négocier de postes(…) Nous n’allons pas cautionner les bêtises », répond Moïse Katumbi à un élève qui lui a posé la question sur son avenir dans la nouvelle majorité au pouvoir.<br /><br />Déclaration faite ce mardi à Kisangani, où il séjourne pour installer son parti politique Ensemble pour la République. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Allié du chef de l’État, Félix Tshisekedi depuis la fin 2020, Moïse Katumbi avait lancé les consultations pour se décider sur son départ ou pas de l’Union sacrée.<p></p><p> C’était après les vives tensions observées au sein de la nouvelle famille politique du Chef de l’État Félix Tshisekedi, notamment celles de la désignation, enterrinement et l’investiture des membres de la CENI, qui était pour le richissime congolais une « ligne rouge » à ne pas franchir.</p><p><br /></p><p><b>Par Gilbert Ngonga</b></p>

Politique Urgent : Fin de suspense, Moïse Katumbi reste dans l’Union sacrée de Tshisekedi

Le pouvoir, dit-on, est comme une drogue : quand on y a goûté, il est terriblement dur de s’en passer. Moïse Katumbi ne quittera pas l’Union...

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Dossier Ram: Delly Sesanga a vu juste : « Monsieur le Président Tshisekedi, on vous ment »

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgk6rZ1uZlBjE42amnVze4M7C2J67wdQrKAL2vvpW0myQMPyLZDz36wuYmrZ1CQwAwmurcMaW3amifV5_eHdWWkrolcgg-X5VahRLt0iNM1QpsOtCHUZBKiF98pEvrqe7UY4z0It_20ZC-5n_La2Fvk7ov6wTSHnz1OwSTTj-nNxdgavmDy2Qxwo9GpHQ=s1270" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="842" data-original-width="1270" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgk6rZ1uZlBjE42amnVze4M7C2J67wdQrKAL2vvpW0myQMPyLZDz36wuYmrZ1CQwAwmurcMaW3amifV5_eHdWWkrolcgg-X5VahRLt0iNM1QpsOtCHUZBKiF98pEvrqe7UY4z0It_20ZC-5n_La2Fvk7ov6wTSHnz1OwSTTj-nNxdgavmDy2Qxwo9GpHQ=s320" width="320" /></a></div> Les fonds générés par la taxe du Registre des appareils mobiles (RAM) instituée par le ministère chargé des Télécommunications et des Nouvelles technologies de l’information et de la communication font toujours débat. Et les interrogations persistent au sujet de la gestion de ces fonds, qui pour la majorité des congolais seraient illégaux.<br /><br />Le député national Delly Sesanga, veut savoir où part l’argent collecté.<br /><br />« Quand nous voulons parler de RAM à l’Assemblée nationale, ils refusent (les membres du bureau de l’Assemblée nationale, ndlr). Où part l’argent récolté sans se soucier de la population ? Monsieur le président Tshisekedi, on vous ment. », a accusé l’élu de Luiza. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />D’après les dernières statistiques de l’Observatoire de la Dépense Publique (ODEP), la taxe sur le registre des appareils mobiles (RAM) a permis de collecter 266 millions USD depuis son institution en septembre 2020. Ce que l’observatoire qualifie « d’escroquerie ».<br /><br />On s’en souvient, au mois d’octobre, Augustin Kibassa, ministre des PTNTIC avait assuré que les revenus collectés avec la taxe du registre des appareils mobiles (RAM) n’étaient pas gérés par son ministère, mais par l’autorité de régulation des télécommunications (ARTPC) qui selon lui, jouit d’une autonomie administrative et financière.<p></p><b> Par Gilbert Ngonga </b>

Politique Dossier Ram: Delly Sesanga a vu juste : « Monsieur le Président Tshisekedi, on vous ment »

Les fonds générés par la taxe du Registre des appareils mobiles (RAM) instituée par le ministère chargé des Télécommunications et des Nouve...

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Urgent : 6.940.040 usd séquestrés à Afriland Bank de 2018 à 2019

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjzy_ALNyzrMmrWcBZOZHb4L6vJHEQRtodtPh9WIEBj05R88oQ4VWhhLNrwzIhYdopDw2RLY2SplltlRkbqNG8Y3G5kssTMQhn2jeNEyR7O58KBkIwXBgHVUw821CrmTksWGkbb4dnGj8vS_TEnFxlvxsLXBRVv4JaVOnBaDxYKCEyNrhz4uJvEk5X9zg=s967" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="546" data-original-width="967" height="181" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjzy_ALNyzrMmrWcBZOZHb4L6vJHEQRtodtPh9WIEBj05R88oQ4VWhhLNrwzIhYdopDw2RLY2SplltlRkbqNG8Y3G5kssTMQhn2jeNEyR7O58KBkIwXBgHVUw821CrmTksWGkbb4dnGj8vS_TEnFxlvxsLXBRVv4JaVOnBaDxYKCEyNrhz4uJvEk5X9zg=s320" width="320" /></a></div>L’inspection générale des finances (IGF), avait lancé la patrouille financière anti-détournements.<br /><br />Cette opération de grande envergure mise en place depuis janvier 2021 est destinée à empêcher les détournements des fonds publics dans les entreprises de l’Etat et au Compte Général du Trésor Public.<br /><br />Résultats, cette institution attachée à la Présidence de la République vient de découvrir des recettes de l’État, estimées à 6.940.040 usd séquestrées à Afriland Bank de 2018 à 2019.<br /><br />Les sources bancaires qui dévoilent cette information ce lundi, affirment que ces millions n’ont jamais été reversés au compte de l’État.<p><b> Par Gilbert Ngonga</b></p>

Economie Urgent : 6.940.040 usd séquestrés à Afriland Bank de 2018 à 2019

L’inspection générale des finances (IGF), avait lancé la patrouille financière anti-détournements. Cette opération de grande envergure mise ...

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Congo-RDC : signature de deux accords pour renforcer la coopération

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgv1Fh0odGsXqVqXcYa05nADq---goPIFoL0UNN-tzp7pkxNV3I3ocxyHSsuIaVq60bILfHVS9UZE2gXmwYGcm3KBNJpooX1Lg-xcrLznsCOIyIijGLFGBHYqnzCUR6ukZh_UN1sEaNzg36sVJ9DyW3B684Qyrcl1hNBs53qWK571XwH0Okz9EFmRsi4A=s988" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="484" data-original-width="988" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgv1Fh0odGsXqVqXcYa05nADq---goPIFoL0UNN-tzp7pkxNV3I3ocxyHSsuIaVq60bILfHVS9UZE2gXmwYGcm3KBNJpooX1Lg-xcrLznsCOIyIijGLFGBHYqnzCUR6ukZh_UN1sEaNzg36sVJ9DyW3B684Qyrcl1hNBs53qWK571XwH0Okz9EFmRsi4A=s320" width="320" /></a></div>Ces accords signés entre les deux pays portent sur les secteurs de la lutte contre les maladies endémo-épidémiques, du commerce et autres.<br /><br />La République du Congo et la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu lundi à Brazzaville des accords de coopération. Ces accords sont destinés à renforcer les relations entre les deux pays.<br /><br />Ces accords signés lundi 20 décembre 2021, portent sur les secteurs de la lutte contre les maladies endémo-épidémiques, du commerce, de l’enseignement technique, de la formation professionnelle, de l’intégration et de la promotion de la femme et du genre.<br />Les deux délégations ont également focalisé leur attention sur les projets d’accords de coopération entre les ministères des Affaires étrangères des deux pays, la lutte contre la traite des enfants et la criminalité urbaine. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Elles ont aussi évoqué les projets de coopération dans le domaine militaire et technique, ainsi que ceux liés au développement de la culture, du tourisme, de la jeunesse et du sauvetage des populations en détresse.<span style="font-size: medium;"><b> </b></span><div><span style="font-size: medium;"><b><br /></b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><b>journaldebrazza.com</b></span></div>

Politique Congo-RDC : signature de deux accords pour renforcer la coopération

Ces accords signés entre les deux pays portent sur les secteurs de la lutte contre les maladies endémo-épidémiques, du commerce et autres. L...

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Une année à la tête du perchoir/Assemblée nationale : la CRD Nord-Kivu salue la bravoure de Christophe Mboso

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjcDSm-hNU9PZXuHb7p66RL1KORWlPxMQw6xFSWyl3Ncw9jgwBjzin-f48U5DpYBbX92D5pkdfI-iVj-px55ofRi48OmW1bD7zwah8fhzNsK5sKE11Q8egb5ctQHbLKDU7YJ-d173_QgYKvxfxbyXwmMMI9q2mdti2YKVWqbrHc-kfZcJvXq_p9GZNyWQ=s720" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="720" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjcDSm-hNU9PZXuHb7p66RL1KORWlPxMQw6xFSWyl3Ncw9jgwBjzin-f48U5DpYBbX92D5pkdfI-iVj-px55ofRi48OmW1bD7zwah8fhzNsK5sKE11Q8egb5ctQHbLKDU7YJ-d173_QgYKvxfxbyXwmMMI9q2mdti2YKVWqbrHc-kfZcJvXq_p9GZNyWQ=s320" width="320" /></a></div> *Comme connu de tout le monde, Christophe Mboso a totalisé une année à la tête du perchoir de l’assemblée nationale ce mercredi 8 décembre 2021 cela malgré beaucoup des tiraillements au sein de la deuxième institution en République Démocratique du Congo ainsi que tous les problèmes qui se sont passés au pays de Lumumba.<br /><br />Face à cette célébration, le parti politique Convention pour la République et la Démocratie CRD en sigle Interfédération du Nord-Kivu salue le courage dont le président de l’Assemblée nationale Christophe Mboso a fait montre à la face, en contribuant au déboulonnage de l’ancien régime qui n’a pas été utile à la population, selon Gilbert Kubali, numéro un ad intérim de ce parti politique en province<br /><br />A l’en croire, c’est une grande joie d’avoir un président de l’Assemblée nationale qui n’est pas une institution à négliger ayant la calibre de Christophe Mboso qui la gère avec sagesse et c’est dans cette optique qu’une cérémonie d’anniversaire a été organisée en ville de Goma, le samedi 11 décembre 2021. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Ce n’est pas facile de totaliser une année à la tête de l’assemblée nationale avec toutes les tensions entre l’ancienne coalition FCC-CACH ainsi que d’autres mais, Mboso a prouvé au sein de l’opinion publique que gérer une telle institution avec la sagesse, c’est possible.<br /><br />Il est impossible que l’assemblée nationale, dans n’importe quel pays du monde, soit gérée par une personne n’ayant pas la vision du Chef de l’Etat cause pour laquelle Mboso s’est rangé derrière la vision du président de la République Félix Tshisekedi qui prône le peuple d’abord.<br /><br />Avec cette vision, toutes les institutions de la République ont l’obligation de travailler premièrement pour l’intérêt de la population qui n’est autre que le souverain primaire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />‘’Nous aimerions que tout le peuple Congolais fasse de Christophe Mboso, une des références au sein de la scène politique Congolaise et de se ranger derrière la vision de Félix Tshisekedi dont plusieurs changements ont été visibles dans plusieurs domaines de la vie’’, a dit Gilbert Kubali inter fédéral ad intérim au Nord-Kivu du parti politique Convention pour la République et la Démocratie CRD en sigle et cher à Christophe Mboso ».<br /><br />Il y a lieu de signaler qu’à cette occasion, une matinée politique a été tenue à Goma, le samedi 11 décembre 2021 où l’idéologie de Mboso a été prêché.<br /><br />Guellord Risasi<p></p>

Politique Une année à la tête du perchoir/Assemblée nationale : la CRD Nord-Kivu salue la bravoure de Christophe Mboso

*Comme connu de tout le monde, Christophe Mboso a totalisé une année à la tête du perchoir de l’assemblée nationale ce mercredi 8 décembre...

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Cour Militaire : l’étau se resserre autour des meurtriers d’Olivier Mpunga

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiE_KWNJAfErVlRpZbK7vlJYIp4Mlnb8TQPCDjNQVRaNs-xv1PlCsat5LuQX4szJz7ZfwSvijcOtHkar5B_gadR9OygI0MPicWPKh71nRvAlTPoI0hz2QZWTzl8cESoDVJwdBY9sSJJs6iJgUPSSSpD-WYXqxNAaOUWJGxpDmNAdBE5Sm4mLyvHaqJe6g=s1159" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="653" data-original-width="1159" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiE_KWNJAfErVlRpZbK7vlJYIp4Mlnb8TQPCDjNQVRaNs-xv1PlCsat5LuQX4szJz7ZfwSvijcOtHkar5B_gadR9OygI0MPicWPKh71nRvAlTPoI0hz2QZWTzl8cESoDVJwdBY9sSJJs6iJgUPSSSpD-WYXqxNAaOUWJGxpDmNAdBE5Sm4mLyvHaqJe6g=s320" width="320" /></a></div> Député hier devant la Cour militaire de Kinshasa Gombe en procédure de flagrance, le procès sur la mort de Olivier Mpunga, dans les installations des services spéciaux de la police nationale congolaise, dans la nuit du 16 au 17 décembre 2021, se poursuit ce mardi devant la même instance judiciaire. Pour ce qui est de la première audience, elle a été consacrée à l’audition de certains prévenus. Il s’agit du Commissaire supérieur principal Mupepe, du Commissaire Nzita, du brigadier Diamasivi ainsi que de Morgan Shongo.<br /><br /> Présenté par l’organe de la loi comme le parapluie des meurtriers de Olivier Mpunga, le Commissaire supérieur principal Mupepe a dit à la Cour, vu son travail, qu’il avait reçu l’appel d’un certain Ikamba, l’informant d’avoir mis la main sur Olivier Mpunga à qui il avait confié sa voiture pour une course vers l’aéroport international de Ndjili. N’étant plus au lieu de service depuis le début de la mi-journée du jeudi 16 décembre, c’est le Commissaire Nzita, en sa qualité d’OPJ, qui avait reçu l’ordre d’instruire le dossier.<br /><br /> Contre toute attente, le 17 décembre, vers 7 heures du matin, alors qu’il se trouvait encore chez lui, son collègue, chef du département des ressources humaines, lui avait, par un appel téléphonique, signalé le suicide de Olivier Mpunga au cachot où il avait été placé en garde à vue. Une fois dans les locaux des services spéciaux, il avait constaté que le dossier était déjà entre les mains du parquet et de la police scientifique. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Alors qu’il pensait au suicide, le magistrat, alerté toujours par le responsable des ressources humaines, lui avait montré une vidéo où des éléments de la police administraient des coups à Olivier Mpunga, en sous- vêtement, avec les mains ligotées à l’aide de son short et d’un bâton.<br /><br />Avant d’être dans l’officine du ministère public, il ne savait pas qu’il s’agissait d’un cas de meurtre. S’il était au courant d’une telle histoire, l’ordre allait être donné pour arrêter tous les suspects car, ils étaient encore présents sur le lieu. Cette position du Commissaire supérieur principale Mupepe considérée comme une manière de protéger des criminels non seulement par l’organe de la loi mais aussi par la partie civile, Olivier Mpunga. Selon elle, toutes les réponses du Commissaire supérieur principale étaient évasivents. En sa qualité de responsable du service, le Colonel Mupepe devait fournir des explications claires.<br /><br /><b>Vol simple retenu contre Olivier Mpunga</b><br /><br /> L’OPJ instructeur du dossier, le Commissaire Nzita, a prétendu n’avoir pas vu des actes de torture infligés au défunt Olivier Mpunga. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il a reconnu que dans son office, le défunt était amené ligoté par le brigadier Diamasivi. Sur le champ, instruction était donnée de le délier. Chose qui était faite. Selon lui, lors de son audition, Olivier Mpunga avait reconnu avoir falsifié les documents du véhicule d’un certain Ikamba et que ledit véhicule était remis à un tiers moyennant une somme de 5250 dollars américains.<br /><br /> Suite à cette déposition, l’infraction de vol simple était retenue contre lui. Comme il faisait déjà nuit, un billet d’écrou était établi et l’ordre était donné au chef de l’Amigo pour son incarcération jusqu’au matin. Pendant ce temps, toutes les assurances lui étaient données pour sa sécurité, étant donné qu’il était déjà entre les mains de la police. Contre toute attente, le lendemain, on l’a retrouvé pendu à l’aide de son pantalon bleu Jeans.<br /><b><br />Mpunga torturé dans le bureau de Nzita</b><br /><br /> Contrairement aux allégations faites par l’OPJ Nzita, affirmant avoir garanti Olivier sa sécurité, le Brigadier Diamasivi a révélé que c’est dans le bureau de cet officier de la police judiciaire que des coups suivis de blessures étaient administrés à Olivier Mpunga. A titre personnel, lui n’avait administré que des gifles avant de regagner son poste de travail qui était l’entrée principale. Les autres coups étaient donnés par le chauffeur de Ikamba, le sous-commissaire principal Mbemba, l’APJ Mushamba etc. Ces coups étaient donnés à la demande de Ikamba consistant à exercer une pression sur Olivier Mpunga afin qu’il passe aux aveux. Malheureusement, le matin, alors qu’il se trouvait à son poste de travail, il était alerté par la nouvelle du suicide. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /> Pour recueillir ses aveux à l’aide des coups infligés dans le bureau de l’OPJ Nzita, il n’avait personnellement pas reçu de billet de banque. Déclaration confirmée par l’OPJ qui a soutenu que les 100 dollars reçus des mains de Ikamba étaient restés dans le dossier. Malheureusement, ils étaient introuvables. Pour ce qui est des personnes qui avaient torturé la victime, l’OPJ Nzita a soutenu ne les avoir pas vues dans son bureau. Il faut indiquer que le ministère public a attiré l’attention de la cour sur le fait que le dossier dans lequel les services spéciaux de la police se sont ingérés est un dossier civil qui ne relevait pas de leur compétence. Affaire à suivre<br /><br />Yves Kadima<p></p>

Société Cour Militaire : l’étau se resserre autour des meurtriers d’Olivier Mpunga

Député hier devant la Cour militaire de Kinshasa Gombe en procédure de flagrance, le procès sur la mort de Olivier Mpunga, dans les install...

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RDC : 731 nouveaux cas de Covid-19 confirmés dont 394 à Kinshasa

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjUJHZjWFav56DhLrTe8ln32MUV7HSA7WpvyRKl1v7FCEgQykv6a8ZKBoDngBHAGcXp_on4K0joG_iuQHSa0JYtm9PWTLXqUjIt4imoEgaCsJsEV9P5WegjIHuMlKH18rlqvhOck3b79zWBg_AzDfZXh_nmGiAvxYjPrTYbDolz13-TJj0oJn28pRN1SQ=s989" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="556" data-original-width="989" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjUJHZjWFav56DhLrTe8ln32MUV7HSA7WpvyRKl1v7FCEgQykv6a8ZKBoDngBHAGcXp_on4K0joG_iuQHSa0JYtm9PWTLXqUjIt4imoEgaCsJsEV9P5WegjIHuMlKH18rlqvhOck3b79zWBg_AzDfZXh_nmGiAvxYjPrTYbDolz13-TJj0oJn28pRN1SQ=s320" width="320" /></a></div>Dans son rapport du 19 décembre 2021 sur la situation épidémiologique de la Covid-19, le secrétariat technique du Comité Multisectoriel de la Riposte contre cette pandémie, renseigne que 731 nouveaux cas ont été confirmés au pays.<br /><br />Sur ces nouveaux cas, 394 sont de la ville de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, 173 du Haut-Katanga, 103 du Nord-Kivu, 15 du Kasaï-Oriental, 14 du Lualaba, 14 du Sud-Kivu, 14 du Sud-Ubangi et 4 de la Tshopo.<br /><br />Depuis la déclaration officielle du coronavirus en RDC le 10 mars 2020, le cumul de cas est de 70.058 cas dont 70.056 cas confirmés et 2 cas probables.<br /><br />D'après la même source, les données de nouveaux cas de guérison ne sont pas disponibles. Idem pour les nouveaux cas de décès. À noter que 5967 échantillons ont été testés dimanche sur l'ensemble du territoire national. <br /><br />Jephté Kitsita<p></p>

Santé RDC : 731 nouveaux cas de Covid-19 confirmés dont 394 à Kinshasa

Dans son rapport du 19 décembre 2021 sur la situation épidémiologique de la Covid-19, le secrétariat technique du Comité Multisectoriel de l...

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RDC : « il n'a pas été question que la police rwandaise vienne chez nous mais plutôt de combattre le terrorisme et criminalité transfrontalière par de remise de police à police (Pierrot Mwana Mputu)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgzDuP2NkQDxzWzi7x9TpzpgpD8esVI7FvIImWzcOLmrpIWWnduj2e_PQhKE83fucLIcyWPKfNGkYmJaACzRON4adH9giAdm24lOz56Z_RoEWddukF9oS2u7VyXWDA9Qo5XXVoFCkEpJ0bpKdktyrlK7oH-4C-7EWX60hVEGmpdhLZ-DU5cCgS8qGDD0w=s996" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="996" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgzDuP2NkQDxzWzi7x9TpzpgpD8esVI7FvIImWzcOLmrpIWWnduj2e_PQhKE83fucLIcyWPKfNGkYmJaACzRON4adH9giAdm24lOz56Z_RoEWddukF9oS2u7VyXWDA9Qo5XXVoFCkEpJ0bpKdktyrlK7oH-4C-7EWX60hVEGmpdhLZ-DU5cCgS8qGDD0w=s320" width="320" /></a></div><br /> Le porte-parole de la Police nationale congolaise (PNC), le commissaire supérieur principal Pierrot Mwana Mputu, a rassuré l'opinion nationale que le séjour du commissaire général de la police, Dieudonné Amuli Bahigwa, au Rwanda n'avait pas pour objectif de faire venir la police rwandaise sur le sol congolais. À l'en croire, son déplacement s'inscrit dans le cadre du comité des Chefs de police des pays d'Afrique de l'Est ( EAPCCO) dont le siège est à Nairobi et dont la RDC assume la présidence depuis le 15 octobre dernier.<br /><br />Conformément aux résolutions de l'EAPCCO, il est prévu la mise en place des extensions des bureaux de liaisons qui vont commencer à collaborer. L'objectif est de combattre le terrorisme et criminalité transfrontalière par de remise de police à police.<br /><br />« Après Nairobi, c'est alors qu'il (commissaire Dieudonné Amuli Bahigwa) s'est envolé avec sa délégation pour arriver au Rwanda. La première mission, c'est faire le suivi des résolutions qui ont été prises au niveau de la 23e Assemblée générale des chefs de police de l'Afrique de l'Est et après procéder à la signature du mémorandum d'entente entre la police rwandaise et la police congolaise en bilatérale. Pourquoi ? <p></p><p>Parce que le long de notre frontière, nous avons de criminalité transfrontalière et transnationale organisée et le terrorisme et donc nous devions en principe collaborer avec les deux polices le long des frontières ça signifie qu’il y a une procédure de remise de police à police, ça signifie que lorsque le criminel recherché a posé les actes criminels au niveau de la République Démocratique du Congo et qu'il traverse de l'autre côté auprès d'un pays voisin, nous n'en sommes pas habilités à le poursuivre là-bas mais avec les accords de police à police avec le mémorandum d'entente la police du pays voisin nous signale que voici tel monsieur, avec telle morphologie, telle identité a traversé là-bas après avoir commis des infractions dans notre pays, et ils vont le récupérer et dès qu'il le récupère, ils viennent nous le remettre mais lorsque nous ne faisons pas cet accord entre police et police nous devons passer par la procédure d'extradition, la procédure de remise à police à police est une dérogation qui nous a été accordée dans le domaine de droit commun en matière d'extradition », a expliqué lundi 20 décembre 2021, la bouche autorisée de la police nationale congolaise au cours d'un briefing conjoint avec Patrick Muyaya et Leon Richard Kasonga. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> </p><p><br />Et de poursuivre :<br /><br /><br />« Dans le cas d'espèce, il n'a pas été question que la police rwandaise vienne chez nous. Pour faire quoi concrètement ? Pour venir sécuriser les populations qui sont chez nous ? Non, c'est cette entente-là de remise de police à police, c'est de cette manière qu'il a été fait. Il a été décidé au niveau de la 23e Assemblée des chefs de police que comme il y aura le centre d'excellence de lutte contre le terrorisme, centre d'excellence régional basé à Nairobi, il faut qu'il y ait des extensions, des bureaux des liaisons à travers les 14 pays membres. </p><p><br /></p><p>Et nous avons été intéressés (…). Dans ce bureau d'analyse d'exploitation des données et d'évaluation des données du terrorisme exclusivement ce ne seront que des officiers de police de la RDC assistés par les membres du secrétariat technique de l'EAPCCO. Qui est le Président ? Notre commissaire général mais pourquoi est-ce-que vous pensez que chez nous nous n'avons pas des officiers capables de faire ce travail-là ? ».<br /><br />Toutefois, il reconnaît qu'il y a un communiqué de la police rwandaise qui a affirmé qu'il y aurait accord pour constituer une unité conjointe de la police rwandaise et la police congolaise à Goma. Il ne sait pas affirmer s'il s'agit de la mauvaise foi mais Mwana Mputu rassure qu'il n'en était pas question.<br /><br /><br />« C'est vrai, qu'il y a un communiqué, ça il faut qu'on se le dise, qui a été publié par la police rwandaise disant que lors du séjour du commissaire général, ils se sont entendus entre autres qu'on puisse constituer une unité conjointe de la police rwandaise et la police congolaise pour venir chez nous mais heureusement quand ont fait quelque chose de bien, on ne laisse pas des traces mais si vous lisez très bien le communiqué on vous dira unité spéciale de police pour collecter les données est-ce qu'une police spéciale en opération vient collecter les données ?</p><p><br /></p><p> Non, et donc nous ne disons pas qu'il y avait mauvaise foi mais nous disons seulement que ça n'a pas été dit, ça n'a pas été fait et personne ne pourra accepter en cette période que nous ne fassions pas notre travail donc vraiment enlever dans votre idée », a-t-il recommandé.<br /><br />Pour lui, ce sont des personnes de mauvaise volonté qui sont derrière cette situation pour manipuler la population. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« (…) Je vous dis qu'aujourd'hui, il n'y a pas de policiers rwandais ici chez nous. Mais ils vont venir comment ? J'ai suivi, on m'a envoyé un sonore, quelqu'un a dit : je suis à la grande barrière, je suis en train de les voir entrer, je les ai vus. Cet homme-là était derrière les rideaux en train de faire les choses comme ça, c'est ce qui a mis le feu dans la poudre. Des personnes comme ça comme son excellence venait de le dire, ils se sont trompés. Le Nord-Kivu et Ituri sont en état de siège, je suis désolé, ceux qui sont à la base de cette manipulation vont répondre de leurs actes », a souligné le porte-parole de la Police nationale congolaise (PNC).<br /><br />Une vive tension s'était observée lundi 20 décembre à plusieurs endroits dans la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. À la base, des manifestations de jeunes en colère qui disent protester contre la venue “de la police rwandaise à Goma pour assurer la sécurité".<br /><br />Des barricades ont été érigées sur plusieurs artères routières bloquant ainsi la circulation. C'était le cas des axes Katoyi-Terminus, Kilijiwe-entrée président, Majengo-Buhene (Commune de Karisimbi) où les éléments de la police et des FARDC usent des tirs de sommation et des gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants. La situation est confuse dans la partie nord de Goma et dans une partie du territoire de Nyiragongo.<br /><br />Clément Muamba</p>

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Le porte-parole de la Police nationale congolaise (PNC), le commissaire supérieur principal Pierrot Mwana Mputu, a rassuré l'opinion na...

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Ça chauffe entre Martin Tshisekedi et Vidiye Tshimanga

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg9EZ2PeXDb314OWBqx-wSF9VAmSVR4oIYsBG4wCd0wXfvpErGwh1-fxO9g-hBO2sHhE025G-U2CIjCLzOvyzBSSfNdxDrUe6JA_zlz4cnaiUsBDbC0UhIokR-VRWgRdGay4Gmurzo7yLMLowP2JY5VwlHcFR46fqWNrRNm8r3JqOC16D0tnsYNoRjaYw=s990" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="990" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg9EZ2PeXDb314OWBqx-wSF9VAmSVR4oIYsBG4wCd0wXfvpErGwh1-fxO9g-hBO2sHhE025G-U2CIjCLzOvyzBSSfNdxDrUe6JA_zlz4cnaiUsBDbC0UhIokR-VRWgRdGay4Gmurzo7yLMLowP2JY5VwlHcFR46fqWNrRNm8r3JqOC16D0tnsYNoRjaYw=s320" width="320" /></a></div>La semaine dernière, deux proches du président Félix Tshisekedi, l'un biologique et l'autre politique, se sont rentrés dedans à travers leurs comptes twitters.<br /><br />Visiblement, le frère de Fatshi constate que si les choses pataugent encore en République démocratique du Congo, ou peinent à décoller, c'est parce que beaucoup de gens ne bossent pas assez dans le sens de matérialiser la vision du chef de l'État.<br /><br /><br />Martin Tshisekedi a, en effet, accusé Vidiye Tshimanga de ne pas jouer son rôle comme il le fallait auprès du président.<br /><br />"Mr le Conseiller Vidiye Tshimanga. Si, avec le Chef de l'État :<br /><br />1. Vos ambitions divergent, quelles stratégies crédibles lui conseilleriez-vous ?<br />2. Si vos ambitions convergent, pourquoi ne pas fusionner vos partis, évitant un conflit d'intérêt financé avec l'argent du contribuable ?", a demandé Martin à Vidiye. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Aussitôt, il a été recadré par ce conseiller de Fatshi qui souligne que la DCU ( Dynamique Congo Uni), son parti, " n'est ni engendrée par l'Udps, ni susceptible d'être fusionnée". Et d'ajouter, "je n'ai aucun prétexte à trouver pour être allié du chef de l'État. Je l'ai été et je le suis en raison des valeurs communes que je partage avec lui. Concernant une alliance future, procès d'intention stérile".<br /><br />Une prise de bec très serrée qui s'est passée sur la place publique, à travers leurs comptes twitters.<br />LM<br />congo-press.com (MCP)<p> </p>

Politique Ça chauffe entre Martin Tshisekedi et Vidiye Tshimanga

La semaine dernière, deux proches du président Félix Tshisekedi, l'un biologique et l'autre politique, se sont rentrés dedans à trav...

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RDC : Le Gouvernement interdit aux étrangers d'exercer les activités d'exploitation artisanale des minerais

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEicAVmqLKbbEKz43JJsEGRU0s1dtUCs3z71WT9m6RQ3SZTAdCKZZ2M8MqrQWjcc8JwlatNq-H0gsRxCxXsOvz_1ccTjlJtELB2kY6lkQ9rkzf6OUvtnvw9hU1zHiKOeITuCuSXuEPnj0lUDCCXvm4dM0cC_WZ2kMsphr0W8HhYl9d5LbHSf2-hUAPoBcQ=s985" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="985" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEicAVmqLKbbEKz43JJsEGRU0s1dtUCs3z71WT9m6RQ3SZTAdCKZZ2M8MqrQWjcc8JwlatNq-H0gsRxCxXsOvz_1ccTjlJtELB2kY6lkQ9rkzf6OUvtnvw9hU1zHiKOeITuCuSXuEPnj0lUDCCXvm4dM0cC_WZ2kMsphr0W8HhYl9d5LbHSf2-hUAPoBcQ=s320" width="320" /></a></div>Il est interdit aux étrangers séjournant en RDC de se livrer aux travaux d'exploitation artisanale des minerais sur tous les sites d'exploitation artisanale. <br /><br />C'est la décision prise par la ministre des Mines Antoine N'samba Kalambayi à travers une circulaire signée ce lundi 20 décembre 2021.<br /><br />Dans cette circulaire adressée aux chefs de division et directeurs provinciaux des Mines, la ministre de tutelle interdit la présence des étrangers et des engins lourds sur les sites d'exploitation artisanale.<br /><br /><br />A l'en croire, seuls les acheteurs agréés au service d'un comptoir agréé, de nationalité congolaise ou étrangère, <br />sont autorisés à circuler dans les sites miniers d'exploitation artisanale uniquement à des fins d'achat des substances minérales d'exploitation artisanale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ils doivent, pour ce faire, se munir d'une autorisation de séjour et de circulation dans les zones minières et/ou de carrières et d'une carte de travail pour étranger en cours de validité, conformément aux articles 258 et 261 du Règlement minier, et nullement à des fins<br />d'exploitation.<br /><br /><br />"Conformément à l'article 1er point 21 du Code Minier, les activités d'exploitation artisanale ne peuvent se réaliser que par des outils, des méthodes et des procédés non industriels. À cet effet, la présence des engins lourds dans les sites miniers d'exploitation artisanale est strictement interdite", martèle la circulaire.<br /><br /><br />La ministre des Mines accorde un délai de 30 jours, à compter de la signature de la présente circulaire, pour se conformer à la Loi.<br /><br /><br />"Passé ce délai, tout contrevenant à la présente s'expose aux sanctions prévues à l'article 299 du Code M<br />minier", conclut la circulaire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <div><br /><br />Rappelons que, conformément aux dispositions des articles 1 point 19 bis, 111 et 114 bis du Code minier et 233 du règlement minier, l'exploitation artisanale reste l'apanage exclusif des personnes physiques majeures de nationalité congolaise, détentrices d'une carte d'exploitant artisanal en cours de validité, membres d'une coopérative minière agréée.<br /><br />Orly-Darel Ngiambukulu<p> </p></div>

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Il est interdit aux étrangers séjournant en RDC de se livrer aux travaux d'exploitation artisanale des minerais sur tous les sites d...

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A Kisangani, un air de pré-campagne pour Moïse Katumbi, ancien gouverneur du Katanga

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjt_j-H4fwwZC2QTmK3l3rFR9xQUqrNjV807WF3IdAqolN3AeJ3XwApDn4G3lLLabx_4QkH-yN6x8lrG08SCTGW8pTrQpNuvHZewxlIKX0xrazzJlVzVMHfWbti4mIbxL9ZL0s4ZgAF8c2MpCP_5tHQJpHkqKOd0x0G0Iyo8iZIjcE8y7wGsbQyjOCuEA=s703" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="393" data-original-width="703" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjt_j-H4fwwZC2QTmK3l3rFR9xQUqrNjV807WF3IdAqolN3AeJ3XwApDn4G3lLLabx_4QkH-yN6x8lrG08SCTGW8pTrQpNuvHZewxlIKX0xrazzJlVzVMHfWbti4mIbxL9ZL0s4ZgAF8c2MpCP_5tHQJpHkqKOd0x0G0Iyo8iZIjcE8y7wGsbQyjOCuEA=s320" width="320" /></a></div> L'ex-gouverneur du Katanga, Moise Katumbi, a lancé lundi son parti "Ensemble pour la République" dans la perspective de la présidentielle de 2023 en République démocratique du Congo, tout en restant encore pour l'instant membre de la coalition au pouvoir.<br /><br />La lancement officiel des activités d'"Ensemble pour la République" a eu lieu à Kisangani, importante ville du nord-est de la RDC où M. Katumbi, tout de blanc vêtu, est arrivé en début d'après-midi en jet privé. Des dizaines de milliers de partisans l'ont accompagné de l'aéroport jusqu'à la place de la Poste où il a tenu un meeting devant une foule nombreuse.<br /><br />"Je suis venu à Kisangani pour lancer officiellement les activités de +Ensemble+. Cette ville a hissé de grands hommes politiques congolais. D'ailleurs, j'aurai ma seconde résidence ici pour être en communion avec vous", a-t-il déclaré en swahili, la langue parlée dans l'est de la RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Mi-avril, le richissime homme d'affaire avait tracé deux lignes rouges qui le pousseraient à quitter l'"Union sacrée de la nation", la coalition gouvernementale mise en place par le président Félix Tshisekedi fin 2020: l'examen par le Parlement d'une loi qui excluait tout Congolais né d'un parent étranger de postuler à la prochaine présidentielle prévue en 2023 et l'absence d'un consensus autour de la désignation des membres de la Commission électorale nationale indépendante (Céni).<br /><br />Le Parlement n'a pas inscrit cette loi controversée dans son agenda. Par contre, les membres de la Céni ont été investis malgré l'opposition des églises catholique et protestante. M. Katumbi n'avait pas envoyé la liste de ses délégués. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />"Je suis avec eux dans l'Union sacrée de la nation, mais je n'accepterai pas de bêtises", a-t-il menacé, invitant le gouvernement à supprimer une taxe sur les téléphones cellulaires considérée comme "illégale" par le Sénat.<br /><br />Fort de son expérience dans le domaine minier, l’ancien gouverneur du Katanga a affirmé que la pandémie du Covid-19 ne peut justifier l’incapacité du gouvernement à répondre aux attentes de la population congolaise au moment où les cours du cobalt et du cuivre ont atteint des sommets historiques.<p></p>AFP

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L'ex-gouverneur du Katanga, Moise Katumbi, a lancé lundi son parti "Ensemble pour la République" dans la perspective de la pr...

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